29 avril 2010

Pédocriminalité






LE FIGARO


Un prêtre pédophile hébergé dans l'ancien évêché du Pape

Mots clés : pédophilie église, pédophilie église, MUNICH, MUNICH, Benoit Xvi, Benoit Xvi
Par Jean-Marie Guénois
13/03/2010 | Mise à jour : 09:30
Réactions (197)
Le Pape Benoît XVI était l'archevêque de Munich au moment des 
faits.
Le Pape Benoît XVI était l'archevêque de Munich au moment des faits. Crédits photo : AFP

L'Église allemande a confirmé que l'abbé H. avait été accueilli en 1980 afin de suivre une thérapie.

Nouveau rebond dans la crise des prêtres pédophiles qui secoue l'Église allemande. Il touche cette fois Joseph Ratzinger, quand il fut archevêque de Munich entre 1977 et 1982 même si sa responsabilité directe est écartée. Ce diocèse a reconnu vendredi soir, par communiqué, qu'un prêtre, présumé pédophile, un certain «abbé H.» avait été pris en charge par l'archevêché en janvier 1980 pour suivre une thérapie avec l'accord de l'archevêque. Il semble que le prêtre ait été « accueilli » dans un premier temps à l'archevêché avant qu'un autre hébergement lui soit trouvé, dans une paroisse, afin qu'il se fasse soigner.
C'est après la diffusion hier, de cette information par le site du quotidien munichois Süddeutsche Zeitung, que l'archevêché a préféré confirmer la nouvelle par voie de communiqué : «À la demande de l'évêché d'Essen, l'abbé H. a été accueilli dans l'archevêché de Munich et Freising en janvier 1980.» Ce texte officiel poursuit : « Il a été décidé en 1980 d'accorder un hébergement à l'abbé H. dans une paroisse, afin qu'il puisse suivre une thérapie. L'ancien archevêque a participé à la prise de décision.»
Mais le diocèse de Munich reconnaît avoir commis une « erreur » - et sur ce point il disculpe la responsabilité de Mgr  Joseph Ratzinger - en permettant ensuite à ce prêtre de reprendre des fonctions de pastorale. « L'abbé a été affecté à titre indéterminé en tant qu'assistant-aumônier dans une paroisse du diocèse de Munich par le vicaire général de l'époque », explique le communiqué. En l'occurrence, Gerhard Gruber qui a pris cette seconde décision.
Lourde de conséquences : le pédophile présumé, s'il n'a commis aucun abus sexuel sur des mineurs dans la période qu'il a passée à Munich de 1980 à 1982, en a perpétré ensuite quand il a été muté à Grafing. Il a été condamné en 1986. «L'affectation à plusieurs reprises de l'abbé H. dans des fonctions spirituelles était une grave erreur. J'en assume l'entière responsabilité», a déclaré Mgr Gerhard Gruber dans le communiqué.
Interrogé, hier soir, sur cette affaire, le Vatican, par la voix de son porte-parole, le père Federico Lombardi, a estimé qu'avec ce communiqué «toute l'affaire est expliquée». Écartant toute responsabilité de Benoît XVI, il a directement renvoyé à Mgr Gruber qui assume la décision d'avoir remis ce prêtre en fonction malgré le risque encouru.


Souffle du cyclone 

Cette nouvelle information vient alimenter une polémique déjà explosive en Allemagne où dix-neuf diocèses sur vingt-sept connaissent la révélation d'affaires de prêtres pédophiles. Une réaction en chaîne qui a commencé, en janvier dernier, dans le prestigieux collège jésuite Canisius de Berlin pour des faits qui remontent aux années 1970 et 1980. Dans une lettre adressée à 500 anciens élèves, l'actuel supérieur, le père Klaus Mertes, a reconnu des agressions «systématiques et pendant des années».
Dès lors, toute l'Église catholique allemande est en crise. Mais le souffle du cyclone approche la personne du Pape, précisément sur la période où il était archevêque de Munich. Cette semaine, beaucoup s'interrogeaient, sans preuve toutefois, sur sa gestion interne, en particulier pour un scandale dans une abbaye bénédictine de son diocèse mais sur laquelle il n'avait aucun pouvoir. Son frère aîné, Georg Ratzinger, qui fut chef de chœur de la chorale de Ratisbonne, est aussi publiquement en cause. Un scandale a été soulevé dans le lycée catholique dont sont issus les chanteurs de ce chœur réputé, mais dans une période où Georg Ratzinger affirme qu'il n'était pas en responsabilité.
Le trouble et la confusion sont tels que le président des évêques allemands, Mgr Robert Zollitsch, a été reçu hier à Rome par Benoît XVI qui lui a redit son «soutien » dans la tempête. En sortant, Mgr Zollitsch a confié que «toute la lumière doit être faite», car «les victimes y ont droit». Il a ajouté que le Pape était «très ému» de la situation.
L'Église allemande a pris de nouvelles mesures de contrôle : « Il n'y a pas d'autres groupes en Allemagne, a-t-il fait remarquer, qui ait pris des mesures aussi claires.»


