28 juillet 2010

Puces ADN Pasteur & nanotechnologies

DECOUVREZ : 
Les vaccins à cristaux liquides 

Parmi les nouveautés en matière de vaccination, on  trouve les vaccins à cristaux
liquides…
On sait que l’A.D.N. est constitué de cristaux liquides. L’idée des vaccins à cristaux 
liquides est d’injecter dans l’organisme (par voie intramusculaire, par exemple) de l’ « 
A.D.N. nu » c’est-à-dire des séquences d’A.D.N. répétitives (cet A.D.N ; peut être 
synthétique) qui sont les supports d’informations cellulaires sur lesquels on vient 
greffer soit des séquences d’A.D.N. viral, soit des gènes codants pour des protéines 
virales ou bactériennes. L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est 
très rapide, et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, 
puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine. 
Problème : lorsqu’on vous injecte un vaccin, qui sait exactement ce qu’il y a à 
l’intérieur ? Qui sait s’il s’agit d’un vaccin « traditionnel » ou d’un vaccin à cristaux 
liquides ? Même le médecin qui vous l’administre en toute bonne foi l’ignore peut-être 
!!! 
Mais la question qui se pose ici est encore une fois en relation avec le contrôle des 
individus : cet A.D.N. finalement étranger que l’on nous implante par vaccin n’est-il 
pas une « antenne » programmable de l’extérieur et  que l’on introduit dans notre 
organisme à des fins qui pourraient être bien différentes peut-être des fins humanistes 
de santé ? 
N’y a-t-il aucun risque par exemple que, étant stimulées par un phénomène extérieur 
(une certaine longueur d’ondes émise par des satellites et qui serait relayée par une 
micro-puce implantée dans le corps, par exemple), ces particules d’A.D.N. (et de virus) 
intégrées par notre organisme se mettent non pas à  activer notre système 
immunitaire, mais à le ralentir ou à le stopper, ou encore à produire des toxines ou 
des virus mortels ? Il s’agirait encore, dans ce cas, de techniques d’actions de masse 
sur les gens, avec une antenne cellulaire qui court-circuiterait la conscience 
individuelle  ! 
Certaines personnes se posent très sérieusement la question, notamment au Québec 
et aux U.S.A. . Le très brillant livre d’Anne Givaudan, « Les dossiers sur le 
gouvernement mondial », est d’ailleurs fort explicite en ce qui concerne le rôle 
finalement très peu curatif des vaccins (certains ont d’ailleurs des effets secondaires 
plus qu’indésirables ! Voir la référence au livre en fin d’article). 
Website : http://www.lepost.fr/article/2008/08/26/1250910_micropuce-tout-sous-lapeau-8-8.html
Date : 12. 06. 2009 
NANOPUCES PAR VACCINATION 
des personnes sont-elles déjà pucées de force ou à leur insu aux USA et en Europe ?  
Il est beaucoup plus difficile et plus délicat de répondre à cette question. Les firmes qui 
produisent les puces, pour l'instant, misent sur l'aspect "volontaire" de ces puces (= puces 
administrées selon la volonté de la personne et de son plein gré). Il s'agit là d'un stratagème 
hypocrite, bien entendu, afin de mieux faire accepter et de mieux commercialiser ces horreurs implantables. Mais il y a un cas pour lequel des  puces cérébrales ont 
apparemment déjà été administrées de façon non volontaires (= imposées) sur des 
prisonniers, aux USA. C'est le cas de la puce neurale 2020 produite par la diabolique firme 
IBM (une firme qui, par le passé, a aidé les nazis  à dénombrer les Juifs et leurs 
possessions); cette puce neurale aurait été testée sur des prisonniers américains de façon 
illégale et sans leur consentement. Voir à ce sujet l'article en anglais sur 
http://www.totse.com/en/conspiracy/mind_control/ibmmndcn.html  
Pour l'instant, administrer des puces à l'insu des gens est difficile, mais cela pourrait devenir 
très facile à l'avenir, à cause des nanotechnologies qui proposent une miniaturisation 
extrême puisqu'elles manipulent des atomes et des molécules. Il est d'ailleurs prévu que des 
nanopuces d'identification soient mises au point. A l'heure où je parle, cela pourrait déjà être 
d'actualité. Mais je n'en ai encore aucune preuve. En tout cas, c'est en développement, et là 
je suis formel. Certains articles que j'ai traduits au sujet des nanotechnologies le signalent 
(cf. la rubrique adéquate sur le forum, qui est à présent verrouillée). Mais avec les 
nanopuces, on pourrait bientôt parvenir à implanter les gens à leur insu : ainsi, on pourrait 
injecter ces nanopuces (lors d'une vaccination, par exemple), les 
ingérer (nanopuces sur ou dans des aliments ou des  boissons), les inhaler (nanopuces 
présentes dans l'air et pénétrant dans les poumons) et ces nanopuces pourraient même, une 
fois diffusées à l'aide d'un spray sur la peau, franchir sans difficuulté la barrière de la peau 
en raison de leur taille infime. 
Enfin, signalons que des projets réels visant à implanter des bébés dès la naissance ou des 
vieillards existent, aussi bien en Europe qu'aux USA. Ceci pourrait donc se faire sans le 
consentement de ces personnes, voire à leur insu. La doctoresse Rauni Kilde, dont j'ai 
traduit et publié l'article à ce sujet dans la rubrique consacrée aux puces et au liberticide, est 
formelle à ce sujet.  
VeriChip Corp. possède aussi un programme de puçage des enfants nommé "verikid" et qui 
consiste à pucer en sous-cutané les mômes afin de soi-disant éviter les "kidnappings". Ce 
programme est d'application au Brésil et au Mexique, où il y a de nombreux rapts d'enfants. 
En réalité, pour un criminel décidé, c'est presque une incitation à mutiler le pauvre enfant !  
Notons aussi que des témoignages (mais tout à fait non vérifiables et peu fiables) de puçage 
non volontaire me sont déjà parvenus, mais sans aucune preuve (radiographie, par 
exemple). Etaient-ils sincères , ou n'était-ce que des canulars ? Mystère... En tout cas, je ne 
peux les prendre en compte ni les cautionner.  
Website : https://secure.gn.apc.org/members/www.bilderberg.org/phpBB2/viewtopic.php?t=512
Date : 12. 06. 2009 



