21 octobre 2011

Pierre Hillard

Pierre Hillard est docteur en science politique et essayiste français.






Biographie :

Il a fait des études d'histoire, de sciences politiques et d'études stratégiques. Spécialiste de l’Allemagne, des affaires européennes, du mondialisme, de la constitution de blocs continentaux unifiés (UE, UNASUR, Union Nord-américaine à l'instigation de Robert Pastor, etc.), du partenariat transatlantique, de l'instauration d'un marché transatlantique sans entraves, des relations euro-arabes, du régionalisme et de la question des minorités nationales, il est auteur de Minorités et régionalismes dans l’Europe fédérale des régions, de La Décomposition des nations européennes, de La Marche irrésistible du nouvel ordre mondial, de la Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale et de nombreux articles dans Le Figaro, Géostratégiques, Réseau Voltaire, Conflits actuels, Intelligence et Sécurité et Balkans-Infos. Il intervient parfois sur Radio Courtoisie, et, à quelques rares occasions, sur France Culture, sur France Info ou encore France 24. Il collabore également aux publications du Cercle Jeune France

Idées :
Selon Pierre Hillard, le but de l'Union européenne n'est pas la création d'une Europe unie mais d'un bloc euro-atlantique avec les États-Unis incluant le Canada et le Mexique (Union Nord-américaine). Il cite le cas de Richard de Coudenhove Kalergi {fondateur de la Paneurope} ayant reçu la plus haute distinction européiste, le prix Charlemagne à Aix-la-Chapelle, qui affirmait déjà la volonté de créer une « Union atlantique », l'Angleterre faisant le pont entre l'Europe et l'Amérique. Il désignait l'ensemble comme une « Fédération à trois ». En raison du transfert de compétences politiques, économiques et monétaires à des blocs continentaux en voie d'unification (européen, nord-américain, sud-américain, africain, etc.), les États vidés de leurs substances sont appelés à se disloquer en raison de facteurs multiples (financiers, ethniques, économiques, etc.). Même les États-Unis, en raison de la création en cours de l'Union nord-américaine, sont appelés à éclater en plusieurs entités territoriales -cf.Igor Panarine. Ce processus en cours partout sur la planète permettra à des blocs continentaux débarrassés de leurs Etats de constituer l'architecture de la gouvernance mondiale.

Selon lui, l’esprit mondialiste, qui tend à modeler les continents et les peuples dans une uniformisation consumériste, trouve en l’islam « un dernier rempart » au nouvel ordre mondial. Islam que par ailleurs, en tant que catholique militant, il combat partout où il est présent en Europe (voir son point de vue sur l'affaire des minarets). Il est très apprécié du groupe Egalité & Réconciliation, fondée par Alain Soral8, dont la devise est « Gauche du travail et Droite des valeurs, pour une réconciliation nationale ». Selon lui, même si l'Islam défend des valeurs traditionnelles respectables (ex: la famille), l'intérêt premier de la France réside dans la défense de ses propres valeurs traditionnelles représentées par l'héritage gréco-romain et catholique.


Pierre Hillard - De la famille à la Nation en... par cocobrownlasectedupal


Ouvrages :

 Pierre Hillard sur le réseau Voltaire [cliquez ici ]








Pierre HILLARD - Vers du victoire du mondialisme ? par GENERATIONFA

14 octobre 2011

Faut-il avoir peur de sortir de l’Euro ?

SORTONS DE L'EUROPE !!!


François Asselineau

François Asselineau, né le 14 septembre 1957 à Paris, est un responsable politique français.

François Asselineau 54 ans, diplômé d'HEC Paris, vice major de l’ENA, Inspecteur général des finances, a été membre de cabinets ministériels (notamment auprès de Gérard Longuet, ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur, et d’Hervé de Charette, ministre des affaires étrangères).
Il a également été directeur de cabinet de Charles Pasqua au Conseil général des Hauts de Seine de 2000 à 2004, puis Délégué général à l’intelligence économique à Bercy de 2004 à 2006.
Rompant avec les honneurs et les allées du pouvoir, il a créé l’Union Populaire Républicaine (UPR) en mars 2007, pour convier tous les Français à se rassembler afin de faire sortir au plus vite la France de l’Union européenne.
(Voir biographie à la fin)

NéOzOrOr de la matrice: La fin de l'euro ? (neozoror.blogspot.com)

