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26 février 2016

Conscience de soi

L'archer d’alliance 

"Dans certain cas, la conscience de soi peut repousser les limites du mental. Elle peut nous permettre de toucher nos cibles d'une façon si spectaculaire et artistique, que même ceux qui observent sont transportés par cette incroyable force universelle d'amour de l'éternel. Ces prouesses ne sont des miracles que pour ceux qui n'en ont pas compris le véritable sens... Et aux yeux de ces étrangers, nous passons pour des exceptions alors que nous ne faisons que vivre la réalité."
    NéOzOrOr
Exemple : Akhmatova aida > dans la réalité il existe une femme russe qui tir avec ses jambes !

[...] Si ton esprit s’ennuie, c’est que tu es aveugle à la réalité de ton être. Ton esprit est sacré comme la vie qui t’habite, il est le sanctuaire de ton libre arbitre, et même le diable ne peut te prendre cette noble nature de l’âme. La vie est une grande force omniprésente dans l'univers, elle agit sur la matière avec une divine subtilité et offre son incommensurable générosité à l'obscure néant. La plus grande responsabilité dans ton existence, c’est de te connaitre toi-même. Toi qui a choisi de fermer les yeux pour te tourner vers ta lumière intérieure, tu as le bonheur de voir l’avènement d’un jour nouveau sur la Terre. Pourquoi l’histoire nous démontre t-elle que seul ton esprit éveillé peut changer son cours ? Parce que ton cœur aspire à voir la paix là où règne la guerre, à manifester de la compassion là où la cruauté domine et où la peur glace les cœurs. Tu as le privilège d’introduire une vraie guérison dans ce monde alors saches dorénavant que tu n’es plus seul car nous sommes ce jour nouveau ! [Texte entier

19 avril 2015

L'affaire de la disparition de Stan



Vidéo-liste :
http://www.dailymotion.com/playlist/x3qxzo_neozoror1_wanted-pedo
Le film de Stan Maillaud : Les réseaux de l'horreur ! 
Sandrine Gachadoat, la maman Victime.
https://www.facebook.com/sandrine.gachadoat
Sandrine Gachadoat raconte lors d'une audition de Stan Maillaud les viols sur sa fille depuis l'âge de 18 mois, sur son fils de 15 mois. A 6ans (2006) sa fille Léa témoigne des abus sexuels perpétrés par sa grand-mère et son grand-père paternel, puis le père... Cette mère a été emprisonné plusieurs mois pour ses dénonciations ! Elle a aussi perdu le droit de voir ses enfants. 
https://youtu.be/5CPg5CZFvmE?list=PLYl0-NthZybv2hdIswZyfKQxJnPbBUxYd

l'article de l'époque du journal du sud ouest :

http://www.sudouest.fr/2012/10/26/suspectes-d-organiser-un-rapt-d-enfants-860841-710.php?hc_location=ufi


Les amis de Stan Maillaud


"Les amis de Stan Maillaud".org par JaneBurgermeister

Jérémy Lehut :
http://www.dailymotion.com/video/xveesn_affaire-maillaud-et-reseaux-pedocriminels-interview-de-jeremy-lehut-dje-le-peuple_news


