Ceci n'est pas une défaillance de votre navigateur ! Ce blog rassemble une partie de l'actualité du côté de la résistance boycottant ainsi les "merdias" au profit d’informations indépendantes ; il contient aussi « de l’humour, de la parodie et de la satire ».
Les agissement de l'OMS ont été criminels. Ils ont commis un génocide en bande organisée et ça va être punis par le code pénal art.211-1 par la prison à perpétuité.
Les risques de la biologie synthétique comprennent les risques de biosécurité pour les travailleurs et le public, les risques de biosécurité résultant de la manipulation délibérée d'organismes pour causer des dommages et les risques pour l'environnement. Les risques de biosécurité sont similaires à ceux des domaines biotechnologiques existants, principalement l'exposition aux agents pathogènes et aux produits chimiques toxiques ; cependant, les nouveaux organismes synthétiques peuvent présenter de nouveaux risques. Pour la biosécurité, on craint que des organismes synthétiques ou redessinés puissent théoriquement être utilisés pour le bioterrorisme. Les risques potentiels de biosécurité comprennent la recréation d'agents pathogènes connus à partir de zéro, la conception d'agents pathogènes existants pour qu'ils soient plus dangereux (gain de fonction) et la conception de microbes pour produire des produits biochimiques nocifs. Enfin, les risques environnementaux comprennent les effets néfastes sur la biodiversité et les services écosystémiques, y compris les changements potentiels dans l'utilisation des terres résultant de l'utilisation agricole d'organismes synthétiques. Les dangers de la biologie synthétique
Le contrôle du cerveau par les nanotechnologies :
Plus aucune limite dans les expériences, les savants fous s'en donnent à coeur joie depuis cette pseudo crise sanitaire et ces injections eugéniques ... La perversion s'est instauré dans la science et aujourd'hui "1984" est un scénario réaliste. Les neurosciences se sont mise au service des gouvernements et des multinationales afin de trouver des moyens coercitifs de controle de la pensée des population par le bias des nanotechnologies et des réseaux intelligents Cloud par onde 5G. La vie privée était déjà de l'histoire ancienne, aujourd'hui ce sont nos données intimes, nos pensées, nos envies, nos désirs et secrets qui sont attaqués ; ces technologies intrusives sont au coeur de l'ingénierie sociale et cette situation est digne d'un quatrième Reich. L'eugénisme qui est l'idéologie nazie, se cache derrière le terme de "transhumanisme" lavé de toute connotation.
NOS MAUX SONT NOS MOTS ! La pensée est le sens du néo-cortex, comme la vue est le sens des yeux. Celui qui croit être sa propre pensée est perdu dans l'enfer de ses maux. Les animaux n'ont pas tous un néocortex, seul les primates en possèdent un surdeveloppé et la pensée est la production du néocortex. Interressez vous aux sens qui ne sont pas uniquement au nombre de cinq mais dépassent largement les 10 ... probablement une trentaine lorsqu'on y réfléchit sérieusement ... ça date de combien de temps les 5 sens ? Il faut évoluer, chaque sens comporte un capteur, un organe, la nociception est le sens de la douleur, la chronoception celui de de la notion du temps, la proprioception celui de la gestion de l'espace et j'en passe des meilleurs comme le sens de l'humour, l'intuition, l'interioception, la baroception, la thermoception ... Renseignez-vous avant de réfuter sans autre argument. C'est le domaine des neurosciences.
Le matériel du biohacker :
Le biohacking, appelé aussi biologie de « garage » ou biologie « do-it-yourself »,, s’est rapidement développé au cours des dix dernières années. Il attire un nombre croissant d’étudiants, amateurs, scientifiques, citoyens, hackers ,, makers , artistes et entrepreneurs. Le mouvement est devenu un sujet de recherche pour des chercheurs en sciences sociales et l’objet d’expositions comme « Biohacking: Do-it-yourself ! », au Medical museion de Copenhague entre 2013 et 2014, ou « Beyond the Lab – The DIY Science Revolution », au Science museum de Londres, en 2016.
Avec leur projet Open Source Estrogen, Byron Rich et Mary Maggic (alias Mary Tsang, réalisatrice de la série documentaire Diysect) développent une analyse critique de l’influence des œstrogènes et des perturbateurs endocriniens sur nos corps et notre environnement. Et pour la partager avec le public, ils ont créé l’Estrofem lab. Ce hacklab de l’œstrogène itinérant tient dans une valise. Il se compose d’un ensemble d’outils DiY et de protocoles pour hacker de l’hormone en toutes circonstances et se poser de bonnes questions : comme peut-on fabriquer ses hormones soi-même pour la contraception ? comment détecter la présence d’hormones dans l’environnement ? comment concevoir des capteurs qui joueraient un rôle dans l’analyse citoyenne des eaux locales ? ou encore peut-on éliminer la toxicité hormonale de l’environnement ? Pour y répondre, le duo pose régulièrement ses valises lors de manifestations citoyennes, artistiques ou DiYbio, de la conférence Isea Hong-Kong au festival Art Meets Radical Openess à Vienne en passant par Interactivos? au Medialab-Prado en juin dernier à Madrid (Makery y était).
Biohackers, à vos mallettes!
Vous le sentez venir le scénario de matrix ?
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