Affichage des articles dont le libellé est fréquences. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est fréquences. Afficher tous les articles

22 décembre 2012

Inversion des pôles magnétiques terrestre.

Le champ magnétique de la Terre va s'inverser :


L'inversion du champ magnétique terrestre est une perturbation du champ magnétique terrestre dont la conséquence est son inversion. Un effet dynamo dans le noyau de la Terre génère le champ magnétique terrestre qui nous protège des vents solairesIl arrive qu'une perturbation se produise dans le noyau, le champ magnétique s’affole alors pendant une courte période (de 1 000 à 10 000 ans) pendant laquelle les pôles magnétiques se déplacent rapidement sur toute la surface du globe. À la fin de cette période de transition, soit les pôles magnétiques reprennent leurs positions initiales (excursion), soit ils permutent (inversion). Au cours de cette transition, l'intensité du champ magnétique est très faible et la surface de la planète peut être exposée à des radiations. De nombreuses technologies utilisant le champ magnétique pourraient aussi être affectées. Le champ terrestre s'est inversé environ 300 fois ces derniers 200 millions d'annéesLa dernière inversion est survenue il y a 780 000 ans !Mouvements des pôles magnétiques. L'inversion des pôles magnétiques est un phénomène qui s'est déjà produit à plusieurs reprises et qui s'accompagne d'une diminution de l'intensité du champ magnétique de la Terre. Serions-nous à l'aube d'une nouvelle inversion ? Ce phénomène peut prendre plusieurs milliers d'années.