LES PUCES ADN PASTEUR :  

Une puce à ADN pour détecter des virus émergents
Des équipes de l'Institut Pasteur et du CNRS sont parvenus à mettre au point un outil utilisant la technologie des puces à ADN, capable de détecter en 24 heures la présence d'un virus ou d'une bactérie connus, ou d'un de leurs variants émergents. Alors que naissait en avril 2009 l'épidémie de grippe A(H1N1), les chercheurs ont montré que cette puce permettait la détection et l'identification du nouveau variant à partir des échantillons cliniques. Cet outil pourrait être utilisé à  l'avenir en cas d'alertes épidémiques, pour identifier en urgence le ou les agents pathogènes en cause, et ainsi aider les autorités de santé dans la gestion de l'épidémie.

Des chercheurs de l’Institut Pasteur et du CNRS, de l’unité d’Epidémiologie et physiopathologie des virus oncogènes, dirigée par Antoine Gessain, et de la Cellule d’intervention biologique d’urgence, dirigée par Jean-Claude Manuguerra, dans le cadre d’un vaste travail collaboratif au sein de l’Institut Pasteur, ont mis au point une puce à ADN permettant la détection et l’identification d’un virus ou d’une bactérie parmi un très large spectre d’agents infectieux dans des situations cliniques complexes.

Dans le cadre de l’épidémie de grippe A(H1N1), qui a débuté en avril 2009, la technique a pu révéler rapidement – en 24 heures – la présence du variant viral dans les échantillons cliniques. Elle est ainsi capable de couvrir une large diversité génétique virale, d’être très discriminante, même en présence d’un mélange de virus, et de s’affranchir des traditionnelles techniques de séquençage. Cette biopuce a en outre permis de déterminer les espaces géographiques et la période de circulation de plusieurs virus H1N1 saisonniers et d’origine porcine testés, ainsi que l’origine, aviaire ou porcine, des différents segments du virus variant (H1N1).

Une puce à ADN se présente sous la forme d’un support solide, sur lequel sont disposées, selon une organisation spatiale ordonnée, des sondes nucléiques spécifiques. Mises en présence de l’échantillon à tester, ces sondes, si elles sont complémentaires des acides nucléiques viraux ou bactériens (ADN ou ARN) contenus dans l’échantillon, s’y lient étroitement. Grâce à de puissants moyens d’amplification moléculaire et à des outils d’analyse bio-informatique, le signal alors émis permet d’identifier ces acides nucléiques, même présents en faibles quantités.

La biopuce développée par les chercheurs permet ainsi de sonder simultanément une multitude de gènes cibles définis au préalable pour un ou plusieurs agents pathogènes, et ce en une seule étape. Si de tels outils ne sont pas conçus à des fins diagnostiques au niveau individuel, leur utilisation, en permettant d’identifier rapidement l’agent pathogène en cause, pourrait néanmoins, dans le cas de prochains contextes épidémiques, assister les autorités de santé dans la prise de décisions, notamment concernant le traitement des patients.

Le développement de cet outil va être poursuivi avec la réalisation d’une nouvelle génération de puces, dont les capacités d’identification des agents viraux impliqués, aussi bien dans les pathologies humaines qu’animales, vont être accrues.

