29 novembre 2012

La révélation des pyramides (suite)


Contact Facebook : Jacques Grimault 

Un Documentaire Exclusif sur les Pyramides dévoile des secrets qui changent le monde.

Que sait-on réellement sur la grande pyramide de Gizeh ?
-Imaginez un film qui modifie à jamais votre vision du passé.
-Imaginez que l'on découvre un pan oublié de notre Histoire.
-Imaginez que cela puisse concerner notre avenir.
-Imaginez que ce ne soit pas une fiction...

Voici tout ce qu'est LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES, l'enquête qui change le monde.


La révélation des pyramides, film réalisé par Patrice Pooyard et produit dans les Studio « Ekwanim Productions » nous emmène aux quatre coins de la planète à la découverte des sites archéologiques les plus incroyables du monde.

Les pyramides sont de véritables chefs d'œuvres architecturaux réalisées il y a plusieurs milliers d'années. Si il n'y en avait qu'une a cité, ce serait incontestablement la grande pyramide de Gizeh, dernière des 7 merveilles du monde encore présente aujourd'hui.

Construite il y a environ 47 siècles sur une colline de calcaire entièrement rasée, sa construction nous laisse sans voix :

• Cette pyramide s'appuie sur un dallage de 60 000 m2, soit la surface de 6 terrains de football,
• Elle est composée de plus de 2 millions de blocs empilés pour un poids total de 6 200 000 tonnes,
• Sa hauteur correspond à celle d'un immeuble de 42 étages,
• Elle est traversée par un couloir étroit et totalement rectiligne de près de 100 mètres,
• 130 dalles de granit hissées jusqu'à 70 mètres du sol et ajustées au 10ieme de millimètre,
• 8 face au lieu de 4,
• Elle présente une résistance hors pair aux séismes.

Mais que sait-on réellement sur sa construction ? Ce film n'est pas qu'un simple documentaire nous faisant rêver sur les exploits des bâtisseurs du passé. Au cours des minutes qui défilent, des éléments concrets et tangibles sont présentés de manière scientifique, des éléments troublant qui tendent à remettre en question notre conception de l'histoire :

• Plusieurs sites archéologiques à travers le monde ont une concordance à couper le souffle et sont alignés sur un cercle autour du globe,
• Là où certains verraient une sculpture, un ingénieur ou un scientifique pourrait distinguer une pièce de machine,
• La pyramide de Gizeh était-elle réellement le tombeau de Khéops même si personne ne peut expliquer comment elle a pu être bâtie en 20 ans,
• La grande pyramide indiquerait-elle les équinoxes, ou contient-elle vraiment Pi et le nombre d'or qui sont directement liés à la longueur de la coudée et son expression en mètres ou encore la vitesse de la lumière ...



Imaginons ne serait-ce qu'un instant que tout un pan de notre histoire ai été oublié, une partie remettant en question et modifiant à jamais notre conception du passé et notre vision de l'avenir ... Et si la grande pyramide de Gizeh était en fait un message codé envoyé à l'univers et conçu pour traverser l'immensité du temps ?

Que nous adhérions ou non aux conclusions proposées par ce film, il n'en reste pas moins que notre vision des bâtisseurs et du passé en sera à jamais changée après l'avoir regardé !
Vidéo complète ci-dessous :





RECHERCHE DE NEOZOROR :

LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES 2013, LA SUITE !!


9 faces, 9 chiffres ... et oui la base est une face cachée de 440 x 440 coudées
Et nous comptons avec nos dix doigts, en base 10 avec 9 chiffres. Le zéro est apparu plus tard dans l'histoire nous dit-on... Mais n'oublions pas les parties sous-terrainnes de la pyramide. Si nous voyons 8 faces visibles, la base est une faces invisible, mais il y a aussi comme le montre Jacques, une structure sous le niveau zéro. Et lorsqu'on mesure les distances, on retrouve des valeurs mathématiques comme le nombre d'or ou Pi . Le hasard ne semble pas exister pour ces initiés, et en voici la preuve :

Regardez ceci :

La pyramide des chiffres de 1 à 9 :
Notez la correspondance entre le nombre de 1 et les résultats.
Les expressions de l'alpha et de l'oméga : 1 & 9 :
Regardez cette pyramide de nombres : il n'y a qu'un seul 9  en bas ...


