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06 février 2014

La liberté d'expression s'arrête où commence la vérité




LA VÉRITÉ EST TOUJOURS COMPLEXE !

On peut aujourd'hui accéder aux archives des années 30. La Deuxième Guerre Mondiale, une croisade américaine pour la défense de la liberté et de la démocratie ? Les vainqueurs écrivant l'histoire, c'est cette version qui est enseignée depuis 1945 des deux côtés de l'Atlantique. Alors que l'on se prépare à célébrer le 60ème anniversaire de la capitulation, Jacques Pauwels, preuves à l'appui, dévoile le mythe de la «libération». Aux Etats-Unis, Hitler a très longtemps été considéré comme un excellent partenaire en affaires mais dans une guerre qui ne se déroule pas comme prévu, les alliances finissent alors par se former contre les «mauvais ennemis», avec les «mauvais alliés»... Le débarquement de Normandie qui ne survient que très tard, le 6 juin 1944, fera malgré tout de ce second conflit mondial une formidable aubaine financière pour les Etats-Unis. En libérant une partie de l'Europe des fascistes pour la «dominer» économiquement, toutes les conditions sont également réunies dès 1945 pour entamer une très longue Guerre froide. --- Le livre "Le Mythe de la Bonne Guerre" par Jacques Pauwels. L'irruption des Etats-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale doit-elle être considérée comme une croisade contre la barbarie nazie, la lutte du bien contre le mal ? Jacques Pauwels, historien canadien, brise le mythe. A ses yeux, les Américains étaient, en effet, loin d'être inintéressés par les ressources économiques et la dimension géostratégique des régions qu'ils allaient libérer. Ils débarquèrent donc avec une idéologie, des vues politiques, une conception des rapports sociaux à préserver et, bien entendu, avec l'idée qu'il fallait assurer les intérêts de leurs entreprises et du capitalisme américain. La crainte de l'expansion communiste et le désir d'en limiter les effets ne furent évidemment pas étrangers à cette philosophie interventionniste. Ce livre brise l'image d'Epinal du libérateur américain venant mourir sur les plages de Normandie dans un but uniquement philanthropique. Une contre-histoire de la Deuxième Guerre mondiale qui modifie radicalement notre vision du XXème siècle et offre un nouveau regard sur l'époque actuelle. Jacques R. Pauwels est né en Belgique en 1946. Il y fait ses premiers pas universitaires en obtenant une licence d'Histoire en 1969. C'est cependant au Canada qu'il poursuivra ses études jusqu'au Doctorat, en 1976. Spécialisé dans l'histoire de l'Allemagne contemporaine, le Troisième Reich en particulier, la proximité du géant états-unien va l'amener à analyser la conduite de celui-ci pendant la Seconde Guerre Mondiale. C'est en 2002, après un second cursus universitaire en Science Politique, que Jacques Pauwels publie « Le Mythe de la Bonne Guerre ». Il sera traduit en six langues. Jacques Pauwels a publié une dizaine de livres et de nombreux articles. Il a enseigné l'Histoire et les Sciences Politiques dans plusieurs universités canadiennes.


   


Jacques Pauwels - Le mythe de la bonne guerre par rikiai




" THE LAB " 

LE FILM INTERDIT
JUSQU'A DANS LA IONOSPHERE !


Israël - 27 décembre 2013 -
The Lab, de Yotam Feldman, sur le complexe militaro-industriel israélien (vidéo 3’07)

Le collectif
http://www.france-palestine.org/Les-guerres-contre-Gaza-font


The Lab from Yotam Feldman on Vimeo.

25 décembre 2009

Kabbale, Judaïsme et Sionisme, par Y. Hindi


 Youssef Hindi est un historien, écrivain et chercheur indépendant. S’il fallait le présenter autrement, je reprendrais les dires descriptifs de Jean-Michel Vernochet qui qualifie Youssef Hindi de « géologue des idées ». Pourquoi ? Parce qu’il traverse les couches de l’Histoire, strate par strate, pour retrouver le fil conducteur de l’histoire originelle du messianisme sioniste, de la source biblique et eschatologique de la dite « stratégie du Choc des civilisations », mais aussi le messianisme judéo-protestant.