LE FICHIER DE LA HONTE, UN CD-ROM DE LA LISTE DES PÉDOPHILES LES PLUS CHAUDS ! 

C'est une semaine sainte particulièrement mouvementée pour le Vatican.
En choisissant d'attaquer ouvertement le travail des journalistes du New York Times, le Saint-Siège s'est publiquement dressé contre le traitement médiatique des scandales d'abus sexuels commis par des ecclésiastiques en Irlande, Allemagne, Australie et Etats-Unis. Accusé d'avoir livré une présentation "peu équitable" du cas d'un prêtre pédophile du Wisconsin (Etats-Unis) dont les agissements auraient été couverts par le cardinal Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, le quotidien américain a vigoureusement défendu le sérieux de son enquête et pointé vers de nombreux documents fournis par les avocats des victimes.
Depuis la mise au jour des cas de pédophilie au sein de l'Eglise catholique, puis de l'implication présumée du pape dans l'occultation de certaines d'entre elles, la presse et le Vatican tirent à boulets rouges l'un sur l'autre. Le "ton offensif" des journalistes a été dénoncé par le Vatican dans des communiqués, et des appels à un traitement médiatique plus équitable circulent sur la Toile. De son côté, le Saint-Siège s'est borné à l'envoi d'une lettre aux catholiques irlandais, pays très touché par les scandales, dans laquelle il reconnaît la responsabilité de l'Eglise et présente des excuses. En dehors de cette lettre, la communication du Vatican est limitée, pour ne pas dire inexistante.
Vincent Neymon, consultant et ancien directeur de la communication du Secours catholique, est l'un des responsables de l'association Médias et évangile qui livre, par l'intermédiaire de son blog, un certain nombre de points de vue sur le traitement des sujets liés au Vatican et à la religion catholique. Selon lui, le Vatican ne dispose pas d'une stratégie de communication organisée, et d'ailleurs, cela n'est pas dans son intérêt. "Le Vatican n'est ni une organisation, ni une entreprise ; il s'agit d'une tête de réseau qui exprime une vérité, par conséquent une stratégie de communication serait presque suspecte", explique-t-il. "Cela dit, il y a un véritable effort à faire de la part de l'Eglise, qui diffuse un message non seulement complexe, mais surtout qui va à contre-courant de l'air du temps."


"LE PAPE A INTÉRÊT À RENDRE SON MESSAGE AUDIBLE"


Antony Torzec, rédacteur en chef de Radio Fidélité et correspondant de Radio Vatican pour l'ouest de la France, abonde dans ce sens. "Cette absence de stratégie était déjà visible lors de la polémique qui a suivi le discours de Ratisbonne en septembre 2006, au cours duquel Benoît XVI avait émis des critiques sur la religion musulmane, et qui a donné lieu à une communication décidée au coup par coup, presque heure par heure", estime-t-il. Lui aussi reconnaît que le Vatican a finalement peu intérêt à s'immiscer "dans les affaires du monde" : "le Vatican livre ses vérités et ensuite, peu importe comment celles-ci sont répercutées dans chaque pays, ce qui n'est pas sans poser problème, car les sociétés ont considérablement évolué".


De fait, les canaux de transmission des messages issus de la papauté ne sont plus les mêmes. Antony Torzec souligne qu'"il y a 50 ans, le message de l'Eglise passait par différentes strates, les prêtres et les évêques y jouaient un rôle très important, car chacun à leur niveau, ils adaptaient le message à leur public." "Or aujourd'hui, le message est envoyé directement aux fidèles et aux médias, avec un risque de déformation", ajoute-t-il.


"Ceci dit, tempère Vincent Neymon, la non coordination de la communication vaticane ne pose pas de problème tant que les choses sont faites de manière professionnelle." Selon lui, la hiérarchie de l'Eglise catholique est moins rigide qu'elle n'y paraît et laisse à "des millions de voix" la possibilité d'exprimer leur propre lecture du dogme. "En revanche, on voit se développer, dans le contexte de crise actuelle, un certain nombre de dérives qui consistent à prendre la défense de Benoît XVI jusqu'à en faire un martyr", regrette-t-il. Pour lui, le problème n'est pas là : "certes, le pape exprime sa vérité, mais le pape est aussi dans le monde, il a donc tout intérêt à essayer de rendre son message audible et intelligible pour tout le monde."



Prêtre pédophile
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"POUR L'ÉGLISE, DIEU EST SEUL JUGE"


Pour Didier Heiderich, président de l'Observatoire international des crises (un groupe de conseil spécialisé dans la communication de crise), "communiquer en temps de crise revient à protéger un patrimoine, et dans le cas de l'Eglise, il s'agit du dogme". "Or l'Eglise et la société vivent dans deux temporalités distinctes, ajoute-t-il, ce qui entraîne un problème de réactivité de l'Eglise par rapport à ce genre d'affaires, et cette lenteur est très mal perçue par le public."