   Un NEUF ! Un Oeuf !
C'est un "ciment-mastic" inattaquable composé de granit pilé mêlé de chaux très vive et chaude à laquelle on mêlait parfois des blancs d'œufs. Cette formule secrete permet de fabriquer des pierres avec du sable. Il suffit de mouler les pierres une par une. La carriere des pierres taillées à plusieurs kilomètre ne prouve rien. Le fleuve à servit à transposter la matière première. 





Autres observations sur cette pyramide de chiffres :

On retrouve 6 fois 234 et 6 fois 432..


432 c'était l'ancienne norme de la note "LA" (432 Hz)


Et  234 + 432 = 666 ( 234 est l'inverse symétrique de 432 ) 


On peut aussi remarquer qu'il n'y a qu'un seul  9 dans la pyramide et qu'il est au milieu de "la masse" dans la couche du bas ... Représenterait-il l'élu ?
432 heures c'est 18 jours et 432 mois c'est 36 années !!

Comme 432 millions de millisecondes donne 5 jours !!!

432 = 2 x 216 = 3 x 144 = 4 x 108 = 6 x 72 = 8 x 54 = 9 x 48 = 12 x 36 

432 = 144 x 3 = (6x6x6)x2

  
432 =  12 x 36 = (6+6)x6²

 
On peut aussi l'écrire de cette façon :


2²   x 108  = 432


3²   x   48  = 432

4²   x   27  = 432

6²   x   12  = 432

et aussi :

24² -   12²  = 432



Les musiciens disent que la musique ne devrait pas avoir d'autre ton de référence que celui de la

nature et les mathématiques sont naturels puisque la nature les utilise.


Il y a plusieurs diapasons dans les formats proposés ... Mais lequel choisir ?


Le "la" en 432 Hz peut avoir la résonance naturelle... à vous de trouver et de dépasser vos superstitions !

Faite vos tests , vos recherches ..

On retrouve la suite des 9 chiffres dans l’ordre croissant puis décroissant :



666 = 1 + 2 + 3 + 4 + 567 + 89

666 = 123 + 456 + 78 + 9

666 = 9 + 87 + 6 + 543 + 21


Voici un secret utile pour comprendre le rapport :

Pythagore a caché soigneusement le secret suivant :
Dans un triangle rectangle de cotés 3,4 et 5, pythagore avait démontré que A² + B² = C² mais il a soignesement caché ceci :

3³ + 4³ + 5³ = 6³

Donc,
(3x3x3) + (4x4x4) + (5x5x5) = (6x6x6)

27 + 64 + 125 = 216 = 6 x 6 x 6

et c'est loin d'être finit : en math on peut voir ça :


Plus incroyable encore !!

666 = 6 + 6 + 6 + 6³ + 6³ + 6³


La somme des carrés des 7 nombres premiers donne :

666 = 2² + 3² + 5² + 7² + 11² + 13² + 17²


... Nous y voilà ...

Donc la religion a diabolisée le 666 pour que personne ne cherche par là !


Ainsi, chez les Babyloniens, ils utilisaient un système sexagésimal donc :

600 + 60 +6 = 666

(exactement comme nous pour compter le temps !)


Chez les Romains :

L'addition des six premiers chiffres romains donnent :

I + V + X + L + C + D = 666

Détail :

1 + 5 + 10 + 50 + 100 + 500 = 666 (valeurs romaines)


La preuve que le "9" est bien l'élu :

En suivant le principe de la table de 9 (Table Oméga) et en conservant non pas leurs valeurs numériques romaine mais leur correspondances en lettres de notre alphabet moderne le résultat donne également 666.