Le mécanisme est enclenché, la Terre va basculer d’ici peu. Ce secret bien gardé par les gouvernements du monde, par les sociétés occultes ainsi que par les religions, est sur le point de se réaliser. Les pôles magnétiques ont accéléré la vitesse de déplacement. Le point de rupture est désormais proche. 
Le magnétisme terrestre va dans un premier temps disparaître, ainsi le pôle géomagnétique nord (sud en réalité) n’atteindra jamais la Sibérie, comme il l’est dit, dans 20 ans (ce n’est pas la première fois que WikiStrike vous en parle). Actuellement, le magnétisme s’atténue de manière exponentielle tout en ayant augmenté de 60 fois sa vitesse de déplacement en seulement 10 ans ! 
Sachez que la Terre est bipolaire, comme une pile dont  le courant circule de la borne positive vers la borne négative à l'extérieur de celle-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.
Nos failles, toutes les failles qui rident notre planète sont extérieures. Le magnétisme terrestre court donc du pôle sud (pôle nord réel, qui se situe à +500 mètres d’altitude) au pôle nord (Pôle sud réel, à -500 mètres d’altitude) en passant par ces failles. En d’autres termes, les failles sont des couloirs magnétiques, d’où aussi, l’importance de la position des astres dans la compréhension des risques sismiques. Voilà aussi pourquoi les Mayas regardaient le ciel. Et s’ils étaient les plus grands astronomes (encore de nos jours), c’est qu’ils regardaient d’abord les profondeurs de la Terre (voyage en barque dans le monde souterrain). « Pour accéder au ciel, il faut fouiller la terre »
C’est donc ici, sur ces failles, que sont les volcans les plus actifs, car recevant le plus d’énergie, affolant le magma.
L’accélération magnétique a pour conséquence une accélération magmatique et sismique, pour preuve, ces dernières années, jamais autant d’éruptions volcaniques n’a été enregistrées, même se réduisant, l’énergie magnétique est aussi la cause des derniers séismes dont celui du Japon le 11 mars 2011 et sa réplique du 7 décembre 2012. Jamais une telle réplique n’a été ressentie, pour certains géologues, le vrai séisme couve encore, ce que je pense. Quoi qu’il en soit, ces évènements iront en s’accélérant et en s’amplifiant, jusqu’au pôle shift, dans moins de 20 ans.
Pour être la plus précise possible, la vraie raison de la disparition en cours du magnétisme, c’est juste son accélération, en fait, elle reste la même, mais elle déborde.
Le magma, davantage chahuté, remonte bien plus qu’auparavant, mais il a surtout pris lui aussi de la vitesse, et les directions qui alimentent les supervolcans. Conséquence : les hécatombes d’animaux. Les animaux sont plus sensibles au magnétisme et se désorientent plus facilement (échouages), de plus, l’augmentation de la vitesse de déplacement du magma engendre des ultra-sons perturbateurs (oiseaux tombant raides morts), ces sons étranges que certaines personnes entendent à travers le monde.
Une fois le magnétisme terrestre éteint, on verra apparaître quatre pôles sur Terre. Puis la Terre basculera. Enfin, elle retrouvera ses deux pôles, ce coup-ci, ils seront dans le bon sens… jusqu’au prochain basculement.
Le calendrier maya était la version maya du calendrier mésoaméricain, composé de différents systèmes calendaires évoluant de manière concomitante. Il se composait d'un calendrier sacré, Tzolk'in (ou Bucxok), cyclique sur 260 jours, d'un calendrier solaire, Haab, cyclique sur 365 jours, et du compte long qui faisait le lien entre les deux précédents calendriers.
La date 0.0.0.0.0 du compte long maya correspond au 11 août 3114 av. J.-C, étrangement la date de naissance de l’écriture, officiellement née en Mésopotamie au IV millénaire avant JC. Pour eux, les plus importants cycles étaient inscrits dans les séries initiales (dates détaillées en tête de nombreuses inscriptions). Le compte long dure environ 5125 ans (soit 13 baktunob (1 872 000 jours. Nous y sommes.
A noter que certaines inscriptions vont jusqu’à l’an 7 000, évidemment, ils ne parlaient pas de fin du monde, mais de changements terrestres, et du magnétisme, source des bouleversements terrestres, la vie continue donc. Car la Terre elle-même détient son propre calendrier, réglé comme du papier à musique, ce que l’on vous cache.
Encore aujourd’hui, le magnétisme est présent dans la religion, et si les cathédrales sont à 90% en pierre calcaire de Lozère (mérovingienne, templière), c’est que ce département est le clou magnétique de la Terre – ainsi que la tache rouge de Saturne. Ne cherchez donc plus à comprendre pourquoi l’Hexagone est la fille aînée de l’Eglise.
Cela nous mène à l’alignement Jérusalem-Athènes-Rome-Avignon-Carnac (sur le Causse Méjean, ou Janus, ou géant), c’est en effet là, au Carnac Lozérien (et pas du Morbihan), sur ce causse, et sous ce causse, là sous les roches karstiques –que l’on retrouve… en Israël, que se situe le véritable clou de la Terre. C’est aussi  là, et peu de gens le savent, que les étoiles sont les plus visibles au monde. Etrange coïncidence.
La Terre va commencer à basculer, le mécanisme est enclenché… depuis toujours...et les Sociétés dont vous ne mettrez jamais le pied le savent bien.
Puis… ce pôle shift est soit-disant en retard…
R+C
Le pôle magnétique va croiser le pôle géographique, encore une fois, très étrangement, le 22 décembre 2012. Prenez garde, et soyez patients, ce n'est que l'évènement réellement déclencheur. 
Source Wikistrike 

12 octobre 2012

ADN résonance

Ce film présente la cellule vivante sous un nouvel éclairage. Capable de capter et d'émettre des ondes électromagnétiques artificielles et naturelles, elle se comporte comme un véritable circuit électronique. Dans un monde où les ondes sont omniprésentes, ce film va à la rencontre d'experts et de chercheurs qui nous présentent leurs travaux et nous offrent des clefs de compréhension inédites sur les effets des ondes sur le vivant.



Voici une petite liste de quelques liens à suivre sur ce sujet : 

https://archive.org/details/Electroculture_Permaculture_Agriculture_ensemble_de_videos_Von_Doorme_MetaTV

https://www.electroculturevandoorne.com/store/p27/DVD_film_documentaire_de_Serge_Fretto_%3A_%22_R%C3%A9sonance_%22_.html#/
 



L'ORGANISME OFFICIEL QUI VOUS INFORME ! A VOIR POUR Y ADHÉRER :
La Criirem : Centre de Recherche et d'Information Indépendant sur les Rayonnements ÉlectroMagnétiques

Une série de 2 vidéos sur l'adn et son réseau très similaire à internet finalement !


