24 juillet 2011

La Franc-Maçonnerie pour les Nuls


     
Faut-il lire la 'Franc-maçonnerie pour les Nuls ?'


Il en est qui dédaigneront cet ouvrage par principe, jugeant le livre à la couverture jaune et noir, indigne de figurer dans une "bonne" bibliothèque maçonnique. D'autres considèreront qu'un Maçon "aguerri" (pour autant qu'on le soit jamais !) n'a que faire d'un ouvrage généraliste ? D'autres Maçons encore seront peut-être effrayés par les slogans en couverture : "Découvrez l'histoire, les symboles et les rituels des francs-maçons !", "A mettre entre toutes les mains !".

23 juillet 2011

France/Koweit : Une escroquerie de 360 Milliards de Dollars !

 

L’affaire Joseph Ferrayé...
France/Koweit : Une escroquerie de 360 Milliards de Dollars !

La racine de tous les maux, c’est l’amour de l’argent
 
Joseph Ferravé est l’inventeur des systèmes d’extinction et de blocage qui ont maîtrisé en trois mois au lieu de six à huit ans les 1.164 puits explosés en 1991 au Koweït.
Révolutionnant plus de 15.000 fois tous les procédés classiques, les systèmes Ferrayé ont été déclarés stratégiques et vendus en fraude à tous les pays producteurs de pétrole sous la couverture de la compagnie Elf, pour le compte du gouvernement de François Mitterrand et des hauts responsables français de gauche et de droite, ainsi que par le biais de la société américano-saoudienne Aramco, commanditée par l’administration Bush père et la compagnie Halliburton.

Système d'extinction - Heller
Système d'extinction Ferrayé en application au Koweït - Photo: Dr. Jack Heller, USACHPPM, Mai 1991.
Brevets des systèmes Ferrayé déposés à l’INPI et l’OMPI :Système d’extinction    Système de blocage
A l’Office européen des brevets :http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9219323&QPN=WO9219323
http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9218746&QPN=EP0593503&RPN=EP0593503&DOC=deb45b02a96922da995712cf974ff6c66d Pour les dates de dépôt visionner les documents dans le registre européen.


L’affaire Joseph Ferrayé France/Koweit Une escroquerie de 360 Milliards de Dollars ! from Patrice De Bruyne on Vimeo.

A preuve de l’application frauduleuse des systèmes Ferrayé en 1991 au Koweït, voir l’article “How well control techniques were refined in Kuwait” (Comment les techniques de contrôle des puits ont été perfectionnées au Koweït) publié dans le magazine World Oil en mai 1992 par Larry Flak, l’ingénieur texan chargé de coordonner les travaux des extinctions des puits au Koweït du 19 mars au 15 novembre 1991.
L’article décrit les caractéristiques techniques des nouveaux systèmes, mais les attribue à ABB VETCO GRAY, dont le PDG n’était autre, à l’époque, que Percy Barnevik et où siégeait, à l’office de Zürich, le futur Secrétaire à la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, qui fit de sa place au conseil d’administration le moyen pour ses complices et lui d’encaisser en toute discrétion une partie des royalties escroqués à Joseph Ferrayé.
Notons aussi bien, qu’en tant que membres du Bilderberg Group, organe archi-secret de politique mondiale, Donald Rumsfeld et Percy Barnevik en ont toujours profité pour demeurer en constante collusion avec d’autres de ses membres tels que Loïk le Floch-Prigent et Philippe Jaffre d’Elf, ou pour citer quelques ministres des premiers gouvernements responsables du vol des brevets, Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin, Bernard Kouchner, Jacques Toubon.
Voici comment débute le rapport de Larry Flak : "ABB VETCO GRAY, qui a dirigé l’atelier mécanique de Kuwait Oil Company à Ahmadi, a été capable de réaliser des procédés géométriques".
Puis l’auteur entre dans la description des caractéristiques techniques des nouveaux systèmes de Joseph Ferrayé.

