29 septembre 2012

Le projet HAARP


Le projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), est un programme américain à la fois scientifique et militaire de recherche sur l'ionosphère. Ses activités dépendent de la base aérienne de Kirtland AFB et sont financées conjointement par l'armée de l'air et la marine des États-Unis, ses activités scientifiques étant gérées par l'université d'Alaska et sa mise en œuvre par le laboratoire Phillips de l'US Air Force et l'Office of Naval Research.
Le site est installé près de Gakona, en Alaska. L'installation aurait coûté 30 millions de dollars.

HAARP est le 3ème site de recherche ionosphérique des États-Unis, les autres étant dans les environs de l'observatoire d'Arecibo à Porto Rico, et proche de Fairbanks en Alaska, la station HIPAS.La station de recherche Européenne EISCAT avec une puissance maximale de 1200 MW (ERP) est située près de Tromsø, en Norvège. Une station similaire se trouve en Russie près de Nijni Novgorod, avec une puissance maximale de 280 MW (ERP)5, il s'agit de la station Sura.

Selon le site web dédié à ce programme, cette installation a pour objectif d'étudier les propriétés de l'ionosphère.Plus particulièrement, elle permet d'étudier comment les perturbations de cette couche de la haute atmosphère par les orages magnétiques affectent les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d'électricité sur de longues distances.

Avec ces installations, les chercheurs tentent aussi de produire de petits changements temporaires sur une région limitée, directement au-dessus du site d'investigation, qui, en aucun cas, ne peut être comparable aux phénomènes globaux provoqués par les perturbations solaires.Les instruments, d'une sensibilité extraordinaire, installés à l'observatoire HAARP permettent de faire des corrélations détaillées à partir des effets limités ainsi produits, permettant une meilleure compréhension de la façon dont l'ionosphère répond à une grande variété de phénomènes naturels.

Avec l'excitation locale de l'ionosphère par hautes fréquences et la modulation du signal, HAARP est néanmoins en mesure de faire de la basse atmosphère une antenne ELF / VLF (Extremely Low Frequency / Very Low Frequency) virtuelle.Cela est possible grâce au fait qu'à proximité des régions polaires et équatoriales existent des courants électriques naturels nommés électrojets.La modification de la conductivité électrique de l'ionosphère par HAARP permet d'agir sur l'électrojet polaire, permettant de s'en servir pour la génération d'ondes ELF.

La production d'ELF n'est qu'une des nombreuses possibilités offertes par l'interaction de HAARP avec l'ionosphère, qui recouvre des aspects aussi bien militaires que scientifiques.Des chercheurs de nombreuses universités, américaines ou non, ont été ou sont encore associés à divers projets de recherches HAARP, ce qui a donné lieu à plusieurs publications.Par exemple, en décembre 2004, deux chercheurs américains ont publié dans la revue Nature les résultats d'une expérience au cours de laquelle ils ont pour la première fois créé une tache lumineuse verte visible à l'œil nu.

Dans le livre Les anges ne jouent pas de cette HAARP écrit en 1995 par Nick Begich et Jeane Manning, les auteurs prétendent que la capacité d'HAARP à influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante qu'admise officiellement.Selon eux, ces 180 antennes permettraient un jour de faire des recherches pour pouvoir modifier le climat, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère.

En 1999, un rapport de la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen reprend une partie de ces assertions et mentionne que le système militaire américain de manipulation ionosphérique, HAARP, lequel est basé en Alaska et ne représente qu'une partie du développement et de l'usage d'armes électromagnétiques à des fins de sécurité tant extérieure qu'intérieure, constitue un exemple d'une nouvelle menace militaire particulièrement grave pour l'environnement et la santé humaine au niveau planétaire.




Et je vous propose de regarder ce reportage sur les épandages aériens nommé bye bye blue sky :
! Bye Bye Blue Sky ➤ Version courte (CHEMTRAILS) par JaneBurgermeister

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