Derrière l'absence ou la faiblesse de la communication de l'Eglise se cache aussi un refus d'aborder certains sujets qui font débat depuis des décennies, comme le célibat des prêtres. "Si le Vatican va trop loin dans l'ouverture, il court le risque d'une remise en cause des principes adoptés lors du Concile de Vatican II." Ce concile a beau avoir clôturé ses travaux en 1965, il est considéré, dans la temporalité du catholicisme, comme beaucoup trop récent pour être remis à plat. "Le décalage entre une société vaticane qui n'a pas évolué depuis des siècles et une communauté de croyants dont les pratiques ont profondément changé devient considérable", constate-t-il. Un décalage accentué par la distance avec laquelle le Vatican traite l'affaire, une distance que Didier Heiderich explique simplement : "il ne faut pas oublier que pour l'Eglise, Dieu est seul juge".


La différence d'approche temporelle entre l'Eglise et la société pourrait aussi expliquer le refus de considérer une quelconque démission du pape. "Ce scandale peut durer un an, deux ans, cinq ans, mais dans dix ou quinze ans ils seront probablement oubliés, dans le temps du Vatican, ça n'est rien", explique Didier Heiderich. "Autant une entreprise doit protéger son capital et son image très rapidement en cas de crise, autant l'Eglise n'est pas dans cette urgence-là."


Un manque de réactivité qui risque toutefois de lui porter un grave préjudice, d'autant plus que ces affaires surgissent en pleine année du sacerdoce, durant laquelle l'Eglise catholique doit se pencher sur le rôle et la mission du prêtre, dont l'image est plus que ternie par la succession d'affaires les mettant en cause.


extrait Le monde.fr par Audrey Fournier


Prêtres pédophiles :
un psychiatre accuse l'Eglise d'avoir ignoré ses avis

Le psychiatre d'un prêtre pédophile catholique allemand, qui avait été accueilli il y a trente ans dans le diocèse de l'actuel pape Benoît XVI pour y suivre une thérapie, affirme, vendredi 19 mars, que l'Eglise a ignoré pendant des années ses mises en garde.
Brisant le secret médical, le neurologue et psychanalyste Werner Huth raconte dans l'édition en ligne de la Süddeutsche Zeitung avoir déconseillé très tôt à l'archevêché de Munich-Freising de laisser le prêtre H. travailler au contact d'adolescents. Condamné pour pédophilie en 1986, ce prêtre a été suspendu lundi pour avoir enfreint l'interdiction de s'occuper de jeunes. Il avait été accueilli en 1980 dans le diocèse du pape actuel, alors cardinal Joseph Ratzinger, malgré les soupçons qui pesaient déjà sur lui et à condition qu'il suive une thérapie.
Au plus tard en 1985, alors que Josef Ratzinger est cardinal à Rome, l'archevêché obtient un avis médical de 60 pages du docteur Huth qui conclut : "Je considère qu'il est exclu qu'on laisse le père H. travailler encore avec des adolescents", peut-on lire dans la Süddeutsche Zeitung. Les autorités diocésaines "ne doutent pas que M. Huth dit la vérité", ajoute le quotidien munichois.
En 2008, l'archevêché de Munich-Freising avait demandé une nouvelle expertise à un autre spécialiste qui avait jugé que le prêtre était entièrement apte à remplir des fonctions ecclésiastiques. Faisant fi de cet avis positif, les autorités diocésaines avaient fini, des années plus tard, par interdire au prêtre de travailler avec des jeunes et l'avaient cantonné à des fonctions d'aumônier pour les vacanciers.

LA SUITE SUR http://www.pedopolis.com/ 
Interview de Jérémy Lehut: Affaire Maillaud et... par JaneBurgermeister

26 avril 2010

L'affaire du «Karachigate» implique Nicolas Sarkozy

Alors que le conseil de l'Europe veut abolir
la fessé pour les enfants,
nous oublions bien souvent sa fonction
dans le monde des adultes :

Le Karachigate est une fessée cul nu !
Devenant un Sarkogate !

 







KARACHI : Sarkozy mis en cause
envoyé par politistution. - L'actualité du moment en vidéo.

SM > NE PAS LACHER KARACHI
envoyé par sebmusset. - L'actualité du moment en vidéo.


Sarkozy, Balladur et l'attentat de Karachi
envoyé par Mecanopolis. - L'info internationale vidéo.

Extrait : Le figaro du 27avril 2010

Attentat de Karachi : les explications de Balladur

EXCLUSIF - Dans une tribune à paraître mardi dans le Figaro, l'ancien premier ministre dément avoir bénéficié de rétro-commissions pour financer sa campagne présidentielle de 1995.