Chargée de vendre les systèmes, la Saudi Aramco, opérant sous l’inspiration du Prince Bandar ben Sultan ben Abd al-Aziz Al Saoud, ambassadeur à Washington et de l’homme d’affaires libanais, artisan des accords de Taëf, Rafic Hariri, faisait en sorte de blanchir en partie les comptes provenant de leur vente par des livraisons de pétrole couvrant les parts des plus hauts responsables.
Ainsi, l’Arabie Saoudite et le Koweït fournissaient du pétrole aux sociétés désignées par François Mitterrand (Total, Fina, Elf) de manière à couvrir les montants revenant aux plus hauts responsables français, comme aux sociétés désignées par George Bush (Tam Oil) pour couvrir les montants revenant aux américains.
Pour la France, Total-Fina-Elf renvoyait le prix de ce pétrole au directeur d’Elf Aquitaine International, Alfred Sirven, qui le déposait sur des comptes collectifs dans tous les paradis fiscaux du monde et particulièrement en Asie du Sud-Est.

A cette époque, comme le raconte Naggy Bressot, l’épouse aujourd’hui séparée de l’ambassadeur Jean Bressot, alors en poste au Koweït, les ministres du second gouvernement Rocard, Pierre Joxe (Défense), Roland Dumas (Affaires étrangères) et les autres, avaient coutume de se réunir à son domicile parisien, 7 rue de Javel dans le 15ème, pour discuter des suites de leur escroquerie.

Le 13 mai 1991, deux jours avant qu’il ne présente à Mitterrand sa démission, le Premier Ministre, Michel Rocard, signe le décret complémentaire relatif à l’organisation de l’INPI n° 91-432, légalisant la délégation à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), qui s’était prêté au pillage des brevets Ferrayé, des compétences de surveillance et de contrôle dévolues au ministre de l’Industrie.
Désormais, le directeur général de l’INPI, comme l’affirme le décret : "peut recevoir délégation de signature du ministre chargé de la propriété industrielle pour exercer les compétences dévolues à celui-ci dans le domaine de la propriété industrielle et des droits annexes à la propriété industrielle".
Ainsi dissociait-on le pillage des brevets de leur exploitation illégale à travers l’Institut Français du Pétrole (IFP) et la compagnie Elf, en préparant à Dominique Strauss-Kahn, par son indépendance de façade à l’égard de l’INPI, des conditions optimales pour succéder au Ministre de l’Industrie Roger Fauroux et poursuivre avec une pleine maîtrise les opérations frauduleuses.
Enfin, par le remaniement du gouvernement, Mitterrand croyait tourner la page sur l’abject complot qu’il avait ourdi et les multiples violations légales dont il s’était rendu coupable.

A la demande du Doyen de la Faculté des Sciences de Nice, Guy Turcot, qu’il a contacté le 22 mai, dans l’espoir de faire appliquer ses systèmes au Koweït par l’intermédiaire du Gouvernement français, Joseph Ferrayé se met en contact avec l’escroc Etienne Tillié, lequel se fait passer pour un chercheur, et l’expert-comptable, Christian Basano.
Celui-ci, comprenant la nécessité de soudoyer des membres du Gouvernement ayant autorité sur Strauss-Kahn, pour lui retirer la mainmise déjà solide qu’il a sur la gestion du complot, prend, le 4 juin, l’avion pour Paris, pour s’y rencontrer avec Aurélien Garcia, chargé de mission du Premier Ministre, Edith Cresson à qui, sans en avoir avisé Ferrayé, qu’il ne connaissait en personne que depuis la veille, il propose, par l’intermédiaire de Garcia, 500.000 francs français sur chaque puits traité par les systèmes Ferrayé, en échange de sa coopération et de l’éviction de Strauss-Kahn.

Profitant de l’aubaine, Edith Cresson adresse, dès le lendemain, une lettre en trompe-l’œil à Jean-Michel Baroche, dans laquelle elle feint de lui faire croire que la nouvelle technologie inventée par Joseph Ferrayé est prête à passer sous le contrôle exclusif de la Sofremi dépendante du Ministère de l’Intérieur, dans l’intention de rappeler à tous, et surtout à Strauss-Kahn, la priorité de ses propres droits sur les revenus de l’escroquerie.
Message auquel ne manque pas de réagir aussitôt le ministre de l’Industrie qui lui promet une commission équivalente à celle qu’offrait Basano mais prélevée sur les fonds occultes de la société Elf.