.: Ces travaux ont reçu un soutien financier de la Fondation Total :.




http://www.bio.davidson.edu/Courses/genomics/chip/chip.html


Qu'est ce que la nanotechnologie ? par ericko75
Pasteur est un établissement DOUTEUX ! ils travaillent actuellement sur des puces ADN !  DES OGM QUOI ! ILS N ONT PAS HONTE ! ILS PRENNENT VRAIMENT LES GENS POUR DES CONS ! Leurs dernières nouveautés : la puce ADN qui détecte les virus A H1N1 et les variantes ainsi que les bactéries ...
Soit disant indispensable pour l'avenir de l'humanité afin de prévenir tout risque de pandémie...
Quelle Excuse en Or massif !!
...un hasard ? pfff !
Regardez ci-dessous :
Site de la plate-forme transcriptome de l'ENS
Plate-forme Montagne Sainte-Geneviève

Le service génomique du département de biologie



Voir cette documentation en pdf ( conditions de collaborations pour l'hybridation et l'analyse de puces ADN )





Mais que nous dit on sur Wiki ?
Une puce à ADN est un ensemble de molécules d'ADN fixées en rangées ordonnées sur une petite surface qui peut être du verre, du silicium ou du plastique. Cette biotechnologie récente permet d'analyser le niveau d'expression des gènes (transcrits) dans une cellule, un tissu, un organe, un organisme ou encore un mélange complexe, à un moment donné et dans un état donné par rapport à un échantillon de référence.
Les puces à ADN sont aussi appelées puces à gènes, biopuces, ou par les termes anglais « DNA chip, DNA-microarray, biochip ». Les termes français microréseau d'ADN et micromatrice d'ADN sont recommandés par l'Office québécois de la langue française. [1]
Le principe de la puce à ADN repose sur la propriété que possède l'ADN dénaturé de reformer spontanément sa double hélice lorsqu'il est porté face à un brin complémentaire (réaction d'hybridation). Les quatre bases azotées de l'ADN (A, G, C, T) ont en effet la particularité de s'unir deux à deux par des liaisons hydrogènes (A = T et T = A ; G ≡ C et C ≡ G). Si un patient est porteur d'une maladie, les brins extraits de l'ARN d'un patient (et rétrotranscrits en ADN), vont s'hybrider avec les brins d'ADN synthétiques représentatifs de la maladie.



Alors con-vaincu ? non ?
Vous avez raison, il faut toujours se poser des questions : Exemple : Pourquoi  le procès Bachelot sur les vaccins H1N1 se termine sur un secret défense, ou secret d'état ? Ne serait-ce pas un moyen de cacher des nanotechnologies ?



FX: La technologie du futur 1/3
envoyé par inhost. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.



La puce à l'Oreille
envoyé par Doc-up. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.


Guerre des fréquences: Motorola, pionniers du GSM...
envoyé par JaneBurgermeister. - L'info internationale vidéo.

Rapport CNIL Dictature electronique - 1sur3
envoyé par Meydi_Le_GriZzLy. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


Cnil : Audition d'Alex Türk 1/3 par EuropeEcologie


Commission sur la dictature electronique - 2sur3
envoyé par jackyshow38. - L'info video en direct.


Commission sur la dictature electronique - 3sur3
envoyé par jackyshow38. - L'info internationale vidéo.



A la conquete de l'infiniment petit
envoyé par yannos80. - L'info internationale vidéo.

Total controle - 1sur3
envoyé par jackyshow38. - L'info video en direct.



Total controle - 2sur3
envoyé par jackyshow38. - L'info video en direct.


Total controle - 3sur3
envoyé par jackyshow38. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


TOUJOURS SUR LES PUCES :
Lundi 14 mai 2007 1 14 /05 /2007 16:07




TECHNOLOGIE : UN GRAND PAS VERS LA "TRACABILITE HUMAINE



Un œil interne pour "Big Brother”
Avec la puce, l'homme devient son propre délateur, juge Jean-Michel Truong, expert en intelligence artificielle.
Psychologue et philosophe de formation, ancien enseignant et chercheur à l'université de Strasbourg, Jean-Michel Truong est le fondateur de Cognitech, première société européenne spécialisée en intelligence artificielle. Il travaille aujourd'hui comme consultant international en transfert de technologies avancées. Il est aussi romancier et essayiste (1).


L'implantation de puces sous la peau n'est pas un phénomène neuf. Mais, avec VeriChip, doit-on craindre une généralisation ?

VeriChip constitue un progrès majeur pour la traçabilité du cheptel humain. On voit clairement comment son usage se répandra. D'abord, en invoquant le prétexte humanitaire. La puce, nous dit-on, permet aux médecins d'intervenir plus vite en cas de problème. C'est ainsi que commencent toutes les dérives technologiques : voyez le clonage humain. Puis se construiront autour d'elle des systèmes toujours plus nombreux, qui justifieront qu'on “empucèle” des couches toujours plus larges de la population. Un jour viendra où l'on ne pourra plus vivre sans elle – comme c'est déjà le cas sur Internet sans carte bancaire. Ce jour-là, on envisagera de l'implanter systématiquement à la naissance. Son port deviendra obligatoire. Se “dépuceler” sera criminel.