Le quotidien Libération affirme, sur la foi de documents qu'il a obtenus, que l'association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur aurait reçu en 1995 10 millions de francs en espèces. Un dépôt qui serait intervenu peu de temps après le versement d'une commission à deux intermédiaires «imposés par les balladuriens» dans le cadre d'un contrat de vente de sous-marins au Pakistan, assure Libération qui insiste sur la concomitance des faits sans pour autant disposer de preuve. «Pour l'instant, la preuve décisive que ces fonds auraient permis de solder les comptes de campagne d'Edouard Balladur manque», écrit le directeur de la rédaction Laurent Joffrin.
Dans une tribune à paraître mardi dans Le Figaro, l'ancien premier ministre dément avoir bénéficié de financements illégaux. Et assure n'avoir pris aucune décision autorisant l'octroi de commissions.

Voici le texte en intégralité :
« En 2002, des agents de la Direction des Constructions Navales, en service à Karachi au Pakistan pour l'armement de trois sous-marins vendus par la France, ont été victimes d'un attentat. Onze d'entre eux y ont perdu la vie. Ce drame épouvantable a légitimement suscité beaucoup d'émotion et d'interrogations sur les causes qui avaient pu l'entraîner.
Depuis huit ans que les recherches sont entreprises, aucun explication n'est encore apparue clairement. L'attentat a-t-il été le fait du terrorisme islamiste ? La conséquence d'un règlement de comptes entre clans pakistanais rivaux ? La manifestation d'une hostilité récurrente entre l'Inde et le Pakistan ? Une mesure de rétorsion prise contre la France qui aurait annulé en 1996 des commissions versées à l'occasion de la vente en 1994 au Pakistan de ces trois sous-marins ? La mission d'information constituée par l'Assemblée nationale a examiné toutes ces hypothèses. Je souhaite qu'elle puisse terminer ses travaux.
Depuis maintenant deux ans, ce drame a fourni à certains un prétexte pour me mettre en cause, au motif, prétendent-ils, qu'à la faveur de la vente de ces sous-marins en 1994, j'aurais autorisé le versement de commissions permettant ultérieurement le financement de ma campagne présidentielle de 1995. Ainsi est invoquée ma responsabilité indirecte dans la mort de onze Français, dès lors que l'annulation des commissions en 1996 aurait entraîné, par rétorsion, l'attentat de 2002.
Dans cette présentation des choses rien ne correspond à la vérité, rien n'est étayé par les faits, tout s'appuie pour l'essentiel sur une note émanant d'un agent d'une officine privée de sécurité, note établie en 2002, après l'attentat, et qui amalgame un tissu d'invraisemblances et d'absurdités.
Dès lors que je suis mis en cause sur un sujet aussi grave, et quel que soit mon désir de ne pas me laisser entraîner dans les polémiques qui émaillent notre vie publique, je tiens à rappeler certains faits :
1/ La vente des trois sous-marins au Pakistan a été autorisée par moi lors de la visite en 1994 de Mme BHUTTO Premier Ministre.
2/ La décision d'autoriser l'octroi de commissions n'était pas de la responsabilité du Premier ministre ou de ses services. J'ignore si, en l'espèce, il a été décidé d'y avoir recours. Je rappelle d'ailleurs qu'à l'époque les commissions étaient légalement permises et n'ont été interdites que six ans plus tard.
3/ Pour assurer le financement des dépenses électorales de ma campagne, j'ai eu recours à l'ensemble des moyens légaux dont je disposais : emprunt pour une grande partie, contribution de certains partis politiques qui appuyaient ma candidature et, évidemment le concours financier de tous ceux, militants et électeurs, qui ont soutenu ma campagne électorale par voie de souscription et aussi par dons directs, dont le total a été très inférieur au plafond légal alors applicable. Tout cela en parfaite transparence.
Les comptes de ma campagne ont été audités puis remis au Conseil constitutionnel et validés par lui dans une décision publiée au Journal Officiel du 12 octobre 1995. Ni les dépenses ni les recettes n'ont été estimées par lui contraires au droit.
4/ En 1996, si j'en crois les déclarations de certains responsables gouvernementaux de l'époque, le versement des commissions qui auraient été afférentes à ce contrat a été interrompu, alors que ma campagne présidentielle était terminée depuis un an et qu'il n'était nul besoin de la financer. Sur quelles bases, sur le fondement de quelles informations a été prise la décision d'interdire les commissions en cause en 1996 ? Quelle a été la portée de cette décision ? C'est aux autorités françaises de l'époque de faire la clarté sur ce point.
5/ Deux autres questions devraient également recevoir des réponses claires.
Si véritablement l'attentat de 2002 est dû à la suppression du versement de commissions en 1996, comment expliquer que les mesures de rétorsion qui auraient été prises par leurs bénéficiaires soient intervenues six ans après ? Pourquoi un tel délai ?
Quant au rapport demandé en 2002, après l'attentat, ses destinataires n'en ont fait aucun usage durant six ans jusqu'en 2008. Comment expliquer cette négligence ? Comment se fait-il que ce rapport ait été découvert comme par hasard dans un dossier relatif à d'autres affaires ?
Il faut répondre à ces questions. Il est regrettable qu'une fois de plus tout soit fait pour donner le sentiment que le débat politique recourt à de pareils procédés.
Je m'en tiens à ce dont je suis certain : je n'ai pris en tant que Premier Ministre aucune décision d'octroi de commissions ; les comptes de ma campagne présidentielle ont été validés sans réserve, il y a quinze ans, par le Conseil constitutionnel.»
L'arrêt Public Gouverne, Ment !