Cette contre-proposition permet à Cresson de jouer la surenchère et le 17 juin, Christian Basano confirme à Aurélien Garcia l’attribution au Premier Ministre d’un million de francs par puits, de sorte que les accords secrets avec le Koweït étant en passe de changer, cet Etat délègue à l’inventeur et ses nouveaux associés dans la société CONIRA (Compagnie Niçoise de Recherche Avancée), Etienne Tillié, Christian Basano et François Colonna, le général Mohammed Al Bader, en charge du Comité de sécurité de l’Etat du Koweït, qu’ils reçoivent officiellement avec Garcia, présent en qualité de représentant du Gouvernement, le 8 juillet 1991, au célèbre Hôtel Negresco à Nice.

Mais des divisions qu’ils surent adroitement susciter entre les ministres, les associés de Joseph Ferrayé n’avaient nulle intention de le faire profiter : aussi ne tardent-ils pas à se rallier à Strauss-Kahn, devenu le principal maître d’œuvre du complot, lorsque Mitterrand, comme l’a rapporté Naggy Bressot chez qui toutes les tractations mafieuses se déroulaient, parvient à réconcilier les deux camps du gouvernement.

Puisque le système d’extinction était depuis le 7 mai 1991 frauduleusement appliqué au Koweït par les quatre principales compagnies d’extinction des puits : Red Adair, Boots and Coots, Safety Boss et Wild Well Control, sous la direction logistique de Bechtel, dont l’ancien chef du FBI et de la CIA, William Webster, signait les contrats, et la haute main de l’administration Bush, avec qui le gouvernement français l’avait partagé (voir ici ce reportage du journal télévisé d’Antenne 2, daté du 7 mai précisément, où l’entreprise américaine Boots & Coots le met à l’essai avec succès dans le champ pétrolifère d’Al Ahmadi au Koweït), il ne restait plus qu’à détourner le système de blocage, en vue de quoi, Dominique Strauss-Kahn remit, le 26 juillet 1991, à François Colonna, l’un des perfides associés de l’inventeur, une lettre adressée au ministre koweïtien du pétrole, par où d’une part il attestait son rôle prépondérant dans la gestion du complot et de l’autre accréditait les négociateurs associés de Ferrayé comme ses loyaux acolytes.

Système de blocage
Système de blocage Ferrayé en application à Rumaylah en Irak sous la surveillance d'Aisa Bou Yabes, chef de l'équipe d'extinction de la Kuwait Oil Company - Photo: Peter Menzel, 1991.

Il ne fait aucun doute que les lettres du 5 juin 1991 d’Edith Cresson, Premier Ministre, à Jean-Michel Baroche et du 26 juillet 1991 de Dominique Strauss-Kahn, Ministre de l’Industrie et du Commerce Extérieur, à Hmoud Al Raqaba, Ministre koweïtien du Pétrole, constituent des preuves de leur implication consciente et résolue dans l’escroquerie.

Edith Cresson à Jean-Michel Baroche : "J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweït. Je souhaite vivement que la qualité de cette technologie, que la société du Ministère de l’Intérieur Français SOFREMI s’apprête à prendre sous sa responsabilité, vous permette de mener à bien vos négociations avec les autorités koweïtiennes". (CM/EC/n° 897/GP , Châtellerault, le 5 juin 1991)

[N.B. Il faut avoir en tête que la Sofremi, qui sert ici d’épouvantail, était étroitement contrôlée comme l’Institut Français du Pétrole, par les politiques de droite au premier rang desquels Charles Pasqua, qui par l’intermédiaire de son homme de paille en Suisse, Patrick Chamarre, n’aura de cesse de blanchir les royalties astronomiques de Joseph Ferrayé.
Le complot qui a commencé avec les chiraquiens, comme on le verra se continuera sous leur constante surveillance.]