La vérité sur l'affaire Stan Maillaud par Dje... par Code_000


Jérémy Lehut

24 avril 2015 sur facebook : 
Petite réponse à Stan Mytho, Mytho TV et Maxime Montaut de Wanted Mytho. Le mensonge domine, triste époque.
Quelques précisions avant la réponse – Affaire Maillaud
Je suis sincèrement désolé de devoir revenir sur un site, et je le suis encore plus car c’est à cause d’une bêtise comme l’affaire Maillaud. Je sais bien que beaucoup d’entre vous sont fatigués par cette triste histoire, mais après les calomnies vient le temps de la réponse, obligée car les propos tenus par Stan Maillaud et Janett Seemann sont gravissimes. Voici donc un texte en forme de réponse avant une interview avec un média qui se fera dans les prochaines semaines.
Premièrement, il convient de correctement restituer la totalité de cette histoire, car Stan et Janett ne se basent simplement que sur une chose : Amancey. Donc, après ma rencontre avec Stan Maillaud en juillet 2012, nous avions convenu à trois, Stan, Janett et moi de nous orienter sur une affaire pédocriminelle qui touchait la région du sud-est. Nous avions volontairement écarté l’affaire Gachadoat pour de multiples raisons. Nous ne nous revoyons pas jusqu’en septembre 2012. De juillet à septembre je n’ai donc aucune nouvelle si ce n’est un SMS. Vient le fameux jour ou un contact me téléphone pour me dire qu’il est avec « deux amis » et que tous les trois souhaitent m’apporter leur aide sur une affaire se déroulant en Franche-Comté.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que durant le mois d’août, ces trois personnes, Stan, Janett et notre contact commun, sont allés faire des investigations sur l’affaire Gachadoat, Janett a fait l’erreur de parler avec une des filles de Sandrine Gachadoat, cette dernière l’a rapportée à son père qui a aussitôt porté plainte. Ce qui n’aide pas Sandrine puisque cette dernière était déjà la cible de la justice pour avoir pris la fuite avec ses enfants par le passé et ce qui n’aide en rien la suite de ma collaboration avec Stan et Janett puisque c’est de cette enquête mal menée que tout commence.
Après le fameux coup de téléphone de notre contact commun je suis quelque peu surpris que Stan cherche à me revoir puisque deux mois auparavant il m’envoyait un SMS pour me dire qu’il ne souhaitait plus travailler avec moi. J’ai donc précisé que je voulais bien de l’aide pour la Franche-Comté, mais pas que quelqu’un vienne y mettre le boxon. Je connaissais (et reconnaîtrai toujours) le courage de Stan, mais je savais aussi que partout où il passait, il fallait s’attendre à des complications, complications logiques puisque nous agissons en désaccord avec la justice et ses lois. Nous arrivons donc à ce fameux jour de septembre, en Franche-Comté, durant lequel Stan et notre contact étaient ensembles d’un côté, Janett et moi de l’autre avec la victime. À la fin de notre entrevue avec la personne en question, nous n’avons aucune nouvelle de Stan, ni de notre ami commun. Nous avons fait le tour des gendarmeries du coin et très vite nous avons trouvé le fourgon de notre contact sur le parking d’une des gendarmeries, sans savoir si Stan était à l’intérieur ou en fuite. Petite précision, à ce moment je me sentais plutôt mal, ayant eu l’impression d’avoir mené mes nouveaux amis dans un sale plan, j’en référais mes sentiments à Janett qui me répondit « ce sont les risques ». Alors que nous décidions de nous écarter, nous avons récupéré Stan qui sortait d’un champ, il guettait les véhicules qui passaient car il avait déjà vu le notre et il savait que nous repasserions sur cette route. Il était légèrement blessé au front et était trempé. C’est d’ailleurs lui qui nous a vite conseillé de déguerpir puisque pour ce genre de situation, la gendarmerie déclenche le plan épervier. Ce qui consiste à encadrer la zone sur 50 km, à appeler un hélicoptère et la brigade canine. L’hélicoptère fut annulé en raison du brouillard et les chiens ne trouvèrent rien.
Après notre départ, Stan savait que les journaux parleraient du contrôle raté de la gendarmerie, en s’appuyant dessus et sur un message que Janett posterait plus tard il voulait faire croire qu’il avait bel et bien disparu, il disait qu’il avait fait un peu n’importe quoi les derniers temps qu’il était sur internet, à faire des vidéos qui ne servaient à rien. Pour lui, cet événement allait attirer les gens vers la lutte antipédocriminelle. Ils eurent donc l’idée de monter une conférence de presse en Franche-Comté, région dans laquelle se déroule l’affaire que je citais plus haut, et évidemment le lieux où Stan a « disparu ». Qu’on ne s’y trompe pas, et les vidéos prouvent que je dis vrai, je n’étais pas dans le Doubs pour Stan, mais pour la victime, qui n’a jamais rencontré Stan, et seulement deux fois Janett, sans avoir accroché avec, car cette dernière, bien que activiste, ne sait pas s’adresser aux victimes de sévices sexuels. La conférence de presse se déroule comme elle devait se dérouler et nous sommes arrêtés quelques jours plus tard sur Besançon, à cause des investigations de Stan et Janett pour l’affaire Gachadoat, car Janett avait approché une des petites et que cette dernière en avait fait part à son « paternel ».
Premièrement, je n’étais pas présent pendant leurs investigations pour cette affaire, donc les trois semaines de prison sont déjà beaucoup trop, et n’allez pas croire par là que je veuille dire que le temps de prison des autres protagonistes était justifié, pour moi il ne l’était pas. Deuxièmement, Stan raconte que je l’ai balancé et que j’ai organisé son arrestation en Franche-Comté, ma seule réponse est que son accusation est absurde, partout où il passe il a des problèmes, il n’a jamais eu besoin de moi pour s’en attirer, d’ailleurs je n’avais pas de souci avant de croiser la route de Stan et je ne l’en tiens pas pour responsable, car ce n’est pas à cause de Stan mais à cause de mon choix que j’ai eu des soucis, alors qu’on m’avait prévenu que j’allais au devant de nombreux problèmes.
Dès le début de la conférence j’avais remarqué que Janett voulait s’approprier le dossier de la victime, ou plutôt son affaire. Ils donnent son prénom alors que cette dernière ne le souhaite pas et ils parlent du dossier sans le connaître. Il faut savoir que rapporter une affaire pédocriminelle sur internet peut avoir du bon et du mauvais, c’est à double tranchant, d’un côté on donne de l’exposition à l’affaire et elle devient connue, mais de l’autre on expose également la famille protectrice et les victimes à de sérieux problèmes avec la justice. Et qui récolte les soucis dans ces cas là ? Les familles protectrices et les victimes. C’est le cas de la victime du Doubs, plus il en parlent plus elle a d’ennuis et je ne vous parle pas des visites fréquentes qu’elle a de la gendarmerie ces derniers temps.
Allons donc, je serai un infiltré qui travaille pour le réseau. Stan, Janett, Tepa de machin TV et Max de Wanted Pedo sont donc tous d’accord pour m’intégrer dans l’organigramme d’un réseau pédophile, c’est une accusation gravissime qui pourrait m’apporter de nombreux problèmes par la suite. Après avoir traité les gens de Meta TV de trous du cul sur leur page FB et par message privé, je ne m’en cache pas, j’ai malgré tout tenté de dialoguer, mais pour eux, c’est clair je suis un infiltré. Il faut savoir que Meta TV m’a par deux fois invité, la première fois je les ai planté la veille de l’émission et par la suite j’ai refusé une nouvelle invitation. Premièrement parce que je savais que j’y allais pour l’affaire Maillaud, et je n’avais pas envie d’en rajouter. Jamais je n’ai été virulent ni insultant envers Stan et Janett, j’ai simplement livré leur plan bidon dans lequel j’avais accepté de marcher un temps. Je n’avais pas envie de mener une campagne anti Stan Maillaud, j’ai bien d’autres choses à faire. et deuxièmement, il faut jouer un jeu dans cette dissidence, à laquelle je n’appartiens pas et à laquelle je ne souhaite pas appartenir, il faut jouer le jeu des interviews, des rassemblements, des photos… Ce qui n’est pas ce que j’aime le plus, excusez-moi de ne pas vouloir manifester devant Facebook pour faire disparaître la pédocriminalité, j’ai autre chose à faire.
Tepa m’a donc dit (et son équipe) que j’aurai dû venir à leur libre antenne, c’est donc tant pis pour moi, publiquement, Tepa et ses nouveaux amis se sont permis de m’intégrer dans un réseau pédophile. J’en profite donc pour dire à ces hurluberlus que pour des gens qui n’aiment pas se faire insulter (exemple l’affaire Soral VS tout le monde) ils ont la gâchette facile, et donc la mémoire courte.
Je suis fatigué d’avoir à revenir sur cette histoire débile qui ne fera que diviser et faire oublier la cause première : aider des enfants. Nous en sommes aujourd’hui bien loin et je m’en excuse, le spectacle offert est d’une nullité accablante. Pour terminer, et en passant, tout infiltré que je suis c’est toujours moi qui risque un procès pour notre arrestation en Franche-Comté, pour une affaire dans laquelle je ne me suis même pas impliqué.  
Jérémy Lehut 


