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31 octobre 2021

Pédocriminalité étatique

 

Depuis toujours les sphères du pouvoir se sont attribués les droits d'abuser des enfants en toute impunité. L'histoire a démontré une pédocriminalité au sein de toutes les églises et synagogues ainsi que dans de nombreuses communautés religieuses ou sectaire. Depuis le début de la révolution 3.0 avec l'arrivé d'internet, la pédocriminalité a explosé et de nouveaux services et formations ont vues le jour pour lutter contre ce fléau international. En France Karl Zéro annonce la couleur avec un enfant sur cinq qui a été victime, soit 20% de la jeunesse française qui a subit des sévices sexuels. Son film documentaire sorti en octobre 2021 est une bombe pour ceux qui ignorent encore cette honteuse réalité. NéOzOrOr



 

Karl zéro Absolu : 
Nous dédions ce film à toutes celles et ceux qui, enfants, ont été sexuellement abusés . Aux enfants qui le sont aujourd'hui. Ensemble, nous devons faire changer la peur de camp. Ensemble, nous allons définitivement éradiquer ce fléau de notre société. Nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui nous aidé à produire ce film, grâce à leurs dons, sur Ulule et Tipeee. La bataille ne fait que commencer. Nous allons avoir besoin de vous toutes et tous. Car 1 sur 5, ça fait 13 500 000 personnes...Plus toutes celles et ceux à qui 1 SUR 5 va ouvrir les yeux. Ca fait du monde. Ca tombe bien, la présidentielle arrive. Nous allons maintenant nous charger d'aller expliquer la réalité de la situation aux candidat.e.s. Leur proposer 5 mesures d'urgences. Et nous vous diront tout. Qui reprend nos mesures dans son programme, qui s'engage à les faire voter dans les cent premiers jours, et qui... n'en n'a rien à faire. Parce que si le fléau pédocriminel n'est pas un enjeu de société, alors...qu'est ce qui en est un ? Si d'aventure (on ne sait jamais) le film disparaissait d'ici, il resterait visible sur :  https://www.1sur5.org 

Je rajoute un lien Odysee pour que la censure de ce documentaire ne soit pas possible
(merci la technologie blockchain du réseau Odysee ! ) 



Pour compléter le travail de Karl, je partage celui de Stan : 




et le travail de Marcel : 



Maintenant que vous savez, vous ne pouvez pas rester inactif. 
Rejoignez-nous dans la lutte ! 




NéOzOrOr 



16 octobre 2012

Le monde secret du Vatican

A la lumière du passé, le présent s'éclaire...
(Vidéos censurées sur Youtube).

Rome est l'un des berceaux de la civilisation occidentale. Cette ville accueille en son sein un Etat : le Vatican.

Chaque jour, fidèles ou simples curieux s'y pressent par milliers pour recevoir la bénédiction du Pape ou pour admirer les trésors du plus petit Etat souverain du monde. Mais la visite s'arrête là. La vie du Saint Siège est toujours restée confidentielle...


Pour la première fois, l'Eglise a accepté de lever le voile sur deux mille ans d'Histoire. Des caméras ont été autorisées à filmer et à écouter.

Ce documentaire propose un voyage unique au coeur du Vatican, ponctué de rencontres inédites avec des hommes, des femmes et des enfants qui consacrent leur vie au service du Pape.

Ces serviteurs de Dieu ouvrent au téléspectateur les portes d'un monde jusque là resté inaccessible : archives secrètes, musées, basiliques, nécropole, observatoire et jardins...




@+

21 décembre 2011

Abus rituels maçonniques

Témoignage de Kristin Constance, 2011


Les témoignages comme celui-ci sont nombreux, détaillés et officiels. Pourquoi personne n’en parle alors que certains tribunaux ont jugé de telles affaires ? C’est le tabou ultime de l’homme moderne dégénéré.


Rien qu’à Melbourne, en Australie, 153 cas de violences rituelles ont été identifiés entre 1985 et 1995.

Sous-titre manquant après « J’ai subi des mutilations génitales » à 11:50 : « qui est le sévice le plus ultime qui puisse être infligé à un être humain, selon l’Organisation Mondiale de la Santé. »


Témoignage de Svali, ex-illuminée :








29 avril 2010

Pédocriminalité






LE FIGARO


Un prêtre pédophile hébergé dans l'ancien évêché du Pape

Mots clés : pédophilie église, pédophilie église, MUNICH, MUNICH, Benoit Xvi, Benoit Xvi
Par Jean-Marie Guénois
13/03/2010 | Mise à jour : 09:30
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Le Pape Benoît XVI était l'archevêque de Munich au moment des 
faits.
Le Pape Benoît XVI était l'archevêque de Munich au moment des faits. Crédits photo : AFP

L'Église allemande a confirmé que l'abbé H. avait été accueilli en 1980 afin de suivre une thérapie.

