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27 août 2013

Invasion de la Syrie











Soumettez la guerre contre la Syrie  au vote du Parlement
(relais AGORAVOX)





Lettre ouverte à MM. les députés de l'Assemblée Nationale. Droits de reproduction et de diffusion à tous vos députés libres et même recommandés par l'auteur.
NOM Prénom Adresse, date
M. Le député
126 rue de l'Université
75355 Paris 07 SP

OBJET : Demande de vote à l’Assemblée avant toute action militaire officielle de la France contre la Syrie (tirs de missiles, aide officielle à des commandos).
Monsieur le député,

La situation en Syrie est confuse mais pas au point de perdre la tête comme nos médias et leurs lobbyistes. Une écrasante majorité de citoyens de l’OTAN sont contre toute forme d’ingérence militaire de l’OTAN en Syrie et pas seulement contre une ingérence au sol, car même si les sondages n’en parlent pas, je ne vois pas pourquoi cette subtilité de journalistes en mal de liberté infléchirait notre opinion sous la barre des 50%, alors qu’elle est massivement dépassée depuis le début et qu’elle se conforte chaque jour.
1/ Rappel des chiffres :
> 8 lecteurs sur 10 du FIGARO sont CONTRE toute forme d’ingérence française.
> 8 auditeurs sur 10 de RMC sont CONTRE toute forme d’ingérence française.
> 7 américains sur 10 sont CONTRE toute forme d’ingérence américaine (août 2013)
Et selon les sondages officiels de mai-juin 2013 : 80% des allemands, 78% des anglais et 62% des français (seulement, mais nous avons les médias que nous méritons) sont CONTRE toute forme d’ingérence de l’OTAN en Syrie.
Monsieur le député, dans le dernier article, vous remarquerez que selon des sources pro-OTAN, entre 90% en juin 2013 et 55% dès décembre 2011 de la population syrienne est CONTRE l’insurrection armée des rebelles. Une guerre tue les peuples entre eux, pas ceux qui décident de la faire. Si la conscription existait encore en France comme en Syrie, y enverriez-vous vos enfants, comme les enfants syriens s’y rendent quelle que soit leur religion, leur race, leur couleur ? Etes-vous un citoyen français, ou un membre de réseaux inféodés à la lutte des néoconservateurs pour le contrôle du gaz mondial (voir « Les Guerres du Pétrole », Canal+, Spécial Investigation, pour le cas de la Libye) et pour l’élimination par la force de l’islam communiste dit « chiite », non aligné sur l’Euro-Dollar ? Plus personne n’est dupe sur la toile. Et vous ?