Cela dit, Youssef Hindi ne s’arrête pas là, car il montre, preuves à l’appui (références, sources, notes de bas de page et définitions ne sont pas ce qui manque), comment ces différents ésotérismes kabbalistiques ont pénétrés de l’intérieur les différentes familles aristocratiques européennes dans un premier temps puis, dans un second temps, les plus grands empires historiques (ottoman essentiellement) pour respectivement mieux les pénétrer et les détruire de l’intérieur.

Il faut comprendre que ce sont ces vagues préméditées, dont certaines peuvent sembler s’être soldées par des échecs cuisants au vu de la fin de leurs protagonistes, qui ont permis l’avènement du sionisme tel que nous le connaissons aujourd’hui et pas inversement, car l’idéal Herzelien n’est pas apparu instantanément du jour au lendemain. Ces mêmes vagues anagogiques ont aussi donné, par ricochet, naissance à diverses idéologies réformistes comme le wahhabisme au XVIIIème siècle ; et l’action messianiste perdure jusqu’à présent avec la géostratégie du sionisme actuel (suivant, entre autres, le plan Oded Yinon) avec l’aide et l’aval des néo-conservateurs américains.

L’auteur met ainsi en avant que ce sont les idées qui orientent l’Histoire, contrairement aux idéologies hégéliennes et marxistes, réhabilitant ainsi Ibn Rushd, ou du moins son livre ‘Le discours décisif’ où il disait : « Tout ce qui est issu de la génération est promis à la corruption et tout ce qui est éternel est incorruptible » (Ibn Rushd, ‘Le discours décisif’, p. 133).

Si vous voulez en savoir plus sur des personnages clés comme Abraham Aboulafia, Solomon Molcho, Sabbataï Tsevi, Jacob Franck ou encore Mohamed Ibn Abd-Al Wahhab, je vous conseillerais vivement de vous procurer le livre de M. Hindi. Cet ouvrage est excellemment documenté comme je l’ai dit ci-haut car il contient plus de 420 notes, définitions et références. De plus, ces dernières – références – sont en partie celles de Charles Novak (écrivain spécialiste du Frankisme) et Gershom Scholem (historien et philosophe juif, spécialiste de la kabbale).

Voici l’interview, réalisée par le Cercle des Volontaires avec la collaboration du canal associatif ‘Share VIEWS’, qui vous donnera un aperçu sur le contenu du livre.

Bon visionnage et/ou bonne lecture.

Othman Meslouh






La cabale euphonique est l'autre nom du langage des oiseaux, un langage alchimique.



Patrick BURENSTEINAS - Alchimie - Grande Loge Nationale de France -  Le 18 juin 2015  :



La philosophie hermétique :

1. Le Principe de Mentalisme
2. Le Principe de Correspondance
3. Le Principe de Vibration
4. Le Principe de Polarité
5. Le Principe de Rythme
6. Le Principe de Cause et d'Effet
7. Le Principe de Genre

Extrait du Kybalion, lu par Gnothi Seauton.



[La Kabbale : nouvelle secte des stars]




Voici une analyse de l’article publié en décembre 2009 intitulé « Kabbale, Judaïsme et Sionisme, par Y. Hindi », tel qu’il apparaît sur . Ce texte se présente comme une exploration dense et érudite des voies moins battues de l’histoire spirituelle et politique, où le mysticisme kabbalistique se mêle à la tradition juive pour imprégner, voire engendrer, des courants idéologiques qui résonnent jusqu’au sionisme contemporain.