Voici ce qu'on peut entendre :



Karachi : Libération met en cause Edouard Balladur

Mots clés : PARIS, KARACHI, Edouard Balladur, Nicolas Sarkozy
Par Jim Jarrassé
26/04/2010 | Mise à jour : 19:54 Réactions (15)

Crédits photo : AFP
Documents à l'appui, le quotidien Libération s'interroge sur un lien entre le versement de 10 millions de francs (1,5 million d'euros) sur le compte de campagne de l'ancien premier ministre et les commissions d'un contrat d'armement avec le Pakistan.

Le 8 mai 2002, onze salariés français de la Direction des constructions navales (DCN) étaient tués dans l'explosion d'un bus, à Karachi, au Pakistan. Longtemps, la piste d'al-Qaida a été privilégiée jusqu'à ce que le juge antiterroriste Marc Trevidic réoriente l'enquête. L'hypothèse de représailles après l'arrêt des versements à l'Etat pakistanais de commissions attachées à un contrat de vente de sous-marins n'est désormais plus exclue. A tel point que, la division nationale des investigations financières (Dnif) enquête depuis le mois de février, dans un cadre préliminaire, sur des soupçons de corruption politique internationale dans le cadre des contrats d'armement au Pakistan.

L'affaire remonte au printemps 1994 : la DCN décroche alors un gros contrat d'armement au Pakistan d'un montant de 5,41 milliards de francs pour construire et armer trois sous-marins. La loi ne l'interdisant pas encore, la DCN, placée sous la tutelle du ministère de la Défense, s'engage, selon les documents consultés par Libération , à verser 6,25% du montant du contrat - soit 338 millions de francs - aux intermédiaires locaux.

10 millions en coupures de 500 francs

Un peu plus tard, selon le quotidien, la DCN reçoit l'ordre de débloquer une rallonge de 4% - soit 216 millions de francs - et de négocier avec deux intermédiaires imposés par «le pouvoir politique». En l'occurrence Renaud Donnedieu de Vabres, à l'époque chargé de mission auprès du ministre de la Défense, François Léotard, et proche soutien de Balladur dans la course présidentielle. Les deux intermédiaires, représentés par une société off-shore baptisée Mercor Finance, auraient reçu le 24 janvier 1995 un premier acompte de 130 millions de francs.

Toujours selon Libération, trois mois plus tard, le 26 avril 1995, 10 millions de francs (1,5 million d'euros) en espèces ont été versés sur le compte de l'Association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur (Aficeb) dans une agence du Crédit du Nord à Paris. Soit près de 20% de l'ensemble des recettes mentionnées dans le compte de campagne d'Edouard Balladur. «Sur le bordereau bancaire, il a été mentionné que l'argent provenait de collectes effectuées lors des meetings électoraux», relève le quotidien, qui s'étonne que «la moitié de ces 10 millions a été apportée en grosses coupures de 500 francs».

Ces documents étaient depuis plusieurs semaines entre les mains du juge d'instruction et du parquet de Paris. Ils ont été adressés le 22 février dernier par pli anonyme à l'avocat des familles des victimes de l'attentat. Le courrier a été transmis au juge antiterroriste qui instruit l'affaire. Et ce dernier a transmis le 9 avril les documents au parquet de Paris.

Rien ne permet pour l'instant d'établir un lien de cause à effet entre les deux versements. Le directeur de la rédaction de Libération, Laurent Joffrin, précise bien que «pour l'instant, la preuve décisive que ces fonds auraient permis de solder les comptes de campagne d'Edouard Balladur manque». Réagissant dans une tribune à paraître mardi dans Le Figaro, l'ancien premier ministre assure que «rien ne correspond à la vérité, rien n'est étayé par les faits», qualifiant de «tissu d'invraisemblances et d'absurdités» les informations de Libération. Il explique avoir «eu recours à l'ensemble des moyens légaux» dont il disposait pour financer sa campagne. Et assure n'avoir pris aucune décision autorisant l'octroi de commissions.