Regardez c'est énorme :
(Détail du calcul pour la première lettre : "I" est la neuvième lettre de l'alphabet, donc 9 x 9 = 81 )

I V X L C D = 81 + 198 + 216 + 108 + 27 + 36 = 666
(table de 9 et l'alphabet moderne)


De même que :

1+ 2+ 3 + 4 +...+35 + 36 = 666

Soit la somme de la suite des 36 premiers nombres.


666 et 36 sont très proches :

36° = π / 5

(Angles des pointes dans le PENTACLE )

et

π / 6 = 0.5236 m ...

La coudée Royale des anciens bâtisseurs de pyramides... Personne ne vous à parlé de ces choses là à l'école, ni à l'église parce qu'elles font parties des secrets d'initiés. Les secrets n'existent pas vraiment c'est pour cela qu'ils sont toujours mis en évidence sous votre nez, c'est le dernier endroit où vous irez chercher ! Aller voir ceci et commencez par là :

LE SECRET DES 9 CHIFFRES


L'unité de mesure chinoise le "mu" : (territoire de Mu ?)

Conversion des unités de surface de mu en hectare

10000 mu = 666 . 66666666667 ha
(proportion de 2/3 de 1000)


Rappel :

666 est le nombre 1110 en babylonien

car ils comptaient en base 60

(comme nous pour l'heure) donc

1110 x 60 = 66600 / 100 = 666

On peut aussi voir que

1110 + 666 = 1776 (révolution des lumières)





Les mathématiques ne sont pas une création de l'homme, mais un langage universel qu'à découvert l'homme ! Ce langage est celui que connaissaient les anciens !




Dans le documentaire "la révélation des pyramides" , Grimault fait remarquer que la coudée royale vaut PI/6 si on prends le mètre comme mesure.

PI = 3,141 592 654. PI/6 = 0,523598776.

La grande pyramide mesure en effet
.... 280 x 440 coudées !!!

Chiffres ronds qui corroborent cette définition de la coudée.

(J’ai refais les calculs pour être sûr !)


440 c'est la somme des 17 premiers nombres PREMIER :


2+ 3+ 5+ 7+ 11+ 13+ 17+ 19+ 23+ 29+ 31+ 37+ 41+ 43+ 47+ 53+ 59 = 440




440 = 23 + 33 + 43 + 53 + 63


Et pour 280 : 280 = 23 x 5 x 7


Les diviseurs de 280 sont :
1, 2, 4, 5, 7, 8, 10, 14, 20, 28, 35, 40,56, 70, 140 et lui même 280.
La somme de ses diviseurs sans "280" donne 440 !!!
Regardez :
440 = 1 + 2 + 4 + 5 + 7 + 8 + 10 + 14 + 20 + 28 + 35 + 40 + 56 + 70 + 140


VOILA !!


Mes recherches continues et avancent rapidement, dans quelques jours, je vous présenterais le reste de mon travail !
en attendant allez voir ça :
http://legosanstrique.blogspot.fr/2013/08/anomalies-archeologiques.html




La Pile de Baghdad :







En 1936, des ouvriers découvrent un ancien tombeau à Bagdad en Irak.
Dans ce tombeau se trouvaient des objets de la dynastie Perse datant de 248 à 226 avant J.C.
Un de ces objets était un "vase" de 12 cm de haut, ce vase était une ancienne pile chimique. Si on y ajoutait une solution acide ou alcaline, la pile fonctionnait.
En conclusion, 2000 ans avant la première pile, au 3e siècle avant J.C, les Perses possédaient des piles. Quelles étaient leurs fonctions, qui leurs avaient fournis ou appris l'art d'en créer ...?