Dominique Strauss-Kahn à Hmoud Al Raqbah (Al Raqaba) : "J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays. Le gouvernement français est très sensible à cette intention. Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission". (CAB. n° 7702 Paris, le 26 juillet 1991)

[N.B. HORWELL est une filiale de l’IFP (Institut Français du Pétrole), spécialisée dans le forage horizontal.
En 1991 la société obtient de la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) le Prix de l’Environnement pour la "remise en état de puits de pétrole en feu au Koweït" grâce à la technologie dérobée à Joseph Ferrayé.
Quelle ironie quand on pense d’ailleurs, que pour en cacher l’utilisation et le partage frauduleux avec d’autres puissances au mépris des intérêts de la France, où les brevets en étaient déposés, le Gouvernement français et l’Institut Français du Pétrole avaient exclu la possibilité, malgré le danger encouru par les soldats français stationnés au Koweït, d’une mission d’évaluation et de maîtrise du risque écologique et sanitaire inhérent à l’incendie des puits de pétrole, quoique celle-ci ressortît en propre aux attributions de l’IFP et fût tout à la fois d’un intérêt vital et national.
Auditionné le 22 novembre 2002 par des membres de la Commission de la défense nationale et des forces armées dans le cadre d’un rapport d’information sur les conditions d’engagement des militaires français dans la Guerre du Golfe, le Directeur de l’environnement à l’IFP, Alain Feugier n’avait ou su ou voulu, à la consternation déjà grande de ses intervieweurs, fournir d’éclaircissement significatif sur la question des puits incendiés au Koweït en 1991 et sur le rôle imparti à l’IFP à cette occasion, d’autant que le gouvernement français avait veillé à ce que le Koweït et ses champs pétrolifères en particulier fussent "hermétiquement fermés" pour reprendre les mots du député Aloyse Warhouver à toute mission publique d’intérêt général.]

Les comptes provenant du Koweït furent séquestrés au printemps 1995 au nom de Joseph Ferrayé, et ceux provenant de la vente des systèmes aux autres pays pétroliers en juillet 1995 au nom de la société Wildrose Investors Group, société désignée dans le mandat établi le 3 octobre 1995 par le notaire genevois auxiliaire des escrocs, Pierre Mottu, enregistrée au Panama et gérée par Jean-Marie Ghislain, dans le but prétendu de restituer tous ses droits à Joseph Ferrayé.

Suite au dernier séquestre, les gouvernements impliqués dans l’escroquerie s’entendirent pour verser à Joseph Ferrayé, au travers de conventions, ou cessions de droits, signées en l’Etude de Me Mottu les 16 et 23 novembre 1995, près de 17 milliards de dollars (une partie des royalties provenant de l’application de ses systèmes au Koweït) en l’escroquant du même coup, par ces mêmes accords que les notaires suisses à leur solde lui firent abusivement signer, des centaines de milliards provenant de la vente de ses systèmes aux autres pays pétroliers.

De même avaient-ils escroqué l’Irak en multipliant par 2.7, selon les propres aveux de Pierre Mottu et les révélations du Procureur de Genève Bernard Bertossa au banquier André Strebel, l’offre proposée par Joseph Ferrayé au Koweït pour l’application de ses systèmes (offre envoyée le 16 juin 1991 à Issam Al Sager), passant à plus de 80 millions de dollars par puits en feu au lieu de 30, devant être officiellement prélevés, par la United Nations Compensation Commission (UNCC), sur les ventes de pétrole de l’Irak, c’est-à-dire aux dépens du peuple irakien : 1.164 puits x 30 millions = 34.920 milliards x 2.7 = 94.284 milliards de dollars.