Le PS exige des explications

En 2007, les enquêteurs avaient trouvé à la DCN une note mentionnant la création d'une société off-shore par laquelle transitaient des commissions du contrat, impliquant le directeur de cabinet d'Edouard Balladur à Matignon, Nicolas Bazire, et le ministre du Budget de l'époque, Nicolas Sarkozy. Lequel avait l'an dernier qualifié de «fable» l'hypothèse selon laquelle l'attentat de Karachi serait dû au non-versement de rétro-commissions liées aux sous-marins.

Le parquet de Paris a ouvert début février une enquête sur le financement de la campagne d'Edouard Balladur à la suite d'une plainte pour corruption de six familles de victimes de l'attentat de Karachi. Selon leur avocat, Me Olivier Morice, le procureur de la République de Paris Jean-Claude Marin est «soumis au pouvoir politique» et «tente par tous les moyens d'éteindre l'incendie au mépris de la recherche de la vérité».

Le rapporteur de la mission d'information parlementaire sur ce dossier, le député socialiste Bernard Cazeneuve, a lui-même demandé en mars dernier l'audition d'Edouard Balladur. Des élus UMP, majoritaires dans la commission d'enquête, se seraient opposés à cette audition. Mais l'ancien premier ministre a finalement demandé à être entendu par les parlementaires, assure lundi au point.fr le député UMP Yves Fromion. Une «satisfaction» pour Bernard Cazeneuve, qui s'étonne tout de même que «ce qui n'était pas possible avant devient possible aujourd'hui».

Lundi, le parti socialiste a exigé la déclassification des documents réclamés par la justice, qui demanderait en vain une copie du contrat de vente des sous-marins. L'opposition attend aussi des explications «beaucoup plus claires» de Nicolas Sarkozy. Pour Benoît Hamon, porte-parole du PS, «la balle est dans le camp du gouvernement et du président de la République.»

LIRE AUSSI :

» Les explications d'Edouard Balladur au Figaro

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Trombinoscope : Sarkozy et tous ses amis





Attentat de Karachi : la colère froide de Magali Drouet
envoyé par rue89. - L'info video en direct.


08 Karachi : qui a franchi la ligne j@une ?
envoyé par lignejaune. - L'actualité du moment en vidéo.

5 jours à la 1: jeux de mots, Karachi et coquille
envoyé par liberation. - L'actualité du moment en vidéo.

ressemblance troublante :

Attentat Karachi: le même scénario que 'Reporters'
envoyé par Nouvelobs. - L'info video en direct.

Extrait de www.marianne2.fr

Sarkofrance, chez Marianne2.

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Du Karachigate au Sarkogate
C'était donc vrai. Ce n'était pas une fable. L'affaire du Karachigate rebondit. Nicolas Sarkozy n'était pas là pour commenter. Il s'envolait pour la Chine.



Balladur mis en cause...

Le quotidien Libération a relancé l'affaire, ce lundi 26 avril. Il y a près d'un an, Nicolas Sarkozy avait été interpelé lors d'une conférence de presse, à propos des accusations de l'avocat de parties civiles: ce dernier l'accusait d'être directement impliqué dans l'affaire du Karachigate. Les juges chargés de l'enquête laissaient entendre que l'attentat à Karachi en mai 2002, qui coûta la vie à 14 personnes dont onze ingénieurs français, était en fait une vengeance pakistanaise: Jacques Chirac devenu président en 1995 avait interrompu les versements de commissions occultes, dues par le gouvernement français à l'issue de la vente (à perte) au Pakistan de sous-marins nucléaires français... Une fable, avait dit Nicolas Sarkozy...

En 1995, Edouard Balladur était Premier ministre, et Nicolas Sarkozy son ministre du Budget et directeur de campagne. Ce dernier avait autorisé le versement des commissions dans le cadre d'un contrat de vente de 3 sous-marins, signé le 21 septembre 1994 par le ministre de la Défense, François Léotard. Et Balladur avait notamment imposé deux intermédiaires qui pourtant n'avaient pas oeuvré sur cette vente d'armes. On soupçonne cette vente d'avoir donné lieu à des «rétrocommissions» en faveur du camp balladurien pour financer sa campagne présidentielle de 1995.

Le 7 février dernier, six familles de victimes avaient déposé une nouvelle plainte, pour corruption et entrave à la justice. Le parquet avait aussi ordonné une enquête préliminaire.

Lundi 26 avril, Libération a publié plusieurs informations clés :

1. Deux intermédiaires imposés par le gouvernement Balladur ont reçu 54 millions de francs. Ils ont été imposés à la DCN après la conclusion du contrat de vente au printemps 1994. Il leur avait été promis quelques 216 millions de francs. Toujours d'après Libération, les deux intermédiaires exigèrent d'être payés avant janvier 1995. «Finalement, selon un accord du 24 janvier 1995 entre un représentant de la DCN et Mercor Finance, la société offshore représentant Takieddine et El-Assir, il est convenu qu'un premier versement de 130 millions sera débloqué à la signature, peu après le 24 janvier, puis deux autres tranches étalées jusqu'au 31 décembre 1995, et une dernière en fonction de la réalisation du chantier.»