Une lampe de l'Egypte antique :





Lampes perpétuelles : 

Parmi les nombreuses énigmes que la civilisation égyptienne nous a posées, il en est encore qui ne sont pas résolues, en particulier celle-ci :
Comment les égyptiens s'éclairaient-ils ?
Dans la vie courante, on sait qu'ils employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient de nombreux résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.
Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, par exemple dans celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche.
Les artistes ont travaillé sans la lumière du jour, et sans lampes à huile ni torches.
Des scientifiques ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs et des salles.
N'en déplaise à ceux qui pensent que l'Egypte n'a aucun mystère pour les savants du XXe siècle, ça ne marche pas !
Les égyptologues nous racontent que ces bas-reliefs sont voués au culte du serpent...
Erich Von Däniken a reconstruit ces bulbes en laboratoire :

La description des lampes éternelles remonte à la plus haute antiquité.
La Bible, par exemple, au chapitre 27 de l'Exode, verset 20, décrit le tabernacle avec une lampe éternelle.
De nombreux auteurs, grecs, arabes, romains et médiévaux, ont rapporté les découvertes de ces lampes, dans des tombeaux la plupart du temps, mais aussi dans des temples de l'antiquité.
Voici quelques exemples de découvertes de ces lampes impossibles :
Le satiriste grec, Lucian ( 120-180 ), vit au cours de l'un de ses voyages à Heirapolis, en Syrie, sur le front d'une statue d'Hera un bijoux brillant, qui la nuit illuminait tout le temple.
Dans un autre temple, à Baalbek, dédié à Jupiter, il existait une autre pierre incandescente-luminescente.
Numa Pompilius, le second roi de Rome, outre sa capacité à maîtriser la foudre, possédait également une lampe éternelle dans le dôme de son temple.
Plutarque rapporte qu'à l'entrée d'un temple dédié à Jupiter-Ammon, une lampe brûlait, selon les prêtres depuis la plus haute antiquité.
Le naturaliste romain, Pliny, ( Ie siècle ), théorisait sur le fait qu'une lampe remplie de l'huile la plus pure avec une mèche en amiante, pourrait brûler pour toujours.
Des idées similaires furent reprises par Hero d'Alexandrie, un siècle plus tard.
Pausanius, ( IIe siècle ), dans son "Atticus", décrit une magnifique lampe dorée dans le temple de Minerve Polias à Athènes, fabriquée par Callimachus, qui pouvait brûler pendant plus d'un an.
L'autel du temple d'Apollon Carneus et le grand temple d'Aberdain en Arménie ( rapporté par Saïd Ebn Batric ), en possédaient de semblables.
St Augustin, ( 354-430 ), nous a laissé la description d'une lampe merveilleuse d'un temple dédié à Isis, en Egypte, que, ni le vent ni la pluie ne pouvaient éteindre.
Cette lampe a également été décrite par Fortunius Licetus.
Durant le règne de Justinien de Byzance, en 527, en rénovant un vieux bâtiment à Edessa, en Syrie, on trouva dans une niche dissimulée et scellée, un crucifix et une lampe qui aurait brûlé pendant 500 ans.
En l'an 600, sur l'île volcanique de Nesis près de Naples, on trouva dans une tombe en marbre, un vase contenant une lampe dont la flamme brillait dans une ampoule en verre ; celle-ci s'éteignit lorsque le verre fut brisé. La tombe datait de l'ère pré-chrétienne.
Vers 1300, Marcus Grecus, écrivait dans son "Liber Ignium" (livre sur le feu), que l'on pouvait faire une lampe inépuisable avec une pâte à base de vers luisants.
Près de Rome, en 1401, on trouva le sépulcre de Pallas, fils du roi troyen Evandre, illuminé par une lanterne perpétuelle. Pour l'éteindre il fallut se résoudre à la briser, ou, suivant les versions, à renverser toute la "liqueur" de la lampe qui était restée allumée pendant 2600 ans.
