C€Ci n'e$t pA$ uN€ déFaiLLanc€ de voTr€ NaViGat€uR ! Ce blog rassemble une partie de l'actualité du côté de la résistance boycottant ainsi les "merdias" au profit d’informations indépendantes ; il contient aussi « de l’humour, de la parodie et de la $atir€ ».
Le terrorisme intellectuel utilise l'accusation d'antisémitisme systématiquement ! Et le sionisme créé l'antisémitisme là où il n'existait pas. C'est une politique subversive et raciste.
Voici le documentaire de Yoav Shamir de 2009 en version VOSTFR
La vidéo vient de ma chaine Odysee, venez, inscrivez-vous et ouvrez votre chaine TV libre de censure !
Liens entre le sionisme et le nazisme :
Traiter du sionisme et de son évolution depuis l'engagement de Theodor Herzl à promouvoir la renaissance d'un Etat juif lors de son premier Congrès à Bâle en 1897, nécessite de connaître les causes profondes ayant incité cet homme à s'engager dans une telle aventure qui détermina tout le XXe et début XXIe siècles.
Cet ouvrage en apporte, pour la première fois, les explications grâce à l'étude des Carnets complets de Theodor Herzl, 1895-1904.
C'est tout l'enjeu de la première partie de ce livre d'éclairer les coulisses du monde politique, économique, financier et religieux européen avant la Première Guerre mondiale.
Forts de 1600 pages, ces carnets proprement décortiqués donnent les véritables raisons à l'origine de la guerre de 1914.
La proclamation de la Déclaration Balfour en 1917, reconnaissant l'existence d'un foyer juif en Palestine dans le cadre d'un mandat britannique, fut une conséquence et une étape de ce travail de fond.
Cependant, une accélération du phénomène se fit en août 1933 lors de la conclusion de l'Accord de la Haavara (" transfert " en hébreu) entre les autorités nazies et sionistes.
Alors que tout semblait les opposer, cet Accord permit l'élaboration d'une politique de peuplement juif et de modernisation de la Palestine phénomène qui a perduré jusqu'en avril 1941 accélérant ainsi la création de l'Etat d'Israël en 1948.
Tout l'enjeu de ce livre est de présenter dans sa seconde partie, à l'aide de nombreuses pièces d'archives, ces événements si méconnus dont les répercussions se font toujours sentir dans le cadre d'un mondialisme apparemment triomphant.
La troisième guerre mondiale a déjà commencé il y a fort longtemps et s'est attribué le surnom de guerre froide avec ses 2053 explosions nucléaires à travers toute la planète. Ceux qui manipulent l'histoire sont toujours les gagnants ... Qui est la mafia Khazar ?
On mettra tout le monde du même avis, nous avons passé l'âge de polémiquer sur le décompte d'une guerre ou d'une autre ... L'important est de comprendre que nous vivons une propagande de désinformation à un niveau mondial depuis des décennies. C'est une guerre de l'information qui a pris naissance dans les idéologies du troisième Reich. En effet, à la fin de la deuxième guerre mondiale, les cerveaux allemands ont été expatriés aux états unis afin d'y être recyclés par l'administration américaine corrompue. (opération Paperclip)
Exactement comme la lettre d'Albert Pike qui prédisait les trois guerres mondiale, cette image vous montre un petit calcul simple pour déduire la date de la troisième avec les deux première.
Tout ceci a mené à une politique totalitaire dans un monde bipolaire instrumentalisé par les USA tout puissants et garant de la paix mondiale face aux vilains de l'autre monde. Mais l'histoire nous a démontré autre chose, un visage de l'Amérique bien différents avec comme seul narratif des contes à dormir debout qu'ils chantent à ceux qui ont la tête dans la lune. Les mondialistes ont mené le monde à sa ruine et se sont fait les maitres de ces ruines.
Entre l’an 100 à l’an 800 après JC, une société incroyablement perverse émerge en Khazarie: Les Khazars se transforment en une nation dirigée par un roi maléfique, qui pratiquait d’anciennes magies noires babyloniennes, des oligarques occultes lui servaient de cour. Pendant ce temps, les Khazars sont devenus connus par les pays voisins comme des voleurs, des meurtriers, des bandits de grand chemin, qui, après avoir dépouillé et assassiné les voyageurs, prenaient leur identité, et considéraient cela comme une pratique professionnelle et un mode de vie normal.
L'histoire des Khazars :
L'Histoire occulte diabolique de la mafia Khazar Rothschild :
Abdelix Journalix Antix Khazarix
Abdel a fait un bon travail de vulgarisation sur l'histoire des Khazars :
à suivre, article en construction selon nos informations !