Nouveau rebond dans la crise des prêtres pédophiles qui secoue l'Église allemande. Il touche cette fois Joseph Ratzinger, quand il fut archevêque de Munich entre 1977 et 1982 même si sa responsabilité directe est écartée. Ce diocèse a reconnu vendredi soir, par communiqué, qu'un prêtre, présumé pédophile, un certain «abbé H.» avait été pris en charge par l'archevêché en janvier 1980 pour suivre une thérapie avec l'accord de l'archevêque. Il semble que le prêtre ait été « accueilli » dans un premier temps à l'archevêché avant qu'un autre hébergement lui soit trouvé, dans une paroisse, afin qu'il se fasse soigner.
C'est après la diffusion hier, de cette information par le site du quotidien munichois Süddeutsche Zeitung, que l'archevêché a préféré confirmer la nouvelle par voie de communiqué : «À la demande de l'évêché d'Essen, l'abbé H. a été accueilli dans l'archevêché de Munich et Freising en janvier 1980.» Ce texte officiel poursuit : « Il a été décidé en 1980 d'accorder un hébergement à l'abbé H. dans une paroisse, afin qu'il puisse suivre une thérapie. L'ancien archevêque a participé à la prise de décision.»
Mais le diocèse de Munich reconnaît avoir commis une « erreur » - et sur ce point il disculpe la responsabilité de Mgr  Joseph Ratzinger - en permettant ensuite à ce prêtre de reprendre des fonctions de pastorale. « L'abbé a été affecté à titre indéterminé en tant qu'assistant-aumônier dans une paroisse du diocèse de Munich par le vicaire général de l'époque », explique le communiqué. En l'occurrence, Gerhard Gruber qui a pris cette seconde décision.
Lourde de conséquences : le pédophile présumé, s'il n'a commis aucun abus sexuel sur des mineurs dans la période qu'il a passée à Munich de 1980 à 1982, en a perpétré ensuite quand il a été muté à Grafing. Il a été condamné en 1986. «L'affectation à plusieurs reprises de l'abbé H. dans des fonctions spirituelles était une grave erreur. J'en assume l'entière responsabilité», a déclaré Mgr Gerhard Gruber dans le communiqué.
Interrogé, hier soir, sur cette affaire, le Vatican, par la voix de son porte-parole, le père Federico Lombardi, a estimé qu'avec ce communiqué «toute l'affaire est expliquée». Écartant toute responsabilité de Benoît XVI, il a directement renvoyé à Mgr Gruber qui assume la décision d'avoir remis ce prêtre en fonction malgré le risque encouru.


Souffle du cyclone 

Cette nouvelle information vient alimenter une polémique déjà explosive en Allemagne où dix-neuf diocèses sur vingt-sept connaissent la révélation d'affaires de prêtres pédophiles. Une réaction en chaîne qui a commencé, en janvier dernier, dans le prestigieux collège jésuite Canisius de Berlin pour des faits qui remontent aux années 1970 et 1980. Dans une lettre adressée à 500 anciens élèves, l'actuel supérieur, le père Klaus Mertes, a reconnu des agressions «systématiques et pendant des années».
Dès lors, toute l'Église catholique allemande est en crise. Mais le souffle du cyclone approche la personne du Pape, précisément sur la période où il était archevêque de Munich. Cette semaine, beaucoup s'interrogeaient, sans preuve toutefois, sur sa gestion interne, en particulier pour un scandale dans une abbaye bénédictine de son diocèse mais sur laquelle il n'avait aucun pouvoir. Son frère aîné, Georg Ratzinger, qui fut chef de chœur de la chorale de Ratisbonne, est aussi publiquement en cause. Un scandale a été soulevé dans le lycée catholique dont sont issus les chanteurs de ce chœur réputé, mais dans une période où Georg Ratzinger affirme qu'il n'était pas en responsabilité.
Le trouble et la confusion sont tels que le président des évêques allemands, Mgr Robert Zollitsch, a été reçu hier à Rome par Benoît XVI qui lui a redit son «soutien » dans la tempête. En sortant, Mgr Zollitsch a confié que «toute la lumière doit être faite», car «les victimes y ont droit». Il a ajouté que le Pape était «très ému» de la situation.
L'Église allemande a pris de nouvelles mesures de contrôle : « Il n'y a pas d'autres groupes en Allemagne, a-t-il fait remarquer, qui ait pris des mesures aussi claires.»


