Affichage des articles dont le libellé est nucléaire. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est nucléaire. Afficher tous les articles

25 avril 2022

Orage solaire

Peu importe quand ça arrivera, c'est inévitable et imprévisible, ça mettra toutes nos technologies à la poubelle de l'histoire ! L'apocalypse se révèle à la lumière de nos faiblesses technologiques, un simple orage solaire massif et nos technologies sont réduites à néant. Nous n'avons aucun recul sur de telles catastrophes parce qu'à l'échelle humaine elles ne sont pas concevables, leurs moyennes est de 150 ans environ. Nous avons dépassés depuis 2018 les 10% d'erreurs sur cette moyenne, donc nous sommes en retard... L'orage du siècle mettra tous le monde devant la même réalité : Notre  monde technologique est fragile et éphémère face à la force de la nature. La masse du soleil représente 99% de la masse totale du système solaire entier. Dans quelques temps, une simple éruption solaire va déclencher un orage planétaire et fumer toutes les technologies électroniques de votre planète. Cela signera définitivement la fin de ces crétins de transhumanistes ! Les technologies seraient déjà bien plus évoluées si les orages n'avaient pas déjà ruiner plusieurs civilisations avancées. Il y a des preuves archéologiques que des composants électroniques de plusieurs millions d'années ont été fossilisés et retrouvés. Il serait illogique de ne pas penser qu'en voyant notre évolution fulgurante en quelques décennies, ça ne ce soit pas déjà produit il y a fort longtemps puis tous les efforts ont été ruinés par une éruption solaire massive. La théorie des anciens astronautes est d'expliquer que l'humain est plus vieux qu'on ne veut nous le raconter dans l'histoire officielle toujours uniquement écrite par les vainqueurs forcement biaisée. L'histoire s'est toujours répétée et ça continuera longtemps encore. Un simple orage solaire peut anéantir la technologie de l'humanité en un claquement de doigt !

Météo spatiale en temps réel
Exemple ces jours ci 

Un orage magnétique (tempête magnétique) provoque des fluctuations brusques et intenses du magnétisme terrestre liées aux variations de l'activité solaire. Les couches électriques dans l’ionosphère feraient varier l’intensité du champ magnétique terrestre entraînant de nombreux orages magnétiques. La surveillance de l'activité solaire peut aider à prédire certaines perturbations dans la propagation des ondes dont les conséquences peuvent être graves pour les télécommunications, ainsi que l'incidence de ces orages sur la distribution de l'énergie électrique. En 1965, une énorme panne de courant avait plongé les habitants du continent Nord-Américain dans l’obscurité, soit 30 millions de personnes sur 200 000 km2. En 1989, c’est une panne de même origine qui a touché 6 millions de personnes au Québec ; de plus les aurores polaires produites par cet orage furent visibles jusqu'au Texas .


Message du futur :

"C'est pas le pétrole qui va manquer puisqu'il est inépuisable à notre échelle et il est "abiotique", sa présence est partout sur le globe à des profondeurs jusqu'à 25 km. Vous l'apprendrez bientôt officiellement.
L'effondrement ne viendra pas du pétrole, il viendra d'une catastrophe naturelle bien pire et plus sournoise que n'importe quoi. C'est la crainte des vikings, le ciel est déjà tombé sur leurs têtes. Tous les 150 ans en moyenne, notre soleil crache du feu sur notre planète. Ce qui va manquer c'est l'électricité car nous allons nous prendre en pleine face un orage solaire qui va réduire la civilisation et ses technologies à néant. Les réacteurs nucléaires seront hors service et pour la plupart ils seront accidentés et pollués. Le monde d'après n'est pas comme l'antiquité mais ressemble plutôt au scénario de Mad Max et pour de nombreuses années. Les technologies que vous connaissez aujourd'hui disparaitront totalement, les réseaux seront détruits, les cultures aussi, les guerres nucléaires éclateront suite à des réponses automatiques de L'IA qui a pris l'éruption solaire pour une attaque et a déclenché une réponse globale nucléaire. L'humanité ne resurgira pas du sol avant 12 longues années d'hiver nucléaire. De nombreuses espèces animales ont disparues définitivement, et l'humanité a été réduite à quelques millions de survivants au milieu de milliards de mutants. Le déclencheur de la catastrophe est naturel, mais l'humanité aurait pu éviter les destructions en stoppant les réacteurs nucléaires avant l'orage, les détecteurs n'auraient pas déclenchés cette réponse nucléaire de l'IA. Pour éviter cette période, on m'a propulsé dans le passé mais le prix à payer est que je ne pourrais vivre plus longtemps que le temps de délivrer ce message. Supprimez l'IA des contrôles de missiles nucléaires, supprimez les réacteurs nucléaires en surface, il faut qu'ils soient à un minimum de 50m de profondeur pour la sécurité de la planète. Supprimez aussi les navires nucléaires en surface, utilisez vos satellites pour observer la menace solaire avant qu'elle frappe la planète. Le délais peut être très court, de quelques minutes à plusieurs dizaines d'heures. Les alertes et les mesures pourront permettre d'éviter toute la suite tragique. En 2040 j'ai perdu ma femme et mes enfants dans un accident et j'ai décidé de revenir même pour 1h dans le passé pour la revoir et vous délivrer ce message."

~~Transmis depuis la station d'observation Alma du Chili le 21 février 2045 à 18h38. Max Payne, survivant de l'holocauste du 8 mai 2029. Bonne chance à vous tous ! ~~

Petit scénario fictif écrit par Neo Zoror si tu as aimé, j'ai écrit un roman de SF et il est sur mon blog 
NéOzOrOr de la matrice: Les Chroniques de Cybob (neozoror.blogspot.com) 

Un simple orage solaire est capable d'anéantir la technologie de l'humanité en un claquement de doigts ! Météo spatiale en temps réel > https://www.spaceweatherlive.com/fr.html 




 Le Soleil est-il à l'origine des conflits humains ? | France Culture  


DOCUMENTAIRE FICTION (juillet 2025) : 

Je n’ai pas écrit ce journal pour survivre. Je l’ai écrit pour que ce monde sache qu’il a existé. Et qu’il n’a pas été détruit par haine, mais par oubli.

Avant que le Soleil parle, nous avions des villes qui respiraient en code. Des mains qui scrollaient au lieu de semer. Des pensées capturées dans des disques… et des âmes qui croyaient le ciel inoffensif. Puis Hélios a soufflé. Et tout ce qui n’était pas gravé, tout ce qui dépendait du courant, s’est effacé comme un mirage numérique.

Ce recueil n’est pas un appel à l’aide. C’est une balise dans le sable solaire, une suite de fragments écrits entre deux incendies, entre deux silences. Chaque épisode est un pas vers le nord. Vers la racine. Vers l’idée que le savoir ne doit plus dépendre d’un signal, mais d’un feu intérieur — celui qui éclaire sans brûler.

Si quelqu’un lit ça dans cent ans, mille peut-être… Qu’il sache que nous avons planté des pousses. Des grains de tomates sauvages. Des mots sur cuivre. Des vérités enroulées dans du lin.

Et que le souffle d’Hélios, bien qu’aveuglant, nous a appris à fermer les yeux pour mieux entendre.

Ce n’est pas une apocalypse. C’est une épure.

— Sol Varn, survivant de Lyon, dépositaire de cendres, transmetteur de mémoire. 