hopital improvisé en secteur rebelle
L’identification de traces de gaz toxique ne prouve pas qui les a utilisés. Il en faudra plus pour Carla Del Ponte et le TPI.
2/ L’usage du gaz ? Croyez-vous encore au contenu des fioles d’anthrax de Colin Powell ? Aux 200 chars devant Benghazi de BHL ? (5 selon nos pilotes…) Au hasard des dates identiques entre les exercices conjoints Marine Nationale - Royal Navy « Southern Mistral » décidés en octobre 2010, et l’opération militaire « Harmattan » qui a usurpé la résolution 1973 et conduit à la mort de 5000 à 30 000 voire 80 000 libyens ? (chiffre Assad puis Abdeljalil du CNT puis Takkiedine repris des chancelleries) Croyez-vous encore aux bébés-couveuses koweïtis jetés par terre par les soldats de Saddam ? Aux charniers roumains de Timisoara ? Aux grottes sophistiquées de Ben Laden à Tora Bora ? A la piste islamiste dans l’affaire Karachi ? Aux « preuves accablantes » contre Ben Laden que 12 ans plus tard nous attendons toujours de Bush, Rumsfeld, Rice, Powell et Blair ? Et surtout… aux ADM en Irak ? Le chaos humain sans fin en Afghanistan, en Irak, en Libye ne vous suffisent-ils pas ? 200 afghans expulsés de Calais et des milliers de libyens séquestrés à Lampedusa face à des millions de réfugiés arabo-musulmans disséminés dans tout les pays du bassin méditerranéen plus pauvres que le nôtre ne vous suffisent-ils pas ?
3/ Les rebelles ? Etes-vous sûr que les forces étrangères ou islamistes qui phagocytent les « rebelles » sont contrôlables ? Que ces forces sont minoritaires ? Que ces forces ne vont pas se retourner contre nous ? Que les rebelles « modérés » (mais armés) peuvent se débarrasser de cette lie de la terre qui afflue chaque jour sur leurs territoires, attirée par les pétrodollars et armée in fine par nous ? Le peuple syrien en a ras le bol de ces assassins écorcheurs gangsters. 3 français sur 4 aussi Monsieur le député. Pas vous ? Voulez-vous les encourager par des tirs de missiles contre le haut commandement d’une armée régulière de conscrits soutenue par 90% de son peuple, n’en déplaise aux médias et à notre Exécutif ? Je suis français comme vous et je vous dis : « Ca suffit. » Songeons à la décision courageuse de MM . Chirac et De Villepin le 14 février 2003. Laissons le peuple syrien s’autodéterminer. S’il y a une décision à prendre, alors cessons d’armer les forces étrangères qui s’interposent et favorisons la transition proposée par le gouvernement laïc syrien et surveillée par ses alliés.
Une armée régulière de conscrits ne va pas massacrer son propre peuple.
Demandez HAUT ET FORT à notre Exécutif le VOTE pour ou contre cette guerre à l’assemblée nationale AVANT d’engager la parole de la France ! Car comme en Libye, elle tuera encore plus de civils innocents et sèmera le chaos, contre un état qui a demandé lui-même des inspections, qui est face à des accusations une fois de plus sans preuves juridiques défendables, qui est soutenu par des grandes puissances aussi matures que nous, et qui fait partie historiquement de la francophonie si mal en point aujourd’hui au sein de l’OTAN qui a attendu 2 ans en vain. Le peuple syrien, qui semble donc soutenir fermement son pays, peut bien attendre encore 2 semaines nos missiles malgré lui afin de savoir au moins QUI les lui envoie depuis La France.
Avec l’assurance du respect que je voue aux institutions de mon pays,
signature Prénom nom,
citoyen du même pays QUE VOUS



CERCLE DES VOLONTAIRES : 


Syrie : Les «rebelles» mercenaires tirant des... par Super_Resistence





  Personne ne souhaite une guerre mondiale ! 










03 août 2013

Le nucléaire : mort programmée


Voilà le type de propagande qu'on peut lire de la part des lobbyistes :


"Grâce à son parc de 58 réacteurs, la France atteint un taux d'indépendance énergétique proche de 50%, lui garantissant une grande stabilité d'approvisionnement. Le nucléaire est une énergie qui n'émet pas de gaz à effet de serre." ... ...
        .............

Mais nous le savons tous, le nucléaire c'est avant tout une industrie étroitement liée aux applications militaires et paramilitaires.

V
oici une carte des essais dans le monde de cette arme du diable !
Simulations des essais nucléaires effectués sur notre petite planète
depuis 1945 jusqu'en 1993.
Comme on peut le constater, les frontières ne sont pas dessinées.






BOMBE ATOMIQUE A "HYDROGÈNE"  de 57 MÉGATONNES : 



Un peu d'histoire : 




LES CATASTROPHES : 

Tchernobyl :


Fukushima :






Un français au Japon lors de la catastrophe prend la parole :



Bombe Perdue De Savannah :


Quand les USA perdaient leurs bombes atomiques
(voir en anglais "Broken Arrows")


10 mars 1956.
 Un bombardier B 47 de I'USAF, venant de Floride (MacDill AFB) et se rendant en Europe, transportant deux capsules nucléaires pour des bombes, ne rencontre pas son avion ravitailleur au-dessus de la Méditerranée. Aucune trace de l'avion ni de son équipage.
4 juin 1962. Perte d'une tête nucléaire au large de l'île Johnston (Pacifique), après un tir d'essai manqué d'une fusée Thor.
20 juin 1962. Perte d'une tête nucléaire au large de l'île Johnston (Pacifique), après un second tir d'essai manqué d'une fusée Thor.
5 décembre 1965. Un A-4E Skyhawk, chargé d'une bombe nucléaire B43, tombe du porte-avion USS Ticonderonga et coule par 900 m de fond à 250 miles au sud de Kyushu et à environ 200 miles d'Okinawa.