Appel de Janett pour la disparition de Stan :

https://www.youtube.com/watch?v=WQ-oRFL-vwg


Ancienne présentation de Stan Maillaud et de son mouvement RRR





Les dons pour Stan et Janett vont maintenant à cette association !





Prison pour l'équipe de Stan, mais lui s'en sort bien finalement... Et la maman, Sandrine Gachadoat n'a pas été aidée pour autant ... Comme dit Jérémy Lehut, cette affaire est un fiasco de A à Z !
Et maintenant Stan et Janett reviennent avec l'ONU comme solution ... Pfff ! Je crois que Stan ne sait pas ce qu'est le Sabbataïsme et le Frankisme, sinon il n'aurait pas fait la promotion d'un pseudo-pédopsychiatre comme Janusz Korczak !




Salim Laïbi (LLP) sur le credo Sabbataïste... par JaneBurgermeister

Dans le domaine des droits de l'enfant, il est aussi le précurseur de la mise en pratique des droits positifs de l’enfant (droits d’expression, de participation, d’association, etc.) officiellement établis le 20 novembre 1989 par les articles 12 à 17 de la Convention des Nations unies pour les droits de l’enfant, un texte et un acte politique majeur dont il exigeait l’élaboration depuis la fin du XIXe siècle.

Soixante ans après sa mort, l’histoire et l’œuvre littéraire, pédagogique, philosophique et sociale du « Vieux docteur », encore méconnues en France, interpellent encore l’ensemble des pratiques et des regards des adultes sur les enfants et les jeunes.

Un cénotaphe en sa mémoire a été élevé au cimetière juif de Varsovie.



http://fr.wikipedia.org/wiki/Janusz_Korczak

La Convention internationale de L'ONU :


http://www.humanium.org/fr/convention/texte-integral-convention-internationale-relative-droits-enfant-1989

Une nouvelle méthode camouflée pour décrédibiliser la parole des enfants ... exactement comme l'affaire Outreau !



