26 avril 2010

L'affaire du «Karachigate» implique Nicolas Sarkozy

Alors que le conseil de l'Europe veut abolir
la fessé pour les enfants,
nous oublions bien souvent sa fonction
dans le monde des adultes :

Le Karachigate est une fessée cul nu !
Devenant un Sarkogate !

 







KARACHI : Sarkozy mis en cause
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SM > NE PAS LACHER KARACHI
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Sarkozy, Balladur et l'attentat de Karachi
envoyé par Mecanopolis. - L'info internationale vidéo.

Extrait : Le figaro du 27avril 2010

Attentat de Karachi : les explications de Balladur

EXCLUSIF - Dans une tribune à paraître mardi dans le Figaro, l'ancien premier ministre dément avoir bénéficié de rétro-commissions pour financer sa campagne présidentielle de 1995.


Le quotidien Libération affirme, sur la foi de documents qu'il a obtenus, que l'association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur aurait reçu en 1995 10 millions de francs en espèces. Un dépôt qui serait intervenu peu de temps après le versement d'une commission à deux intermédiaires «imposés par les balladuriens» dans le cadre d'un contrat de vente de sous-marins au Pakistan, assure Libération qui insiste sur la concomitance des faits sans pour autant disposer de preuve. «Pour l'instant, la preuve décisive que ces fonds auraient permis de solder les comptes de campagne d'Edouard Balladur manque», écrit le directeur de la rédaction Laurent Joffrin.
Dans une tribune à paraître mardi dans Le Figaro, l'ancien premier ministre dément avoir bénéficié de financements illégaux. Et assure n'avoir pris aucune décision autorisant l'octroi de commissions.

Voici le texte en intégralité :
« En 2002, des agents de la Direction des Constructions Navales, en service à Karachi au Pakistan pour l'armement de trois sous-marins vendus par la France, ont été victimes d'un attentat. Onze d'entre eux y ont perdu la vie. Ce drame épouvantable a légitimement suscité beaucoup d'émotion et d'interrogations sur les causes qui avaient pu l'entraîner.
Depuis huit ans que les recherches sont entreprises, aucun explication n'est encore apparue clairement. L'attentat a-t-il été le fait du terrorisme islamiste ? La conséquence d'un règlement de comptes entre clans pakistanais rivaux ? La manifestation d'une hostilité récurrente entre l'Inde et le Pakistan ? Une mesure de rétorsion prise contre la France qui aurait annulé en 1996 des commissions versées à l'occasion de la vente en 1994 au Pakistan de ces trois sous-marins ? La mission d'information constituée par l'Assemblée nationale a examiné toutes ces hypothèses. Je souhaite qu'elle puisse terminer ses travaux.
Depuis maintenant deux ans, ce drame a fourni à certains un prétexte pour me mettre en cause, au motif, prétendent-ils, qu'à la faveur de la vente de ces sous-marins en 1994, j'aurais autorisé le versement de commissions permettant ultérieurement le financement de ma campagne présidentielle de 1995. Ainsi est invoquée ma responsabilité indirecte dans la mort de onze Français, dès lors que l'annulation des commissions en 1996 aurait entraîné, par rétorsion, l'attentat de 2002.
Dans cette présentation des choses rien ne correspond à la vérité, rien n'est étayé par les faits, tout s'appuie pour l'essentiel sur une note émanant d'un agent d'une officine privée de sécurité, note établie en 2002, après l'attentat, et qui amalgame un tissu d'invraisemblances et d'absurdités.
Dès lors que je suis mis en cause sur un sujet aussi grave, et quel que soit mon désir de ne pas me laisser entraîner dans les polémiques qui émaillent notre vie publique, je tiens à rappeler certains faits :
1/ La vente des trois sous-marins au Pakistan a été autorisée par moi lors de la visite en 1994 de Mme BHUTTO Premier Ministre.
2/ La décision d'autoriser l'octroi de commissions n'était pas de la responsabilité du Premier ministre ou de ses services. J'ignore si, en l'espèce, il a été décidé d'y avoir recours. Je rappelle d'ailleurs qu'à l'époque les commissions étaient légalement permises et n'ont été interdites que six ans plus tard.
3/ Pour assurer le financement des dépenses électorales de ma campagne, j'ai eu recours à l'ensemble des moyens légaux dont je disposais : emprunt pour une grande partie, contribution de certains partis politiques qui appuyaient ma candidature et, évidemment le concours financier de tous ceux, militants et électeurs, qui ont soutenu ma campagne électorale par voie de souscription et aussi par dons directs, dont le total a été très inférieur au plafond légal alors applicable. Tout cela en parfaite transparence.
Les comptes de ma campagne ont été audités puis remis au Conseil constitutionnel et validés par lui dans une décision publiée au Journal Officiel du 12 octobre 1995. Ni les dépenses ni les recettes n'ont été estimées par lui contraires au droit.
4/ En 1996, si j'en crois les déclarations de certains responsables gouvernementaux de l'époque, le versement des commissions qui auraient été afférentes à ce contrat a été interrompu, alors que ma campagne présidentielle était terminée depuis un an et qu'il n'était nul besoin de la financer. Sur quelles bases, sur le fondement de quelles informations a été prise la décision d'interdire les commissions en cause en 1996 ? Quelle a été la portée de cette décision ? C'est aux autorités françaises de l'époque de faire la clarté sur ce point.
5/ Deux autres questions devraient également recevoir des réponses claires.
Si véritablement l'attentat de 2002 est dû à la suppression du versement de commissions en 1996, comment expliquer que les mesures de rétorsion qui auraient été prises par leurs bénéficiaires soient intervenues six ans après ? Pourquoi un tel délai ?
Quant au rapport demandé en 2002, après l'attentat, ses destinataires n'en ont fait aucun usage durant six ans jusqu'en 2008. Comment expliquer cette négligence ? Comment se fait-il que ce rapport ait été découvert comme par hasard dans un dossier relatif à d'autres affaires ?
Il faut répondre à ces questions. Il est regrettable qu'une fois de plus tout soit fait pour donner le sentiment que le débat politique recourt à de pareils procédés.
Je m'en tiens à ce dont je suis certain : je n'ai pris en tant que Premier Ministre aucune décision d'octroi de commissions ; les comptes de ma campagne présidentielle ont été validés sans réserve, il y a quinze ans, par le Conseil constitutionnel.»
L'arrêt Public Gouverne, Ment !