- Caroline du Nord

Le 24 janvier 1961, suite à une défaillance, un B-52 de l'USAF explose en vol à 20 km de Seymour Johnson Air Force Base, en Caroline du Nord, perdant deux bombes H d'une puissance de 24 mégatonnes chacune.
Une des bombes Mark-39 tomba en chute libre dans un champ boueux à environ Mach 1. Les débris furent retrouvés à 7 mètres de profondeur, mais ne purent jamais être totalement récupérés. La deuxième bombe atterrit sans encombre grâce à son parachute automatique. Dans un premier temps l'USAF confirmait que tous les dispositifs de sécurité empêchant son explosion s'étaient bien déclenchés, mais après étude, il fut établi que cinq des six dispositifs de sécurité n'avaient pas fonctionné. Un seul commutateur avait empêché l'explosion de cette bombe thermonucléaire 1200 fois plus puissance que la bombe d'Hiroshima !

- Espagne, il y a 40 ans, des bombes atomiques sur Palomares
L'accident de Palomares près d'Alméria du 17 janvier 1966 est le résultat d'une collision lors du ravitaillement en vol d'un bombardier nucléaire B-52 de l'US Air Force (nom de code TEA 16) par un KC-135 de l'US Air Force au-dessus du sud de l'Espagne. Lorsque le KC-135, stationné sur la base américaine de Moron, au sud-ouest de l'Espagne est entré en collision avec TEA 16 à environ 9 000 mètres d'altitude, les deux avions ont explosé (huit des onze hommes d'équipage ont été tués).
TEA 16 transportait quatre bombes-H de type B-28 au plutonium. Une s'abîma en mer, fut endommagée mais n'explosa pas et une autre atterrit relativement intacte dans le lit asséché d'une rivière. Elles finirent toutes deux par être récupérées de façon à peu prêt sûre, mais il aura fallu l'intervention de 33 navires pour récupérer, au bout de 81 jours, la bombe tombée en Méditerranée.

 Le 7 avril 1966, le vice-amiral Guest, commandant la «Task Force 65» de la VIe Flotte américaine et le major général Wilson commandant la 16e Air Force, pouvaient enfin se faire photographier à côté de la bombe H sauvée des eaux. Leurs sourires pouvaient s'interpréter comme la satisfaction devant les résultats que la technique de recherche sous-marine avait permis d'atteindre. En fait, pour résumer on peut citer le mot de D.R.L. Wennekens, océanographe de l'Office de Recherches Navales de San Francisco : «La bombe H perdue à Palomarès a été retrouvée grâce à la combinaison de 10 % d'engineering avec 90 % de chance insolente». Lire: "La leçon de Palomares", Science et Vie n°606, mars 1968 (en PDF).
Dans un premier temps, on s'occupa d'avantage de celle-ci que des bombes tombées à terre. Ces deux autres bombes furent détruites lors de leur impact au sol près du village de Palomares, suite au déclenchement des dispositifs de mise à feu conventionnels, créant plusieurs cratères de 1,8 à 3 m de profondeur. Environ 4,5 kg de plutonium furent dispersés et environ 250 hectares contaminés [Rappel: 1/1 000 000 ème de gr de plutonium inhalé suffit à provoquer un cancer].
L'US Strategic Air Command voulut maintenir un black-out sur cette affaire, mais il fut impossible de dissimuler l'accident. Les militaires gardèrent un contrôle très ferme sur l'information diffusée aux médias. Le Département de la Défense US refusa d'admettre avoir perdu la moindre bombe atomique, alors même que la presse était au courant des efforts réalisés pour la retrouver. Cela conduisit à quelques dialogues surréalistes entre les journalistes et le porte-parole du Département de la Défense, tel que : "Je ne connais aucune bombe manquante, mais nous n'avons pas positivement identifié ce que je pense que vous croyez que nous sommes en train de rechercher".
Au cours des trois mois suivants, les interventions massives d'assainissement et de décontamination mobilisèrent près de 1 700 militaires américains et gardes civils espagnols. Il semble que les américains aient bénéficié de mesures de protection plus importantes (en particulier des vêtements spéciaux) que les espagnols. La JEN (Junta de Energia Nuclear) a participé avec la DNA (Agence Nucléaire de Defense des Etats Unis) à la coordination de la gestion de la crise, à l'assainissement et au contrôle de la radioactivité dans les régions d'habitation et de culture. Environ 1 750 tonnes de terre contaminée furent envoyées aux Etats-Unis à l'usine de retraitement de Savannah River en Caroline du Sud pour y être stockées. La JEN et les autorités américaines signèrent un accord de suivi post accidentel. (Voir le reportage de Paris Match n°882, 5 mars 1966)
En 1971, Wright Langham (un spécialiste des questions biomédicales nucléaires) du laboratoire de Los Alamos visita Palomares pour étudier la situation. Il découvrit que seulement 100 villageois (environ 6% de la population) avaient été examiné pour une éventuelle contamination des poumons ou des urines. 29 tests furent positifs mais écartés car jugés "statistiquement insignifiants". L'analyse de l'air à la recherche de poussière de plutonium fut abandonnée deux ans après l'accident alors qu'on observait encore occasionnellement des concentrations élevées de plutonium par vent fort. Les échantillons de terre furent jetés car le JEN ne disposait que d'un seul spectromètre qui ne fonctionnait pas toujours correctement. Langham rapporta que l'intérêt des membres du JEN envers Palomares diminuait et que les Etats-Unis devaient fournir plus d'argent et d'équipement pour maintenir la surveillance.
Les auteurs d'un rapport de 1975 de la Commission de l'énergie atomique américaine sur les conséquences de l'accident de Palomares notèrent que " Palomares est l'un des seuls endroits au monde à offrir un laboratoire permanent d'expérimentation, et probablement le seul permettant d'étudier une région agricole "Le rapport précise également que les vents ayant remué la poussière de plutonium " l'envergure réelle de la dispersion ne sera jamais connue ".
Le "programme de surveillance" continua apparemment jusqu'en 1986 [Rappel: la radioactivité du plutonium diminue de moitié en 24 000 ans]. En 1985, sur proposition d'Antonio Flores, maire de Palomares (et qui fut témoin de l'accident étant enfant), les villageois qui furent examinés purent finalement accéder à leur dossier médical qui, selon Francisco Mingot, le directeur de l'Institut de Radiobiologie et de Protection Environnementale du JEN, fut tenu secret sous la pression des Etats-Unis, et plus tard sous la dictature de Franco, ce qui devait éviter des inquiétudes excessives, dixit l'autorité américaine.