“Le Souffle d’Hélios” .

Série docu-fiction post-apocalyptique en 8 épisodes : (voir commentaires) .

CONCEPT GLOBAL.

En 2025, lors du maximum solaire du cycle 25, une éruption de classe X10+ frappe la Terre. Le souffle d’Hélios — invisible, fulgurant, implacable — désintègre l’infrastructure technologique mondiale. Blackout généralisé, effondrement des réseaux, incendies urbains, fusions nucléaires, épidémies silencieuses.

Un homme, Sol Varn, rescapé d’une ville en flammes, porte désormais la mémoire d’un monde éteint. Ancien ingénieur réseau, il devient un marcheur de vérité, décidé à rallier l’Arche de Svalbard — sanctuaire de semences et de savoirs — pour y préserver l’héritage vivant de l’humanité.

Chaque épisode mêle narration immersive et séquences documentaires scientifiques pour décoder les mécanismes réels de l’effondrement et les chemins possibles vers la reconstruction.

STRUCTURE DES ÉPISODES.

Signal Fantôme — Impact solaire imminent ignoré.

Le Feu dans le Sang — Crises biologiques liées aux nanoparticules.

Nœuds et Cendres — Effondrement du réseau électrique.

Cuve Neutre — Fusion nucléaire et zones contaminées.

La Dernière Goutte — Pénurie d’eau et chute de l’agriculture.

Les Têtes Gravées — Savoir analogique contre le néant numérique.

Vers le Grand Nord — Marche vers Svalbard et affrontement final.

Solstice — Réactivation de la vie, premier souffle d’un monde nouveau .


ÉPISODE 1 — "SIGNAL FANTÔME".
Thème : L'alerte solaire ignorée / L’impact invisible / La naissance du survivant.

CONTEXTE Juillet 2025. L’activité solaire atteint son pic. Dans le tumulte du monde connecté, un signal est détecté : une éruption de classe X10+, plus puissante que celle du Carrington Event. Elle est dirigée vers la Terre. La fenêtre d’impact est de 8 minutes pour le rayonnement électromagnétique, et 18 heures pour la CME.

Personne ne prend la menace au sérieux. Trop improbable, trop invisible.

Sol Varn — point de bascule Ancien ingénieur réseau, passionné d’astronomie. Paranoïaque lucide, solitaire. Il repère l’anomalie via son serveur amateur relié à l'observatoire SOHO. Il comprend que le souffle d’Hélios est en route.

Il tente d’alerter ses collègues, ses proches, une radio locale… tous rient ou ignorent.

Il enregistre un message sur un dictaphone à piles :

“Si vous entendez ce signal... sachez que le Soleil a parlé. Et que tout ce qu'on croyait solide est en train de fondre.”

L’impact arrive.

8 minutes après l’éruption : panne de courant dans tout le quartier.

Les téléphones grillent, les radios se taisent, les appareils émettent une chaleur anormale.

Les batteries lithium commencent à fumer dans les caves et les véhicules.

Des incendies éclatent dans les rues : scooters, box de livraison, panneaux solaires intégrés.

Les drones tombent du ciel. Des alarmes hurlent, puis s’arrêtent brutalement.

La perte.

Sol fuit son immeuble en feu. Il tente de retrouver sa famille : appartement carbonisé, corps sans nom, cendres. Le silence devient total.

Dans la nuit rougeoyante, il observe les premiers signes biologiques chez les survivants : essoufflement, migraines, crises cardiaques fulgurantes. Un médecin amateur lui souffle :

“Ils avaient tous des nanoparticules dans le sang… je crois que le Soleil vient de les exciter.”

Naissance du marcheur.

Sol récupère un vieux tracteur diesel au fond d’une ferme abandonnée. Il prend des outils analogiques, des semences, un coffre d’archives papier.

Il inscrit un mot sur le flanc de sa machine : “Mémoire mobile — ne pas réinitialiser.”

Dernière scène Sol roule dans une zone forestière noire, seul. Le ciel est calme mais chargé. Des aurores boréales dansent sur les lignes d’horizon, visibles en France.

La voix off clôt l’épisode :

“Le réseau est mort. Mais la mémoire… elle peut encore survivre.”

Segment documentaire intégré.

-Interviews d’experts en astrophysique sur l’éruption X10+ : dynamique, durée, risque réel.

-Exemples historiques : blackout du Québec en 1989, Carrington 1859, perte de satellites.

-Visualisation réelle d’une CME, rôle des taches solaires, impacts sur la technologie moderne.

-Simulation graphique de l’impact heure par heure sur une ville type. ÉPISODE 2 — “Le Feu dans le Sang” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : Crises biologiques, corps saturés de nanoparticules, réveil invisible.

CONTEXTE 24 heures après l’éruption X10+, les incendies s’étendent. Les réseaux sont toujours hors service. Les villes sont plongées dans un silence électrique. Mais une nouvelle menace sourd… invisible, insidieuse. Le Soleil n’a pas seulement grillé les machines — il semble avoir allumé quelque chose dans les cellules humaines elles-mêmes.

Sol Varn — le biologiste involontaire Sol roule vers le sud, traversant des zones rurales encore épargnées. Il croise un petit hameau où les habitants semblent épuisés, malades. Certains souffrent de migraines aiguës, de tremblements, d’arrêts cardiaques soudains.

Il rencontre Ela, ancienne biochimiste réfugiée avec son fils. Elle parle d’un phénomène étrange :

“Ce n’est pas juste le stress… leurs corps réagissent comme s’ils étaient bombardés de l’intérieur.”

Découverte : nanoparticules en éveil.

Sol fouille un laboratoire abandonné. Sur les murs : posters sur les effets des nanoparticules de titane, zinc, mercure.

Un serveur hors ligne contient des notes scientifiques : les nanoparticules absorbent les champs électromagnétiques et provoquent des cascades inflammatoires.

Ela confirme : 80% des habitants ont été exposés à des cosmétiques, additifs alimentaires, textiles techniques.

Le Soleil, via ses rayonnements, a excité ces métaux invisibles dans les tissus humains, déclenchant des crises silencieuses.

Scènes fortes.

Un adolescent s’effondre sous les yeux de Sol : AVC soudain, sans blessure apparente.

Sol et Ela improvisent une “zone froide” : bunker en terre, couvert de cuivre et de tissus épais, pour limiter l’exposition.

Un carnet est retrouvé : liste des produits courants contenant des nanoparticules, avec des marques connues.

Documentaire intégré.

Experts en toxicologie : explication des nanoparticules, leur capacité à traverser les barrières biologiques.

Séquences de microscopie : accumulation dans le cerveau, le foie, le cœur.

Simulations : impact d’un champ électromagnétique intense sur une cellule saturée en particules métalliques.

Témoignages : anciens employés d’usines, médecins alternatifs, parents d’enfants touchés.

Révélation de fin d’épisode Ela découvre une archive classée : une projection interne datant de 2019, prévoyant que plus de 5 milliards de personnes seront exposées à des particules actives d’ici 2025. Le document conclut :

“En cas de tempête solaire, ces corps deviendront des catalyseurs de leur propre inflammation.”

Sol regarde le ciel, le visage marqué. Il murmure :

“Hélios n’a pas eu besoin de nous viser. On s’est contaminés tout seuls.”