Voici ce qu'on peut entendre :



Karachi : Libération met en cause Edouard Balladur

Mots clés : PARIS, KARACHI, Edouard Balladur, Nicolas Sarkozy
Par Jim Jarrassé
26/04/2010 | Mise à jour : 19:54 Réactions (15)

Crédits photo : AFP
Documents à l'appui, le quotidien Libération s'interroge sur un lien entre le versement de 10 millions de francs (1,5 million d'euros) sur le compte de campagne de l'ancien premier ministre et les commissions d'un contrat d'armement avec le Pakistan.

Le 8 mai 2002, onze salariés français de la Direction des constructions navales (DCN) étaient tués dans l'explosion d'un bus, à Karachi, au Pakistan. Longtemps, la piste d'al-Qaida a été privilégiée jusqu'à ce que le juge antiterroriste Marc Trevidic réoriente l'enquête. L'hypothèse de représailles après l'arrêt des versements à l'Etat pakistanais de commissions attachées à un contrat de vente de sous-marins n'est désormais plus exclue. A tel point que, la division nationale des investigations financières (Dnif) enquête depuis le mois de février, dans un cadre préliminaire, sur des soupçons de corruption politique internationale dans le cadre des contrats d'armement au Pakistan.

L'affaire remonte au printemps 1994 : la DCN décroche alors un gros contrat d'armement au Pakistan d'un montant de 5,41 milliards de francs pour construire et armer trois sous-marins. La loi ne l'interdisant pas encore, la DCN, placée sous la tutelle du ministère de la Défense, s'engage, selon les documents consultés par Libération , à verser 6,25% du montant du contrat - soit 338 millions de francs - aux intermédiaires locaux.

10 millions en coupures de 500 francs

Un peu plus tard, selon le quotidien, la DCN reçoit l'ordre de débloquer une rallonge de 4% - soit 216 millions de francs - et de négocier avec deux intermédiaires imposés par «le pouvoir politique». En l'occurrence Renaud Donnedieu de Vabres, à l'époque chargé de mission auprès du ministre de la Défense, François Léotard, et proche soutien de Balladur dans la course présidentielle. Les deux intermédiaires, représentés par une société off-shore baptisée Mercor Finance, auraient reçu le 24 janvier 1995 un premier acompte de 130 millions de francs.

Toujours selon Libération, trois mois plus tard, le 26 avril 1995, 10 millions de francs (1,5 million d'euros) en espèces ont été versés sur le compte de l'Association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur (Aficeb) dans une agence du Crédit du Nord à Paris. Soit près de 20% de l'ensemble des recettes mentionnées dans le compte de campagne d'Edouard Balladur. «Sur le bordereau bancaire, il a été mentionné que l'argent provenait de collectes effectuées lors des meetings électoraux», relève le quotidien, qui s'étonne que «la moitié de ces 10 millions a été apportée en grosses coupures de 500 francs».