Biographie

François Asselineau est né le 14 septembre 1957 à Paris.
Diplômé d'HEC Paris en 1980, il a été reçu au concours d'entrée à l'ENA à l'issue de son service national en 1982. Sorti deuxième de la voie d'administration économique en 1985 (Promotion Léonard de Vinci) il a choisi le corps de l'Inspection générale des finances.
Il a notamment été chargé de mission auprès du Président du Crédit National puis chef du bureau Asie-Océanie à Bercy avant d'être appelé, en 1993, comme conseiller pour les affaires internationales au cabinet de Gérard Longuet, ministre de l'Industrie et du Commerce extérieur du gouvernement Edouard Balladur. En juin 1995, il devient directeur du cabinet de Françoise de Panafieu, ministre du Tourisme, dans le gouvernement Alain Juppé (1), puis en janvier 1996 chargé de mission au cabinet d'Hervé de Charette, ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Alain Juppé (2), où il est en charge de l'Asie, de l'Océanie, de l'Amérique latine et des questions économiques. A ce titre, il prépare sur le fond les voyages du président de la République et du ministre des affaires étrangères, notamment en Chine, au Japon, en Asie du sud-est et en Amérique latine. Il rencontre et participe aux entretiens avec de nombreux dirigeants de la planète, de Jean-Paul II à l'Empereur du Japon, et de Nelson Mandela aux plus hauts dignitaires chinois, Jiang Zemin et Li Peng.
Après la dissolution de 1997, il rejoint l'Inspection des finances et se rapproche de Charles Pasqua lorsque celui-ci décide, en janvier 1999, de présenter une liste aux élections européennes de juin afin de protester contre la décision de Jacques Chirac de ne pas soumettre la ratification du traité d'Amsterdam au référendum. Quelques mois plus tard, François Asselineau devient directeur général adjoint chargé des affaires économiques et internationales au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Charles Pasqua, puis son directeur de cabinet de 2000 à 2004. Nicolas Sarkozy, qui devient Président du Conseil général des Hauts-de-Seine en avril 2004, le nomme Délégué général à l'intelligence économique à Bercy, poste qui va vite se révéler sans contenu.
François Asselineau, actuellement Inspecteur général des finances et professeur à l'EMLV (Pôle Léonard de Vinci), s'est engagé en politique en 1999, en adhérant pour la première fois à un parti, le Rassemblement pour la France (RPF). Membre du Bureau National, directeur des études et porte-parole de ce parti, François Asselineau est élu Conseiller de Paris en mars 2001 sur une liste qu'il conduisait dans le XIXe arrondissement (15,8% des voix au second tour, en triangulaire contre le candidat socialiste et le candidat RPR-UDF). Après avoir adhéré un temps à l'UMP, il en a démissionné en octobre 2006.
Ecrivant sous des pseudonymes dans plusieurs revues, analysant avec acuité les raisons pour lesquelles la construction européenne conduit la France dans une impasse politique, économique et sociale d'ampleur historique, il est actuellement un penseur et un conférencier écouté. Après un tour de France pendant lequel il a expliqué dans ses conférences qui gouverne selon lui la France, il est le président-fondateur d'un nouveau parti, l'Union populaire républicaine (UPR), créée le jour du 50ème anniversaire du Traité de Rome, et dont le but est de faire sortir démocratiquement la France de l'Europe.
Marié et père de deux enfants, c'est aussi un globe-trotter impénitent qui s'est déjà rendu dans 85 pays du monde. En particulier passionné d'Asie, il a vécu au Japon et parle le japonais. 

04 octobre 2011

La dette cachée de l'Allemagne : -185% du PIB

Le quotidien Handelsblatt dévoile la dette cachée de l'Allemagne à 185% au lieu de 83% :
Endettement du PIB de l'Allemagne : 
La vérité, titre le Handelsblatt qui coupe court à la présumée parcimonie de l'Etat allemand, des chiffres faramineux à l'appui.
Officiellement, la dette allemande en 2011 est de 2 000 milliards d’euros.
Mais ce n'est qu'une demi-vérité, car la majeur partie des dépenses prévues pour les retraités, les malades et les personnes dépendantes ne sont pas inclues dans le calcul.
D'après des nouveaux chiffres, la véritable dette se chiffre en 5 000 milliards d'euros supplémentaires.
L'Allemagne serait donc endettée à hauteur de 185 % de son produit intérieur brut et non pas 83 % comme officiellement annoncé.
Par comparaison, la dette grecque devrait être de 186% du PIB en 2012, et la dette italienne est actuellement de 120%.
Le seuil critique au-delà duquel la dette écrase la croissance est de 90%.
Depuis son arrivée au pouvoir en 2005, Angela Merkel, "a créé autant de nouvelles dettes que tous les chanceliers des quatre dernières décennies réunis", remarque l'économiste en chef du quotidien économique.
"Ces 7 000 milliards d'euros sont un chèque sans provision que nous avons signé et que nos enfants et petits enfant devront payer."
Cette information explosive est présente sur boursorama depuis quelques jours...
Les merdias nous cache la bombe qui ebranlera définitivement l'Europe.
Sans langue commune en Europe, comment peut on croire en une union des états ?

L'EUROPE EST MORTE !!!


"La stratégie du choc en France, de la crise des années 1930 à celle d’aujourd'hui" from Les Films de l'An 2 on Vimeo.


WWW.BABYLONIK.FR - Bande Annonce Zapping 2007... par babylonik



A voir aussi :
Faut-il avoir peur de sortir de l'Euro


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