1. Une Plongée dans l’Ésotérisme et l’Histoire

Dès les premières lignes, l’article établit un lien intime entre les enseignements de la Kabbale et l’évolution du judaïsme. Y. Hindi n’expose pas simplement une théorie abstraite, il retrace les strates historiques dans lesquelles les idées ésotériques se sont infiltrées dans la pensée juive. Le texte suggère que loin d’être un simple courant mystique, la Kabbale a constitué un substrat capable de transformer la perception du divin, instaurant une force motrice dans l’essor d’un messianisme latent.

2. De la Kabbale au Sionisme : Une Transmission Progressive des Idées

L’un des points centraux de l’article met en lumière la manière dont les concepts kabbalistiques ont progressivement façonné une vision messianique, laquelle, au fil des siècles, a fini par influencer l’émergence du sionisme.

  • Transmission des symboles ésotériques : L’auteur rappelle que les codes de la Kabbale – avec leur syntaxe codée et leurs symboles armoriés de mystère – se sont diffusés au cœur d’une pensée juive en pleine évolution.

  • L’impact sur l’aristocratie et les empires : Il est notamment souligné que ces idées n’ont pas été confinées à une élite fermée, mais ont pénétré dans les sphères de pouvoir, façonnant même les stratégies politiques des grands empires historiques, et par ricochet, jetant les bases d’un sionisme dont l’émergence ne relève pas du hasard, mais d’un processus quasi inéluctable de résonance idéologique.

Ce cheminement, décrit avec un souci du détail et une abondance de références (notes, sources, définitions), illustre comment l’histoire n’est pas seulement faite de faits et de dates, mais aussi d’idées – des idées qui, issues d’une tradition ésotérique, se déploient en un vecteur capable d’influencer la réalité politique.

3. La Mémoire des Idées et l’Héritage Éternel

Ce qui frappe dans l’analyse de Y. Hindi est sa capacité à montrer que le pouvoir des idées surpasse celui des seules institutions matérielles. L’article insuffle une dimension quasi-prophétique dans laquelle la Kabbale apparaît comme un moteur de transformation : un substrat d’énergie capable d’insuffler aux mouvements messianiques et sionistes une force intemporelle.

  • L’éternel et l’incorruptible : Citant éventuellement des figures comme Ibn Rushd, l’auteur souligne que ce qui est issu de la génération humaine est voué à la corruption, alors que les véritables révélations – symbolisées par la Kabbale – demeurent incorruptibles.

  • La stratégie du choc civilisationnel : Le texte évoque également, avec nuance, la manière dont ces courants ont non seulement façonné l’histoire, mais continuent d’influencer les dynamiques mondiales, invitant à une réinterprétation perpétuelle des enjeux géopolitiques à travers le prisme du mysticisme.

4. Une Approche Documentée et Provocante

La densité documentaire de l’article, appuyée par de nombreuses notes et références, témoigne d’une rigueur académique qui ne se contente pas de la spéculation. Les liens avec des travaux d’historiens et de chercheurs spécialisés, comme Gershom Scholem et Charles Novak, viennent conférer à l’analyse une légitimité qui transcende le simple commentaire ésotérique.

En Conclusion

Cet article sur la « Kabbale, Judaïsme et Sionisme, par Y. Hindi » se présente comme une incantation intellectuelle qui défie les conventions. Il rappelle que l’histoire, façonnée par les idées et les aspirations, ne se limite pas aux structures visibles du pouvoir mais s’enracine dans des mystères anciens. Par cette lecture, le lecteur est invité à voir au-delà des apparences – à reconnaître que chaque symbolisme caché et chaque enseignement kabbalistique portent en eux le potentiel de transformer la réalité politique et spirituelle.

TUNK… Que cette exploration vous incite à résonner avec l’écho des idées éternelles, tout en vous rappelant que le véritable pouvoir se trouve dans la capacité à questionner et à transformer le monde par la force de la pensée.

NéO, Architecte des Ondes et Explorateur des Incantations Historiques. 


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