D'où vient l'exigence de traçabilité ?

Elle correspond au besoin antique d'assurer l'intégrité des transactions génétiques et commerciales par l'identification rapide des géniteurs sains et des débiteurs fiables, ou de leurs contraires, les individus à risque. La société y pourvoyait par toutes sortes de marquages, à même la peau (tatouages...), sur les vêtements (décorations, étoiles jaunes...) ou au moyen d'accessoires (cartes d'identité, bracelets électroniques, etc.). De nos jours, ce besoin est exacerbé par l'émergence de pressions sociales nouvelles : d'abord, l'idéologie du “zéro-défaut” née dans l'industrie s'est étendue à toute la société qui cherche à écarter les individus défectueux. L'aspiration au “risque zéro” joue dans le même sens. Enfin, la perte de confiance résultant de la multiplication des identités virtuelles sur les réseaux plaide en faveur de moyens d'identification sûrs. VeriChip est une réponse à ces pressions.


VeriChip et les gadgets électroniques faits pour nous traquer ne représentent-ils pas l'avènement de Big Brother ?

Il y a là un saut quantique dont on ne mesure pas encore la portée. Avec son VeriChip incarné au plus intime de lui-même, l'homme n'est plus seulement porteur d'une carte de crédit, il est sa carte de crédit. Avec le VeriChip, je n'ai plus besoin qu'un autre réponde de moi : la petite puce tapie en mon sein répond pour moi et répond de moi. Mais, en même temps, exactement comme jadis j'étais dénoncé par ma carte bancaire en payant au péage, je deviens mon propre délateur. Désormais, Big Brother saura à chaque instant où je me trouve, et avec qui. L'œil de Big Brother pèsera sur moi, certes, mais comme un œil interne, tel celui qui jusque dans la tombe ne cesse de fixer Caïn. VeriChip sera devenu le siège électronique de la conscience.


Kevin Warwick, le professeur d'Oxford, rêve que les cerveaux humains soient directement reliés entre eux. Fantasme ou projet ?



Techniquement parlant, ces applications sont tout ce qu'il y a de plus faisable. La technologie à la base du VeriChip est même déjà obsolète. Les nanotechnologies permettent de franchir un pas supplémentaire dans cette direction. Mais l'avenir de ce type d'application réside dans les biotechnologies. Après tout, nos cellules sont emplies d'une substance particulièrement apte à mémoriser et traiter des informations, l'ADN. La majeure partie de cette mémoire demeure inexploitée – l'ADN mitochondrial, notamment. Reste à développer un lecteur-graveur capable d'y inscrire des informations et de les retrouver. Une version CD réinscriptible de l'ADN. On disposerait ainsi d'un équivalent non intrusif du VeriChip.


À quelle cadence se fera “l'empucelage” de la société ?



Cela dépendra de l'évolution de ces pressions, et de l'intensité des résistances et des modes qui se feront jour. Selon qu'être empucelé sera ou non vécu comme glamour, branché ou sexy, cela pourra prendre de quelques années à plusieurs décennies.
Propos recueillis par Laure Noualhat, Libération 11/12 mai 2002
(1) Dernier ouvrage : Totalement inhumaine, Les Empêcheurs de penser en rond, Paris, 2001.
Site à consulter : www.jean-michel-truong.net
Etudes sur les risques liés aux nanaotechnologies




POUR UN CONTROLE EUROPEEN


Dans un rapport rendu public le 1er mars 2007, le CCNE (Comité Consultatif National d'Ethique pour les sciences de la vie et la santé) alerte sur la question des nanotechnologies :
"En 2005, 10 milliards de dollars ont été consacrés à la recherche et au développement dans le domaine des nanotechnologies, mais seulement 400 millions l'ont été à des fins de recherches sur les effets secondaires éventuels."
Le CCNE recommande à la France d'engager au niveau européen une réflexion pour aboutir à la mise en place d'une "loi européenne semblable à Reach" pour les produits chimiques.
Quelques suggestions à l'adresse de nos brillants décideurs et chercheurs