Un exemple : Un petit garçon vient se plaindre qu'il a vu le voisin se masturber dans son jardin et lorsqu'il l'a surpris, l'homme s'est mis à sourire. Le gamin choqué est alors parti en courant. Avec cet article 13, la parole de l'enfant ne peut pas être utilisé juridiquement contre le voisin. Du moment que son témoignage porte atteinte :

- Au respect des droits ou de la réputation d’autrui ; ou
- A la sauvegarde de la sécurité nationale, de l’ordre public, de la santé ou de la moralité publiques.

Comment savoir si les avocats, juges et magistrats n'utilisent pas cet article d'une façon récurrente ? 

Article 13

1. L’enfant a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées de toute espèce, sans considération de frontières, sous une forme orale, écrite, imprimée ou artistique, ou par tout autre moyen du choix de l’enfant.
2. L’exercice de ce droit ne peut faire l’objet que des seules restrictions qui sont prescrites par la loi et qui sont nécessaires :
a) Au respect des droits ou de la réputation d’autrui; ou
b) A la sauvegarde de la sécurité nationale, de l’ordre public, de la santé ou de la moralité publiques.

http://neozoror.blogspot.fr/2011/12/abus-rituels-maconniques.html



Ajoutez vos liens dans les commentaires, je recherche d'autres vidéos concernant cette affaire.













08 avril 2013

Devenir Grand Maître de soi-même




L'humanité ne vit plus dans l'équilibre !
Le côté "Avoir" domine celui de "l'être" !

Voici un outil simple pour comprendre :
Dessinez 2 cercles qui se coupent, dans celui de gauche vous inscrivez verticalement le mot AVOIR, dans l'autre ÊTRE et au milieu MOI. Vous constaterez que les trois premières lettres de chaque ensemble forment le mot "âme". 



 Voici trois ensembles constituant votre vie, trois états d'âme différents :
-Vivre pour Acquérir ( AVOIR )
-Vivre pour soi (expériences de la conscience : Le MOI)
-Vivre pour être ( ÊTRE )
LE PRINCIPE EST SIMPLE ET EFFICACE !
IL DONNE UNE SORTE DE REPÈRE DANS VOTRE EVOLUTION !
UTILISEZ LE COMME BON VOUS SEMBLE MAIS NE QUITTEZ JAMAIS DES YEUX LE CENTRE ! CAR LE CENTRE C'EST NOUS !

Les choses que tu possèdes, finissent toujours par te posséder ! 

OUVRES TON ESPRIT A TA PROPRE EVOLUTION ! 

 FAIS-LE ! ou NE LE FAIS PAS ! MAIS IL N'Y A PAS D'ESSAI ! 
Nous sommes des êtres illuminés, pas une simple matière brute, tu dois sentir la force ! 


C'est un combat en soi-même, les véritables combattants sont ceux qui trouvent l'équilibre en eux-même. (véritable objectif du Djiaad par exemple, c'est un combat intérieur) 



Autres infos à savoir :

En psychologie "traditionnelle", dans l'analyse transactionnelle, nous constatons que la personnalité est divisée en trois groupes principaux :

-L'adulte
- L'enfant
- Le parent

Ces trois ensembles sont au cœur des relations quotidienne avec votre entourage.

Exemples :
- Un homme demande à sa femme l'heure qu'il est - Ce sont les parties "ADULTE" qui dialoguent.
- Deux personnes parlent de leurs gouts respectifs - Ce sont les parties "ENFANT" qui dialoguent.
- Un prof fait classe à ses élèves - La partie "PARENT" s'adresse aux parties "ENFANT" de la classe.
- Au boulot un chef donne un ordre à son ouvrier - La partie "ADULTE" à la partie "ADULTE".
- un chef reproche son mauvais travail à son ouvrier - La partie "PARENT" s'adresse à la partie "ENFANT".
Cela se nomme des transactions


" Pour devenir grand maître de soi-même,
il suffit d'être au centre de chaque état du soi "

Voici un petit résumé de la pensée
d'un grand philosophe :


"Nul ne peut atteindre l'aube qu'en passant par le chemin de la nuit. J'ignore la vérité absolue. Mais je suis humble devant mon ignorance et en cela résident mon honneur et ma récompense. La moitié de ce que je dit est dépourvu de sens mais je le dis afin que l'autre moitié puisse t'atteindre. Plus d'une doctrine est comme une vitrine, nous voyons la vérité à travers la vitre, mais elle nous sépare de celle-ci. Les paroles ne sont que les miettes qui tombent de nos esprits. Si tu ne comprends pas ton ami en toutes circonstances, tu ne le comprendra jamais...
L'homme qui est vraiment bon est celui qui ne fait qu'un avec tous ceux qu'on considère comme mauvais.
La sagesse cesse d'être de la sagesse lorsqu'elle devient trop fière pour pleurer, trop grave pour rire et trop suffisante pour chercher autre qu'elle même.
Lorsque tu parviendra au bout de ce que tu dois savoir, tu seras au début de ce que tu dois vivre.
Celui qui écoute la vérité n'est pas inférieur à celui qui la dit".