Edouard Balladur a déclaré sa candidature à l'élection présidentielle le 28 janvier 1995.

2. Le compte de campagne d'Edouard Balladur, ouvert par l'Aficeb (Association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur), numéroté 327548 à l'agence Crédit du Nord, boulevard Haussmann à Paris, «a enregistré un dépôt en espèces suspect de 10 millions de francs. Tout ceci alors que Nicolas Sarkozy était à la fois le porte-parole de l'ex-Premier Ministre et le ministre du budget.» Cette remise d'espèces a eu lieu de 26 avril 1995, quinze ans jour pour jour avant la publication de l'information par Libération. Le quotidien rapporte que, d'après les guichetiers, la moitié des billets étaient des coupures de 500 francs. Ces 10 millions de francs représentent 20% des recettes électorales déclarées par le candidat Balladur. A l'époque, un particulier ne pouvait donner plus de 1000 francs en espèces. Dix millions de francs, cela représenterait 20 000 contributions individuelles...

... et Sarkozy aussi
Du côté de l'Elysée, on a visiblement agi en coulisses: en juin 2009, le ministre de la Défense avait promis une déclassification du secret défense sur les documents de l'affaire stockés dans divers placards de la Grande Muette. Plusieurs mois plus tard, le juge Marc Trévidic ne reçut qu'un gros rapport de 137 pages ... dont seuls 6 paragraphes ont été laissés visibles. Le reste a été expurgé, effacé, détruit.

Mis en cause par Libération, l'ancien Premier ministre s'est empressé de répondre aux accusations, dans une tribune publiée par le Figaro. Alors qu'il refusait d'être auditionné par la commission d'enquête parlementaire constituée sur l'attentat de Karachi, voici qu'il en fait maintenant la demande expresse. Balladur semble aussi impliquer Nicolas Sarkozy : «la décision d'autoriser l'octroi de commissions n'était pas de la responsabilité du Premier ministre ou de ses services. J'ignore si, en l'espèce, il a été décidé d'y avoir recours.» A l'époque, la décision de verser des commissions à des intermédiaires lors de contrats d'armements était du ressort du ministre du Budget. En effet, seul ce dernier pouvait valider la déductibilité de telles commissions.

En 1995, le ministre du Budget s'appelait Nicolas Sarkozy.

Sur l'origine des 10 millions de francs de dons versés en espèces, dont la moitié en coupures de 500 francs, Edouard Balladur reste étrangement distant, discret, flou. Il précise simplement que «les comptes de ma campagne ont été audités puis remis au Conseil constitutionnel et validés par lui dans une décision publiée au Journal Officiel du 12 octobre 1995.»

L'ancien mentor de Nicolas Sarkozy n'a qu'une défense : pourquoi l'attentat est-il intervenu si tardivement (en 2002) après l'interruption supposée des versements de commissions ? Quelle bonne question ...

L'avocat des familles des victimes n'est pas dupe : «Les parties civiles considèrent que Monsieur Balladur ment d'une façon absolument éhontée par rapport aux éléments qui sont dans le dossier. (...) Il est bien évident que dans les prochains jours nous allons demander l'audition de M. Balladur qui n'est couvert par aucune immunité.» L'avocat ne s'arrête pas là. Il attaque directement Nicolas Sarkozy. Il a reçu anonymement des documents relatifs aux versements en espèces sur le compte de campagne de Balladur.

Il sait de quoi il parle...

23 avril 2010

CHEMTRAILS


Épandage Aérien du Mercredi 21 avril 2010
( géo-ingénierie ( voir brevets ) - chemtrails - trainées chimiques d'avions - épandages aériens...

Il faut savoir que même si personne ne vous a consulté pour ça,  il existe des diplômes et de nombreuses formations  :
Master pro. aménagement et géo-ingénierie (master AGI) - Nice - Faculté des sciences : Faculté des sciences, université de Nice Sophia-Antipolis parc Valrose, 06108 ,  Nice, FRANCE.
Et les financement viennent des fonds Européens. Les lois Françaises ne peuvent pas nous protéger de ce type de politiques environnementales car elles viennent de l'Europe elle même.
Pour stopper les épandages, il faut sortir de l'Europe .









Le ciel nous tombe sur la tête !


introduction aux chemtrails (interressant)
envoyé par nos_trainees_chimiques. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

SAT 24.com













ÉPANDAGE AÉRIEN
DU 21 AVRIL 2010
AQUITAINE (Agen)


Voici plusieurs photos de cette journée du Mercredi 21 avril 2010 :
Au dessus d'Agen (Lot et Garonne) 21/04/2010 15h à 17h30






























































(Lorsqu'on change les piles de l'appareil la date revient à 01.01.2005 ...Pff !)



Quelques Vidéos de la même après midi du
Mercredi 21 Avril 2010 :





meteo de la france 21 avril 2010 sat24.com
envoyé par l_oeil_critique. - L'info video en direct.