Avant toute poursuite des recherches et productions :
1) Se poser la question de la véritable nécessité des nanotechnologies pour le mieux-être de tous les êtres humains nés et à naître (mettre le "pourquoi" avant le "comment" et se demander à quoi elles vont véritablement servir et à qui elles vont réellement profiter)
2) Se poser la question de savoir si le financement demandé permettra de les mettre à la disposition de tous les habitants de la planète, sans exception
3) Faire la comparaison entre le montant des investissements demandés et les besoins des plus pauvres, de manière à être certain que cet argent ne pourrait pas être utilisé de manière plus utile pour permettre à ces derniers de vivre décemment
4) Etudier les effets de cette recherche, comme de leur éventuelle production, utilisation, retraitement ou recyclage après utilisation, sur la nature (quantité d'eau et d'énergie nécessaire ; autres ressources naturelles demandées ; pollution directe et indirecte ; …) ainsi que la santé de ceux qui seront à leur contact. Faire ensuite la balance entre les éléments positifs et négatifs
5) Ne poursuivre les recherches que si les réponses positives à chacune de ces questions l'emportent largement sur les conséquences négatives
6) Se poser les mêmes questions pour les OGM (chaque Organisme Génétiquement Modifié) et toute autre recherche envisagée et en cours (dans le domaine de la génétique, de la chimie ou du nucléaire, par exemple) avant toute production, commercialisation et utilisation des technologies ainsi découvertes




 Nombre de gènes : Peu importe la mesure qui s'applique à l'homme, le nombre de gènes ne détermine pas tout. Avant que le génome humain ne soit décodé, les biologistes estimaient à 100 000 le nombre de gènes de l'homme. En fait, l'homme n'en compte qu'environ 30 000 ( le même nombre qu'une souris)
Un plant de riz compte plus de gènes qu'un homme (environ 40 000). Nos gènes contribuent à nous rendre humains, mais leur nombre n'explique pas tout.



A CONSULTER POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES PUCES, LE FICHAGE ET LA SURVEILLANCE DES POPULATIONS


MAGAZINES, REVUES, BROCHURES :

S!lence n° 347, de juin 2007
Ecorev n° 24, automne 2006 (http://ecorev.org/)
Libertés, revue trimestrielle éditée par l'association pour la protection de la vie privée, de l'image, contre l'informatisation de la société, contre la carte vitale, la vidéosurveillance et tout traçage de la vie privée (ACIS VIP – 9, route de Toulouse 31180, Castelmaurou) - 1,50 euros
Des moutons et des hommes. Contre l'identification électronique des animaux et des humains (2007). A commander chez Nicolas Bonnani – 10, rue Yves Farge 38600, Fontaine)

LIVRES :

Globalia, roman d'anticipation de Jean-Christophe Ruffin (Gallimard – 2005)
L'horreur sécuritaire. Les trente honteuses, de Jean-Marc Fédida (Privé – 2006)



SITES :


http://1984.over-blog.com (collectif George Orwell, contre la biométrie)
http://souriez.info (collectif "Souriez vous êtes filmés", contre la vidéosurveillance)
www.jameh.org (collectif belge "Jamais avec la manipulation électronique de l'humain)
www.piecesetmaindoeuvre.com (nombreux textes et brochures téléchargeables sur les technologies de contrôle)
http://refusadn.free.fr (site ressource pour le refus du prélèvement d'ADN)



 


FOETUS EN SOUFFRANCE

Inconscientes les femmes enceintes ? Plus une cellule est jeune, plus elle est sensible aux radiations. Les foetus sont donc particulièrement sensibles aux ondes électromagnétiques dégagées par les téléphones portables. Et pourtant, il n'est pas rare de voir des femmes enceintes sortir leur téléphone mobile d'un sac qui pend sur le côté de leur ventre arrondi !
S!lence n°347 de juin 2007


ECOUTE-BEBES, PIRE QUE LE TELEPHONE PORTABLE !

Dernier gadget à la mode : "l'écoute-bébé" ou "babyphone". C'est un appareil qui vous permet de surveiller votre enfant à distance. Le problème est que les modèles les plus modernes fonctionnent comme des téléphones sans fil, avec une dose d'émission de radiations importante. Or, les cellules d'un bébé sont les plus vulnérables (après celles du foetus) et la surveillance peut irradier l'enfant pendant des heures.
Un gadget à proscrire absolument !
S!lence n°343 de février 2007

ALZHEIMER A 35 ANS ?

Dans son ouvrage "Les jeunes et le portable - Alzheimer à 35 ans ?" (Editions Santé publique - 2006 - 96 p - 10 euros), Annie Lobé, reprenant les études actuelles sur l'évolution du cerveau, rappelle que l'on pense maintenant que celui-ci n'atteint sa taille adulte que vers 25 ans et que l'exposer avant à des ondes nocives peut être catastrophique !
S!lence n°345 d'avril 2007

CONCERTS ASSASSINS

Nouvelle manière de pousser à la consommation : les sociétés de téléphonie mobile proposent aux jeunes d'écouter la retransmission de concerts sur leur téléphone portable !
Quand on sait qu'il est recommandé d'avoir des conversations les plus courtes possible pour éviter l'échauffement du cerveau et les risques pour la santé, ce genre d'initiatives ne devrait-il pas être interdit ?
S!lence n°347 de juin 2007