http://fr.wikipedia.org/wiki/Gibran_Khalil_Gibran


Plus ancien :
Un autre grand maitre créateur de l'Aïkido




Photo : Maître Morihei Ueshiba (1883-1969)

10 juin 2010

Défense de la souveraineté de soi


Pour zoomer :
Ctrl et +/-
ou
Ctrl et la Molette souris
Touche F11 : Basculer en plein écran



On est ce qu'on fait.
Défendre la souveraineté de soi, c'est devenir  " Grand maitre de soi même "

 



"Ces médicaments n'ont aucun sens"
envoyé par Europe1fr. - L'info video en direct.

Les travaux du Docteur André Gernez.
Très jeune Docteur en médecine et très jeune chercheur à la Fondation Curie de Paris, le Docteur André Gernez a dès 49 la confirmation qu’un traitement avec des moyens très simples et très banaux d’un syndrome précancéreux (de Plummer-Vinson) permet d’éviter la survenue d’un cancer, de la gorge en l’occurrence. Il est convaincu que la lutte contre les cancers doit passer en priorité par la prévention. Il informe la communauté médicale par plusieurs articles dans de grandes revues médicales.
Beaucoup des causes du cancer sont connues à l’époque et sont déjà très nombreuses. Mais le mécanisme, la réponse à la question comment naît un cancer, comment se développe-t-il, n’est pas élucidée. De grands et célèbres cancérologues se la posent et la posent. Le Docteur Gernez réalise très vite que la solution est oblitérée par les conceptions dominantes concernant la division cellulaire. Il remet en question la théorie admise par tous, celle du double cycle cellulaire et postule qu’en réalité au niveau de chaque colonie cellulaire il y a deux catégories de cellules : les cellules génératrices et les cellules fonctionnelles. C’est la pierre de rosette ! Et pendant plus de 20 ans, il va dérouler l’écheveau. Cette conception permet d’expliquer le mécanisme de la cancérogenèse. Elle permet de résoudre nombre de problèmes de biologie et de pathologie. Elle permet de fonder rationnellement une prévention générale des cancers.
Le Docteur Gernez envoie à l’Académie des sciences en février 1967, un mémoire intitulé « Néopostulats biologiques et pathogéniques » dans lequel il expose ses travaux. Il développera ses idées sur le cancer dans 3 ouvrages : « Le cancer mécanismes et prévention », « Le cancer, dynamique et éradication », et « Lois et règles de la cancérisation ». L’ensemble de ces textes sera communiqué à la communauté scientifique et aux décideurs.




La souveraineté de soi, qu'est-ce que c'est que cette bête ??
C'est tout simplement le pouvoir d'être maître de soi !
Propriétaire de soi même, si vous préférez !
Et bien aujourd'hui, cela est devenu un luxe !

Grâce à  des pathologies mentales qui sont en recrudescences avec une odeur de lobbyisme pharmaceutique, il est possible d'enfermer  la souveraineté d'un individu et du peuple par la même occasion !
Les termes "bipolarité" ou "schizophrénie", ou encore "maniaque" sont amplement employés pour définir un état de réponse naturelle à un système liberticide..
L'homme moderne se trouve prisonnier entre un système financier en déconfiture et un système de santé publique menottée par les lobbyistes. La liberté d'expression est un droit en France qui est menacée par tout ces dogmes. Personne ne peut être enfermé pour ses idées, surtout si elles sont partagés d'un très grand nombre de personnes et de personnalités dans le monde.
Et surtout s'il s'agit d'un artiste poète, d'un musicien, d'un artiste !


OUVREZ LES YEUX,

TAPEZ SIMPLEMENT
"EFFETS SECONDAIRES"
D UNE MOLÉCULE ! CHOISISSEZ AU HASARD !

 
SOYEZ CURIEUX ET OBSERVEZ LES GRAVES EFFETS SUR NOTRE SANTE ! En amont et aval de chaque molécules, qui finissent par exemple par ressortir par notre robinet d'eau...


Un simple petit exemple : EFFEXOR  mais il y a aussi la pillule (œstrogène) et le paracétamol (effervescents)  et bien d'autres encore...




Polémique : L'eau du robinet contient des médicaments !