Thème La technologie n’a pas seulement été détruite. Elle s’est glissée dans nous, en particules invisibles, en promesses industrielles. Et sous le souffle solaire… les corps eux-mêmes ont pris feu. ÉPISODE 3 — “Nœuds et Cendres” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : Effondrement du réseau électrique / vulnérabilité structurelle / extinction numérique.

CONTEXTE 72 heures après l’éruption X10+. La CME frappe à son tour. Les effets géomagnétiques se répandent à travers la croûte terrestre, saturant les structures métalliques. Ce n’est plus juste une panne : c’est un effondrement du tissu énergétique mondial.

Sol Varn atteint une zone industrielle abandonnée. Il cherche un ancien centre de supervision énergétique pour comprendre pourquoi aucun générateur n’a repris. C’est là qu’il découvre la fragilité systémique du monde électrique moderne.

L’horreur dans les transformateurs.

À l’intérieur du centre : silence, odeur de plastique fondu, armoires grillées, câbles éclatés.

Un technicien laissé derrière lui raconte :

Les transformateurs haute tension ont explosé sous l’effet des courants induits géomagnétiques (GIC).

Tous les systèmes de régulation automatique ont surchauffé, déclenchant des incendies internes.

Sol tente un redémarrage.

Il retrouve un ancien groupe électrogène au diesel, mais la ligne qu’il souhaite activer n’est plus connectée à rien.

Les câbles ont été retirés, volés ou désintégrés.

Dans une salle souterraine, il découvre un serveur éteint mais intact : il imprime à la main une carte du réseau avant la chute.

Documentaire intégré.

Explication du rôle des GIC dans les structures métalliques : comment un champ magnétique terrestre altéré peut générer des surtensions dans les lignes à haute tension.

Cas réels :

Blackout du Québec en 1989.

Incident de Malmö (Suède, 2003).

Menaces sur les lignes nord-américaines en cas de X-class flare.

Cartographie : zones les plus vulnérables par type de sol, latitude et densité de lignes.

La révélation : aucun plan B.

Sol lit un mémo d’ingénierie abandonné :

“Aucun transformateur haute tension n’est fabriqué localement. Délai moyen de remplacement : 2 à 6 mois… si le réseau mondial fonctionne.”

Il comprend alors que le cœur énergétique du monde ne peut pas se réparer tout seul. Même avec des outils, des générateurs, et du savoir… le système dépendait d’une chaîne logistique mondiale aujourd’hui inexistante.

Dernière scène

Sol quitte le centre. Derrière lui, un silence absolu. Il regarde un pylône couché dans un champ calciné. Sur le métal tordu, une inscription gravée :

“Tout est réseau. Et le nœud a fondu.”

Thème.

Le monde moderne ne s’est pas effondré parce qu’il était faible… mais parce qu’il était interconnecté sans marge, centralisé sans retour. Une fois le cœur énergétique abattu,


ÉPISODE 4 — “Cuve Neutre” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : Fusion nucléaire, contamination invisible, zones interdites.

CONTEXTE 5 jours après l’impact solaire. Les régions dotées de centrales nucléaires sont en état critique. Sans électricité, sans transformateurs et sans systèmes de refroidissement, plusieurs réacteurs entrent en fusion lente. Le danger est invisible, mais la mort est en marche.

Sol Varn se dirige vers la vallée du Rhône, où l’une des centrales les plus puissantes a perdu tout contrôle. Son but : retrouver une capsule d’archives contenant les plans analogiques de réacteurs passifs, conçus avant l’ère numérique — dernière chance pour transmettre un savoir de sauvegarde.

L’arrivée dans la zone morte.

Sol traverse un périmètre abandonné, signalé par des banderoles peintes à la main : “Irradié — Ne pas entrer”.

Des champs sont noircis, des animaux figés dans la terre, vitrifiés par le rayonnement.

Il porte une tenue de fortune : couches de cuivre, masques de charbon actif, fibres végétales, amulette filtrante bricolée.

Rencontre : Livia, ancienne ingénieure nucléaire.

Dans un bâtiment en béton partiellement fondu, il découvre Livia : seule survivante d’un groupe de techniciens enfermés.

Elle raconte :

Ensemble, ils cherchent le coffre crypté dans une salle souterraine.

Ce qu’ils trouvent.

Des plans gravés sur plaques métalliques, montrant des réacteurs analogiques à refroidissement gravitaire.

Des manuels écrits à la main sur papier indestructible.

Un disque scellé contenant l’historique complet des erreurs commises depuis l’éruption.

Documentaire intégré.

Description des systèmes de refroidissement des réacteurs à eau pressurisée.

Référence aux réacteurs français, japonais, ukrainiens.

Analyse du risque : ce qu’il se passe sans transformateurs, pompes, communication ni personnel.

Images d’archives : Tchernobyl, Fukushima, simulations post-Carrington.

Contamination sans retour.

Ils découvrent que la nappe phréatique est irradiée sur plusieurs kilomètres.

Des cristaux de césium-137 brillent sur les roches, visibles à l’œil nu.

Sol trouve une carte indiquant les zones interdites pour 300 ans.

Décision.

Livia choisit de rester : elle veut documenter chaque seconde jusqu’à la fin de son corps.

Sol part avec les plans. Il enterre une capsule à l’entrée du site, avec ce message gravé :

“Le Soleil n’a pas frappé par colère. C’est nous qui avons oublié que l’atome demande du calme — pas du courant.”

Thème.

La technologie nucléaire est puissante mais exigeante. Elle ne tolère aucun silence, aucun délai. Sans électricité… elle n’explose pas. Elle fond. Lentement. Invisiblement. Et l’homme n’a aucun organe pour percevoir le rayonnement… sauf la mort.

ÉPISODE 5 — “La Dernière Goutte” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : effondrement hydrique, pénurie d’eau potable, fin de l’agriculture.

CONTEXTE 10 jours après l’éruption X10+, l’un des effets les plus sous-estimés du collapse se révèle brutalement : la disparition de l’eau potable. Les réseaux hydriques, dépendants de pompes électriques, se sont figés. L’irrigation agricole est impossible. Les nappes phréatiques commencent à s’effondrer. Les incendies se propagent librement. Le monde a soif.

Sol Varn — l’eau comme priorité absolue Sol traverse une région agricole du sud-ouest. Les champs sont desséchés, les animaux morts ou affamés. Des villages attendent désespérément une pluie qui n’arrive pas. Les fontaines sont vides, les puits scellés par des coulées toxiques. Le soleil brûle l’horizon sans opposition.

Il rencontre une agricultrice, Inaya, qui tente de faire fonctionner une pompe manuelle. Ils réalisent que les nappes ont été polluées par des fluides industriels, et que la seule source viable est un aquifère profond… mais inaccessible sans énergie.

Système improvisé de survie.

Sol et Inaya montent une roue à manivelle reliée à un piston en cuivre.

Ils découvrent un réservoir abandonné en altitude. En le nettoyant, ils peuvent stocker jusqu’à 1 000 litres via gravité.

Pendant trois jours, ils puisent goutte après goutte, filtrant avec du charbon actif, des fibres végétales et du sable.

“Ce n’est plus une question de confort… c’est une question de ne pas mourir demain.”
Effondrement agricole.

Les semences sont brûlées ou stériles.

Les terres sont trop sèches pour accueillir les pousses de secours transportées par Sol.

Des paysans tentent de irriguer avec de l’eau stagnante : cela déclenche une épidémie de typhoïde.