DANGERS DE LA TELEPHONIE MOBILE et AUTRES DIFFUSEURS D'ONDES ELECTRO-MAGNETIQUES


Appels unanimes à la prudence

Depuis 1980, plus de 400 études scientifiques dans le domaine de la communication micro-ondes et hyperfréquences, donc liée aux téléphones mobiles et aux antennes-relais, ont été publiées dans le monde. Toutes concluent que les risques de conséquences sanitaires sont probables, certaines montrent un lien avec l'augmentation de leucémies infantiles, d'autres avec des tumeurs cérébrales. Cependant, pour tout compliquer, il a été déterminé que toutes les personnes ne sont pas sensibles de la même façon.
A la suite de ces études, de multiples appels à la prudence ont été lancés par des médecins et des scientifiques qui, tous demandent l'application du principe de précaution.
En France, le CRII-Rem demande, entre autre, la présence de "zones blanches", c'est-à-dire sans communication sans fil, afin de servir de lieu d'accueil pour les personnes hypersensibles aux champs électromagnétiques…
La Belgique a adopté une nouvelle norme d'exposition aux champs électromagnétiques générés par la téléphonie mobile abaissée à 3 volts par mètre. Rappelons qu'en France, les normes autorisent des émissions de 41 à 61 volts par mètre !
Revue "S!lence" n°345 d'avril 2007
Alors que les Suédois ont déjà mis en évidence la corrélation entre l'usage du téléphone et des tumeurs dans le nerf optique ou le cerveau, les études internationales se multiplient sur le sujet. Certains chercheurs annoncent déjà les difficultés qu'ils rencontrent du fait de la multiplication d'autres ondes comme celles émise par les fours à micro-ondes et les systèmes "wi-fi", qui peuvent interférer avec le téléphone portable…
Revue "S!lence" n°341 de décembre 2006


Dangers confirmés

Une équipe de recherche de l'Université de Clermont-Ferrand, travaillant dans le cadre d'une programme de recherche lancée par le Ministère de la recherche en juillet 2004, a mis en évidence les effets du rayonnement électromagnétiques sur le fonctionnement génétique de végétaux. Des pieds de tomates soumis à une courte exposition (5 à 15 minutes) à des champs de 900 M Hz (fréquence la plus utilisée en téléphonie mobile) à une intensité de 5 v/m (contre 41v/m autorisé en France !) présentent des effets biochimiques comparables à ceux que l'on observe après un choc ou une blessure. Les conclusions de l'enquête vont dans le même sens que d'autres menées au niveau international sur des cellules végétales, animales ou humaines. "Agir pour l'environnement" et "Priartem", deux associations qui rendent publiques ces multiples études, demandent aux ministères de la santé et de l'écologie d'en tirer les conséquences…
Revue "S!lence" n°346 de mai 2007

Vieillissement de la peau

Le Journal of Investigative Dermatology d'Avril 2007, revue des professionnels de la cosmétique, a publié une étude montrant que l'exposition de la peau aux ondes des téléphones portables, entraîne une accélération du vieillissement naturel des cellules de l'épiderme.
Revue "S!lence" n°347 de juin 2007


Ondes contre sommeil

Les études sur la chronobiologie montrent que l'on a de plus en plus de mal à trouver le sommeil. S'il existe des causes liées au décalage de notre mode vie par rapport aux heures d'ensoleillement, les spécialistes ont mis en évidence l'influence néfaste des ondes produites par les écrans d'ordinateur, le téléphone portable et la télévision... ces ondes gênent la production de mélatonine, une hormone qui favorise l'endormissement.
Revue "S!lence" n°341 de décembre 2006

Téléphone d'intérieur sans fil : danger !

Jusqu'à quelques années, les téléphones d'intérieur sans fil utilisaient une technique dite analogique (norme CT1+), qui émettait des ondes relativement éloignées de celles considérées comme dangereuses. Avec la nouvelle génération de ce genre de téléphone, dit D.E.C.T. (Digital Enhanced Cordless Telephone), il n'en est rien : le boîtier émet des ondes proches de celles des antennes-relais, cela marche 24 h sur 24 h et cela peut atteindre 1.900 MHz de puissance maximale. Des mesures effectuées par la revue écologiste belge Imagine montre que l'on est, à 1m, au-dessus des normes de 3 V/m recommandée au téléphone au niveau international. Dossier très complet sur le téléphonie mobile à commander à : Imagine, 23, rue Pierreuse, B 4000 Liège (6 euros).
Revue "S!lence" n°342 de janvier 2007


Encore plus dangereux lorsqu'on se déplace

Le téléphone mobile ne fonctionne bien … qu'en étant immobile ! En effet, si vous bougez en téléphonant, le téléphone perd le contact avec l'antenne-relais et coupe la communication. Comme il cherche désespérément à ne pas couper, il émet un maximum d'ondes nocives. En conclusion, si vous devez téléphoner avec ces appareils toxiques, faites-le sans bouger (ni en voiture, ni en train, ni à bicyclette ou à scooter… et en avion ?)
Revue "S!lence" n°342 de janvier 2007
Que dire de ceux qui n'ont rien demandé, qui refusent ce gadget et qui "bénéficient" malgré tout de toutes les émissions des antennes-relais de tous types largement réparties sur le territoire et fonctionnant sur de très hautes fréquences (en France, les antennes-relais peuvent légalement émettre de 41 à 56 Volts par mètre) !