Il existe des alternatives, des groupes de pressions contre les dinosaures du chimique !
Pour compléter la fiche, on consultera :
    -    un extrait de Bodin:    http://agora.qc.ca/reftext.nsf/Documents/Souverainete--De_la_souverainete_par_Jean_Bodin     
    -  un extrait du Contrat social de JJ Rousseau :
LIVRE I. CHAPITRE VII
DU SOUVERAIN
On voit par cette formule que l'acte d'association renferme un engagement réciproque du public avec les particuliers, et que chaque individu, contractant, pour ainsi dire, avec lui-même, se trouve engagé sous un double rapport; savoir, comme membre du souverain envers les particuliers, et comme membre de l'Etat envers le souverain. Mais on ne peut appliquer ici la maxime du droit civil que nul n'est tenu aux engagements pris avec lui-même; car il y a bien de la différence entre s'obliger envers soi ou envers un tout dont on fait partie.
Il faut remarquer encore que la délibération publique, qui peut obliger tous les sujets envers le souverain, à cause des deux différents rapports sous lesquels chacun d'eux est envisagé, ne peut, par la raison contraire, obliger le souverain envers lui-même, et que, par conséquent, il est contre la nature du corps politique que le souverain s'impose une loi qu'il ne puisse enfreindre. Ne pouvant se considérer que sous un seul et même rapport il est alors dans le cas d'un particulier contractant avec soi-même: par où l'on voit qu'il n'y a ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social. Ce qui ne signifie pas que ce corps ne puisse fort bien s'engager envers autrui en ce qui ne déroge point à ce contrat; car à l'égard de l'étranger, il devient un être simple, un individu.
Mais le corps politique ou le souverain ne tirant son être que de la sainteté du contrat ne peut jamais s'obliger, même envers autrui, à rien qui déroge à cet acte primitif, comme d'aliéner quelque portion de lui-même ou de se soumettre à un autre souverain. Violer l'acte par lequel il existe serait s'anéantir, et ce qui n'est rien ne produit rien.
Sitôt que cette multitude est ainsi réunie en un corps, on ne peut offenser un des membres sans attaquer le corps; encore moins offenser le corps sans que les membres s'en ressentent. Ainsi le devoir et l'intérêt obligent également les deux parties contractantes à s'entraider mutuellement, et les mêmes hommes doivent chercher à réunir sous ce double rapport tous les avantages qui en dépendent.
Or le souverain n'étant formé que des particuliers qui le composent n'a ni ne peut avoir d'intérêt contraire au leur; par conséquent la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est, est toujours tout ce qu'il doit être.
Mais il n'en est pas ainsi des sujets envers le souverain, auquel, malgré l'intérêt commun, rien ne répondrait de leurs engagements s'il ne trouvait des moyens de s'assurer de leur fidélité.
En effet chaque individu peut comme homme avoir une volonté particulière contraire ou dissemblable à la volonté générale qu'il a comme citoyen. Son intérêt particulier peut lui parler tout autrement que l'intérêt commun; son existence absolue et naturellement indépendante peut lui faire envisager ce qu'il doit à la cause commune comme une contribution gratuite, dont la perte sera moins nuisible aux autres que le payement n'en est onéreux pour lui, et regardant la personne morale qui constitue l'Etat comme un être de raison parce que ce n'est pas un homme, il jouirait des droits du citoyen sans vouloir remplir les devoirs du sujet, injustice dont le progrès causerait la ruine du corps politique.
Afin donc que le pacte social ne soit pas un vain formulaire, il renferme tacitement cet engagement qui seul peut donner de la force aux autres, que quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps: ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre; car telle est la condition qui donnant chaque citoyen à la Patrie le garantit de toute dépendance personnelle; condition qui fait l'artifice et le jeu de la machine politique, et qui seule rend légitimes les engagements civils, lesquels sans cela seraient absurdes, tyranniques, et sujets aux plus énormes abus.
UN EXTRAIT DE CARRE DE MALBERG

La théorie de la souveraineté nationale


R. Carré de Malberg, Contribution à la théorie générale de l'Etat,  tome 2 p. 167 s.



La notion de souveraineté nationale est, en France, l'un des principes fondamentaux du droit public et de l'organisation des pouvoirs.

On a dit de ce principe qu'il est le plus impor­tant des conquêtes qu'ait réalisées la Révolution. De fait, il est consacré, dès le début des événe­ments de 1789 par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, art. 3 : "le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément". Depuis lors, et sauf une seule interruption en 1814, la souveraineté nationale a été, en théorie du moins, admise explicitement ou implicitement par les Constitutions de la France (...). Il existe, à l'égard de la souveraineté nationale, deux courants d'in­terprétation, deux tendances divergentes. Les uns ont exalté le principe et ont prétendu qu'il produit des conséquences très absolues. D'autres soutien­nent qu'il n'y a là qu'une formule théorique et politique, vide de sens juridique. Ces deux points de vue sont pareillement erronés, ainsi qu'on va le voir.