- ThuléLe 21 janvier 1968, un bombardier B-52 de l'USAF contenant 4 bombes H de 1,1 mégatonnes chacune, s'écrase sur une étendue d'eau glacée à 11 km de la base arctique de Thulé. Sous l'impact, le fuel s'embrase déclenchant l'explosion de l'enveloppe extérieur (l'amorce) d'au moins une des bombes B28 qu'il transportait. L'explosion pulvérisa des fragments de plutonium et d'uranium. Les débris des bombes et l'épave brûlèrent durant au moins 20 minute. La chaleur de l'incendie fit fondre la glace qui plus tard regela, enfermant certains débris.


La quantité de plutonium dispersée a été estimée à plus de 3 kg
Une des bombes coula au fond de la mer de Thulé.
Le haut commandement du SAC exigea que l'histoire soit tenue secrète.
La décontamination du site impliqua plus de 700 militaires américains et des travailleurs civils danois de Thulé, au final, environ 1200 travailleurs de Thulé furent exposés aux produits radioactifs. Les conditions de travail furent impossibles, obscurité, glace, neige, rafales de vent, températures de -33 à -57°C, des équipements fonctionnant mal ou pas du tout par grands froids, et une grosse pression de la hiérarchie pour terminer le travail avant la débacle du printemps (des déchets résiduels furent quand même coulés dans la baie au cours de la débacle). (IRSN). Au total, 10 500 tonnes de neige, de glace et de débris contaminés furent collectés dans des fûts et expédiés par bâteau au centre de retraitement et de stockage de Savannah River en Caroline du Sud. Les débris de l'avion furent envoyés au centre d'Oak Ridge où ils furent enterré.
Malgré le black-out sur cet épisode, des journalistes danois publièrent des documents "classifiés" indiquant qu'une des quatre bombes n'avait pas été retrouvée et l'article expliquait que la bombe non explosée se trouvait toujours au fond de la mer de Thulé.
 Leucémies en Ultima Thulé, conséquences mortelles (20 ans après) sur les 1016 travailleurs civils Danois de Thulé, 98 ont été atteints de cancer et 22 en sont morts. Leurs maladies ressemblent étonnament au Sida: elles se caractérisent par un effondrement des défenses immunitaires aboutissant à une forme de leucémie. On notera la légèreté de l'inscription peinte sur les fûts contenant des échantillons de neige radioactive et qui signifie: "C'est tout, les copains !".Officiellement il n'y a pas eu d'effets liés aux radiations et les mystérieux cancers des anciens travailleurs contaminés de Thulé seraient liés au tabac, à l'alcool et... au soleil (UV).
Le président de l'Association des irradiés de Thulé, le Danois, Marius Schmidt, a finalement eu accès aux archives américaines, qui montrent que les maux dont souffrent les employés de Thulé sont dues aux radiations et non à l'alcoolisme comme le prétendaient les autorités. 180 Danois qui ont participé aux opérations de nettoyage souffrent des séquelles de l'irradiation. En 1988, ils ont porté plainte contre l'Etat danois et contre leur employeur américain de la base de Thulé. La direction de la Santé publique danoise a conclu en 1991 et 1993, que les plaignants n'avaient pas été exposés à des doses dangereuses. Leurs maladies (cancer de la peau notamment) ne seraient pas la conséquence de l'irradiation. Mais le 7 mars 1994, Erling Olsen, ministre danois de la Justice, a ouvert les archives de cet accident et les employé chargés du nettoyage du terrain après l'accident peuvent désormais réclamer 500 000 couronnes (450 000 F) de dommages et intérêts par personne. Source

