02 mai 2010

L'arc de triomphe

L'arc de triomphe :



L'arc de triomphe était un symbole de la domination romaine ! Les prisonniers de Rome étaient crucifiés sur le côté de la route sur plusieurs kilomètres .



La marche se finissait par l'arc de triomphe !

Ainsi les esprits
étaient marqués
de la toute puissance
de Rome.





exemple : l'armée de Spartacus ! ( crucifiés )



Spartacus est un esclave et gladiateur thrace . Il dirigea la Troisième Guerre servile en Italie du Sud entre -73 et -71. Les détails de cette révolte d'esclaves sont bien connus, par un chapitre de l'historien romain Florus dans son Abrégé d'Histoire romaine, repris dans les Guerres civiles de l'historien grec Appien. Un autre historien romain, Eutrope, en a fait un bref résumé au IVe siècle dans son Abrégé d'histoire romaine. Son histoire est célèbre entre autres grâce au film de Stanley Kubrick réalisé en 1960.

Spartacus Peplum


Spartacus


73 av. J.-C.. Spartacus est un esclave thrace que l'on fait travailler dans les mines de Libye. Il est remarqué et acheté par Lentulus Batiatus, propriétaire d'une école de gladiateurs à Capoue. À Capoue, il est pris en charge par l'entraîneur Marcellus qui l'initie au métier de gladiateur. Il fait connaissance avec les autres esclaves, dont Draba le Noir et Crixus. Il est aussi intéressé par Varinia, une des esclaves que Marcellus donne parfois en récompense pour une nuit aux gladiateurs qui l'ont bien mérité.
Crassus arrive bientôt à l'école de gladiateurs avec trois autres compagnons et demande à Batiatus de faire combattre deux paires de gladiateurs jusqu'à la mort. Spartacus est sélectionné pour se battre contre Draba dans l'arène. Il est vaincu mais Draba refuse de le tuer et lance son trident vers la loge des spectateurs où il s'élance. Crassus le tue d'un coup de dague avant qu'il ne réussisse à monter sur l'estrade.
Écœurés de la mort de Draba, les gladiateurs égorgent Marcellus et se révoltent. Voyant qu'il ne viendra pas à bout de la rébellion, Batiatus se sauve en emportant Varinia avec lui.
Au Sénat de Rome, le plébéien Sempronius Gracchus, adversaire déclaré de Crassus, fait voter une motion donnant à Marcus Glabrus, chef de la garnison de Rome et protégé de Crassus, le commandement d'une armée chargée de mater la révolte des esclaves qui se sont réfugiés au Vésuve. En attendant, César, allié de Gracchus, prend le commandement de la garnison de la ville. Au moment du départ de l'armée de Glabrus, Antoninus, un esclave poète de Crassus, s'enfuit et part rejoindre les révoltés.
Ceux-ci taillent en pièces l'armée de Glabrus. Le but de Spartacus est de faire traverser l'Italie jusqu'à la mer à ses hommes où il paiera les pirates ciliciens pour les faire embarquer sur leurs bateaux et les transporter le plus loin possible de Rome. Au début du voyage, il est rejoint par Varinia, qui a réussi sans trop de mal, à se sortir des griffes de Batiatus. Ils deviennent amants et Varinia tombe bientôt enceinte de lui.
Quand les esclaves arrivent à la côte, le chef cilicien leur apprend qu'il ne pourra pas les embarquer car Crassus a payé leur flotte pour qu'elle appareille. Il offre seulement d'embarquer Spartacus, Varinia et quelques autres de ses officiers sur son bateau personnel mais Spartacus refuse et le fait jeter dehors du camp. Il s'apprête alors à affronter les armées romaines. À Rome, Crassus a promis d'écraser la rébellion à condition qu'il soit nommé dictateur, et le Sénat a agréé malgré les protestations de Gracchus. Les esclaves voient bientôt la menace se préciser. L'armée de Crassus arrive de Rome et elle est épaulée par celle de Pompée, qui arrive de Calabre, et celle de Lucullus, qui vient d'accoster à Brundisium.
L'armée esclave subit une défaite complète et Crixus est tué dans la bataille. Spartacus et Antoninus sont faits prisonniers. Sur le champ de bataille, Crassus trouve Varinia, qui vient d'accoucher, et la fait ramener à Rome. Il la convoitait depuis qu'il l'avait entrevue dans la maison de Batiatus à Capoue. Crassus promet aux captifs qu'ils ne seront pas punis s'ils leur livrent Spartacus. À sa grande surprise, tous déclarent: "Je suis Spartacus!". Le vainqueur les condamne à être crucifiés tout le long de la Voie Appienne jusqu'aux portes de Rome. Il ordonne qu'Antoninus et Spartacus, enchainés l'un à l'autre, soient les derniers à être mis en croix.
Batiatus, ruiné par la révolte de ses gladiateurs, veut prendre sa revanche sur Crassus, qu'il accuse d'être la cause de son malheur. Il retourne à Rome et s'allie à Gracchus, maintenant disgracié. Celui-ci lui donne de l'argent pour enlever Varinia et l'emmener en Gaule où elle trouvera la liberté. Après leur départ, Gracchus se suicide.
Pendant ce temps, Crassus à qui s'est rallié César, est aux portes de Rome et ordonne à Spartacus et à Antoninus de se battre en duel jusqu'à la mort. Le vainqueur sera ensuite mis en croix. Spartacus remporte le combat et c'est lui qui est crucifié à proximité des murs de Rome. Le lendemain matin, Batiatus et Varinia sortent de la ville en empruntant la voie Appienne et aperçoivent Spartacus sur sa croix. Varinia lui montre son fils avant de s'éloigner dans le chariot avec son ancien maitre.