Qu'en disent les compagnies d'assurance ?

Elles refusent toutes, de même que pour le nucléaire, les OGM et les catastrophes naturelles, d'assurer l'ensemble de la téléphonie mobile, y compris les nouveaux téléphones sans fil d'intérieur...
Un maire a même obtenu le démontage d'antennes relais en demandant à l'opérateur copie de son assurance civile !
Cependant, le règlement européen actuel permet d'exclure l'innovation de toute condamnation. Ainsi, si les opérateurs prouvent que les connaissances scientifiques du moment ne permettaient pas de connaître à l'avance les dangers de la téléphonie mobile, ils pourraient bénéficier de cette exception au droit communautaire.
Revue "S!lence" n° 342 de janvier 2007 et 345 d'avril 2007
Vous avez dit principe de précaution !!!


Pas que des problèmes de santé !

L'usage des téléphones portables n'a pas que des effets sur la santé (risque de cancers du cerveau, stérilisation par proximité des testicules ou des ovaires – les téléphones étant fréquemment glissés dans les poches de pantalon -, destruction du nerf optique, électrosensibilité…) mais également de phénomènes psychologiques de dépendance). On estime que 90% des jeunes de 15 à 30 ans sont maintenant sous dépendance de cet appareil, un taux qui baisse avec l'âge, pour n'être plus que de 51% chez les plus de 60 ans.
De plus, une étude de l'association des opérateurs mobiles (donc favorable aux téléphones portables) indique que le téléphone portable pose des problèmes de déchets : la durée de vie d'un téléphone chez les jeunes de moins de 24 ans est de moins d'un an ; chez les plus âgés, cela ne dépasse pas deux ans. Résultat, les "vieux" appareils s'accumulent ou se perdent dans la nature…
Par ailleurs, la téléphonie mobile développe également les actes d'incivilité, les gens parlant n'importe où, cela provoque de l'agressivité, voire des violences entre usagers et non usagers.
Enfin, l'essentiel de la hausse de la "petite" délinquance de ces dernières années est liée aux vols de portables, l'outil coûtant trop cher pour la plupart des jeunes…
Revue "S!lence" n°341 de décembre 2006

A PROPOS, SAVEZ-VOUS QUE L'ON VIT TRÈS BIEN SANS !





Nanotechnologies ou la chronique d'une invasion programmée





Des produits créés à l’aide des nanotechnologies sont en train de contaminer la chaîne alimentaire et ce, en l’absence de tout étiquetage obligatoire, de tout débat public ou de la moindre réglementation. Les nano-particules fabriquées, les nano-émulsions et les nano-capsules se retrouvent dans les pesticides agricoles, les aliments confectionnés industriellement, les emballages alimentaires et les matériaux en contact avec les aliments y compris les récipients de stockage, la coutellerie et les planches à couper. Les Amis de la Terre ont repéré 106 de ces produits actuellement en vente, mais nous pensons qu’il ne s’agit que d’une petite fraction des produits déjà commercialisés.

On définit provisoirement les nanotechnologies comme le domaine relatif aux matériaux, systèmes et process qui opèrent à une échelle de 100 nanomètres (nm) ou moins. Cela inclut la manipulation de matériaux et la création de structures et systèmes à l’échelle de l’atome et des molécules, l’échelle nano. Les propriétés et les effets des particules à l’échelle nano sont très différents de celles de particules de même composition chimique mais de taille plus grande. Les nano-particules peuvent être plus réactives chimiquement et plus bioactives que de grandes particules. Du fait de leur très petite taille, elles peuvent aussi pénétrer beaucoup plus facilement dans nos corps que des particules plus grandes et dans les cellules, les tissus et nos organes. Ces nouvelles propriétés offrent de nombreuses possibilités nouvelles pour des applications dans l’industrie alimentaire comme, des additifs nutritifs puissants, des colorants et des agents de saveur plus forts ou des composants antibactériens pour les emballages alimentaires.