 Dans cette vidéo, nous voyons le principe du grand champs magnétique humain de trois mètre de diamètre  s'exprimer par le cœur :

Vidéo censurée 

Vous ne croyez toujours pas que l'ADN peut émettre et recevoir des informations sans fil ? Alors surtout pour ceux-là, faites cette expérience sérieusement  : Le principe est de mettre sous bocaux un peu de riz cuit et égoutté  et d'envoyer une pensée négative à l'un et positive à l'autre chaque jour. Je ne l'ai pas fait très rigoureusement mais ça marche quand même. Les premières traces de moisissure sont apparues après environ 3 semaines. Le bocal "négatif" est aujourd'hui complètement pourri. Le bocal positif a commencé il y a environ 2 semaines à moisir (faut bien), mais à l'inverse du premier il n'y a aucune tache noire, le duvet de moisissure a l'air propre comme de la neige.
 Le premier avait noirci dès le début.


24 janvier 2012

Pile à combustible

Et si l'énergie propre existait ?
Brevets déposés, efficacité prouvée, écologique...
Version longue :



LA FUSION FROIDE VERSION COURTE :


Un groupe electrogène à base de pile à combustible : L'E-CAT :
http://fusion-froide.com/

Bonne nouvelle !! M. Rossi prévoit la démocratisation de l’E-cat à un tarif très abordable d’environ 1500 USD soit 1250€ pour le module domestique de 10KW/h. Il sera réservé à un usage de chauffage central ou échangeur clim, le kit convertisseur (type Stirling) pour produire de l’électricité est à l’étude et sera adaptable sur la 1ère génération d’E-cat.
Par contre je trouve qu’ils ont fait progresser le COP, car en septembre dernier c’était un COP de 25 qui était annoncé (400W pour 10KW), mais bon peu importe, à ce tarif pour ce rendement, je pense que les carnets de commandes vont battre leurs pleins.
http://ecat.com/news/e-cat-news-and-questions-weekly-digest-andrea-rossi