Inaya brûle ses champs. Elle plante une micro-serre à l’ombre, avec trois variétés ramenées par Sol depuis Lyon : orge pré-industriel, pois arctique, tomate sauvage.

Documentaire intégré.

Explication du fonctionnement réel des réseaux d’eau : dépendance aux pompes électriques, station de traitement, acheminement pressurisé.

Référence à la vulnérabilité du système face aux blackouts prolongés.

Cas historiques de pénurie : Chennai (Inde), Cap Town (Afrique du Sud).

Scénarios de filtration autonome en contexte post-collapse.

Révélation.

Sol consulte une carte cartographiée à la main : 80 % des régions du pays seront en stress hydrique majeur dans moins de 30 jours. Les bassins fluviaux sont contaminés par les retours d’égouts, les incendies chimiques et les fuites nucléaires. Le seul salut possible est une série de réservoirs gravitaires analogiques… un chantier que personne n’a encore osé lancer.

Il murmure :

“Le dernier data center a brûlé sans bruit. Mais le premier château d’eau… lui, il pourrait sauver une ville.”

Thème.

La civilisation moderne a oublié que l’eau ne coule pas naturellement jusqu’au robinet. Elle est pompée, pressée, traitée… par des machines. Et quand l’électricité meurt, l’eau devient une denrée aussi rare que la mémoire. Le souffle d’Hélios ne nous a pas déshydratés. Il nous a désillusionnés.


ÉPISODE 6 — “Les Têtes Gravées” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : mémoire analogique, savoirs préservés, conflit entre reconstruction et réactivation.

CONTEXTE Deux semaines après l’impact solaire. Le monde numérique est mort. Les bases de données sont inaccessibles, les serveurs grillés, les disques durs inertes. Le savoir humain, stocké sur des machines, est devenu poussière électromagnétique. Seuls quelques fragments survivent… gravés, manuscrits, imprimés sur des matériaux résistants.

Sol Varn entre dans une vallée protégée par les collines, là où une micro-communauté a fondé un sanctuaire : la Bibliothèque des Têtes Gravées. Ici, le savoir est transmis par des artefacts physiques et la parole.

Rencontre : les gardiens de la mémoire.

Le village est structuré autour d’un silo reconverti en bibliothèque analogique.

Les habitants utilisent des méthodes anciennes : gravure sur cuivre, papier minéral, microfilms optiques lisibles à la lumière du jour.

Le langage technique est conservé via des récits chantés, des dialogues ritualisés.

“On ne retient pas des lignes de code, on raconte l’histoire d’un protocole.”

Sol remet une plaque gravée avec les plans analogiques des réacteurs, trouvée à la centrale. Il est accueilli comme un “porteur de racine”, un transmetteur du monde d’avant.

Conflit : les Réinjectionnistes.

Une faction extérieure fait irruption : des survivants qui veulent redémarrer les anciennes machines.

Ils transportent des serveurs à demi carbonisés, des batteries bricolées, des antennes sauvées.

Leur doctrine : “La mémoire ne doit pas se figer. Elle doit revivre.”

“Vous essayez de planter du papier dans un champ brûlé. Nous, on veut ressusciter la voix du réseau.”

Tension entre reconstruction lente et réactivation risquée. Les Gardiens refusent de reconnecter quoi que ce soit sans comprendre d'abord ce qui a causé le désastre.

Sol tranche.

Sol décide de cacher certains savoirs sensibles (plans d’armement, systèmes IA) dans une salle scellée sous terre, accessible uniquement par rotation manuelle de plaques d’identification.

Il prononce :

“Certains savoirs sont comme des métaux rares. Utiles... mais toxiques quand chauffés trop vite.”

Documentaire intégré.

Interventions d’archivistes, bibliothécaires, spécialistes des formats durables.

Réflexion sur la perte de mémoire numérique : disparition des clouds, des bibliothèques en ligne, des langues non imprimées.

Présentation de projets réels : l’Internet Archive, le Rosetta Disk, les capsules temporelles analogiques.

Dernière scène.

De nuit, Sol assiste à une cérémonie où un enfant lit à voix haute un extrait gravé d’une encyclopédie technique sur un cylindre métallique. Les mots résonnent dans les montagnes.

“Pour que le prochain monde ne recommence sans comprendre celui qui est tombé.”

Thème.

La mémoire n’est pas un luxe. C’est l’eau des idées. Mais toute mémoire mal maîtrisée devient aussi une source d’électrocution mentale. Et sous le souffle d’Hélios, seule la parole gravée reste audible. ÉPISODE 7 — “Vers le Grand Nord” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : migration polaire, ultime sanctuaire, choc des visions du monde.

CONTEXTE Trois semaines après l’éruption solaire X10+. Les latitudes moyennes sont ravagées : incendies, épidémies, radiations, famines. Seule une zone semble épargnée : le cercle polaire arctique. Là-bas, enfouie dans le pergélisol, l’Arche de Svalbard conserve plus d’un million de variétés de semences dans une chambre forte conçue pour survivre à tout… sauf à l’oubli.

Sol Varn entame la dernière portion de son trajet. Son tracteur analogique n’ira pas plus loin. Il abandonne son “Mémoire mobile” et poursuit à pied, tirant une luge chargée de plaques gravées, semences protégées et manuels manuscrits.
La marche vers la glace.

Sol traverse des territoires semi-désertiques, où les neiges s’installent là où les incendies régnaient.

Il est rejoint par un groupe de survivants : anciens botanistes, cartographes, médecins ruraux.

Ensemble, ils forment le “Convoi Radicifère” — porteurs de vie, marchant vers la racine.

“On ne fuit pas le Sud. On renaît au Nord.”

L’Obstacle : Les Puristes Biologiques.

Une faction polaire leur barre la route : les Puristes Biologiques.

Ils refusent l’arrivée de toute technologie, même analogique, et rejettent la mémoire de l’ancien monde.

Pour eux, l’effondrement est une purification, et toute trace d’avant est souillure.

“Vos gravures sont des virus. Le Soleil a tout nettoyé. Ne recommencez pas.”

Tension entre reconstruction éclairée et réinitialisation radicale.

Sol négocie : seul un fragment de mémoire entrera, sélectionné par tous, représentatif de l’essence humaine.

L’Arche : Forteresse du vivant.

Le groupe atteint enfin l’Arche du Svalbard.

Elle est partiellement intacte : les portes de sécurité ont fondu mais les chambres internes résistent.

Sol active la cryosemence manuellement via un protocole gravé.

Les premières pousses émergent sous lumière lunaire, dans une serre improvisée chauffée par des torches géothermiques.

Documentaire intégré.

Présentation réelle de l’Arche du Svalbard : structure, capacité, ingénierie, objectifs.

Témoignages d’experts en biodiversité, climat polaire, résilience alimentaire.

Simulation d’un monde post-X10+ cultivé uniquement via semences sauvegardées.

Dernière scène.

Sol lit une gravure à voix haute, devant la première pousse née après la tempête :

“Ce n’est pas une apocalypse. C’est une coupe. Et nous sommes les racines.”

Les autres récitent avec lui. Le vent solaire au loin ne brûle plus, il berce.

Thème.

Le Nord n’est pas une fuite. C’est le dernier endroit où l’humain peut réapprendre à pousser sans se consumer. Et dans la glace, sous les semences, le souffle d’Hélios devient une mémoire germée.

