Petite réponse à Stan Mytho, Mytho TV et Maxime Montaut de Wanted Mytho. Le mensonge domine, triste époque.
Quelques précisions avant la réponse – Affaire Maillaud
Je suis sincèrement désolé de devoir revenir sur un site, et je le suis encore plus car c’est à cause d’une bêtise comme l’affaire Maillaud. Je sais bien que beaucoup d’entre vous sont fatigués par cette triste histoire, mais après les calomnies vient le temps de la réponse, obligée car les propos tenus par Stan Maillaud et Janett Seemann sont gravissimes. Voici donc un texte en forme de réponse avant une interview avec un média qui se fera dans les prochaines semaines.
Premièrement, il convient de correctement restituer la totalité de cette histoire, car Stan et Janett ne se basent simplement que sur une chose : Amancey. Donc, après ma rencontre avec Stan Maillaud en juillet 2012, nous avions convenu à trois, Stan, Janett et moi de nous orienter sur une affaire pédocriminelle qui touchait la région du sud-est. Nous avions volontairement écarté l’affaire Gachadoat pour de multiples raisons. Nous ne nous revoyons pas jusqu’en septembre 2012. De juillet à septembre je n’ai donc aucune nouvelle si ce n’est un SMS. Vient le fameux jour ou un contact me téléphone pour me dire qu’il est avec « deux amis » et que tous les trois souhaitent m’apporter leur aide sur une affaire se déroulant en Franche-Comté.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que durant le mois d’août, ces trois personnes, Stan, Janett et notre contact commun, sont allés faire des investigations sur l’affaire Gachadoat, Janett a fait l’erreur de parler avec une des filles de Sandrine Gachadoat, cette dernière l’a rapportée à son père qui a aussitôt porté plainte. Ce qui n’aide pas Sandrine puisque cette dernière était déjà la cible de la justice pour avoir pris la fuite avec ses enfants par le passé et ce qui n’aide en rien la suite de ma collaboration avec Stan et Janett puisque c’est de cette enquête mal menée que tout commence.
Après le fameux coup de téléphone de notre contact commun je suis quelque peu surpris que Stan cherche à me revoir puisque deux mois auparavant il m’envoyait un SMS pour me dire qu’il ne souhaitait plus travailler avec moi. J’ai donc précisé que je voulais bien de l’aide pour la Franche-Comté, mais pas que quelqu’un vienne y mettre le boxon. Je connaissais (et reconnaîtrai toujours) le courage de Stan, mais je savais aussi que partout où il passait, il fallait s’attendre à des complications, complications logiques puisque nous agissons en désaccord avec la justice et ses lois. Nous arrivons donc à ce fameux jour de septembre, en Franche-Comté, durant lequel Stan et notre contact étaient ensembles d’un côté, Janett et moi de l’autre avec la victime. À la fin de notre entrevue avec la personne en question, nous n’avons aucune nouvelle de Stan, ni de notre ami commun. Nous avons fait le tour des gendarmeries du coin et très vite nous avons trouvé le fourgon de notre contact sur le parking d’une des gendarmeries, sans savoir si Stan était à l’intérieur ou en fuite. Petite précision, à ce moment je me sentais plutôt mal, ayant eu l’impression d’avoir mené mes nouveaux amis dans un sale plan, j’en référais mes sentiments à Janett qui me répondit « ce sont les risques ». Alors que nous décidions de nous écarter, nous avons récupéré Stan qui sortait d’un champ, il guettait les véhicules qui passaient car il avait déjà vu le notre et il savait que nous repasserions sur cette route. Il était légèrement blessé au front et était trempé. C’est d’ailleurs lui qui nous a vite conseillé de déguerpir puisque pour ce genre de situation, la gendarmerie déclenche le plan épervier. Ce qui consiste à encadrer la zone sur 50 km, à appeler un hélicoptère et la brigade canine. L’hélicoptère fut annulé en raison du brouillard et les chiens ne trouvèrent rien.
Après notre départ, Stan savait que les journaux parleraient du contrôle raté de la gendarmerie, en s’appuyant dessus et sur un message que Janett posterait plus tard il voulait faire croire qu’il avait bel et bien disparu, il disait qu’il avait fait un peu n’importe quoi les derniers temps qu’il était sur internet, à faire des vidéos qui ne servaient à rien. Pour lui, cet événement allait attirer les gens vers la lutte antipédocriminelle. Ils eurent donc l’idée de monter une conférence de presse en Franche-Comté, région dans laquelle se déroule l’affaire que je citais plus haut, et évidemment le lieux où Stan a « disparu ». Qu’on ne s’y trompe pas, et les vidéos prouvent que je dis vrai, je n’étais pas dans le Doubs pour Stan, mais pour la victime, qui n’a jamais rencontré Stan, et seulement deux fois Janett, sans avoir accroché avec, car cette dernière, bien que activiste, ne sait pas s’adresser aux victimes de sévices sexuels. La conférence de presse se déroule comme elle devait se dérouler et nous sommes arrêtés quelques jours plus tard sur Besançon, à cause des investigations de Stan et Janett pour l’affaire Gachadoat, car Janett avait approché une des petites et que cette dernière en avait fait part à son « paternel ».