LE FICHIER DE LA HONTE, UN CD-ROM DE LA LISTE DES PÉDOPHILES LES PLUS CHAUDS ! 

C'est une semaine sainte particulièrement mouvementée pour le Vatican.
En choisissant d'attaquer ouvertement le travail des journalistes du New York Times, le Saint-Siège s'est publiquement dressé contre le traitement médiatique des scandales d'abus sexuels commis par des ecclésiastiques en Irlande, Allemagne, Australie et Etats-Unis. Accusé d'avoir livré une présentation "peu équitable" du cas d'un prêtre pédophile du Wisconsin (Etats-Unis) dont les agissements auraient été couverts par le cardinal Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, le quotidien américain a vigoureusement défendu le sérieux de son enquête et pointé vers de nombreux documents fournis par les avocats des victimes.
Depuis la mise au jour des cas de pédophilie au sein de l'Eglise catholique, puis de l'implication présumée du pape dans l'occultation de certaines d'entre elles, la presse et le Vatican tirent à boulets rouges l'un sur l'autre. Le "ton offensif" des journalistes a été dénoncé par le Vatican dans des communiqués, et des appels à un traitement médiatique plus équitable circulent sur la Toile. De son côté, le Saint-Siège s'est borné à l'envoi d'une lettre aux catholiques irlandais, pays très touché par les scandales, dans laquelle il reconnaît la responsabilité de l'Eglise et présente des excuses. En dehors de cette lettre, la communication du Vatican est limitée, pour ne pas dire inexistante.
Vincent Neymon, consultant et ancien directeur de la communication du Secours catholique, est l'un des responsables de l'association Médias et évangile qui livre, par l'intermédiaire de son blog, un certain nombre de points de vue sur le traitement des sujets liés au Vatican et à la religion catholique. Selon lui, le Vatican ne dispose pas d'une stratégie de communication organisée, et d'ailleurs, cela n'est pas dans son intérêt. "Le Vatican n'est ni une organisation, ni une entreprise ; il s'agit d'une tête de réseau qui exprime une vérité, par conséquent une stratégie de communication serait presque suspecte", explique-t-il. "Cela dit, il y a un véritable effort à faire de la part de l'Eglise, qui diffuse un message non seulement complexe, mais surtout qui va à contre-courant de l'air du temps."


"LE PAPE A INTÉRÊT À RENDRE SON MESSAGE AUDIBLE"


Antony Torzec, rédacteur en chef de Radio Fidélité et correspondant de Radio Vatican pour l'ouest de la France, abonde dans ce sens. "Cette absence de stratégie était déjà visible lors de la polémique qui a suivi le discours de Ratisbonne en septembre 2006, au cours duquel Benoît XVI avait émis des critiques sur la religion musulmane, et qui a donné lieu à une communication décidée au coup par coup, presque heure par heure", estime-t-il. Lui aussi reconnaît que le Vatican a finalement peu intérêt à s'immiscer "dans les affaires du monde" : "le Vatican livre ses vérités et ensuite, peu importe comment celles-ci sont répercutées dans chaque pays, ce qui n'est pas sans poser problème, car les sociétés ont considérablement évolué".


De fait, les canaux de transmission des messages issus de la papauté ne sont plus les mêmes. Antony Torzec souligne qu'"il y a 50 ans, le message de l'Eglise passait par différentes strates, les prêtres et les évêques y jouaient un rôle très important, car chacun à leur niveau, ils adaptaient le message à leur public." "Or aujourd'hui, le message est envoyé directement aux fidèles et aux médias, avec un risque de déformation", ajoute-t-il.


"Ceci dit, tempère Vincent Neymon, la non coordination de la communication vaticane ne pose pas de problème tant que les choses sont faites de manière professionnelle." Selon lui, la hiérarchie de l'Eglise catholique est moins rigide qu'elle n'y paraît et laisse à "des millions de voix" la possibilité d'exprimer leur propre lecture du dogme. "En revanche, on voit se développer, dans le contexte de crise actuelle, un certain nombre de dérives qui consistent à prendre la défense de Benoît XVI jusqu'à en faire un martyr", regrette-t-il. Pour lui, le problème n'est pas là : "certes, le pape exprime sa vérité, mais le pape est aussi dans le monde, il a donc tout intérêt à essayer de rendre son message audible et intelligible pour tout le monde."