L'évêque de Vérone, Ermalao Barbaro ( 1410-1471 ), connu pour ses traductions des fables d'Esope, a également décrit plusieurs découvertes de lampes et notamment celle faite en 1450 par un paysan près de Padoue ( Italie ), qui en labourant son champ, trouva une grosse urne en terre cuite avec deux petits vases métalliques, l'un en or, l'autre en argent.
Dans ces derniers se trouvait un fluide clair, de composition inconnue, qualifié de "liqueur alchimique", tandis qu'à l'intérieur de l'urne, il y avait un second vase en terre cuite, dans lequel une lampe brûlait.
Cette lampe fut récupérée par Franciscus Maturantius, qui l'a décrite dans une lettre à son ami Alphenus.
Sur l'urne, des inscriptions en latin, exhortaient les voleurs éventuels à respecter l'offrande de Maximus Olybius à Pluton.
Sur la voie Appienne, près de Rome, en avril 1485, on ouvrit la tombe de Tullia, fille de Cicéron, décédée en 44 av. J.C..
Une lampe qui brûlait faiblement surprit les découvreurs qui la brisèrent. Elle avait brûlé pendant plus de 1500 ans.
Le sarcophage était rempli d'un liquide sombre qui avait parfaitement préservé le corps qui fut exposé à Rome et vu par 20 000 personnes.
Ludovicius Vives, en 1610, dans ses notes sur St Augustin, dit que du temps de son père, en 1580, une lampe fut trouvée dans une tombe. Elle se brisa lorsqu'on essaya de la prendre. Une inscription révéla qu'elle était vieille de 1500 ans.
L'historien anglais Cambden, dans sa description du Yorkshire, en 1586, parle d'une lampe éternelle, trouvée dans la tombe de Constantius Chlorus, père de l'empereur Constantin le Grand, décédé en 306, en Angleterre.
Cambden rapporte la découverte d'autres lampes trouvées à la même époque, après la dissolution de l'église catholique et des grands monastères, en 1539, par Henri VIII. Les biens de l'église furent systématiquement pillés, et ces lampes méprisées en tant que reliques de la papauté. Le père jésuite Kirscher, dans son "Oedipus Aegyptiacus", en 1652, fait référence à de nombreuses découvertes de lampes perpétuelles trouvées dans des caveaux souterrains à Memphis, par ses contemporains.
En 1681, prés de Grenoble, un mercenaire suisse nommé Du Praz, trouva une étrange lampe en verre qui brûlait dans une tombe scellée.
La lampe, toujours incandescente, fut ramenée dans un monastère proche où elle continua à brûler pendant plusieurs mois, jusqu'au jour où un moine âgé la brisa.
On trouva une autre lampe, dans une ancienne tombe romaine découverte en Espagne, près de Cordoue, en 1846.
Le père Evariste-Régis Huc ( 1813-1860 ), qui a beaucoup voyagé en Asie, a laissé la description d'une lampe perpétuelle qu'il a pu voir au Tibet.
De nombreux auteurs, religieux, alchimistes et autres curieux, se sont intéressés à ces lampes impossibles.
Pour les uns, elles étaient l'oeuvre du diable, même si des religieux eux-mêmes n'y voyaient que des lampes aux propriétés étonnantes, mystérieuses mais non magiques.
Pour les autres, elles n'étaient que des supercheries, puisque si, eux, ne pouvaient fabriquer de telles lampes, elles ne pouvaient donc pas exister.
Quelques rares hérétiques, quant à eux, ont cherché une explication ou se sont mis en quête de ce savoir perdu.
Ainsi en cherchant à prouver la réalité de ces lampes impossibles, l'alchimiste allemand Brand de Hambourg découvrit en 1669, le phosphore.
De nombreuses hypothèses ont été émises sur la nature de ces différentes lampes, la plupart ont besoin d'air pour se consumer, d'autres au contraire, s'éteignent au contact de l'air (?), certaines émettent une flamme, d'autres sont phosphorescentes, leurs mèches semblent être en amiante ( la laine de salamandre ) ou en métal, l'huile reste mystérieuse, pour certains elle serait bitumineuse, pour d'autres, issue de l'or par un procédé alchimique secret, ou encore d'origine végétale ( notamment l'huile tirée d'une espèce égyptienne de haricots toxiques) ... (source)



Les crânes allongés :