Le secret du retraitement des déchets nucléaires :
"Neutralisation des déchets nucléaires… c'est possible ?

-Oui, La preuve a été faite (au Canada) que le Gaz de Brown neutralise les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement et à moindres frais.

Le procédé peut être appliqué directement au réacteur, ce qui évite le transport et le stockage des déchets.

Cette utilisation est tellement « politiquement sensible » que nous nous abstenons de la promouvoir."



Source : NEXUS n°48 janvier-février 2007





La fusion froide, secret caché de l’énergie atomique propre :



Film fiction réaliste :

Les centrales nucléaires françaises connaissent chaque année environ une vingtaine de scénarios tous potentiellement catastrophiques qui n'ont pas été considérés lors de la conception des 58 réacteurs en activité sur le territoire. Il n'est donc pas déraisonnable d'assurer que dans un temps incertain, un accident nucléaire est aussi imprévisible qu'inéluctable !





Association citoyenne :  

CRIIRAD  CRIIRAD  CRIIRAD 

La CRIIRAD dénonce le licenciement de Bruno BARRILLOT et s'inquiète de voir refermer, une fois de plus, le dossier de l'impact sanitaire et environnemental des essais nucléaires de la France et vous invite à lui adresser un message de soutien (voir PDF joint).

16 mai 2013

NOS ELITES


Documentaire à voir absolument :

GAME OVER, LA VERITE CHOC SUR LA SITUATION EN FRANCE ET SUR NOS ELITES

(en deux parties sur Rutube)

1:


2:



Un bon documentaire fondé sur des informations dont les sources se retrouvent facilement.
Laissez un commentaire, vous pouvez aussi ouvrir un post dans le forum du blog.

Lien sur le même sujet >>> Le changement c'est maintenant ! 

03 février 2013

Le groupe Bilderberg

Le Groupe de Bilderberg a été fondé par en 1954 à l'Hôtel Bilderberg à Osterbeek à l'invitation du Prince Bernhard des Pays-Bas, co-fondateur du Groupe avec David Rockefeller.
Le Groupe de Bilderberg est sans doute le plus puissant des réseaux d'influence.




Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l'économie, de la finance, des médias, des responsables de l'armée ou des services secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires. Très structuré, le Groupe de Bilderberg est organisé en 3 cercles successifs. Le "cercle extérieur" est assez large et comprend 80% des participants aux réunions. Les membres de ce cercle ne connaissent qu'une partie des stratégies et des buts réels de l'organisation. Le deuxième cercle, beaucoup plus fermé, est le Steering Committee (Comité de Direction). Il est constitué d'environ 35 membres, exclusivement européens et américains. Ils connaissent à 90% les objectifs et stratégies du Groupe. Les membres américains sont également membres du CFR. Le cercle le plus central est le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif). Il comprend une dizaine de membres, les seuls à connaître intégralement les stratégies et les buts réels de l'organisation. Pour ceux qui enquêtent sur les réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est un véritable gouvernement mondial occulte. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent concerner le début d'une guerre, l'initiation d'une crise économique ou au contraire d'une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou boursières majeures, les alternances politiques dans les "démocraties", les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états. Les membres du Groupe de Bilderberg s'appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Ils sont choisis uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou des hôtels luxueux, entourés d'un parc ou situés en pleine nature, et si possible équipés d'un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du pays d'accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de ses occupants une semaine avant l'arrivée des Bilderbergers. Les invités sont déposés par un ballet d'hélicoptères noirs et par des limousines aux vitres fumées avec la lettre "B" sur le parre-brise. Les discussions se tiennent à huis-clos. Quelques journalistes dévoués à la "pensée unique" peuvent être parfois présent, mais rien ne doit filtrer des discussions. Il est interdit de prendre des notes ou de faire des déclarations à la presse. Mais quelques photographes arrivent parfois à prendre des photos à l'extérieur, au moment de l'arrivée des invités. La réunion 2004 du Groupe de Bilderberg s'est déroulée du 3 au 6 Juin (juste avant la réunion du G8) à Stresa dans le nord de l'Italie près de la frontière suisse, dans un palace sur les rives du Lac Majeur, le "Grand Hotel des Iles Borromées". En 2003, la réunion avait lieu en France du 15 au 18 Mai, au château de Versailles qui a été fermé au public pendant une semaine.