Premièrement, je n’étais pas présent pendant leurs investigations pour cette affaire, donc les trois semaines de prison sont déjà beaucoup trop, et n’allez pas croire par là que je veuille dire que le temps de prison des autres protagonistes était justifié, pour moi il ne l’était pas. Deuxièmement, Stan raconte que je l’ai balancé et que j’ai organisé son arrestation en Franche-Comté, ma seule réponse est que son accusation est absurde, partout où il passe il a des problèmes, il n’a jamais eu besoin de moi pour s’en attirer, d’ailleurs je n’avais pas de souci avant de croiser la route de Stan et je ne l’en tiens pas pour responsable, car ce n’est pas à cause de Stan mais à cause de mon choix que j’ai eu des soucis, alors qu’on m’avait prévenu que j’allais au devant de nombreux problèmes.
Dès le début de la conférence j’avais remarqué que Janett voulait s’approprier le dossier de la victime, ou plutôt son affaire. Ils donnent son prénom alors que cette dernière ne le souhaite pas et ils parlent du dossier sans le connaître. Il faut savoir que rapporter une affaire pédocriminelle sur internet peut avoir du bon et du mauvais, c’est à double tranchant, d’un côté on donne de l’exposition à l’affaire et elle devient connue, mais de l’autre on expose également la famille protectrice et les victimes à de sérieux problèmes avec la justice. Et qui récolte les soucis dans ces cas là ? Les familles protectrices et les victimes. C’est le cas de la victime du Doubs, plus il en parlent plus elle a d’ennuis et je ne vous parle pas des visites fréquentes qu’elle a de la gendarmerie ces derniers temps.
Allons donc, je serai un infiltré qui travaille pour le réseau. Stan, Janett, Tepa de machin TV et Max de Wanted Pedo sont donc tous d’accord pour m’intégrer dans l’organigramme d’un réseau pédophile, c’est une accusation gravissime qui pourrait m’apporter de nombreux problèmes par la suite. Après avoir traité les gens de Meta TV de trous du cul sur leur page FB et par message privé, je ne m’en cache pas, j’ai malgré tout tenté de dialoguer, mais pour eux, c’est clair je suis un infiltré. Il faut savoir que Meta TV m’a par deux fois invité, la première fois je les ai planté la veille de l’émission et par la suite j’ai refusé une nouvelle invitation. Premièrement parce que je savais que j’y allais pour l’affaire Maillaud, et je n’avais pas envie d’en rajouter. Jamais je n’ai été virulent ni insultant envers Stan et Janett, j’ai simplement livré leur plan bidon dans lequel j’avais accepté de marcher un temps. Je n’avais pas envie de mener une campagne anti Stan Maillaud, j’ai bien d’autres choses à faire. et deuxièmement, il faut jouer un jeu dans cette dissidence, à laquelle je n’appartiens pas et à laquelle je ne souhaite pas appartenir, il faut jouer le jeu des interviews, des rassemblements, des photos… Ce qui n’est pas ce que j’aime le plus, excusez-moi de ne pas vouloir manifester devant Facebook pour faire disparaître la pédocriminalité, j’ai autre chose à faire.
Tepa m’a donc dit (et son équipe) que j’aurai dû venir à leur libre antenne, c’est donc tant pis pour moi, publiquement, Tepa et ses nouveaux amis se sont permis de m’intégrer dans un réseau pédophile. J’en profite donc pour dire à ces hurluberlus que pour des gens qui n’aiment pas se faire insulter (exemple l’affaire Soral VS tout le monde) ils ont la gâchette facile, et donc la mémoire courte.
Je suis fatigué d’avoir à revenir sur cette histoire débile qui ne fera que diviser et faire oublier la cause première : aider des enfants. Nous en sommes aujourd’hui bien loin et je m’en excuse, le spectacle offert est d’une nullité accablante. Pour terminer, et en passant, tout infiltré que je suis c’est toujours moi qui risque un procès pour notre arrestation en Franche-Comté, pour une affaire dans laquelle je ne me suis même pas impliqué.
Jérémy Lehut
Il est clair que l'ONU n'apportera pas la solution.
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