oeuvre artistique - "tueur d'ogm"- vidéo dailymotion sur les OGM |
TUEUR D'OGM
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OGM Tueur d'OGM 1sur2 par Cl4VieFrere2010
OGM Tueur d'OGM 2sur2 par Cl4VieFrere2010
Le porc OGM vous connaissez ?
Il pourrait bien finir dans votre assiette sans jamais avoir courru de sa pauvre vie !
C'est ICI :
ET VOUS, VOUS ALLEZ ATTENDRE QUE LES OGM S'ARRÊTENT AUSSI !?
De la viande de porc créée en laboratoire
UN PORC AVERTI EN VAUT DEUX !!
LE MONDE SELON MONSANTO (version complète) :
Ce film retrace l'histoire de Monsanto, une multinationale américaine, aujourd'hui leader mondial des OGM, et considérée comme l'un des plus grands pollueurs de l'ère industrielle (PCB, agent orange, hormones de croissance, roundup...). Après une enquête de trois ans, en Amérique du nord et du sud, en Europe et en Asie, il reconstitue la genèse d'un empire industriel, qui, à grand renfort de rapports mensongers, de collusion avec l'administration nord-américaine, de pressions et tentatives de corruption, est devenu l'un des premiers semenciers de la planète. En s'appuyant sur des documents et des témoignages inédits de scientifiques, victimes de ses activités toxiques, avocats, hommes politiques et de représentants de la Food and Drug Administration ou de environnemental Protection Agency des États Unis, le documentaire montre comment, derrière l'image d'une société propre et verte décrit par la propagande publicitaire, se cache un projet hégémonique menaçant la sécurité alimentaire du monde, mais aussi l'équilibre écologique de la planète. Un documentaire à ne manquer ! (durée 1h55 :)
En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA qui chaque année fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée.
Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l'Institute for Responsible Technology aux États-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrage Seeds of Deception (littéralement « les semences de la tromperie ») publié en 2003. Menée conjointement par l'Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l'Institut de l'Écologie et de l'Évolution, cette étude russe a duré deux ans avec pour cobaye des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d'une manière classique les petits mammifères, à l'exception près que certains d'entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement en Europe) tolérant à un herbicide.
Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués : le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a quant à lui suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième. A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L'étude s'est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont elles aussi eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n'ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel. Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n'a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total dont 20% sont finalement morts. Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude ont eu dans leur menu une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire... Mais une autre surprise de taille a été observée : certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils... dans la bouche, un phénomène d'une extrême rareté.
Voici les photos publiées par Jeffrey Smith dans son billet.
Quelles conclusions peut-on tirer de cette expérience ? A ce stade, aucune, comme le reconnaissent eux-mêmes les scientifiques qui ont fait ces observations. D'ailleurs, leur étude qui doit être rendue public dans ses détails en juillet prochain, ne pourra être reconnue comme valide uniquement dans la mesure où elle sera publiée dans une revue scientifique internationale avec un comité de relecture par des pairs. Cependant, même si cette récente étude ne permet pas de tirer de conclusions définitives, elle pourrait avoir un impact non-négligeable dans l'approche globale des OGM agricoles qui sont aujourd'hui consommés dans le monde par des millions d'animaux d'élevage et d'être humains depuis leur avènement en 1996. Car en effet, pouvoir effectuer une étude d'une durée aussi longue (deux ans) est tout à fait rare tant les semenciers qui en font la promotion veillent au grain, de peur que l'étude en question ne soit pas en leur faveur : « Des scientifiques qui découvrent que des OGM provoquent des effets inattendus sont régulièrement attaqués, tournés en ridicule, voient leurs crédits de recherches stoppés, et sont mêmes renvoyés », explique Jeffrey Smith dans son billet repris notamment par The Huffington Post et qui évoque l'étude du Dr Surov et de son équipe en Russie. Et pouvoir effectuer des tests pendant deux ans est d'importance capitale selon les associations écologistes. Celles-ci estiment que deux ans représentent une durée suffisante pour mesurer les effets chroniques d'un produit ou d'une molécule, et donc d'un pesticide. Or, jusqu'à présent, les plantes OGM qui sont consommés dans le monde sont dans une très large majorité des plantes qui accumulent dans leurs cellules un ou plusieurs pesticides (soit par absorption extérieure soit par une production permanente). De plus, les études de plus de trois mois sur des mammifères (généralement des rats) nourris à ces OGM-pesticides (de première génération) sont toutes aussi rares. C'est pourquoi des « lanceurs d'alerte » (l'équivalent français du terme « whistle blowers », littéralement ceux qui soufflent dans le sifflet) dénoncent régulièrement cette situation et demandent à ce que les OGM agricoles soient évalués comme des pesticides à part entière. Autre grand problème : les organismes d'évaluation se basent toujours sur des études faites par ou pour les semenciers et ne possèdent pas de moyens financiers suffisants pour effectuer eux-mêmes des expertises ou contre-expertises. A ce jour, les évaluations d'OGM conduites et financées grâce à des fonds publics se comptent sur les doigts d'une seule main.