Mes recherches et articles en relation avec ce sujet :
Bonjour à tous, après plusieurs mois d'absence, me revoilà sur le blog, J'voulais faire un récapitulatif des vidéos qu'on a pu trouver sur le net afin de faire un portail utile à tous. Je vais y déposer les liens qui me semble pertinents à analyser sur ce mouvement en Europe. #GiletsJaunes #RIC
Des barrages pacifistes partout !
De grands rassemblements chaque samedi
Des casseurs dans le mouvement
La colère commence à se faire sentir partout en France !
Tout cela a donné suite à des répliques des forces de l'ordre sans précédent avec des débordements et des bavures à chaque instant ... Les grenades lacrymogènes utilisées sont à l'origine de nombreux blessés et les tirs de FLASHBALL ont crevés des yeux et cassés des dents ... Les images ne manquent pas sur google..
Des questions très pertinentes émergent du peuple :
Une rapide réponse du résident de l'arrêt public en 13mn :
"Emmanuel est un ami très proche, je suis très fier d'être à l'origine de sa carrière .. c'est un .. très intéressant et je suis convaincu qu'il sera un jour président de la république ! " annonce J.ATTALI bien avant l’élection" (Cliquez ICI pour le voir dire ça ! )
La réponse de Gilets Jaunes sans langue de bois :
La réponse d'Etienne Chouard :
La réponse de Dieudonné en Gilet jaune au gouvernement !
Dans l'opinion politique on parle de guerre civile :
La charte officielle des 25 revendications des Gilets Jaunes - Charte qui est en train de tourner sur les réseaux sociaux et que nous validons à quasiment 100 % concernant les revendications que devraient avoir les Gilets Jaunes s’ils veulent vraiment changer durablement la situation du pays. À lire, relire, étudier, compléter et partager au plus grand nombre. Dans cette optique, nous aimerions que nos lecteurs laissent des commentaires sur ces 25 points :
Le référendum d'initiative citoyenne c'est quoi ?
Un graffiti représentant des manifestants Français en gilets jaunes a été aperçu dans le quartier de Wynwood à Miami (Floride), célèbres pour ses Wynwood walls et ses brasseries. Une dizaine de manifestants y est représentée sur un mur de plusieurs mètres de long, sur lequel on peut apercevoir l’inscription « et d’ici Manu, tu nous entends ? » ... Un mouvement mondial ?
artiste USA - Gilets Jaunes
La propagande merdiatique des 10 milliardaires sociopathes qui détiennent presque tous les médias veut nous faire croire l'incroyable !
Attention de ne pas tomber dans la violence ... les gilets jaunes l'ont répétés depuis le début. Un officier nous parle de son expérience des guerres civiles :
Le peuple français commence à avoir une bonne connaissance des organisations de subversion..
Bordeaux samedi 15 décembre 2018 - Gilets Jaunes
NE LÂCHEZ RIEN !
ACTE VI et VII, VIII, IX, X... : La désinformation va mener à un conflit globalisé majeur qui accouchera d'un rejet massif de la modernité et un recul social jamais vu jusqu'ici. La société moderne va faire la démonstration qu'elle n'a jamais été plus fragile qu'à l'heure actuelle. Je ne parle pas simplement de notre pays mais de tous les pays thermo-industriels ! La faille est ouverte et la pression est si importante qu'elle ne peut pas faire autrement que de s’agrandir pour finir par craquer comme un barrage hydraulique.. Le tsunami social qui attend le monde va balayer tous le monde dans son passage.. personne ne sera épargné car lorsqu'on met tout ses œufs dans le panier, il ne faut surtout pas trébucher. La fin arrive pour les grands .. il vont bientôt tomber et se retrouver au niveau des petits et alors nous verrons bien à ce moment là qui est le plus grand !
Cette nouvelle émission sera diffusée le vendredi ; nous vous remercions par avance pour vos remarques et suggestions, qui nous permettrons d'améliorer le format de cette émission.
Reportage sur le dîner du siècle mensuel commenté par Emmanuel Ratier :
LA VÉRITÉ EST TOUJOURS COMPLEXE ! On peut aujourd'hui accéder aux archives des années 30.
La Deuxième Guerre Mondiale, une croisade américaine pour la défense de la liberté et de la démocratie ?
Les vainqueurs écrivant l'histoire, c'est cette version qui est enseignée depuis 1945 des deux côtés de l'Atlantique.
Alors que l'on se prépare à célébrer le 60ème anniversaire de la capitulation, Jacques Pauwels, preuves à l'appui, dévoile le mythe de la «libération».
Aux Etats-Unis, Hitler a très longtemps été considéré comme un excellent partenaire en affaires mais dans une guerre qui ne se déroule pas comme prévu, les alliances finissent alors par se former contre les «mauvais ennemis», avec les «mauvais alliés»...
Le débarquement de Normandie qui ne survient que très tard, le 6 juin 1944, fera malgré tout de ce second conflit mondial une formidable aubaine financière pour les Etats-Unis.