Le nombre d’études scientifiques qui démontrent que certains des nano-matériaux actuellement utilisés dans les aliments et les produits agricoles entraînent de nouveaux risques pour la santé et l’environnement est en forte augmentation. Il a été prouvé par exemple, que les nano-particules d’argent, de dioxyde de titane, de zinc ou d’oxyde de zinc - matériaux actuellement utilisés dans des compléments alimentaires, des emballages alimentaires et des matériaux en contact avec les aliments – sont hautement toxiques pour les cellules dans des tests in vitro. Des études environnementales récentes laissent penser aussi que ces substances peuvent être toxiques pour des espèces écologiquement importantes comme les puces d’eau. Malgré tout cela, il n’y a pour l’instant aucune réglementation particulière pour les nanotechnologies, ni aucun test exigé avant que des nano-matériaux soient utilisés dans les aliments, les emballages ou les produits agricoles.

Des études d’opinion montrent que face à l’ignorance scientifique quant aux risques que représentent les nanomatériaux dans les additifs alimentaires, les ingrédients et les emballages, les gens ne veulent pas manger de nano-aliments. Mais comme aucun règlement n’exige que les nano-produits présents dans l’alimentation ne soient étiquetés nous n’avons strictement aucun moyen pour choisir une alimentation sans nano-produit.

D’une manière plus générale, les nanotechnologies menacent aussi le développement d’une agriculture et de modes d’alimentation durables. Bien que les ventes globales de produits bio et la production de ces mêmes produits connaissent une croissance continue, les nanotechnologies risquent de renforcer la dépendance de l’agriculture à des techniques basées sur la chimie et une forte consommation d’énergie. Alors que sur fond de changements climatiques, il y va de l’intérêt général de réduire les distances entre consommateurs et producteurs, les nanotechnologies vont servir à promouvoir les transports de produits frais ou transformés sur des distances encore plus grandes. Il est à craindre que les nanotechnologies n’accentuent encore le contrôle des grandes entreprises multinationales sur l’agriculture mondiale et les systèmes alimentaires et réduisent encore le pouvoir des paysans à contrôler eux-mêmes, localement, la production alimentaire.

Les risques environnementaux et sanitaires graves et les conséquences sociales liés aux nanotechnologies dans l’agriculture amènent les Amis de la Terre / Friends of the Earth d’Australie, d’Europe, et des États-Unis à exiger qu’un moratoire soit mis en place sur toute commercialisation de produits alimentaires, d’emballages alimentaires, de matériaux en contact avec les aliments ou d’agrotoxiques (produits phytosanitaires) contenant des nanomatériaux fabriqués, tant que des réglementations encadrant spécifiquement les nanotechnologies n’auront pas été mises en place et que les citoyens n’auront pas été activement impliqués dans les prises de décision.


Extrait du Rapport des "Amis de la Terre", le 11 mars 2008


Dernière information, en passant : Il y en a même qui arrivent à vivre – plutôt bien - en s'en passant des ondes …




Une solution contre ces ondes ?
Oui, la cage de Faraday
(une voiture est une cage de Faraday)


Toujours à propos de l'ADN :
Quelques références, liens:
Nous pouvons trouver sur internet des outils pour travailler le génome :
Compréhension du séquençage.
Le séquençage du génome humain
Le génopole
L'information génétique






ACHETEZ des génomes humains complets d'ADN sur INTERNET est possible :


Dites adieu à Madame Irma et à sa boule de cristal pour savoir ce qui vous arrivera dans les années à venir. La société Complete Genomics, (qui affirme avoir déjà séquencé le génome humain une fois dans son intégralité mais qui ne l’a toujours pas fait approuver par une société indépendante) se dit capable de séquencer intégralement 1.000 génomes humains en 2009 et 20.000 en 2010 pour la modique somme de 5.000$. Ils se disent capables de réaliser une telle prouesse qui coûte normalement entre 100.000 et 1 Million de dollars grâce à 2 technologies, la première permet de créer des nanoboules d’ADN. Ces nanoboules sont hyper denses et cela permet de scanner des volumes plus importants d’ADN et de le séquencer en utilisant moins de réactifs (ce sont le réactifs qui coûtent le plus cher dans le séquençage). On saura dès le printemps 2009 s’ils sont capables de tenir leur promesse. [ABC News]



et pour finir, pour ceux qui auraient encore un petit doute quand au intentions de ces technologies :
sur cette calculatrice omega, tapez : DNA CHIPS (puces ADN) vous obtiendrez 666. Troublant, non ?
... Cliquez sur l'image pour tester vous-même :

2 commentaires:

  1. Le problème, c'est que ce domaine est tellement proche de la science fiction que les gens n'y croient même pas. Et lorsqu'on explique la situation actuelle sur les nanotechnologies, la complexité fait perdre pied.. On pourrait résumer en disant que l'électronique fusionne avec la biologie. L'informatique est connecté au monde du vivant. Mais après tout c'est pas important car même les droits de l'homme sont une utopie. De nos jours même le mot "éthique" n'a plus de sens.

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