7000 cranes Dolichocéphales à Malte retiré de la vue du grand public

Les livres d'histoires evitent de répondre à cette question :
Que s'ets il passé en egypte avant la dynastire des pharaons.
Pour l'histoire officielle l' histoire de l'egypte commence avec le premier pharaon Ménès-Narmer.
C'est biensur un gros mensonge par omission...
L'histoire de l'egypte a commencé bien plus tôt que les pharaons...
Ce n’est pas la première fois que l’on découvre de tels crânes, ce qui est troublant est qu’on en trouve dans toutes les parties du globe, on en aurait même trouvé en France.
Les crânes allongés présentent souvent un petit trou au sommet, dont les bords lisses laissent présumer qu’il ne s’agit pas d’orifices naturels.
Robert Connolly a ramené des crânes allongés d’Amérique du Sud, et affirme que ces déformations n’ont pas été provoquées artificiellement. La capacité cérébrale de ces crânes serait différente de la nôtre. Tous les crânes appartiendraient donc à des espèces différentes de celle du genre Homo.



Les statues de l’ile de Pâques ont un corps :
(cliquez sur le titre pour voir l'article)







Les pyramides Bosniaques : 




Il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui  " n’est pas de ce monde " 

D’énormes secrets, non révélés, sous Gizeh… !   Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre…
Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un auditoire : « Il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh. »
Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, restant vague a répondu : « -Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre. Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stockées dans une bibliothèque appelée la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le magazine Nexus n° 33.

Extrait :

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx.
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.  Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

Sous les pyramides, les vestiges gênant d’une science avancée

Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constants, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère…
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg.
De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

L’histoire oubliée des pyramides…

Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.
Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines.
Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
-Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade. Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine  “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152.
Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.
La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”. Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.
Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.
Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.
Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”.
Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.
Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.
C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh.
Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis. Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.
La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre : « Mystérieux Tunnel dans le Sphinx « 
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.
Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes. Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)

En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.
Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.



28 novembre 2012

Réseaux pédocriminels


Affaire Maillaud et réseaux pédocriminels


Qui est Jérémy Lehut ?
Site Web: http://souverainete-du-peuple.blogspot.fr/

Voici les coordonnées pour écrire aux citoyens encore en détention…
Janett Seemann (libérée le 9 février 2013)
N°17292W Maison d’Arrêt de Saintes-
59 bis rue Arc de Triomphe
17107 Saintes Cedex
- BP 311 –


Christophe Borja (libéré le 11dec 2012)

N°95-10, maison d’arrêt de Rochefort,
11 TER Rue Maréchal Gallieri,
17306 Rochefort cedex
BP 141


Sandrine Gachadoat (libérable au mois de mai 2013 en attente de jugement)
N°2782 Maison d’arrêt d’Angoulême
Rue St Roch 16016 Angoulême
BP 1358

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Source : http://www.cercledesvolontaires.fr/2012/11/27/affaire-stan-maillaud-et-reseaux-pedocriminels-interview-de-jeremy-lehut/

Pédopolis.com

Plus d'infos à ce sujet :



C’est un Laurent Louis posé, mais plus déterminé que jamais, qui est venu soutenir Janett samedi, à Amancey, dans son combat pour la lutte contre la pédocriminalité.
laurent-louis-amancey-janett-seemann.jpg« Il faut attaquer de manière organique » a-t-il dit. « On peut se rencontrer autant qu’on veut pour en parler, ça ne changera rien. Ce qu’il faut, c’est révéler la vérité à la population et montrer que nous sommes partout et que nous avons les preuves ».
Lors de son discours, d’une trentaine de minutes, Laurent Louis est revenu sur les réactions suscitées par ses révélations publiques dans les affaires Julie et Mélissa.
Il a témoigné de ce qu’il endure, au quotidien, parce qu’il est l’ « horrible parlementaire qui a osé montrer les photos d'autopsie ». « Je me fais même insulté dans la rue ».
Mais c’est aussi la première fois que la Belgique applique un article de la constitution pour perquisitionner, chez lui, un parlementaire en fonction qui bénéficie de l’immunité parlementaire.
« On veut mettre la main sur les photos qui ont pourtant fait l’objet d’un procès public ! ».



Conférence Amancey - 20 Octobre 2012 :




Sandrine Gachadoat chez "Bob vous dit toute la... par Ali-Fredo

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