Ces documents étaient depuis plusieurs semaines entre les mains du juge d'instruction et du parquet de Paris. Ils ont été adressés le 22 février dernier par pli anonyme à l'avocat des familles des victimes de l'attentat. Le courrier a été transmis au juge antiterroriste qui instruit l'affaire. Et ce dernier a transmis le 9 avril les documents au parquet de Paris.

Rien ne permet pour l'instant d'établir un lien de cause à effet entre les deux versements. Le directeur de la rédaction de Libération, Laurent Joffrin, précise bien que «pour l'instant, la preuve décisive que ces fonds auraient permis de solder les comptes de campagne d'Edouard Balladur manque». Réagissant dans une tribune à paraître mardi dans Le Figaro, l'ancien premier ministre assure que «rien ne correspond à la vérité, rien n'est étayé par les faits», qualifiant de «tissu d'invraisemblances et d'absurdités» les informations de Libération. Il explique avoir «eu recours à l'ensemble des moyens légaux» dont il disposait pour financer sa campagne. Et assure n'avoir pris aucune décision autorisant l'octroi de commissions.

Le PS exige des explications

En 2007, les enquêteurs avaient trouvé à la DCN une note mentionnant la création d'une société off-shore par laquelle transitaient des commissions du contrat, impliquant le directeur de cabinet d'Edouard Balladur à Matignon, Nicolas Bazire, et le ministre du Budget de l'époque, Nicolas Sarkozy. Lequel avait l'an dernier qualifié de «fable» l'hypothèse selon laquelle l'attentat de Karachi serait dû au non-versement de rétro-commissions liées aux sous-marins.

Le parquet de Paris a ouvert début février une enquête sur le financement de la campagne d'Edouard Balladur à la suite d'une plainte pour corruption de six familles de victimes de l'attentat de Karachi. Selon leur avocat, Me Olivier Morice, le procureur de la République de Paris Jean-Claude Marin est «soumis au pouvoir politique» et «tente par tous les moyens d'éteindre l'incendie au mépris de la recherche de la vérité».

Le rapporteur de la mission d'information parlementaire sur ce dossier, le député socialiste Bernard Cazeneuve, a lui-même demandé en mars dernier l'audition d'Edouard Balladur. Des élus UMP, majoritaires dans la commission d'enquête, se seraient opposés à cette audition. Mais l'ancien premier ministre a finalement demandé à être entendu par les parlementaires, assure lundi au point.fr le député UMP Yves Fromion. Une «satisfaction» pour Bernard Cazeneuve, qui s'étonne tout de même que «ce qui n'était pas possible avant devient possible aujourd'hui».

Lundi, le parti socialiste a exigé la déclassification des documents réclamés par la justice, qui demanderait en vain une copie du contrat de vente des sous-marins. L'opposition attend aussi des explications «beaucoup plus claires» de Nicolas Sarkozy. Pour Benoît Hamon, porte-parole du PS, «la balle est dans le camp du gouvernement et du président de la République.»

LIRE AUSSI :

» Les explications d'Edouard Balladur au Figaro

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Extrait de www.marianne2.fr

Sarkofrance, chez Marianne2.

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Du Karachigate au Sarkogate
C'était donc vrai. Ce n'était pas une fable. L'affaire du Karachigate rebondit. Nicolas Sarkozy n'était pas là pour commenter. Il s'envolait pour la Chine.



Balladur mis en cause...

Le quotidien Libération a relancé l'affaire, ce lundi 26 avril. Il y a près d'un an, Nicolas Sarkozy avait été interpelé lors d'une conférence de presse, à propos des accusations de l'avocat de parties civiles: ce dernier l'accusait d'être directement impliqué dans l'affaire du Karachigate. Les juges chargés de l'enquête laissaient entendre que l'attentat à Karachi en mai 2002, qui coûta la vie à 14 personnes dont onze ingénieurs français, était en fait une vengeance pakistanaise: Jacques Chirac devenu président en 1995 avait interrompu les versements de commissions occultes, dues par le gouvernement français à l'issue de la vente (à perte) au Pakistan de sous-marins nucléaires français... Une fable, avait dit Nicolas Sarkozy...

En 1995, Edouard Balladur était Premier ministre, et Nicolas Sarkozy son ministre du Budget et directeur de campagne. Ce dernier avait autorisé le versement des commissions dans le cadre d'un contrat de vente de 3 sous-marins, signé le 21 septembre 1994 par le ministre de la Défense, François Léotard. Et Balladur avait notamment imposé deux intermédiaires qui pourtant n'avaient pas oeuvré sur cette vente d'armes. On soupçonne cette vente d'avoir donné lieu à des «rétrocommissions» en faveur du camp balladurien pour financer sa campagne présidentielle de 1995.