Selon Jeffrey Smith, l'étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien « déraciner » une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L'affaire est donc à suivre, mais quoi qu'il en soit, depuis l'introduction en 1996 dans l'environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gênes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés faute d'études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution dans ce domaine semble effectivement illusoire alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d'évaluation. Et d'ailleurs, on peut même supposer que cette absence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l'ont été que partiellement (le proverbe de la « charrue avant les boeufs»...). Car l'ennui au fond c'est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l'histoire, qui sont réellement les cobayes?
Bayer l’admet, la contamination par les OGM est hors de contrôle :
Natural News, David Gutierrez, 15 avril 2010
Bayer AG, le géant des produits pharmaceutiques et chimiques, a admis qu’il n'y a aucun moyen d'arrêter la propagation incontrôlée des cultures génétiquement modifiées.
« Même les meilleures pratiques ne peuvent garantir la perfection, » a déclaré Mark Ferguson, avocat de la défense de la compagnie lors d’un procès récent.
Deux agriculteurs du Missouri ont poursuivi Bayer pour contamination de leurs cultures par les gènes modifiés d'une souche expérimentale de riz transformées pour être résistante à l'herbicide de marque Liberty de la compagnie. La contamination a eu lieu en 2006, lors d'un essai en plein champ du nouveau riz, qui n'a pas reçu d’homologation pour la consommation humaine. Selon Don Downing, l'avocat des plaignants, le matériel génétique du riz non autorisé a contaminé plus de 30 pour cent de toutes les terres de cultures de riz aux États-Unis.
« Bayer était censé être prudent, » a déclaré Downing. « Bayer n’a pas pris de précautions et le riz s’est dispersé dans nos réserves de riz commercial. »
Les plaignants allèguent que, en plus de contaminer leurs champs, Bayer leur a fait davantage de tort financièrement en sapant leur marché d'exportation. Lorsque le ministère étasunien de l'Agriculture a annoncé la contamination généralisée du riz, les grands marchés d’exportation ont été fermés aux producteurs étasuniens. Un rapport de Greenpeace International estime que le préjudice financier de la contamination se situe entre 741 millions et 1,3 milliards de dollars.
Bayer a affirmé qu’aucun moyen possible n’aurait pu empêcher la contamination, insistant sur le fait qu’elle a suivi non seulement la législation, mais aussi les meilleures pratiques de l’industrie [sic, ndt]. Pas d’accord, le jury trouve que Bayer est coupable de négligence dans la manipulation des cultures génétiquement modifiées. La compagnie a été condamnée à payer 2 millions de dollars aux agriculteurs Kenneth Bell et Johnny Hunter.
Hunter a déclaré : « C'est une victoire immense, non seulement pour Kenny et moi, mais aussi pour chaque agriculteur des États-Unis ayant été lésé par la contamination du riz LibertyLink de Bayer. »
Selon Hunter, la compagnie a récolté « le coup de semonce qu'elle méritait. »
La compagnie Bayer est encore poursuivie par plus de 1.000 autres agriculteurs des États du Missouri, Arkansas, Louisiane, Mississippi et Texas.
Et vous qu'en pensez vous ?
Les internautes ont de la chance, car ils savent...
Et les autres ? Les Cathodisés ?
OGM: ÉTABLISSONS D'ABORD LES FAITS
Aujourd'hui le Samedi 8 Mai 2010 il y a déjà 725 000 personnes !!Venez nombreux, la santé nous concernent tous !
La Commission Européenne vient d'autoriser la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM) pour la première fois depuis 12 ans, plaçant les profits du lobby OGM avant les préoccupations sanitaires des citoyens. Pourtant 60% des Européens estiment que nous avons besoin de plus d'informations avant de cultiver des plantes qui pourraient menacer notre santé et l'environnement.
Une nouvelle initiative donne à 1 million de citoyens européens une chance unique de déposer officiellement des propositions de lois à la Commission Européenne. Rassemblons un million de voix pour obtenir une interdiction des cultures OGM tant que la recherche n'a pas abouti. Signez la pétition ci-dessous et faites suivre cet appel à tous vos amis et vos proches.