Le crucifiement (définition)
Chez les Romains, cette peine est infamante et réservée, en général, à ceux qui ne sont pas citoyens romains. Elle est attestée à partir de 217 av. J.-C. pour des esclaves[3] et sera appliquée ensuite aux brigands et aux pirates, parfois aux prisonniers de guerre et aux condamnés pour motifs politiques. Appien mentionne qu'après la défaite de Spartacus en 71 av. J.-C., 6 000 de ses partisans furent crucifiés le long de la Via Appia, de Rome jusqu'à Capoue[4]. Les Romains connaissaient aussi le crucifiement privé, supplice infligé par un maître à son esclave[5].



Le crucifiement est une méthode de mise à mort consistant à placer le supplicié sur une croix, un support en forme de T ou un arbre et à l'attacher par divers moyens (clous, cordes, chaînes, etc.). Plusieurs variantes du supplice existent. La Crucifixion est le terme consacré en français pour le crucifiement de Jésus.
C'était un supplice en usage chez les peuples barbares orientaux, les Celtes et chez les Perses et les Phéniciens. Alexandre le Grand en fit usage en crucifiant des milliers de prisonniers après la prise de Sidon. Les Carthaginois l'appliquèrent, notamment dans la répression de la guerre des Mercenaires. Comme l'empalement, le crucifiement est facile à mettre en œuvre, ne nécessitant que peu de préparation et a un aspect dissuasif sur les témoins de la scène.
L'Ancien Testament ne mentionne pas le crucifiement qui n'était donc pas une peine prévue par la loi juive ; la peine capitale était appliquée chez les Juifs par lapidation.
Chez les Romains cette peine est infâmante et réservée d'abord aux esclaves, puis plus tard aux brigands et aux pirates, parfois aux prisonniers de guerre et aux condamnés pour motifs politiques. L'empereur romain Constantin Ier fit abolir le supplice du crucifiement en 313, après son édit de tolérance du christianisme. Des Juifs furent crucifiés sous Alexandre Jannée et sur ordre du légat romain Varus.
Selon les textes néotestamentaires, Jésus de Nazareth fut condamné à mort par le préfet romain Ponce Pilate, et exécuté par crucifiement (définissant ainsi le terme précis de sa crucifixion).





Persistance :

Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont exécuté des condamnés par crucifiement, afin de se livrer à des « expériences médicales ». Selon leur constitution, les condamnés survivaient entre une dizaine de minutes et plusieurs heures.
Chaque année aux Philippines, des fanatiques religieux se font volontairement fouetter et crucifier (parfois même avec des clous) afin d'endurer les mêmes souffrances que le Christ.

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