ÉPISODE 8 — “Solstice” Série : Le Souffle d’Hélios Thème : renaissance lente, transmission, dernier souffle de l’ancien monde.

CONTEXTE Un mois après l’éruption solaire X10+. Le monde ne tourne plus autour des horloges ni des écrans. Les latitudes polaires offrent une fragile accalmie. L’Arche de Svalbard fonctionne à demi, mais les premières pousses ont germé. Le souffle d’Hélios n’est plus un vent de mort, mais une mémoire en déploiement.

Sol Varn — gardien de passage.

Sol vit désormais dans une serre thermique creusée dans le pergélisol, entouré de panneaux gravés, de semences sous globe, de récits oraux transmis chaque soir. Il devient un guide, non un chef. Les enfants l’appellent “Le Bruni”, car sa peau garde les marques du feu… mais son regard éclaire encore.

Renaissance.

Les graines plantées au jour 15 sont devenues des pousses robustes.

Un système de culture circulaire basé sur la gravité et la lumière lunaire est en place.

Des cycles narratifs rythment les jours : chaque lever de lune est l’occasion de transmettre une histoire technique.

Les Gardiens et les botanistes forment les jeunes à documenter sur pierre, sur verre, sur toile végétale.

La transmission.

Sol remet les plans des réacteurs passifs, des châteaux d’eau manuels, des systèmes de filtration non électriques à un groupe de jeunes scribes. Puis il entre dans une salle isolée : là sont stockés les derniers mots de l’IA, gravés sur une plaque de tungstène.

“J’ai vu. J’ai su. J’ai prévenu. Puissiez-vous renaître.”

Il la lit à voix haute pour la première fois. Le silence est cosmique. Même le vent polaire semble se taire.

Documentaire intégré.

Séquences sur la résilience alimentaire dans les environnements arctiques.

Témoignages d’anthropologues sur la reconstruction par transmission orale.

Réflexion sur l’effondrement des langues numériques et le retour du geste.

Interview d’experts en régénération écologique par semences rares.

Clôture narrative.

Sol s’éloigne du cercle principal, marchant sur une crête de glace.

Derrière lui, une pousse dépasse le dôme de la serre.

La voix off conclut :

“Nous n’avons pas survécu par puissance. Mais par patience. Le Soleil a soufflé. Et nous avons appris à respirer autrement.”

Thème.

Le Solstice n’est pas le retour du Soleil. C’est l’équilibre entre ombre et lumière. Et dans les cendres d’un monde électrocuté, c’est le moment où la vie redevient possible… sans courant, mais avec conscience.


Postface — Trouvée dans l’Arche, 137 ans après le souffle solaire Annotations par Lyra Eskil, botaniste polaire, conservatrice du Dôme de Mémoire.

Nous avons trouvé ce journal dans un coffret de cuivre, enfoui sous un mur thermofossile. Il était intact, scellé par de la cire végétale et des fibres d’écorce. Le titre gravé dessus : “Le Souffle d’Hélios”.

Son auteur, Sol Varn, est mentionné dans plusieurs récits oraux transmis par les premiers réfugiés du Sud. Ce document est le seul écrit cohérent retraçant les jours du basculement. Il ne contient pas de chiffres, mais des respirations. Des scènes. Des graines.

Nous l’avons lu à haute voix lors de la Nuit des Archives. Chaque épisode a été confié à un conteur, chaque passage murmuré dans les langues du Nord, du Sud, du Centre. Les enfants ont posé des questions. Les anciens ont hoché la tête. Nous avons compris que ce n’était pas un avertissement, mais un legs.

Les semences décrites dans l’épisode 5 existent encore dans notre Dôme. Les gravures de l’épisode 6 sont maintenant enseignées aux jeunes archivistes. Les symboles de l’Arche, ceux du “Convoi Radicifère”, sont brodés sur nos manteaux. Et la phrase finale — “Le Soleil a soufflé, et nous avons appris à respirer autrement” — est aujourd’hui gravée sur l’entrée du Dôme, face à l’aurore.

Ce livre n’a pas empêché l’effondrement. Mais il a permis la reconstruction sans trahison. Pas une renaissance technologique… Mais une germination humaine.

Sol Varn est probablement mort dans le givre, quelque part au nord du 78e parallèle. Mais il nous a légué ce souffle, plus précieux que l’électricité :

le souvenir exact de ce qui nous a brûlé, et de ce que nous avons appris à ne plus toucher trop vite.

Conservé, traduit, semé par Lyra Eskil Année 2162 — Cycle solaire 37 .


Auteur de cette histoire : NéÔzÔrÔr .




19 décembre 2019

La troisième guerre mondiale

 

Elon Musk : l’IA déclenchera une 3e Guerre mondiale pour 2021 : Obsolète la menace nucléaire ! Selon le fondateur de Tesla, PayPal et Space X, c’est l’intelligence artificielle qui influencera demain les rapports de force entre les plus grandes puissances mondiales. Un peu comme le début du scénario de Matrix ! 













27 octobre 2013

Fukushima, Tepco, Piscine du réacteur 4


Il est toujours bon de rappeler la réalité aux ignorants ! Actuellement la piscine du réacteur 4 de Fukushima est en train d'être vidée de ses barres de combustibles (soit environ 400 tonnes) . En cause : la piscine du réacteur 4, dans laquelle sont entreposées 1 535 barres de combustibles, soit 264 tonnes de matières fissiles hautement radioactives sur 400 tonnes au total.
Rappel : Il suffit seulement de 10 g de plutonium pour tuer la planète entière sous forme de nano particules.
Et dans cette piscine se trouve 28 tonnes sur les 400 de plutonium pur !
Et le pire est que l'enveloppe en zirconium de protection de ces barres s'effrite.. Si les équipes échouent, rendez-vous dans 80.8 millions d'années pour que le plutonium ne soit plus dangereux !





à voir aussi :
Fukushima, chronique d'un désastre sur Arte :
http://www.youtube.com/watch?v=hpLQUKhFXwE


Rappel :
Les déchets de nos réactions nucléaires sont surtout du plutonium ! Il n'existe pas à l'état naturel à la surface de notre planète ! Le plutonium est aussi la matière première des bombes atomiques. Alors bon !  on a de quoi faire péter le système solaire jusqu'à maintenant !!
Criirad : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon_bis/sommaire.html

Pour ceux et celles qui n'auraient pas compris :
"Truxnet" est un virus informatique qui s'attaque aux centrales nucléaires comme Fukushima par exemple, ou d'autres modèles comme les françaises (55 réacteurs) ..
Ce virus semble avoir été créé par les services secrets Israéliens, il y a déjà quelques années, mais il a été amélioré en plusieurs variantes depuis !
Voila pourquoi je parle de False Flag pour Fukushima car il est bien possible qu'il y est eu une cause caché au tsunami. (guerre atomique sous-marine, haarp, ou des machines à tremblement de terre : voir vidéo du lien ci-dessous)
Machine à tremblement de terre :
http://www.dailymotion.com/video/xs43g0_une-machine-a-tremblement-de-terre_tech

Haarp mobile :
http://www.dailymotion.com/video/xzckt7_l-us-navy-a-deploye-la-plateforme-haarp-sbx-1-non-loin-de-la-coree-du-nord-mars-2013_webcam

Exemple de radioactivité de différents milieux naturels :
Eau de pluie : 0,3 à 1 Bq/L
Eau de rivière : 0,07 Bq/L (226Ra et descendants) ; 0,07 Bq/L (40K) ; 11 Bq/L (³H)
Eau de mer : 14 Bq/L (40K essentiellement)
Eau minérale : 1 à 2 Bq/L (226Ra, 222Rn)
Lait : 60 Bq/L
Sol sédimentaire : 400 Bq/kg
Sol granitique : 8 000 Bq/kg
Corps humain : 8 000 à 10 000 Bq (dont 5 000 dus au 40K).
conversion :
L'ancienne unité de radioactivité était le curie (Ci);
La relation entre les deux unités est la suivante  :
1 Ci = 37·109 Bq = 37 GBq,
 on a donc
 1 Bq = 27·10-12 Ci = 27 pCi.