Une plainte fut alors déposée en Suisse par Joseph Ferrayé le 29 janvier 1996, suite à laquelle la Kuwait Oil Company, à l’instigation du procureur Bertossa, du notaire de Genève Pierre Mottu et des avocats Marc Bonnant et Dominique Warluzel (tous deux décorés de la légion d’honneur, par Jacques Chirac, pour services rendus au Crime Organisé) réduisit à 610 millions de dollars (Cf. Rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU, S/AC.26/1996/5 du 18 décembre 1996, par le Comité de Commissaires chargé d’examiner la demande d’indemnisation de la Kuwait Oil Company des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits : Résumé du rapport en anglais, Rapport complet en anglais, Résumé du rapport en français), correspondant soi-disant aux montants versés aux sociétés de services (Red Adair, Wild Well Control, Safety Boss, Boots & Coots, Horwell, etc.), sa demande d’indemnisation pour les frais engagés dans la remise en état des puits de pétrole du Koweït – que le Prof. Tahir Husain, de la King Fahd University of Petroleum and Minerals de Dhahran en Arabie Saoudite, estimait en 1995, pour les seuls efforts d’extinction, à 1,5 milliard de dollars (Kuwaiti Oil Fires : Regional Environmental Perspectives, Pergamon Oxford, 1995, p. 68.) –, en reportant la différence, avec la complicité active de l’UNCC, qui prétendit à faux dans le rapport précité que la Kuwait Oil Company avait réclamé en 1993 un dédommagement de 951 millions de dollars, sur des réclamations fictives à l’Irak, du reste éloquemment documentées par les soins, ô combien louables, de l’ancien Chef adjoint de la Bibliothèque de l’ONU à Genève, aujourd’hui décédé, Theodore Dimitrov.

La surfacturation au départ imaginée par l’ancien associé de Joseph Ferrayé, Etienne Tillié, passé au service des escrocs, fut découverte par Daniel Levavasseur, le détective et ancien agent de la DST que Ferrayé avait mandaté pour récupérer son dû et qui bénéficiant de l’aide du cabinet d’investigation Kroll Associates, avait retracé quelques 100 milliards de dollars de comptes bancaires provenant du détournement des royalties de son mandant, selon sa déposition officielle du 24 novembre 1999 à la juge d’instruction et présidente du Collège des juges de Genève, Christine Junod, confirmée d’ailleurs par les déclarations d’un des principaux escrocs de l’affaire, le notaire de Genève, actuel patron du groupe Rolex, Pierre Mottu, dans sa déposition à la Brigade financière de Genève, le 6 février 1996.
Joseph Ferrayé, quant à lui, ne vit jamais la couleur d’un centime.

Puis, en octobre 1999, sans qu’il la connût auparavant, quoiqu’elle fût en liaison permanente avec Daniel Levavasseur, il reçut un coup de téléphone de la commissaire des Renseignements Généraux, Brigitte Henri : de sa voix grave, celle-ci l’avertit qu’elle avait reçu instruction de tous les hauts responsables de l’Etat et du Président Chirac en particulier, de lui proposer 800 millions de dollars, sans imposition, pour qu’il retire sa plainte générale déposée le 29 janvier 1996 contre les commanditaires et les exécuteurs du complot. Joseph Ferrayé, auquel les conventions signées précédemment donnaient droit au moins à 17 milliards de dollars, et qui répugnait à se laisser acheter par une organisation criminelle, rejeta son offre.

En février 2003, soit un mois avant son audition par Christine Junod, à qui Levavasseur avait en 1999 remis des documents bancaires concernant 24 milliards de dollars provenant de l’utilisation frauduleuse des systèmes Ferrayé au Koweït, cet enquêteur était assassiné dans le Var, près de Saint-Raphaël et son assassinat, probablement dû aux services secrets français, maquillé en accident de varappe.
Christine Junod, bien qu’elle eût attesté devant témoins, que les documents de Levavasseur étaient en sa possession (Cf. déclaration de l’avocat André Clerc), s’empressa de les faire disparaître.

Les investigations menées jusqu’à présent ont déjà permis d’identifier 14.000 sociétés de blanchiment d’argent, parmi lesquelles les réseaux financiers de la BCCI et la financière suisse SBA, contrôlées par Khaled ben Mahfouz.