N'oubliez pas d'inclure votre adresse postale pour que toutes nos signatures soient validées dans le cadre de l'initiative citoyenne européenne.
Au Président de la Commission Européenne José Manuel Barroso:
Nous vous appelons à décréter un moratoire sur l'introduction des plantes génétiquement modifiées en Europe et à mettre en place un organisme éthique et scientifique indépendant chargé de mener à bien la recherche sur l'impact des OGM et de déterminer leur régulation.
Nous vous appelons à décréter un moratoire sur l'introduction des plantes génétiquement modifiées en Europe et à mettre en place un organisme éthique et scientifique indépendant chargé de mener à bien la recherche sur l'impact des OGM et de déterminer leur régulation.
38 maïs OGM s'introduisent discrètement en France
Les maïs transgéniques autorisés sont de type T25 et MON810.
FLICKERS/Zanarstardust
Des semences transgéniques ont été subrepticement autorisées à la vente fin juillet.
Les maïs en question: deux variétés de T25, et 36 variétés de MON810. Des espèces qui devraient être réservées à l'exportation, assure-t-on au au ministère: "Ce n'est qu'une autorisation de commercialisation pour dix ans, pas de culture. En aucun cas ces variétés ne pourront être cultivées en France", explique un porte-parole.
Une décision contraire à la clause de sauvegarde française
Le décret qui fait entrer ces variétés de maïs au catalogue des semences est paru sans bruit dans le Journal officiel le 25 juillet. Une information qui aurait pu rester inconnue du grand public si elle n'avait pas été dévoilée par Greenpeace et la Confédération paysanne. La France avait pourtant déclenché en janvier 2008 une "clause de sauvegarde" auprès de Bruxelles. Celle-ci permet à tout Etat membre de l'Union européenne de suspendre la culture d'un organisme génétiquement modifié.
Le ministère dément néanmoins toute volonté d'agir au creux de l'été. C'est le Conseil d'Etat, affirme-t-il, qui a été saisi en 2004 par les entreprises commercialisantes, et a imposé en octobre 2009 cette réinscription du maïs T25.
Exporté bien que trop dangereux pour être cultivé
Pour Arnaud Apoteker, l'expert OGM de Greenpeace, "c'est une démonstration de force du lobby agro-industriel: les entreprises françaises vont ainsi pouvoir vendre ailleurs une semence dont on considère, avec la clause de sauvegarde, qu'elle est trop dangereuse pour être cultivée en France". Le scientifique remarque également que le T25 est "un maïs tolérant à un herbicide très toxique, le glufosinate d'ammonium d'ailleurs interdit au sein de l'UE pour le maïs et qui fait partie des 22 substances que l'Europe a décidé d'interdire à partir de 2017". Un signe de mauvaise augure?
"En attendant, la France va être responsable de sa réintroduction en Europe", dénonce Arnaud Apoteker. Car l'inscription au catalogue français "ouvre la porte à la culture en Europe", explique-t-il, puisqu'elle entraîne une inscription automatique au catalogue européen. Et de conclure, qu'"aujourd'hui, rien n'empêche plus la culture de ces maïs dans l'Union européenne".
Pas de commentaire, je suppose qu'on doit aimer les OGM...
RépondreSupprimerAujourd'hui il y a des milliers de morts par jours de faim
RépondreSupprimerDont 16 000 enfants chaque jour !
Continuez à manger de la viande tous les jours, fait de vous des assassins !
http://www.worldometers.info/fr/
PS: entre aimer le gout du cheval et aimer le cheval, il y a une sacré différence !
MANGEZ de la viande! Mangez de la vache folle ! Cette maladie créée de toutes pièces par l industrie pharma pour caché les bêtises ...
RépondreSupprimerA l heure ou je vous écris, vous mangez déjà de la viande qui provient du clonage, seulement on ne vous le dit pas. On vous dit simplement que la viande cloné est interdite a la vente. NUANCE !!
Un veau qui nait d'une reproduction d'un taureau cloné ou d'une vache cloné n'est pas un veau cloné.. Ils jouent sur les mots (nos maux)
caca
RépondreSupprimerboudain
RépondreSupprimerMonsanto, poison juif !
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RépondreSupprimerIl ne suffit pas de n plus manger de viande sous prétexte qu'elle provient (surement) du clonage. C'est beaucoup plus compliqué que ça...
RépondreSupprimerL'étude sur les 3 générations de hamsters serait un hoax? Est ce que quelqu'un peut partager les sources? Merci
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