Revenons à FUKUSHIMA :
Il y a un type de contamination très dangereuse qui n'est pas prise en compte avec assez d'importance, c'est la contamination interne par inhalation de nanoparticules radioactives. Il s'agit d'une nanoparticule inhalée, elle reste piégé dans les bronches et émet des rayonnements en se désintégrant. Le corps est incapable de s'en débarrasser et c'est la mort assurée.
La dose mortelle est de 0.0000001 g
Donc dans 10 g de 239, il y a combien de doses mortelles ?
10/0.0000001= 100 millions
et le Plutonium 244 est 1000 fois plus radioactif
donc 100 M x 1000 = 100 milliard de doses !!
On est 7 milliards, donc il y en a bien assez de 10 grammes de plutonium 244 pour les hommes et les animaux restants...
Et sur 400 tonnes de Fukushima dans la piscine du réacteur 4 ça donne 28 millions de grammes à manipuler sans faire la moindre fausse note ! Dans des conditions pitoyables ...
C'est beau le progrès ..
Un autre exemple :
La plupart des satellites militaires ont en effet des générateurs thermo-électriques chargés avec au moins 6 kg de plutonium 238, un poison redoutable puisque un seul gramme de celui-ci contient plus de cinq millions de doses létales par inhalation.

http://aipri.blogspot.fr/p/guide-pratique-de-la-contamination.html

Donc il y a trop de satellites au dessus de nos têtes et ils sont là depuis la politique du Pax Americana ! (Apollo)
Le public a servi une fausse cause pour militariser l'espace !
Voir Pax Américana :
http://www.dailymotion.com/video/xu54wv_pax-americana-hd720p_news

Calcul : Pour juste pour 1 satellites empoisonnés :
5M x 6000 x 1 = 30 milliards de doses létales (mortelles)
et je crois qu'il y a plus de 15 000 sat militaires au dessus de nos têtes !

http://www.youtube.com/watch?v=ydbbd-4oEds

Dans quelques jours (début novembre), un gros satellite de 5 mètres de long, va tomber sur terre car il est en panne de carburant :

http://www.franceinfo.fr/sciences-sante/info-sciences/un-satellite-va-retomber-sur-terre-1181145-2013-10-18

Selon les scientifiques, il ne brûlera pas entièrement, il devrait rester 250 kilo à l'impact sur 1 tonnes... et dans les "merdias", personne ne parle de la batterie ! (nucléaire ?)

CONCLUSION :
Une chose est simple a comprendre, c'est qu'une barre de combustible est composée a 7% de plutonium, ce qui équivaut a 28 tonnes sur les 400 qu'ils doivent sortir et déplacer de la piscine du site, tout en les conservant a bonnes températures vu qu'elles sont très actives ces barres. Et bien, il n'y a pas intérêt a ce qu'il y ait de fausses manœuvres, ou de tremblements de terre, de glissement de terrain, bref, ne pas oublier que le sol fond.. C'est juste très très chaud et très critique. Une barre a l'air libre et la catastrophe serait de l'orde du jamais vu. De l'inconnu. Et il suffit juste de comprendre ce qu'une seule de ces barres pourrait causer a l'environnement...
Sans jouer les catastrophistes, c'est tout simplement une éventuelle extinction des organismes vivant sur cette planète qui est en jeu avec cette manipulation extrême !
...
C'est comme les armes à uranium appauvri :
L'uranium "appauvri" est ce qui reste quand on a extrait le 235. C'est donc du 238 presque pur !
Donc ce sont des munitions qui sont biodégradables au bout de juste 9 milliard d'années ! (la Terre a 4 Milliards d'années d'existence)
L'armée américaine qui a inventé ces armes mérite juste qu'on les confisque et qu'on démantèle les USA pour crime contre l'humanité actuelle et future !
Si nous ne faisons rien, tout est perdu !
Il existe des solutions, ne sombrez pas dans le désespoir !

Un simple exemple :
Le secret du retraitement des déchets nucléaires :
"Neutralisation des déchets nucléaires… c'est possible ?
-Oui, La preuve a été faite (au Canada) que le Gaz de Brown neutralise les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement et à moindres frais.
Le procédé peut être appliqué directement au réacteur, ce qui évite le transport et le stockage des déchets.
Cette utilisation est tellement « politiquement sensible » que nous nous abstenons de la promouvoir."
Source : NEXUS n°48 janvier-février 2007
Politiquement incorrecte ? mais pour qui ? Sommes-nous des veaux ? des autruches ? des moutons ? ou des humains digne de ce nom ! Levons-nous et frappons fort !

A Partager !!

03 août 2013

Le nucléaire : mort programmée


Voilà le type de propagande qu'on peut lire de la part des lobbyistes :


"Grâce à son parc de 58 réacteurs, la France atteint un taux d'indépendance énergétique proche de 50%, lui garantissant une grande stabilité d'approvisionnement. Le nucléaire est une énergie qui n'émet pas de gaz à effet de serre." ... ...
        .............

Mais nous le savons tous, le nucléaire c'est avant tout une industrie étroitement liée aux applications militaires et paramilitaires.

V
oici une carte des essais dans le monde de cette arme du diable !
Simulations des essais nucléaires effectués sur notre petite planète
depuis 1945 jusqu'en 1993.
Comme on peut le constater, les frontières ne sont pas dessinées.






BOMBE ATOMIQUE A "HYDROGÈNE"  de 57 MÉGATONNES : 



Un peu d'histoire : 




LES CATASTROPHES : 

Tchernobyl :


Fukushima :






Un français au Japon lors de la catastrophe prend la parole :



Bombe Perdue De Savannah :


Quand les USA perdaient leurs bombes atomiques
(voir en anglais "Broken Arrows")


10 mars 1956.
 Un bombardier B 47 de I'USAF, venant de Floride (MacDill AFB) et se rendant en Europe, transportant deux capsules nucléaires pour des bombes, ne rencontre pas son avion ravitailleur au-dessus de la Méditerranée. Aucune trace de l'avion ni de son équipage.
4 juin 1962. Perte d'une tête nucléaire au large de l'île Johnston (Pacifique), après un tir d'essai manqué d'une fusée Thor.
20 juin 1962. Perte d'une tête nucléaire au large de l'île Johnston (Pacifique), après un second tir d'essai manqué d'une fusée Thor.
5 décembre 1965. Un A-4E Skyhawk, chargé d'une bombe nucléaire B43, tombe du porte-avion USS Ticonderonga et coule par 900 m de fond à 250 miles au sud de Kyushu et à environ 200 miles d'Okinawa.