Pour conclure, cette escroquerie a permis à ses auteurs de faire main basse sur l’économie mondiale en extorquant avec la complicité active de l’ONU plus de 100 milliards de dollars au peuple irakien, en outre de plusieurs centaines de milliards aux contribuables de tous les pays pétroliers.
Le total se monte à environ 360 milliards de dollars !!!
Enfin, si l’on en croit les révélations de l’homme d’affaires américain, Tullio Ponzi à Joseph Ferrayé, elle ne serait pas non plus étrangère à la décision prise par l’administration américaine d’envahir l’Irak en 2003, comme la preuve lui en fut donnée, lorsque cet affidé de William Webster, pour se crédibiliser, l’avertit, plus de deux mois avant, de la date secrètement fixée pour l’entrée en guerre officielle des Etats-Unis en Irak, à savoir le 19 mars 2003.

De tous ces crimes, association de malfaiteurs, escroquerie, corruption, falsification de documents, abus de pouvoir, homicides, jusqu’à l’impardonnable extorsion des ressources vitales de l’Irak, et jusqu’au financement du terrorisme islamiste, la preuve est faite que les responsables politiques français de gauche et de droite sont pleinement coupables et doivent en conséquence subir la juste sanction.


source : http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=395&cat=ataraxie

15 juillet 2011

Le virus du sida n'existe pas

David Crowe, le président de l'organisation internationale Rethinking AIDS, a déclaré : « Grâce à de nouvelles découvertes qui minent l'intégrité scientifique et la véracité des quatre documents de Gallo, les fondements entiers de la théorie selon laquelle le VIH provoque le sida peuvent désormais être remis en question. »

« VOIR LE SIDA AUTREMENT »
DOCTEUR ETIENNE DE HARVEN.

Depuis plus de vingt ans, le SIDA, dont la réalité clinique est indiscutable, est considéré comme une maladie infectieuse, sexuellement transmissible, et dont la cause serait un rétrovirus nommé VIH.

Cette interprétation du SIDA demeure, depuis 20 ans, l’unique base de la recherche sur cette maladie grave, et l’unique fondement de la quasi-totalité des efforts de recherche thérapeutique.

Fort malheureusement, ces innombrables efforts de recherche n’ont jusqu’ici abouti à aucune thérapeutique curative, ni à aucun vaccin efficace, ni à aucune prédiction épidémiologique vérifiable… et ce malgré des investissements financiers colossaux ! 



Comment comprendre ces trois échecs ?

Faut-il avoir le courage d’admettre que les hypothèses de départ ( à savoir un lien de causalité entre un supposé VIH et le sida) étaient fausses et ont guidé nos recherches dans une mauvaise direction ?

Et dans cette alternative, il y a-t-il moyen de VOIR LE SIDA AUTREMENT ?

Ma réponse à cette question est : OUI !

Mais avant de chercher à vous faire comprendre comment j’en suis arrivé à cette conclusion, conclusion que beaucoup d’entre vous vont trouver choquante, trois remarques préliminaires s’imposent :

D’abord, sachez bien que les idées que je vais vous communiquer sont très loin d’être uniquement les miennes ! Nous sommes des milliers de « dissidents » de par le monde à les partager.

Ensuite, sachez aussi que j’ai passé presque toute ma carrière de recherche médicale, à New York, travaillant presqu’exclusivement sur les rétrovirus, par les méthodes de la microscopie électronique. Il est vrai, cependant, que mon expérience clinique est fort limitée.

Enfin, ne soyez pas surpris d’entendre tout ceci pour la première fois. La cause en est que notre presse et nos médias sont totalement censurés à l’expression de toute opinion dissidente, censure jalousement sauvegardée par l’industrie pharmaceutique.