Liste des participants à la réunion 2003

Pays
Nom
Fonction
France
Alexandre Adler
Conseiller éditorial du Figaro
Italie
Alfredo Ambrosetti
Président du groupe Ambrosetti
Turquie
Ali Babacan
Ministre de l'économie
Grèce
Dora Bakoyannis
Maire d'Athènes
Royaume-Uni
Edward Balls
Conseiller du Trésor
Portugal
Francisco Pinto Balsemo
Ancien Premier ministre
Portugal
José Manuel D. Barroso
Premier ministre portugais, également membre de la Commission Trilatérale et du CFR
Turquie
Mehmet A. Bayar
Vice-président du Parti de la voie juste
Autriche
Erich Becker
Président de Va Technologie
Italie
Rodolfo De Bendetti
Directeur exécutif Cir
Italie
Franco Bernabè
Président Franco Bernabe & C
France
Nicolas Beytout
Rédacteur en chef Les Echos
Koweït
Ahmad E Bishara
Secrétaire général du parti national libéral démocratique du Koweit
Canada
Conrad Black
Président du Groupe Daily Telegraph-Jerusalem Post
Pays-Bas
Commissaire européen chargé du marché intérieur
USA
John R. Bolton
Sous secrétaire d'Etat pour le contrôle des armements et la sécurité internationale
France
Michel Bon
Ancien président de France Telecom
France
Jean-Louis Bruguière
Magistrat anti-terrorisme
Allemagne
Hubert Burda
Président d'Hubert Burda Media Holding
France
Phillipe Camus
Président d'EADS
International
Anthony J. Cary
Directeur de cabinet du commissaire européen Chris Patten
France
Henri De Castries
Président d'Axa
Espagne
Juan Luis Cebria
Président de Prisa
Belgique
Willy Claes
Ministre d'Etat
Royaume-Uni
Kenneth Clarke
Ancien chancelier de l'Echiquier
USA
Timothy C. Collins
Président de Ripplewood Holdings Llc
France
Bertrand Collomb
Président de Lafarge
France
Jean-François Copé
Porte-parole du gouvernement
USA
Jon S. Corzine
Sénateur du New Jersey
Suède
Claes Dahlback
Président Investor Ab
Grèce
George A. David
Président de Coca-Cola
Belgique
Etienne Davignon
Président de la Société Générale de Belgique, fondateur de l'European Round Table
USA
Thomas E. Donilon
Vice-président exécutif de Fannie Mae
Italie
Mario Draghi
Vice-président de Goldman Sachs International
Danemark
Anders Eldrup
Président de Danish Oil And Gas Corporation
USA
Martin S. Feldstein
President du National Bureau Of Economic Research
Canada
Anthony S. Fell
Président de Rbc Dominion Securities Inc.
USA
Thomas L. Friedman
Editorialiste du New York Times
France
Jean-Louis Gergorin
Vice-président d'EADS, par ailleurs membre de la RAND Corporation
USA
Paul A. Gigot
Chef de la page éditoriale du Wall Street Journal
France
Valéry Giscard D'Estaing
Président de la Convention qui a élaboré la Constitution Européenne
Norvège
Svein Gjedrem
Gouverneur de la Banque centrale de Norvège
Irlande
Dermot Gleeson
Président d'Allied Irish Banks, P.L.C.
Royaume-Uni
Philip Gould
Conseiller en relations publiques de Tony Blair
USA
Richard N. Haas
Président du CFR (Council on Foreign Relations) et Directeur de la planification du Département d'État
Pays-Bas
Victor Halberstadt
Professeur d'économie à l'université de Leiden
Canada
Stephen Harper
Chef du Parti Conservateur
USA
Roger Hertog
Vice-Président d'Alliance Capital Management
Pays-Bas
Jaap G. De Hoop Scheffer
Ministre des Affaires étrangères
USA
Allan B. Hubbard
President d'E Industries
USA
R. Glenn Hubbard
Professeur d'économie à l'université de Columbia
USA
James A. Johnson
Vice Président de Perseus L.L.C.
USA
Vernon E. Jordan, Jr.
Directeur associé de Lazard Freres & Co. L.L.C.
Suisse
Walter B. Kielholz
Vice-président de Swiss Re
Royaume-Uni
Mervyn A. King
Gouverneur adjoint de la Banque d'Angleterre
USA
Henry Kissinger
Président de Kissinger Associates
Finlande
Olli Kivinen
Editorialiste de Helsingin Sanomat
Pays-Bas
Wim Kok
Ancien Premier ministre
Allemagne
Hilmar Kopper
Ancien président du conseil de surveillance de la Deutsche Bank
USA
Henry R. Kravis
Associé fondateur de Kohlberg Kravis Roberts & Co.
USA
Marie-Joseé Kravis
Chercheur au Hudson Institute, Inc.
France
Pascal Lamy
Commissaire européen chargé du commerce
France
Pierre Lellouche
Député UMP. Vice-président de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN
France
André Lévy-Lang
Ancien président de Paribas
Suède
Anna Lindh
Ministre des Affaires étrangères
Finlande
Paavo Lipponen
Président du parlement
Danemark
Mogens Lykketoft
Président du Parti social démocrate
Canada
Margaret O. Macmillan
Préfet du Trinity College, université de Toronto
Russie
Mikhail V. Margelov
Président de la Commission des Affaires étrangères
France
Thierry De Montbrial
Président de l'IFRI (Institut français des relations internationales)
Italie
Mario Monti
Commissaire européen à la concurrence
USA
Craig J. Mundie
Directeur de la stratégie de Microsoft Corporation
Norvège
Egil Myklebust
Président deNorsk Hydro Asa
Allemagne
Matthias Naas
Directeur adjoint de Die Zeit
Pays-Bas
SAR la Reine Beatrix
Royal Dutch Shell
Pologne
Andrzej Olechowski
Leader de la Plate-forme civique
Finlande
Jorma Ollila
Pdg de Nokia Corporation
Italie
Thommaso Padoa-Schioppa
Administrateur de la Banque centrale européenne
Italie
Marco Panara
Journaliste à La Republica
Italie
Corrado Passera
Directeur exécutif de la Banca Intesabci
USA
George Perkovich
Vice-president de la Carnegie Endowment For International Peace
USA
Richard Perle
Membre de la Commission consultative de politique de défense
Belgique
SAR le Prince Philippe

Italie
Roberto Poli
Président d'Eni
France
Denis Ranque
Pdg de Thalès
Danemark
Anders Fogh Rasmussen
Premier ministre
Canada
Heather Reisman
Pdg,d'Indigo Books & Music Inc.
France
Franck Riboud
Pdg de Danone
Suisse
Michael Ringier
Pdg de Ringier
USA
David Rockefeller
Administrateur de J.P. Morgan International
Portugal
Eduardo Ferro Rodrigues
Leader du Parti socialiste
Espagne
Matias Rodriguez Inciarte
Vice-président de la Banco Santander Central Hispano
France
Olivier Roy
Chercheur au CNRS
USA
John Ruggie
Directeur à la Kennedy School of Government, Harvard University
Pays-Bas
Anthony Ruys
Président d'Heineken
Italie
Paolo Scaroni
Directeur d'Enel
Allemagne
Wolfgang Schauble
Vice-président du groupe parlementaire CDU/CSU
Allemagne
Otto Schily
Ministre de l'Intérieur
Autriche
Rudolf Scholten
Administrateur de l'Oesterreichische Kontrollbank Ag
Allemagne
Jurgen E Schrempp
Président de Daimler Chrysler Ag
International
Klaus Schwab
President du World Economic Forum (Davos)
Danemark
Toger Seidenfaden
Rédacteur en chef de Politiken
Russie
Lilia Shevtsova
Chercheur à la Carnegie Endowment For International Peace
Espagne
SM le Roi Juan Carlos