- Caroline du Nord

Le 24 janvier 1961, suite à une défaillance, un B-52 de l'USAF explose en vol à 20 km de Seymour Johnson Air Force Base, en Caroline du Nord, perdant deux bombes H d'une puissance de 24 mégatonnes chacune.
Une des bombes Mark-39 tomba en chute libre dans un champ boueux à environ Mach 1. Les débris furent retrouvés à 7 mètres de profondeur, mais ne purent jamais être totalement récupérés. La deuxième bombe atterrit sans encombre grâce à son parachute automatique. Dans un premier temps l'USAF confirmait que tous les dispositifs de sécurité empêchant son explosion s'étaient bien déclenchés, mais après étude, il fut établi que cinq des six dispositifs de sécurité n'avaient pas fonctionné. Un seul commutateur avait empêché l'explosion de cette bombe thermonucléaire 1200 fois plus puissance que la bombe d'Hiroshima !

- Espagne, il y a 40 ans, des bombes atomiques sur Palomares
L'accident de Palomares près d'Alméria du 17 janvier 1966 est le résultat d'une collision lors du ravitaillement en vol d'un bombardier nucléaire B-52 de l'US Air Force (nom de code TEA 16) par un KC-135 de l'US Air Force au-dessus du sud de l'Espagne. Lorsque le KC-135, stationné sur la base américaine de Moron, au sud-ouest de l'Espagne est entré en collision avec TEA 16 à environ 9 000 mètres d'altitude, les deux avions ont explosé (huit des onze hommes d'équipage ont été tués).
TEA 16 transportait quatre bombes-H de type B-28 au plutonium. Une s'abîma en mer, fut endommagée mais n'explosa pas et une autre atterrit relativement intacte dans le lit asséché d'une rivière. Elles finirent toutes deux par être récupérées de façon à peu prêt sûre, mais il aura fallu l'intervention de 33 navires pour récupérer, au bout de 81 jours, la bombe tombée en Méditerranée.

 Le 7 avril 1966, le vice-amiral Guest, commandant la «Task Force 65» de la VIe Flotte américaine et le major général Wilson commandant la 16e Air Force, pouvaient enfin se faire photographier à côté de la bombe H sauvée des eaux. Leurs sourires pouvaient s'interpréter comme la satisfaction devant les résultats que la technique de recherche sous-marine avait permis d'atteindre. En fait, pour résumer on peut citer le mot de D.R.L. Wennekens, océanographe de l'Office de Recherches Navales de San Francisco : «La bombe H perdue à Palomarès a été retrouvée grâce à la combinaison de 10 % d'engineering avec 90 % de chance insolente». Lire: "La leçon de Palomares", Science et Vie n°606, mars 1968 (en PDF).
Dans un premier temps, on s'occupa d'avantage de celle-ci que des bombes tombées à terre. Ces deux autres bombes furent détruites lors de leur impact au sol près du village de Palomares, suite au déclenchement des dispositifs de mise à feu conventionnels, créant plusieurs cratères de 1,8 à 3 m de profondeur. Environ 4,5 kg de plutonium furent dispersés et environ 250 hectares contaminés [Rappel: 1/1 000 000 ème de gr de plutonium inhalé suffit à provoquer un cancer].
L'US Strategic Air Command voulut maintenir un black-out sur cette affaire, mais il fut impossible de dissimuler l'accident. Les militaires gardèrent un contrôle très ferme sur l'information diffusée aux médias. Le Département de la Défense US refusa d'admettre avoir perdu la moindre bombe atomique, alors même que la presse était au courant des efforts réalisés pour la retrouver. Cela conduisit à quelques dialogues surréalistes entre les journalistes et le porte-parole du Département de la Défense, tel que : "Je ne connais aucune bombe manquante, mais nous n'avons pas positivement identifié ce que je pense que vous croyez que nous sommes en train de rechercher".
Au cours des trois mois suivants, les interventions massives d'assainissement et de décontamination mobilisèrent près de 1 700 militaires américains et gardes civils espagnols. Il semble que les américains aient bénéficié de mesures de protection plus importantes (en particulier des vêtements spéciaux) que les espagnols. La JEN (Junta de Energia Nuclear) a participé avec la DNA (Agence Nucléaire de Defense des Etats Unis) à la coordination de la gestion de la crise, à l'assainissement et au contrôle de la radioactivité dans les régions d'habitation et de culture. Environ 1 750 tonnes de terre contaminée furent envoyées aux Etats-Unis à l'usine de retraitement de Savannah River en Caroline du Sud pour y être stockées. La JEN et les autorités américaines signèrent un accord de suivi post accidentel. (Voir le reportage de Paris Match n°882, 5 mars 1966)
En 1971, Wright Langham (un spécialiste des questions biomédicales nucléaires) du laboratoire de Los Alamos visita Palomares pour étudier la situation. Il découvrit que seulement 100 villageois (environ 6% de la population) avaient été examiné pour une éventuelle contamination des poumons ou des urines. 29 tests furent positifs mais écartés car jugés "statistiquement insignifiants". L'analyse de l'air à la recherche de poussière de plutonium fut abandonnée deux ans après l'accident alors qu'on observait encore occasionnellement des concentrations élevées de plutonium par vent fort. Les échantillons de terre furent jetés car le JEN ne disposait que d'un seul spectromètre qui ne fonctionnait pas toujours correctement. Langham rapporta que l'intérêt des membres du JEN envers Palomares diminuait et que les Etats-Unis devaient fournir plus d'argent et d'équipement pour maintenir la surveillance.
Les auteurs d'un rapport de 1975 de la Commission de l'énergie atomique américaine sur les conséquences de l'accident de Palomares notèrent que " Palomares est l'un des seuls endroits au monde à offrir un laboratoire permanent d'expérimentation, et probablement le seul permettant d'étudier une région agricole "Le rapport précise également que les vents ayant remué la poussière de plutonium " l'envergure réelle de la dispersion ne sera jamais connue ".
Le "programme de surveillance" continua apparemment jusqu'en 1986 [Rappel: la radioactivité du plutonium diminue de moitié en 24 000 ans]. En 1985, sur proposition d'Antonio Flores, maire de Palomares (et qui fut témoin de l'accident étant enfant), les villageois qui furent examinés purent finalement accéder à leur dossier médical qui, selon Francisco Mingot, le directeur de l'Institut de Radiobiologie et de Protection Environnementale du JEN, fut tenu secret sous la pression des Etats-Unis, et plus tard sous la dictature de Franco, ce qui devait éviter des inquiétudes excessives, dixit l'autorité américaine.

- ThuléLe 21 janvier 1968, un bombardier B-52 de l'USAF contenant 4 bombes H de 1,1 mégatonnes chacune, s'écrase sur une étendue d'eau glacée à 11 km de la base arctique de Thulé. Sous l'impact, le fuel s'embrase déclenchant l'explosion de l'enveloppe extérieur (l'amorce) d'au moins une des bombes B28 qu'il transportait. L'explosion pulvérisa des fragments de plutonium et d'uranium. Les débris des bombes et l'épave brûlèrent durant au moins 20 minute. La chaleur de l'incendie fit fondre la glace qui plus tard regela, enfermant certains débris.