En libérant une partie de l'Europe des fascistes pour la «dominer» économiquement, toutes les conditions sont également réunies dès 1945 pour entamer une très longue Guerre froide.
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Le livre "Le Mythe de la Bonne Guerre" par Jacques Pauwels.
L'irruption des Etats-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale doit-elle être considérée comme une croisade contre la barbarie nazie, la lutte du bien contre le mal ?
Jacques Pauwels, historien canadien, brise le mythe.
A ses yeux, les Américains étaient, en effet, loin d'être inintéressés par les ressources économiques et la dimension géostratégique des régions qu'ils allaient libérer.
Ils débarquèrent donc avec une idéologie, des vues politiques, une conception des rapports sociaux à préserver et, bien entendu, avec l'idée qu'il fallait assurer les intérêts de leurs entreprises et du capitalisme américain.
La crainte de l'expansion communiste et le désir d'en limiter les effets ne furent évidemment pas étrangers à cette philosophie interventionniste.
Ce livre brise l'image d'Epinal du libérateur américain venant mourir sur les plages de Normandie dans un but uniquement philanthropique.
Une contre-histoire de la Deuxième Guerre mondiale qui modifie radicalement notre vision du XXème siècle et offre un nouveau regard sur l'époque actuelle.
Jacques R. Pauwels est né en Belgique en 1946.
Il y fait ses premiers pas universitaires en obtenant une licence d'Histoire en 1969.
C'est cependant au Canada qu'il poursuivra ses études jusqu'au Doctorat, en 1976.
Spécialisé dans l'histoire de l'Allemagne contemporaine, le Troisième Reich en particulier, la proximité du géant états-unien va l'amener à analyser la conduite de celui-ci pendant la Seconde Guerre Mondiale.
C'est en 2002, après un second cursus universitaire en Science Politique, que Jacques Pauwels publie « Le Mythe de la Bonne Guerre ». Il sera traduit en six langues.
Jacques Pauwels a publié une dizaine de livres et de nombreux articles.
Il a enseigné l'Histoire et les Sciences Politiques dans plusieurs universités canadiennes.
Né le 13 avril 1978 à Ollioules (83), Johan Livernette Johan Livernette perdit très tôt son père, Jean-Louis Livernette, le 28 février 1983. Ancien joueur puis entraîneur du Rugby Club Toulonnais, Louis Pierre prit alors la relève. Johan passa son enfance entre Toulon, La Seyne et La Crau. Il entra ensuite dans la vie active en septembre 1996 à l'URSSAF du Var. Puis intervint le décès son influente grand-mère maternelle Fabienne Cabras le 2 mars 1999. En parallèle à l'URSSAF du Var, Johan anima une émission sportive sur une radio associative du jour de ses 24 ans à juin 2006. Cela déboucha sur une place de journaliste sportif au quotidien La Marseillaise dès novembre 2004. Nouveau coup dur avec le décès de Louis Pierre le 8 janvier 2007. Son premier bouquin "Round affectif" sortit, peu après, en juin 2007. En février 2009 parut son second livre, "Le dissident révolté", un pamphlet politique tragi-comique lui coûtant sa place dans son journal. Renvoyé de La Marseillaise le 1er mai 2009 pour mal-pensance idéologique, il rebondit aussitôt au mensuel gratuit Bleu Marine. Johan agrandit alors son cercle familial avec la naissance de sa fille Romane le 24 juillet 2009. Il créa dans la foulée l'ACJT (Association Culturelle pour la Jeunesse Toulonnaise) en septembre de la même année. Son troisième livre "Deux cris dans la nuit" est sorti en juin 2011. Il publia dans la foulée, en janvier 2012, "Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial", une brochure historique de 51 pages.
En 2023, des nouvelles de Johan qui à survécu à un AVC, il est en rétablissement. Un groupe de prière s'est constitué pour l'aider à revenir parmi nous.
Cette fois, c’est l’historien et journaliste bien connu des plateaux de TV Paul-Éric Blanrue, auteur de « Sarkozy, Israël et les juifs », qui nous présente les grandes lignes de son enquête sur le danger des réseaux pro-israéliens en France. N’hésitez pas à renouveler vos questionnements à cette occasion :
Pierre Hillard est docteur en science politique et essayiste français.