USA
James B. Steinberg
Vice-president de la Brookings Institution
Canada
Mark Steyn
Journaliste
Irlande
Peter D. Sutherland
Président de Goldman Sachs International, et Président de BP Amoco
USA
John L. Thornton
Pdg, Goldman Sachs Group, Inc.
France
Jean Claude Trichet
Gouverneur de la Banque de France
Grèce
Loukas Tsoukalis
Président de la Fondation hellénique pour la politique européenne et étrangère
Autriche
Gertrude Trumpel-Gugerell
Vice-gouverneur de la Banque centrale autrichienne
Suisse
Daniel L. Vasella
Pdg de Novartis
Pays-Bas
Jeroen Van Der Veer
President de la Royal Dutch Petroleum Company (Shell)
France
Dominique de Villepin
Ministre des Affaires Etrangères
France
Philippe Villin
Vice-président de Lehman Brothers Europe
Pays-Bas
Klaas De Vries
Ancien ministre de l'Intérieur
Finlande
Bjorn Whalroos
Pdg de Sampo Plc.
Suède
Jacob Wallenberg
Président de Skandinavivska Enskilda Banken
Royaume-Uni
Gareth Williams
Président de la Chambre des Lords
Royaume-Uni
Martin H Wolf
Editorialiste du Financial Times
USA
James D. Wolfensohn
President de la Banque mondiale
USA
Paul Wolfowitz
Secrétaire adjoint à la Défense
USA
Fareed Zakaria
Directeur de Newsweek International
USA
Robert Zoellick
Représentant des Etats-Unis pour les négociations commerciales (AMI, AGCS, etc)
Allemagne
Klaus Zumwinkel
Président de Deutsche Post Worldnet


Lieux des réunions récentes

Date
Pays
Lieu
1991, 6-9 Juin
Allemagne
Baden Baden
1992, 21-24 Mai
France
Evian-les-Bains
1993, 22-25 Avril
Grèce
Vouliagmeni, près d'Athènes - Nafsika Astir Hotel
1994, 2-5 Juin
Finlande
Helsinki
1995, 8-11 Juin
Suisse
Zurich - Calgary's St. Louis Hotel
1996, 30 Mai-2 Juin
Canada
Toronto - CIBC Leadership Centre
1997, 12-15 Juin
Etats-Unis
Lake Lanier, près d'Atlanta dans l'état de Géorgie - Pine Isle resort
1998, 14-17 Mai
Royaume Uni, Ecosse
Turnberry (Ayrshire) - Turnberry Hotel
1999, 3-6 Juin
Portugal
Sintra - Penha Longa resort
2000, 1-3 Juin
Belgique
Genval, près de Bruxelles - Chateau Du Lac
2001, 24-27 Mai
Suède
île de Stenungsund, près de Gothenburg - Stenungsbaden Hotel
2002, 30 Mai-2 Juin
Etats-Unis
Chantilly, état de Virginie, près de Washington - Westfields Marriott hotel
2003, 22-25 Juin
France
Versailles - Château de Versailles et Trianon Palace
2004, 3-6 Juin
Italie
Stresa - Grand Hotel des Iles Borromées (Lac Majeur)
2005, 5-8 Mai
Allemagne
Rottach-Egern, près de Munich - Dorint Sofitel
2006, 8-11 Juin
Canada
Ottawa, Brookstreet Resort
2007, 31 Mai-3 Juin
Turquie
Istanbul, palace Ritz-Carlton
2008, 5-8 Juin
Etats-Unis
Chantilly (Virginie), Hotel Westfield Marrriott
2009, 14-17 Mai
Grèce
Vouliagmeni (près d'Athènes), Nafsika Astir Palace
2010, 3-6 Juin
Espagne
Sitges (près de Barcelone), Dolce Sitges
2011, 9-12 Juin
Suisse
St Moritz, palace Suvretta House



LISTE DES PARTICIPANTS EN FRANCE    SOURCE : http://www.syti.net/




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