Le principe de la souveraineté nationale a sou­vent été interprété à la lueur des théories de Rous­seau., théories sur l'influence des idées du temps de la Révolution a été si considérable. La souve­raineté nationale se confondrait ainsi avec la sou­veraineté populaire. Elle s'analyserait en une sou­veraineté individuelle des membres de la Nation ; et, par suite, il faudrait dire qu'en France, sur qua­rante millions de nationaux, chacun détient un quarante-millionième du pouvoir souverain, envi­sagé, soit quant à sa source première, soit au moins quant à son exercice (...).

Mais ce n'est certainement pas en ce sens qu'a été dégagé le principe. Pour le démontrer, il con­vient d'insister dès maintenant sur ce point essen­tiel, à savoir que l'idée de souveraineté nationale, telle qu'elle a été introduite dans le droit public moderne de la France par les fondateurs mêmes de ce droit, n'avait qu'une portée négative (...) Si l'on veut saisir la véritable portée originaire du prin­cipe de la souveraineté nationale, il faut, avant tout, s'attacher aux circonstances historiques dans lesquelles ce principe a été proclamé en 1789 par l'Assemblée Nationale. On ne doit pas perdre de vue, en effet, que ce principe est spécial au droit public français.

Dans les derniers siècles de l'ancienne monar­chie, le roi, soutenu par des juristes dévoués à ses prétentions absolutistes, était parvenu à se poser comme le propriétaire personnel de la puissance étatique et même comme constituant à lui seul l'Etat. La Révolution est venue faire cesser cette confusion. L'oeuvre capitale de la Constituante, dans cet ordre d'idées, a consisté à séparer l'Etat et la personne royale ; et pour cela, la Constituante fait intervenir la Nation, qu'elle oppose au roi comme le véritable élément constitutif de l'Etat, et, par suite, comme seule légitime propriétaire de la puissance souveraine. En effet, l'idée essentielle dégagée par les hommes de 1789 et qui devient la base même de tout le nouveau droit public, a été que l'Etat n'est pas autre chose que la personnifi­cation de la nation. L'Etat , c'est la personne publi­que, en qui se résume la collectivité nationale. Donc, l'Etat ne peut s'absorber dans le roi, mais il s'identifie avec la nation. Et alors, la souveraineté étatique n'est plus dans le roi, elle a son siège dans la nation elle-même (...).

La souveraineté, ou puissance étatique, ce n'est pas autre chose, en effet, que le pouvoir social de la nation, un pouvoir qui est essentiellement na­tional en ce sens et par ce motif qu'il se fonde uniquement sur les exigences de l'intérêt de la nation et qu'il n'existe que dans cet intérêt natio­nal (...). Le vrai souverain, ce n'est plus le roi, ni aucun gouvernant quel qu'il soit, c'est exclusive­ment la nation. Par suite, la puissance exercée par les gouvernants n'est pas pour eux un attribut per­sonnel, elle ne leur appartient pas en propriété et ne devient pas pour eux un bénéfice propre : mais elle est un dépôt qu'ils détiennent pour la compte de la nation et qui ne doit servir, entre leurs mains, qu'au bien de la communauté nationale. Plus exactement, il faut dire que les gouvernants ne possèdent pas, à proprement parler, la souve­raineté elle-même ; ils n'en ont, ce qui est bien différent, que l'exercice ; ils ne sont investis que d'une simple compétence ; et en cela, ils ne sont que les administrateurs d'un bien étranger, d'un pouvoir qui est purement celui de la nation. Tel est le premier sens du principe de souveraineté nationale.

D'autre part, l'Assemblée Nationale formule et consacre cette idée, non moins importante, que, parmi les hommes composant la nation, il n'en est aucun qui puisse prétendre à l'exercice du pouvoir souverain, en se fondant sur un droit de comman­dement inné en sa personne, ou en alléguant, soit une supériorité personnelle, soit une vocation spé­ciale à cet exercice. En effet, la souveraineté, c'est proprement le droit qu'a la communauté nationale de faire respecter ses intérêts supérieurs au moyen de sa puissance supérieure : c'est par conséquent un droit qui n'appartient qu'à la nation. Si donc la souveraineté ne se conçoit comme légitime que dans la collectivité, il en résulte que les membres individuels du corps national sont, en ce qui con­cerne son exercice, égaux les uns aux autres, en ce sens qu'aucun d'eux ne saurait invoquer de droit originaire à prendre personnellement en main ce pouvoir de la nation (...).

Personne ne peut exercer la souveraineté na­tionale que du chef de la nation et en vertu d'une concession nationale. Cette concession, l'Assem­blée constituante admet qu'elle s'opère dans la Constitution. C'est par la Constitution que le pou­voir national se trouve transféré, quant à son exer­cice, dans les gouvernants, et il ne peut y avoir d'autres ayants-droit à cet exercice que ceux appe­lés par la Constitution (...).