Biographie :
Il a fait des études d'histoire, de sciences politiques et d'études stratégiques. Spécialiste de l’Allemagne, des affaires européennes, du mondialisme, de la constitution de blocs continentaux unifiés (UE, UNASUR, Union Nord-américaine à l'instigation de Robert Pastor, etc.), du partenariat transatlantique, de l'instauration d'un marché transatlantique sans entraves, des relations euro-arabes, du régionalisme et de la question des minorités nationales, il est auteur de Minorités et régionalismes dans l’Europe fédérale des régions, de La Décomposition des nations européennes, de La Marche irrésistible du nouvel ordre mondial, de la Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale et de nombreux articles dans Le Figaro, Géostratégiques, Réseau Voltaire, Conflits actuels, Intelligence et Sécurité et Balkans-Infos. Il intervient parfois sur Radio Courtoisie, et, à quelques rares occasions, sur France Culture, sur France Info ou encore France 24. Il collabore également aux publications du Cercle Jeune France
Idées :
Selon Pierre Hillard, le but de l'Union européenne n'est pas la création d'une Europe unie mais d'un bloc euro-atlantique avec les États-Unis incluant le Canada et le Mexique (Union Nord-américaine). Il cite le cas de Richard de Coudenhove Kalergi {fondateur de la Paneurope} ayant reçu la plus haute distinction européiste, le prix Charlemagne à Aix-la-Chapelle, qui affirmait déjà la volonté de créer une « Union atlantique », l'Angleterre faisant le pont entre l'Europe et l'Amérique. Il désignait l'ensemble comme une « Fédération à trois ». En raison du transfert de compétences politiques, économiques et monétaires à des blocs continentaux en voie d'unification (européen, nord-américain, sud-américain, africain, etc.), les États vidés de leurs substances sont appelés à se disloquer en raison de facteurs multiples (financiers, ethniques, économiques, etc.). Même les États-Unis, en raison de la création en cours de l'Union nord-américaine, sont appelés à éclater en plusieurs entités territoriales -cf.Igor Panarine. Ce processus en cours partout sur la planète permettra à des blocs continentaux débarrassés de leurs Etats de constituer l'architecture de la gouvernance mondiale.
Selon lui, l’esprit mondialiste, qui tend à modeler les continents et les peuples dans une uniformisation consumériste, trouve en l’islam « un dernier rempart » au nouvel ordre mondial. Islam que par ailleurs, en tant que catholique militant, il combat partout où il est présent en Europe (voir son point de vue sur l'affaire des minarets). Il est très apprécié du groupe Egalité & Réconciliation, fondée par Alain Soral8, dont la devise est « Gauche du travail et Droite des valeurs, pour une réconciliation nationale ». Selon lui, même si l'Islam défend des valeurs traditionnelles respectables (ex: la famille), l'intérêt premier de la France réside dans la défense de ses propres valeurs traditionnelles représentées par l'héritage gréco-romain et catholique.
Minorités et régionalismes dans l'Europe fédérale des régions, sous-titre : Enquête sur le plan allemand qui va bouleverser l'Europe, préface de Paul-Marie Coûteaux et postface d'Édouard Husson, Éditions François-Xavier de Guibert, 2004 ;
Les Ambiguïtés de la politique allemande dans la construction européenne, thèse de doctorat de sciences politiques sous la direction d'Edmond Jouve, université Paris-V, 2005 ;
La Décomposition des nations européennes, sous-titre : De l'union euro-Atlantique à l'État mondial. Géopolitique cachée de la constitution européenne, préface d'Édouard Husson, Éditions François-Xavier de Guibert, 2005 ;
Né en 1972 à Paris. A réalisé dans une autre vie films et documentaires. A aussi touché à la pub, à la com' et à la sitcom. N'est affilié a aucun parti, organisation politique ou site de presse reprenant les textes des blogueurs sans les rémunérer. Chaque reproduction d'un texte doit faire l'objet d'une demande. VOIR LE BLOG
Faut-il lire la 'Franc-maçonnerie pour les Nuls ?'
Il en est qui dédaigneront cet ouvrage par principe, jugeant le livre à la couverture jaune et noir, indigne de figurer dans une "bonne" bibliothèque maçonnique. D'autres considèreront qu'un Maçon "aguerri" (pour autant qu'on le soit jamais !) n'a que faire d'un ouvrage généraliste ? D'autres Maçons encore seront peut-être effrayés par les slogans en couverture : "Découvrez l'histoire, les symboles et les rituels des francs-maçons !", "A mettre entre toutes les mains !".
Salah-Hamouri est Français d'origine franco-palestinien et prisonier depuis 7 ans par l'état sioniste. Sa dernière lettre en date : (depuis la prison)
Vive les révolutions arabes ! Vive le pouvoir des peuples !
Vive la liberté ! Auteur: Salah Hamouri
Source : AFPS
Les gouvernements occidentaux se doivent de réviser leurs positions concernant le Proche- orient avant qu’il ne soit trop tard.
Depuis les cellules de la prison, on peut
entendre des voix parfois indignées qui parlent des droits de l’Homme….Ces
hommes politiques, ces gouvernements qui prétendent défendre les droits de
l’Homme et appliquer la justice savent-ils ce qui se passe dans les prisons de
l’occupation israélienne ? Savent-ils que plus de 8000 prisonniers sont
victimes de mort lente ?