Prêtre pédophile
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"POUR L'ÉGLISE, DIEU EST SEUL JUGE"


Pour Didier Heiderich, président de l'Observatoire international des crises (un groupe de conseil spécialisé dans la communication de crise), "communiquer en temps de crise revient à protéger un patrimoine, et dans le cas de l'Eglise, il s'agit du dogme". "Or l'Eglise et la société vivent dans deux temporalités distinctes, ajoute-t-il, ce qui entraîne un problème de réactivité de l'Eglise par rapport à ce genre d'affaires, et cette lenteur est très mal perçue par le public."


Derrière l'absence ou la faiblesse de la communication de l'Eglise se cache aussi un refus d'aborder certains sujets qui font débat depuis des décennies, comme le célibat des prêtres. "Si le Vatican va trop loin dans l'ouverture, il court le risque d'une remise en cause des principes adoptés lors du Concile de Vatican II." Ce concile a beau avoir clôturé ses travaux en 1965, il est considéré, dans la temporalité du catholicisme, comme beaucoup trop récent pour être remis à plat. "Le décalage entre une société vaticane qui n'a pas évolué depuis des siècles et une communauté de croyants dont les pratiques ont profondément changé devient considérable", constate-t-il. Un décalage accentué par la distance avec laquelle le Vatican traite l'affaire, une distance que Didier Heiderich explique simplement : "il ne faut pas oublier que pour l'Eglise, Dieu est seul juge".


La différence d'approche temporelle entre l'Eglise et la société pourrait aussi expliquer le refus de considérer une quelconque démission du pape. "Ce scandale peut durer un an, deux ans, cinq ans, mais dans dix ou quinze ans ils seront probablement oubliés, dans le temps du Vatican, ça n'est rien", explique Didier Heiderich. "Autant une entreprise doit protéger son capital et son image très rapidement en cas de crise, autant l'Eglise n'est pas dans cette urgence-là."


Un manque de réactivité qui risque toutefois de lui porter un grave préjudice, d'autant plus que ces affaires surgissent en pleine année du sacerdoce, durant laquelle l'Eglise catholique doit se pencher sur le rôle et la mission du prêtre, dont l'image est plus que ternie par la succession d'affaires les mettant en cause.


extrait Le monde.fr par Audrey Fournier


Prêtres pédophiles :
un psychiatre accuse l'Eglise d'avoir ignoré ses avis

Le psychiatre d'un prêtre pédophile catholique allemand, qui avait été accueilli il y a trente ans dans le diocèse de l'actuel pape Benoît XVI pour y suivre une thérapie, affirme, vendredi 19 mars, que l'Eglise a ignoré pendant des années ses mises en garde.
Brisant le secret médical, le neurologue et psychanalyste Werner Huth raconte dans l'édition en ligne de la Süddeutsche Zeitung avoir déconseillé très tôt à l'archevêché de Munich-Freising de laisser le prêtre H. travailler au contact d'adolescents. Condamné pour pédophilie en 1986, ce prêtre a été suspendu lundi pour avoir enfreint l'interdiction de s'occuper de jeunes. Il avait été accueilli en 1980 dans le diocèse du pape actuel, alors cardinal Joseph Ratzinger, malgré les soupçons qui pesaient déjà sur lui et à condition qu'il suive une thérapie.
Au plus tard en 1985, alors que Josef Ratzinger est cardinal à Rome, l'archevêché obtient un avis médical de 60 pages du docteur Huth qui conclut : "Je considère qu'il est exclu qu'on laisse le père H. travailler encore avec des adolescents", peut-on lire dans la Süddeutsche Zeitung. Les autorités diocésaines "ne doutent pas que M. Huth dit la vérité", ajoute le quotidien munichois.
En 2008, l'archevêché de Munich-Freising avait demandé une nouvelle expertise à un autre spécialiste qui avait jugé que le prêtre était entièrement apte à remplir des fonctions ecclésiastiques. Faisant fi de cet avis positif, les autorités diocésaines avaient fini, des années plus tard, par interdire au prêtre de travailler avec des jeunes et l'avaient cantonné à des fonctions d'aumônier pour les vacanciers.

LA SUITE SUR http://www.pedopolis.com/ 
Interview de Jérémy Lehut: Affaire Maillaud et... par JaneBurgermeister

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