Maintenant, en quel sens l'Assemblée Natio­nale de 1789 transférait-elle la souveraineté' à la Nation ? Voulait-elle dire par là que la souverai­neté siège originairement dans la personne indivi­duelle de tous les nationaux et de chacun d'eux ? Bien certainement non. Il suffit pour l'établir de rappeler, dans la Constitution de 1791, la disposi­tion de l'art. 1er du préambule du titre III : "la souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la Nation, au­cune section du peuple, aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice". Le principe posé par ce texte est des plus nets. La souveraineté y est dite nationale, en ce sens qu'elle réside indivisiblement dans la nation toute entière, et non point divisé­ment dans la personne, ni davantage dans aucun groupe de nationaux. La nation est donc souve­raine, en tant que collectivité unifiée, c'est-à-dire en tant qu'entité collective, qui, par là même qu'elle est le sujet de la puissance et des droits étatiques, doit être reconnue comme une personne juridique ayant une individualité et un pouvoir à la fois supérieurs aux nationaux et indépendants d'eux (...).

On pourra également consulter l'article de Éric Maulin : "Carré de Malberg et le droit constitutionnel de la Révolution française" : http://ahrf.revues.org/document583.html

  Extrait de Wikipédia
La souveraineté populaire est la possibilité de décision du peuple en dernier ressort. Rousseau (contrat social) développa les questions de souveraineté populaire, à travers une conception aboutie des droits naturels, qui incluent le droit de résistance à l'oppression. Chaque citoyen détient une part de souveraineté. Aussi,c'est une souveraineté dont le titulaire est le peuple ; considéré comme la totalité concrète des citoyens détenant chacun une fraction de cette souveraineté Dans la théorie classique, la souveraineté populaire se traduit par un régime de démocratie directe. Cela est confirmé par la théorie de l'État-puissance à la fin du XIXe siècle, développée par Maurice Hauriou, qui voit l'exercice de la démocratie directe dans l'élection du président de la République au suffrage universel.
La souveraineté populaire repose sur le Peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens actuels d'un pays (c'est donc un ensemble réel). Il peut s'exprimer directement. Si sa taille l'oblige a recourir à des mandataires, il ne leur donnera qu'un mandat impératif : il leur dira quoi voter.
Nul besoin d'une séparation des pouvoirs puisque le Peuple peut, directement, contrôler ses mandataires.
En revanche, ce que voteront ces mandataires, représentant obligatoirement la volonté du Peuple, sera intouchable et inviolable. Le Peuple ne pouvant prendre des lois contraires à ses intérêts, la Loi est forcément juste : c'est le principe de Primauté de la Loi et de Primauté de l'Assemblée constituée des mandataires du Peuple.
Ce type de souveraineté implique le suffrage universel, puisque nul ne peut être dépossédé de la part de souveraineté qui est conférée à chaque citoyen.
La souveraineté populaire s'oppose conceptuellement à la souveraineté nationale.
L'idée que ce qui est décidé par souveraineté populaire est forcément juste fut condamnée par Pie IX dans son encyclique Quanta Cura. La souveraineté populaire est régie par Rousseau (Contrat Social 1762). Elle signifie la souveraineté du peuple contrairement à la souveraineté nationale (de la nation). Tous les citoyens détiennent une partie de la souveraineté de leur pays.



Composition du jour :

Balade en forêt :


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Oh toi le grand chêne, remplis de sagesse



toi le grand maitre qui ne connais la paresse





Guide mes pas au milieu de tes frères


Sois-là pour moi, contre mes faux frères



Ces mêmes traîtres qui brûlent même les êtres


Ils seront chatiés et finiront par disparaitre


 

Les preuves scientifiques ne manquent pas

 
Seulement mes frères ne les voient pas


 

La prison des fous est devenu chimique


Et nous sommes arrivé à une ère atomique



Ô, Grand chêne, donne moi ta sagesse


Pardonne à mes frères qui te blessent !



Ô, Grands maîtres, partagez avec nous vos forces


Afin que d'autres s'éveillent et nous renforces !



Que faut-il faire grand sage, toi le Chêne ?


pour qu'enfin nous brisions tous nos chaines ?


Puis le grand chêne se leva dans un vent d'honneur


pour caresser l'espoir de nous sortir tous vainqueur :



"Celui ou celle qui ne comprend pas ton silence 


n'arrivera jamais à comprendre ta conscience" 



"Apprends leurs à n'écouter seulement que leurs coeurs


Et il sortiront rapidement de cette troublante torpeur "



Né aux aurores
LègueAuxSangTriste

Lien d'artiste : ici
Certains autres artistes ont trouvés  leurs solutions : la preuve !


petit clin d'œil ! à Roseline ;)


Encore une autre définition de la souveraineté Cliquez ICI






Regardez les listes du librepenseur nommé "LLP" sur le net ..
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Il n'y a que la merde qui a besoin de publicité





La souveraineté du peuple est inaliénable




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