Le 7 février dernier, six familles de victimes avaient déposé une nouvelle plainte, pour corruption et entrave à la justice. Le parquet avait aussi ordonné une enquête préliminaire.

Lundi 26 avril, Libération a publié plusieurs informations clés :

1. Deux intermédiaires imposés par le gouvernement Balladur ont reçu 54 millions de francs. Ils ont été imposés à la DCN après la conclusion du contrat de vente au printemps 1994. Il leur avait été promis quelques 216 millions de francs. Toujours d'après Libération, les deux intermédiaires exigèrent d'être payés avant janvier 1995. «Finalement, selon un accord du 24 janvier 1995 entre un représentant de la DCN et Mercor Finance, la société offshore représentant Takieddine et El-Assir, il est convenu qu'un premier versement de 130 millions sera débloqué à la signature, peu après le 24 janvier, puis deux autres tranches étalées jusqu'au 31 décembre 1995, et une dernière en fonction de la réalisation du chantier.»

Edouard Balladur a déclaré sa candidature à l'élection présidentielle le 28 janvier 1995.

2. Le compte de campagne d'Edouard Balladur, ouvert par l'Aficeb (Association pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur), numéroté 327548 à l'agence Crédit du Nord, boulevard Haussmann à Paris, «a enregistré un dépôt en espèces suspect de 10 millions de francs. Tout ceci alors que Nicolas Sarkozy était à la fois le porte-parole de l'ex-Premier Ministre et le ministre du budget.» Cette remise d'espèces a eu lieu de 26 avril 1995, quinze ans jour pour jour avant la publication de l'information par Libération. Le quotidien rapporte que, d'après les guichetiers, la moitié des billets étaient des coupures de 500 francs. Ces 10 millions de francs représentent 20% des recettes électorales déclarées par le candidat Balladur. A l'époque, un particulier ne pouvait donner plus de 1000 francs en espèces. Dix millions de francs, cela représenterait 20 000 contributions individuelles...

... et Sarkozy aussi
Du côté de l'Elysée, on a visiblement agi en coulisses: en juin 2009, le ministre de la Défense avait promis une déclassification du secret défense sur les documents de l'affaire stockés dans divers placards de la Grande Muette. Plusieurs mois plus tard, le juge Marc Trévidic ne reçut qu'un gros rapport de 137 pages ... dont seuls 6 paragraphes ont été laissés visibles. Le reste a été expurgé, effacé, détruit.

Mis en cause par Libération, l'ancien Premier ministre s'est empressé de répondre aux accusations, dans une tribune publiée par le Figaro. Alors qu'il refusait d'être auditionné par la commission d'enquête parlementaire constituée sur l'attentat de Karachi, voici qu'il en fait maintenant la demande expresse. Balladur semble aussi impliquer Nicolas Sarkozy : «la décision d'autoriser l'octroi de commissions n'était pas de la responsabilité du Premier ministre ou de ses services. J'ignore si, en l'espèce, il a été décidé d'y avoir recours.» A l'époque, la décision de verser des commissions à des intermédiaires lors de contrats d'armements était du ressort du ministre du Budget. En effet, seul ce dernier pouvait valider la déductibilité de telles commissions.

En 1995, le ministre du Budget s'appelait Nicolas Sarkozy.

Sur l'origine des 10 millions de francs de dons versés en espèces, dont la moitié en coupures de 500 francs, Edouard Balladur reste étrangement distant, discret, flou. Il précise simplement que «les comptes de ma campagne ont été audités puis remis au Conseil constitutionnel et validés par lui dans une décision publiée au Journal Officiel du 12 octobre 1995.»

L'ancien mentor de Nicolas Sarkozy n'a qu'une défense : pourquoi l'attentat est-il intervenu si tardivement (en 2002) après l'interruption supposée des versements de commissions ? Quelle bonne question ...

L'avocat des familles des victimes n'est pas dupe : «Les parties civiles considèrent que Monsieur Balladur ment d'une façon absolument éhontée par rapport aux éléments qui sont dans le dossier. (...) Il est bien évident que dans les prochains jours nous allons demander l'audition de M. Balladur qui n'est couvert par aucune immunité.» L'avocat ne s'arrête pas là. Il attaque directement Nicolas Sarkozy. Il a reçu anonymement des documents relatifs aux versements en espèces sur le compte de campagne de Balladur.

Il sait de quoi il parle...

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