Météo Chemtrails 21/04/2010
envoyé par JaneBurgermeister. - L'info internationale vidéo.


Epandage aérien - AGEN - Mercredi 21 Avril 2010_1
envoyé par neozore47. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.


Epandage aérien - AGEN - Mercredi 21 Avril 2010_2
envoyé par neozore47. - Rencontrez plus de personnalités du web.



Et voilà ce que nous dit la propagande télévisuelle :


JT: Les trainées d'avions influencent le climat
envoyé par JaneBurgermeister. - L'info internationale vidéo.

LE PEUPLE DOIT SAVOIR
POURQUOI ?

Doit-on rappeler que la confidentialité
n'existe pas lorsqu'il s'agit d'une affaire
de santé publique !
L'affaire des OGM avec Monsanto nous a déjà démontré qu'il pouvait exister des accords de confidentialité en opposition avec la responsabilité de la santé publique !
Comme d'habitude, les lobbyistes sont rois ...
Mais plus pour très longtemps, un comité indépendant va être mis en place afin de juger sévèrement les responsables et les exécutants de ce plan démoniaque.
Leurs noms seront donnés à la population et leurs actes seront expliqués ainsi que leurs motivations.



Cherchez l'erreur !


Une commission d'enquête a été fondée suite à ces observations. Seules quelques personnes du gouvernement et autres services ont accès au résultats. Le grand public est toujours maintenu dans le brouillard !!
http://www.chemtrails-france.com/index.htm



Nous sommes en sécurité car nous vivons en France !
En êtes vous si certain ?

OUVREZ LES YEUX, LEVEZ LES !
ON NOUS EMPOISONNE !!!
Avez-vous encore un doute sur leurs intentions ?
On a quelquefois l'impression de vivre dans un film
de zombies.. suivez le lien suivant :



IMPORTANT - Des déchets radioactifs bientôt à la maison !
envoyé par Rudy-D. - L'info internationale vidéo.


Chemtrails preuves officielles 1/2
envoyé par RegisDanse. - Regardez les vidéos des stars du web.

Chemtrails Preuves officielles 2/2
envoyé par RegisDanse. - Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.


Chemtrails hypothese
envoyé par RegisDanse. - Plus de vidéos de blogueurs.


SCOOP !

Chemtrails-Scoop-MINISTRE-italien Di Pietro REPOND !!!
envoyé par ZOR22. - L'info video en direct.


Présentateur météo dénonce les épandages aériens !
envoyé par JaneBurgermeister. - L'info internationale vidéo.




Chemtrails à la Commission Européenne
envoyé par JaneBurgermeister. - L'info internationale vidéo.

Chemtrails et secrets
envoyé par lovy1966. - L'info internationale vidéo.

Association ACMG d'Agen





Leurs coordonnées
extrait de leur site web :
Climat et Urbanisme

Le réchauffement du climat
Changement climat
Sècheresse 2006 du 47

Brochure finale
Cette asso à été financée par SUDOE
MÉTÉOROLOGIE ET EXPERTISE :

AGRALIS Services apporte ses compétences, reconnues pour aider des particuliers, des entreprises et des services d'Etats étrangers, à mieux prendre en compte la variabilité naturelle du climat et à lutter contre ses excès.

En matière de gel, Agralis forme des professionnels pour mettre en place des moyens de prévision et de lutte efficace contre le gel. Les principes du séchage des végétaux de manière à renforcer la résistance naturelle vis-à-vis du gel sont de plus en plus utilisés.

Sur les maladies, Agralis apporte son expertise pour fournir en temps réel des fichiers de prévisions localisées de la situation météorologique, à 4 à 5 jours ; ce qui permet d’anticiper objectivement certains risques en complétant les observations de stations météorologiques locales.

Pour la gestion des ouvrages de retenues d’eau, elle fournit les besoins estimés journaliers des cultures par bassin ainsi que les prévisions de pluies.
 En matière de pluie provoquée, Agralis effectue régulièrement des missions à l’étranger dans les pays concernés par la sècheresse pour y former des scientifiques, des pilotes et des météorologues sur la technique d’augmentation du rendement de précipitation à l’aide de sels hygroscopiques. Cette technique développée en Afrique pour le Dr. Mather est également adaptée pour la lutte contre la grêle en pays tempérés.(extrait du site)

Nos trainées chimiques (Playlist) ;)



LE LIBRE PENSEUR :
Les sujets traités dans la vidéo suivante :
Guerre contre les religions.
Cacher la crise qui arrive.
Santé : Projet MK-Ultra ( CIA-Chemtrails LSD en 1951 en France ).
Et pour finir une Crème antirides à 190$ à base de fœtus humains.



Actus du 26 Avril 2010 - LLP
envoyé par AntiGrellou. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


Mais où va t-on ?
Allons nous accepter ces ciels modernes ?
Conspiration.cc






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