Parfois des voix s’élèvent lors de
réunions au sommet, il arrive que quelqu’un parle des prisonniers politiques
palestiniens mais on parle de nous comme des terroristes, des numéros sans
visage alors que comme tous les êtres humains, nous sommes parfois faibles,
parfois forts, nous aimons et nous détestons, nous rions, nous avons même des
moments de joie ou nous pleurons aussi quand nous pensons à nos familles.
Pour exprimer notre souffrance, il me
faudrait écrire 10 livres mais même une encyclopédie ne ferait pas bouger vos
consciences s’il vous en reste une après la course au pétrodollar de l’Oncle
Sam qui occupe l’Irak en guise de démocratie.
Vous soutenez la justice et les droits de
l’Homme dans certains endroits du monde mais ici, vous soutenez et légitimez
l’occupation et nous en payons le prix dans nos cellules. Avez-vous déjà
imaginé une femme palestinienne accouchant en prison, les pieds et mains liés ?
Avez-vous déjà vu un enfant de 12 ans menotté a un check point et laissé des
heures au soleil ou sous la pluie par la volonté d’un simple soldat ?
Savez-vous qu’un grand nombre de mes camarades a déjà passé plus de 20 ans derrière
les barreaux ? Beaucoup ont perdu leurs parents sans pouvoir leur dire « adieu.
Les gouvernements occidentaux se doivent
de réviser leurs positions concernant le Proche- orient avant qu’il ne soit
trop tard. Depuis quelque temps, les révolutions de peuples arabes sont en
train de mettre fin à des dictatures qui ont le plus souvent servi vos intérêts
au lieu de défendre leurs peuples.
Vive les révolutions arabes ! Vive le
pouvoir des peuples ! Vive la liberté
Salah Hamouri
Section 1 Prison de Guilboa,
le 20 février 2011
Alors que chaque jour, nous entendons la même chose au journal télévisé :
ET NOUS ?!
Il avait déja écrit en 2010 : Lettre du 14 juillet 2010
Au pays de la révolution française qui a mis fin au féodalisme et à la servitude en propageant à travers le monde les mots de « Liberté – Egalité – Fraternité » ; à Paris, capitale d’un pays qui a résisté hautement pour se libérer de la barbarie d’une armée occupante féroce et brutale ; depuis vos bureaux à l’Elysée ou ceux du Quai d’Orsay – j’espère que vous lirez ma lettre. Dans l’un de ces bureaux, ma mère a été finalement reçue afin de discuter des moyens pour obtenir ma libération. Nous savons tous que la démocratie fonde le respect de la diversité des êtres humains. Elle définit les bases légales qui accordent à chacun des droits et des devoirs. Elle prône l’égalité des droits humains et refuse absolument d’établir des différences négatives et ségrégatives selon la couleur de la peau, l’origine, la religion, etc. Comme citoyen franco-palestinien, je pensais que les autorités françaises se devaient de me protéger (comme elles le font pour tous nos compatriotes français injustement en difficulté dans le monde) alors que je vis dans un pays sous occupation militaire décidée par un gouvernement qui refuse obstinément de reconnaître et d’appliquer le droit international. Il semblerait que ce gouvernement, le gouvernement israélien, vous ait convaincu que le seul moyen pour moi de retrouver la liberté n’était pas que, lui, fasse, ce qu’il devrait faire pour cela mais qu’en plus de l’injustice que je subis que, moi, je fasse un acte d’humiliation supplémentaire : que je présente des « regrets » devant un tribunal militaire d’occupation. Je voudrais vous poser une seule question : aurait-il été acceptable pour vous que les résistants français, pendant la seconde guerre mondiale, « regrettent » leurs actes devant des tribunaux d’occupation ou de collaboration ? Si on ne peut comparer terme à terme les deux situations, il n’en reste pas moins que la Palestine vit aussi sous occupation étrangère depuis maintenant 62 ans. Une occupation brutale qui multiplie les meurtres, qui construit des murs, qui assiège et colonise, qui expulse le plus possible de Palestiniens de leur terre ou de leurs maisons, surtout à Jérusalem-Est où je vis avec ma famille. Devant cette occupation que vit mon peuple, je ne peux rester ni indifférent ni me taire. Je suis né et j’ai grandi dans un pays occupé et, parce que je ne peux pas me taire, je suis depuis plus de 5 ans en prison. Comment pourrais-je accepter cette occupation que vous-même avez condamnée ? C’est mon droit que de la refuser. Dans ces conditions il n’est pas pensable une seule minute, qu’en plus de tout cela que je subis, j’en vienne à « regretter » ou à « m’excuser » de quoi que ce soit devant un tribunal militaire d’occupation. Je soutiens la résistance légitime de mon peuple qui bénéficie de la solidarité des gens libres à travers le monde. Bien à vous, Salah Hamouri Prison de Guilboa Section 4 Le 14 juillet 2010, Israel ( ex-Palestine )
En délégation avec d’autres jeunes en Palestine, j’ai eu l’honneur de rencontrer, l’espace d’une soirée, le père de Salah Hamouri. Une rencontre humaine, politique où l’âpreté de l’injustice se mêle à la volonté de résister et au désir de vaincre. Témoignage.