[Voir suite de l'article ici]
Conclusions
a. Il n’y a aucune preuve de ce que le Sida soit une maladie infectieuse, sexuellement transmissible, et de caractère épidémique.
b. Les tests dits de la séropositivité sont non-spécifiques, dangereux, et devraient être interdits immédiatement.
c. L’existence même du VIH doit être très sérieusement mise en doute. Et comme ce rétrovirus n’a par ailleur jamais été purifié il n’y a aucun espoir d’envisager la préparation d’aucun vaccin.
d. Ces conclusions représentent, en fait, un message très optimiste, car il est bien évident qu’il y a moyen de guérir du Sida autrement, sans s’exposer à la haute toxicité de médicaments dont l’indication n’est pas scientifiquement établie.
e. Dans l’orthodoxie actuelle du Sida, la recherche est limitée aux études portant sur le VIH. Or, si ce rétrovirus (si tant est qu’il existe vraiment !) n’est pas la cause du Sida il n’est pas excessif de dire que, actuellement, il n’y a aucune recherche poursuivie directement sur l’étude du Sida.
Remerciements aux organisateurs, et à Paul Lannoye (Parlement européen, Bruxelles, le 8 décembre 2003). Remerciements également dus au Dr. Christian Fiala, de Vienne, et à M. Mark Griffiths qui ont tous les deux accepté de réviser le présent texte.


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Les documents scientifiques associant le VIH au SIDA en 1984 sont des faux

par David Gutierrez


Trente-sept professionnels appartenant au médico-légal et à la recherche ont envoyé à la revue Science une lettre lui enjoignant de retirer officiellement les quatre documents faisant du VIH la cause du SIDA. Selon les auteurs de la lettre, d’importantes preuves ont désormais émergé, montrant que, non seulement les études ont été mal effectuées, mais en plus leurs conclusions ont été falsifiées.



En 1984, Robert Gallo publiait quatre articles dans la revue Science, affirmant qu'il avait isolé le virus du VIH et concluant que c'était la « cause probable du sida. » Quoi qu’il en soit, Janine Roberts, une journaliste d'investigation, a découvert que Gallo avait retouché en dernière minute le document et ses conclusions.



Janine Roberts, auteur de Fear of the Invisible (La peur de l’invisible), a déclaré :

J'ai été choquée quand j'ai lu le brouillon original du document scientifique clef qui est maintenant largement citée comme prouvant que le VIH est la cause du SIDA.



Les changements de dernière minute de Gallo dans les manuscrits ont inversé ce que les scientifiques avaient initialement conclu dans leur laboratoire. Cela démontre un mépris accablant envers la démarche scientifique et un manquement très inquiétant envers la confiance du public.



Accompagnée d'une copie manuscrite des altérations, la lettre des 37 experts est complétée d’une lettre de Gallo lui-même, qui admet auprès d’un autre chercheur que le VIH ne peut être isolé des échantillons humains seuls, et de la lettre d'un expert en microscopie électronique, disant qu'il n'y avait aucun virus VIH dans les échantillons de Gallo en 1984.



La recherche de Gallo s’était vue attaquée auparavant, dans les années 90, par des investigations du gouvernement étasunien qui concluaient que le principal document de travail était « rempli d’affirmations mensongères et erronées, » et que « la négligence et le maintien inacceptable des dossiers de recherche ... reflètent une gestion irresponsable des laboratoires, qui nuit en permanence à la traçabilité des importantes mesures prises. »



David Crowe, le président de l'organisation internationale Rethinking AIDS, a déclaré : « Grâce à de nouvelles découvertes qui minent l'intégrité scientifique et la véracité des quatre documents de Gallo, les fondements entiers de la théorie selon laquelle le VIH provoque le sida peuvent désormais être remis en question. »

Source :
http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12590

Autre lien dans cette source :
http://www.naturalnews.com/025787.html

Les tests eux même NE TESTENT PAR POUR UN QUELCONQUE VIRUS. Les tests VIH en effet testent des anticorps que produisent les cellules blanches en contact avec un virus.
Hors, ces anticorps sont eux aussi produits par des virus comme ceux de l’hépatite, et bien d'autre... Aussi, il faut savoir que certaines personnes diagnostiques du VIH ne manifestent JAMAIS de symptome. En fait, il y a plusieurs cas de diagnostiques de VIH qui ont ete reconsideres et confirmés comme NON AVERES.

A vrai dire, il est connu depuis plus d'une décennie que le virus du VIH n'a JAMAIS été identifie. Lorsque vous faites des tests, les échantillons sont analyses par une du matériel patente d'une société américaine, qui appartient au co-decouvreur du VIH. Bref, personne ne connait la procédure pour déceler le virus...







Que pense Luc du virus SARS COV2 ? 





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