La quantité de plutonium dispersée a été estimée à plus de 3 kg
Une des bombes coula au fond de la mer de Thulé.
Le haut commandement du SAC exigea que l'histoire soit tenue secrète.
La décontamination du site impliqua plus de 700 militaires américains et des travailleurs civils danois de Thulé, au final, environ 1200 travailleurs de Thulé furent exposés aux produits radioactifs. Les conditions de travail furent impossibles, obscurité, glace, neige, rafales de vent, températures de -33 à -57°C, des équipements fonctionnant mal ou pas du tout par grands froids, et une grosse pression de la hiérarchie pour terminer le travail avant la débacle du printemps (des déchets résiduels furent quand même coulés dans la baie au cours de la débacle). (IRSN). Au total, 10 500 tonnes de neige, de glace et de débris contaminés furent collectés dans des fûts et expédiés par bâteau au centre de retraitement et de stockage de Savannah River en Caroline du Sud. Les débris de l'avion furent envoyés au centre d'Oak Ridge où ils furent enterré.
Malgré le black-out sur cet épisode, des journalistes danois publièrent des documents "classifiés" indiquant qu'une des quatre bombes n'avait pas été retrouvée et l'article expliquait que la bombe non explosée se trouvait toujours au fond de la mer de Thulé.
 Leucémies en Ultima Thulé, conséquences mortelles (20 ans après) sur les 1016 travailleurs civils Danois de Thulé, 98 ont été atteints de cancer et 22 en sont morts. Leurs maladies ressemblent étonnament au Sida: elles se caractérisent par un effondrement des défenses immunitaires aboutissant à une forme de leucémie. On notera la légèreté de l'inscription peinte sur les fûts contenant des échantillons de neige radioactive et qui signifie: "C'est tout, les copains !".Officiellement il n'y a pas eu d'effets liés aux radiations et les mystérieux cancers des anciens travailleurs contaminés de Thulé seraient liés au tabac, à l'alcool et... au soleil (UV).
Le président de l'Association des irradiés de Thulé, le Danois, Marius Schmidt, a finalement eu accès aux archives américaines, qui montrent que les maux dont souffrent les employés de Thulé sont dues aux radiations et non à l'alcoolisme comme le prétendaient les autorités. 180 Danois qui ont participé aux opérations de nettoyage souffrent des séquelles de l'irradiation. En 1988, ils ont porté plainte contre l'Etat danois et contre leur employeur américain de la base de Thulé. La direction de la Santé publique danoise a conclu en 1991 et 1993, que les plaignants n'avaient pas été exposés à des doses dangereuses. Leurs maladies (cancer de la peau notamment) ne seraient pas la conséquence de l'irradiation. Mais le 7 mars 1994, Erling Olsen, ministre danois de la Justice, a ouvert les archives de cet accident et les employé chargés du nettoyage du terrain après l'accident peuvent désormais réclamer 500 000 couronnes (450 000 F) de dommages et intérêts par personne. Source

Le secret du retraitement des déchets nucléaires :
"Neutralisation des déchets nucléaires… c'est possible ?

-Oui, La preuve a été faite (au Canada) que le Gaz de Brown neutralise les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement et à moindres frais.

Le procédé peut être appliqué directement au réacteur, ce qui évite le transport et le stockage des déchets.

Cette utilisation est tellement « politiquement sensible » que nous nous abstenons de la promouvoir."



Source : NEXUS n°48 janvier-février 2007





La fusion froide, secret caché de l’énergie atomique propre :



Film fiction réaliste :

Les centrales nucléaires françaises connaissent chaque année environ une vingtaine de scénarios tous potentiellement catastrophiques qui n'ont pas été considérés lors de la conception des 58 réacteurs en activité sur le territoire. Il n'est donc pas déraisonnable d'assurer que dans un temps incertain, un accident nucléaire est aussi imprévisible qu'inéluctable !





Association citoyenne :  

CRIIRAD  CRIIRAD  CRIIRAD 

La CRIIRAD dénonce le licenciement de Bruno BARRILLOT et s'inquiète de voir refermer, une fois de plus, le dossier de l'impact sanitaire et environnemental des essais nucléaires de la France et vous invite à lui adresser un message de soutien (voir PDF joint).

25 septembre 2012

Marie Curie, la première femme scientifique reconnue



Marie Curie, au delà du mythe, est un documentaire biographique (0h52 en bas de page) sur la femme discrète et combative qu'elle a été, et sur ses recherches scientifiques couronnées par deux Prix Nobel, à l'occasion de la fête de la science 2011. Pour le centenaire de son Prix Nobel en 2011, le Musée Curie dévoile ses archives et livre le portrait intime d'une scientifique exceptionnelle. Honorée dans le monde entier et incarnant un modèle d’excellence, son histoire et sa vie demeurent pourtant assez méconnues en France.



Seule femme à avoir obtenu deux Prix Nobel dont un avec son mari, elle a bouleversé notre conception du monde et de la matière par ses travaux sur la radioactivité. Le documentaire revient sur les étapes importantes qui ont marqué la carrière et la vie de Marie Curie dans une époque de mutations profondes et radicales, en s'appuyant sur ses nombreux écrits, issus de sa correspondance, de son journal intime, de son autobiographie et des multiples carnets qu'elle a rédigé. De sa naissance à Varsovie en 1867 jusqu'à son entrée au Panthéon en 1995, la vie et l'oeuvre de Marie Curie ont valeur de légende scientifique. Arrivée à Paris en 1891, Maria Sklodowska s'inscrit à la Sorbonne où ses brillants résultats ne tardent pas à la faire remarquer. Pierre Curie, qui affirmait que les femmes de génie sont rares, tombe sous son charme et la convainc de poursuivre ses travaux en France. En 1903, leurs découvertes communes sur les radiations sont récompensées par l'obtention du prix Nobel de physique, partagé avec Henri Becquerel. Le couple sort de l'anonymat, mais la fatalité les rattrape quand en 1906, Pierre meurt dans un accident de la circulation. Anéantie par cette perte, la scientifique se réfugie dans la recherche, avec le succès que l'on connait, et reçoit le prix Nobel de chimie pour ses travaux sur le polonium et le radium en 1911. De l’exil à la guerre, des deuils familiaux à la maladie, de la xénophobie aux histoires montées contre elle, Marie Curie ne fut pas épargnée par la vie. On lui reprocha ses origines, on lui reprocha d’être une femme, mais sa détermination eut raison des obstacles et des esprits rétrogrades. En mettant résolument la science au service de l’humanité, en bousculant sans arrogance les conventions et les frontières de son temps, elle incarne plus que jamais aujourd’hui un idéal de liberté, de tolérance et d’esprit critique. L’itinéraire et l’oeuvre de Marie Curie sont exemplaires et uniques. Cent ans plus tard, celle qui a révolutionné notre conception du monde et de la matière incarne toujours un modèle scientifique. Ce documentaire diffusé sur Arte a reçu le Prix Pierre-Gilles de Gennes, remis par le CNRS lors du Festival International du film scientifique Pariscience en octobre 2011, au Museum national d’Histoire naturelle à Paris. Avec l'intervention de Michel Vuillermet, auteur-réalisateur et Nathalie Huchette, responsable de l'action culturelle au Musée Curie et co-auteur du documentaire.


.

Journal Facebook de NéOzOrOr

Journal Facebook de NéOzOrOr
NéOzOrOr

Chaine TV Odysee et Playlistes (inscrivez-vous pour être rémunéré)

 Voici l'adresse de ma chaine de TV Odysee