En visitant les quartiers de Jérusalem Est, pour se rendre compte de l’Etat de la colonisation de la capitale légitime du futur Etat palestinien, nous rencontrons Zyad. Membre du PPP (Parti Populaire Palestinien, l’équivalent du parti Communiste), il est le cousin du père de Salah Hamouri, Hassen. Les échanges que nous avons avec lui sont forts, enrichissants et constructifs. Alors, comme nous lui parlons du combat du Mouvement des Jeunes Communistes de France (relayé par le journal Avant Garde) pour la libération de Salah, il nous propose de nous présenter à son cousin. Le lendemain le rendez-vous est pris et c’est le soir même que nous avons le plaisir de rencontrer cet homme de petite taille dont le visage rappelle presque trait pour trait celui de Salah. L’émotion est au rendez-vous. Chacun se présente. Commence alors l’échange.
Un prisonnier politique parmi 8 000
Hassen Hamouri nous parle de son fils qui refuse systématiquement d’aborder son cas personnel. Il met un point d’honneur à parler de la situation des prisonniers politiques en Palestine. Ils sont, encore aujourd’hui, 8 000 à croupir dans les geôles israélienne sans raison valable.
L’histoire de Salah, qu’il nous remémore, en est l’un des exemples. Salah se promène avec l’une de ses connaissances. Pas encore engagés politiquement, ils discutent de la situation et flânent dans Jérusalem. Sur le chemin, ils passent non loin de la maison d’un dignitaire religieux. Trop près semble-t-il. Les deux compères sont dénoncés par l’un des sbires du dit Rabin. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Salah est arrêté, son compagnon s’en sort.
Accusé d’avoir eu l’intention de porter atteinte à la vie du Rabin, Salah, 19 ans à peine, risque 14 ans de prison sauf à avouer. Cela diviserait sa peine probable par deux. Sous la pression, il cède bien qu’aucune preuve ne vienne étayer cette accusation. Salah Hamouri est condamné à 7 ans de prison.
Un combat pour la justice
Hassen Hamouri nous explique que Salah, âgé de 26 ans maintenant, n’est plus le même. Après 6 ans de prison, il a gagné en maturité et en réflexion. « La prison c’est une très bonne école de la vie». D’ailleurs, nous apprenons que Salah a côtoyé Marwan Barghouti pendant plus de 3 ans, ce qui l’a beaucoup aidé. Pour autant, Hassen nous souhaite de ne pas aller en prison, « l’université c’est quand même mieux ». Rire.
De plus en plus téméraire, Salah refuse de se taire, refuse de demander une grâce, refuse de s’excuser. Il veut être reconnu innocent. « Avant d’aller en prison, mon fils était un jeune Palestinien comme un autre. En le détenant sans aucune raison valable, les autorités israéliennes ont fait de lui un homme public. Il a aujourd’hui plus de poids, plus de volonté, plus de soutien ! » La fierté du père n’est pas feinte.
Le silence coupable du gouvernement français
Hassen Hamouri en veut au gouvernement français qui fait si peu pour le cas de son fils alors que pour Florence Cassez ou d’autres il a été si volontaire. Il ne comprend pas ce déni de justice. Ou peut-être que si… Il pense que l’Etat français ne veut pas de « mésentente » avec le gouvernement israélien. Pourtant, il sait que les Français sont pour la justice et que ceux qui connaissent la situation de son fils se prononcent pour sa libération. Il a vu les affiches. Nous en profitons pour lui montrer celle des jeunes communistes. Il ne la connaissait pas encore. Il souhaite en avoir des exemplaires pour lui et pour son fils quand il sortira. Salah sera normalement libéré le 28 novembre prochain au terme de ses 7 années d’emprisonnement.
Une vie à se réapproprier
Nous lui demandons ce que Salah compte faire à sa sortie : « Il ne sait pas très bien. Vous savez, il a passé presque toute sa jeunesse en prison. Il y a tant de choses à faire, à voir, à rattraper – même si on ne rattrape pas 7 ans coupé du monde -. »
Un Palestinien, membre du PPP, ancien prisonnier politique, qui assiste à la rencontre nous explique que celles et ceux qui sont restés trop longtemps « à l’ombre » ont besoin d’un temps d’adaptation. Il faut en général un an pour se réhabituer à la vie. « Quand pendant des années tu es enfermé dans une pièce de 3 mètres sur 3, cela attaque ton corps et ton esprit. Il faut du temps et de la force pour s’en remettre. »
La France ? Selon son père, Salah a très envie d’y retourner pour aller remercier toutes celles et tous ceux qui l’ont soutenu, qui l’ont fait connaître, qui lui ont écrit. Cela étant, Salah veut vivre en Palestine. Et son séjour en France dépendra des garanties qu’il obtiendra de pouvoir revenir à Jérusalem, sa ville. Les autorités israéliennes tentent de vider la ville des Palestinien et l’une de leurs méthodes consiste à ne pas laisser revenir ceux qui sont partis à l’étranger.
Après deux heures de discussion – la traduction a pris du temps, Hassen ne parle pas beaucoup anglais, nous non plus d’ailleurs – nous nous séparons, heureux de cet échange. Poignées de main, embrassades, photos de famille, mais pas d’adieu juste un « au revoir » car le combat continue.
Libertés :
Google classe et défie les gouvernements :
Alors que ses problèmes de censure avec les Chinois ont attiré l'attention sur le gouvernement communiste, Google veut rappeler au monde que la Chine n'est pas le seul pays à vouloir contrôler ce qui est visible sur Internet. Le moteur de recherche qui prône la transparence a mis en ligne une page spéciale qui permet aux internautes de voir le nombre des demandes de retrait de contenus envoyées par des organisations étatiques de tous les pays, et le nombre de demandes de communication de données privées. Ces dernières concernent essentiellement des procédures pénales, où peuvent être exigées la communication d'éléments comme l'adresse IP permettant d'identifier un utilisateur des services de Google, ou de contenus spécifiques (un accès aux courriels hébergés sur Gmail par exemple). Mais la FAQ précise qu'il peut aussi occasionnellement s'agir de demandes relevant un caractère d'urgence, hors de tout cadre judiciaire, lorsqu'il faut par exemple venir en aide à une personne en danger immédiat. Pour le moment, le service prend uniquement en compte les requêtes reçues entre le 1er juillet 2009 et le 31 décembre 2009. Il sera mis à jour en principe tous les six mois. Actuellement, la France fait partie des pays dont les organisations gouvernementales ont le moins demandé de retraits de contenus, avec moins de dix demandes enregistrées, dont un tiers n'a pas été satisfaite. Un chiffre qui pourrait exploser avec la possibilité ouverte à l'occasion de la loi sur les jeux en ligne de demander aux tribunaux le déréférencement de sites non homlogués par l'Etat. Les demandes de retrait peuvent concerner des résultats du moteur de recherche, ou des contenus hébergés par les services de Google (publicités AdWords, billets de blogs sur Blogger, des vidéos sur YouTube...). Le pays qui demande le plus de retraits de contenus est le Brésil, suivi de l'Allemagne, de l'Inde et des Etats-Unis. En revanche, la France se classe cinquième dans les demandes d'accès à des données privées. 846 requêtes ont ainsi été enregistrées sur la période à la demande de la justice ou d'administrations françaises, sans qu'aucun détail ne soit pour le moment publié par Google. Là encore, le Brésil est le champion international avec 3663 demandes, suivi de près par les Etats-Unis. La Chine n'apparaît dans aucun des deux classements. "Bien que nous ne puissions pas encore fournir plus de détails sur notre obéissance aux demandes de données d'utilisateurs de manière utile, nous avons l'intention de le faire à l'avenir", assure David Drummond, le directeur juridique de Google. A l'occasion de la publication de cette carte, Google a aussi précisé sa politique de respect de la liberté d'expression sur Internet. En ce qui concerne le moteur de recherche, "nous ne souhaitons pas être associés à une censure politique", insiste Rachel Whetstone, vice-présidente aux affaires publiques de Google. "Nous ne supprimons pas globalement de contenus de la recherche sauf dans des circonstances limitées, telles que la pédopornographie, certains liens vers des contenus protégés par le droit d'auteur, du spam, des malwares, et des résultats qui contiennent des informations personnelles sensibles comme des numéros de cartes de crédit". Le moteur de recherche obéit aussi à certaines spécificités locales, comme l'interdiction en France ou en Allemagne d'afficher des contenus pro-nazis. Cependant à chaque fois qu'un contenu est retiré, un message (situé tout en bas des résultats de recherche) le précise, avec un lien explicatif. Pour les contenus publics qu'il héberge sur ses services, Google s'autorise un certain niveau de censure auto-régulée, par exemple à l'encontre des "discours haîneux" sur Blogger ou des vidéos pornographiques sur YouTube. Là aussi certaines spécificités locales sont prises en compte. Google rappelle ainsi l'exemple de la Turquie, qui interdit toute vidéo se moquant du fondateur de la république Mustafa Kemal Atatürk. Il s'est plié régionalement à cette loi en bloquant l'accès aux vidéos concernées depuis la Turquie, mais il a refusé de supprimer ces vidéos pour le reste du blog. Ce qui lui a valu d'être bloqué en Turquie.
Extrait de "LEPOINT.FR"
Les États n'ont qu'à bien se tenir : Google vient de publier une carte des requêtes gouvernementales adressées à ses services. En clair, le géant du Web dévoile, sur un planisphère, le nombre de demandes d'accès aux données privées et le nombre de demandes de suppression de contenus qu'il a reçues de la part de chaque gouvernement, ou presque. Un document très instructif...
"Nous voulons augmenter la transparence", a expliqué Peter Fleischer, conseiller de Google pour les données personnelles, lors de la présentation de la page "Government Requests" au siège parisien. "Il y a deux chiffres publiés pour chaque pays : le nombre de demandes d'accès aux données personnelles d'utilisateurs et le nombre de demandes de suppression de contenus", a-t-il poursuivi. Pour séduire et rassurer ses utilisateurs, Google est prêt à envoyer un signal négatif aux gouvernements en exposant au grand jour leurs pratiques sécuritaires, bonnes ou mauvaises. Les gouvernements apprécieront, d'autant plus que Google reste dans la légalité : à aucun moment les enquêtes ne sont compromises, car seules des statistiques sont publiées. Contacté par lepoint.fr mercredi après-midi, le ministère de l'Intérieur n'a pas encore réagi.
Deux types de demandes
Les demandes d'accès aux informations personnelles sont envoyées par les autorités d'un pays pour identifier un internaute, ou pour enquêter sur ses activités. Grâce aux traces informatiques conservées sur ses serveurs, Google sait tout de ce qu'un utilisateur a fait au cours des 9 derniers mois : ses recherches Web, ses emails ou encore sa navigation, mais aussi ses lieux de connexion ou la configuration de son ordinateur. Ces données sont très précieuses dans les enquêtes de police, mais leur transmission est très encadrée dans les régimes démocratiques.
Les demandes de suppression de contenus concernent, quant à elles, les services d'hébergement de Google : vidéos sur YouTube, par exemple, mais aussi blogs sur Blogger ou photos sur Picasa. Les éléments publiés par les internautes peuvent parfois être illégaux et les autorités font alors une requête officielle pour leur suppression. Pour le géant du Web, toute demande de suppression de contenu par un État est de la censure. "J'utilise ce terme de façon neutre", précise immédiatement Peter Fleischer, rappelant que la censure "n'est pas forcément illégitime" : elle peut servir la loi.
Parfois, les demandes sont infondées et Google les rejette : le taux d'acceptation est, lui aussi, publié par le moteur de recherche, mais seulement en ce qui concerne les demandes de suppression de contenus. Pas un mot sur le taux d'acceptation des demandes de données personnelles.
La France est très curieuse, mais censure rarement
La comparaison entre les pays est intéressante, même si les statistiques publiées ne couvrent que le deuxième semestre 2009. Alors que la France est cinquième au classement des pays qui demandent le plus souvent des données personnelles (846 demandes), elle fait partie de ceux qui n'exigent que très rarement la suppression d'un contenu (moins de 10 requêtes, dont 66 % acceptées). À l'inverse, l'Allemagne (82 millions d'habitants, contre 64 millions en France) n'a demandé que 458 fois des données personnelles, mais a émis 188 requêtes pour suppression de contenus, dont 94 % ont été acceptées (la lutte contre l'apologie du nazisme est certainement à l'origine d'un grand nombre de ces cas, selon Google).
Le pays qui s'en sort le plus mal est incontestablement le Brésil, de loin le pire élève des deux classements. Mais le succès des services comme Orkut (le "Facebook" made in Google) pourrait être une explication logique : un plus grand nombre d'utilisateurs entraîne un plus grand nombre de requêtes. Interrogé par lepoint.fr sur l'absence de la Chine sur la carte, Google reste évasif : "Nous ne connaissons pas les chiffres, vraiment", explique Peter Fleischer. Mais le site Government Requests évoque une autre explication : "Les autorités chinoises considérant les demandes de censure comme des secrets d'État. Nous ne pouvons pas dévoiler ces informations pour le moment." Dommage.
LES CLASSEMENTS :
Demandes de données personnelles : Brésil (3.663), États-Unis (3.580), Grande-Bretagne (1.166), Inde (1.061), France (846), Italie (550), Allemagne (458). Demandes de suppression de contenus : Brésil (291), Allemagne (188), Inde (142), États-Unis (123), Corée du Sud (64), Grande-Bretagne (59), Italie (57).
Classements complets sur www.google.com/governmentrequests/
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