08 août 2011

Collectif contre les abus dus aux psycho-technologies

Collectif contre les abus dus aux psycho-technologies

CAPT COLLECTIF CONTRE LES ABUS DUS AUX PSYCHO-TECHNOLOGIES
TECHNOLOGIES DE CONTROLE POLITIQUE
VERS UNE SOCIETE PSYCHO-CIVILISEE?
" Nous avons besoin d'un programme de psychochirurgie pour le contrôle
politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l'esprit. Chacun
qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L'individu
peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c'est
seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très
séduisante, ceci manque de perspective historique. L'homme n'a pas le droit de
développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau
électriquement. Un jour les armées et les généraux seront contrôlés par
stimulation électrique du cerveau. " C'étaient les remarques du Pr. Jose
Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, telles qu’elles ont été transcrites
le 24 février 1974 dans l'édition du “Procès Verbal des séances du Congrès
américain”, numéro 26, vol. 118.
LES ARMES NON LETALES PSYCHO-TECHNOLOGIQUES OU
ARMES A ENERGIE DIRIGEE
Malgré ou grâce à de telles déclarations les recherches du Pr. Delgado (né à
Ronda, Malaga en Espagne le 8 août 1915) ont été financées par l’US Air
Force. Quand en 1977, les révélations de la Commission d’enquête du
gouvernement concernant les recherches de la CIA sur les techniques de
modification du comportement dans le cadre du projet Mkultra ont déclenché
un scandale, ce type de discours s’est fait plus rare. Sous couvert de préserver
la sécurité nationale, la CIA expérimentait sur des personnes en Amérique et à
l’étranger sans leur consentement avec différentes substances et méthodes de
pressions psychologiques (comme l'effacement de la mémoire, la résistance
hypnotique à la torture, les sérums de vérité, la suggestion post-hypnotique,
induire rapidement l’hypnose, la stimulation électronique du cerveau, les
irradiations non ionisantes, induire par micro-ondes des „voix“ qui semblent
naître à l'intérieur du crâne, et une foule d’autres technologies encore plus
inquiétantes). La CIA a assuré que ce programme avait pris fin mais d’autres
toujours secrets et classifiés ont pris le relais et les progrès scientifiques ont
permis le développement d’armes psycho-technologiques qui peuvent être
utilisées à distance.
DECLARATIONS D'INTENTION ET NOUVELLES TECHNOLOGIES
Depuis plusieurs années on assiste au développement d’armes non létales
toujours plus sophistiquées dont certaines ont déjà été utilisées dans le cadre de
conflits armés (guerre du Golfe entre autres). Elles font aussi leur apparition
dans des opérations civiles de maintien de l’ordre pour le contrôle des foules.
En effet les armes non létales sont à usage dual ce qui signifie qu’elles peuvent
être utilisées contre des civils, car leurs caractéristiques correspondent aussi
bien aux objectifs des forces armées qu’à ceux des forces de l’ordre. Luc
Mampaey, attaché de recherche au GRIP (Groupe de Recherche et
d'Information sur la Paix et la sécurité) fait remarquer que de nombreux
observateurs estiment qu’elles risquent donc de contribuer à un renforcement de
l’arsenal répressif y compris dans nos fragiles démocraties, et de conduire à une
militarisation croissante des opérations de police, adoptant des tactiques et un
armement de plus en plus sophistiqué. Toujours d’après Luc Mampaey les
armes non létales peuvent devenir un redoutable instrument pour maintenir la
domination des puissants et il cite un officiel de l’OTAN : „ dans un intéressant
et équilibré rapport d’octobre 1997, Luc Lyell, rapporteur de la Commission
des Sciences et des Technologies de l’Assemblée de l’Atlantique Nord,
exposait quelques unes des possibilités d’utilisations des armes non létales. On
peut y lire que „de telles utilisations d’armes non létales permettraient de mener
des opérations non guerrières qui seraient politiquement plus acceptables, ce
qui explique l’intérêt que présentent ces armes“. (Les rapports européens ont
montré que ces armes présentent des risques réels pour la santé et viennent en
règle générale s'ajouter aux armes conventionnelles.) Actuellement on trouve
encore des déclarations d’intention dans certains documents militaires qui
inquiètent les chercheurs et le Parlement européen mais le secret défense
empêche les débats entre intervenants aux formations et horizons divers sur
l’état actuel des recherches et l’utilisation de ces technologies
http://www.freeflights.net/carl1/haarp.html
Dans un article sur le système radar américain HAARP qui pourrait
éventuellement servir à manipuler les émotions et le comportement, le
journaliste A. Gossens cite un extrait d’une revue militaire : „Ce type de
technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s'en faut.
Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in
military affairs - Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n'est pas
censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: "Nos valeurs
changent et la technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant
la guerre froide, les opérations psychologiques et l'armement psychologique
étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l'ère de
l'électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les
barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute
technologie) pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays
qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible, nous encouragerons
des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie
appropriée... Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armements
comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psychotechnologiques
avancées..." [Fin de citation]
LES EFFETS DES ARMES NON LETALES
La panoplie des armes non létales, qui sont d'ailleurs capables de provoquer la
mort, comprend différentes catégories de technologies qui permettent aussi bien
d’entraver les mouvements, d’envoyer une décharge électrique dissuasive que
de rendre malade ou d’influencer le comportement. En effet ces armes peuvent
provoquer des réactions psychologiques et physiques.
Un rapport de l’U.S. Air Force de 1998 décrit l'arsenal d’articles
„antipersonnels“ disponibles. = "Infrasons / VLF" ou son à très basses
fréquences "qui désorientent et effrayent" "gênant le fonctionnement des
organes, en entraînant nausées et spasmes du système digestif;"
• "Inhibiteurs neuraux : frappent les personnes d'incapacité, paralysant
les connexions synaptiques;"
• "hallucinogènes" ou "narcotiques qui désorientent, rendent confus et
frappent d’incapacité;"
• "calmants" ou "sédatifs transmis par les poumons ou la peau;"
• "Bêtabloquants" ou "fléchettes tranquillisantes et balles
anesthésiques;"
• "Fusils électroniques" ou "pistolets qui assoment" "et affaiblissent le
système nerveux central;"
• "Impulsions micro-ondes puissantes (HPM = High Power
Microwave)" qui "induisent confusion, stupeur et coma chez les
personnes et les animaux;"
• "projectiles non-pénétrants" ou "systèmes qui écrasent, déforment,
délitent, dont des grenades à fléchettes;
• "balles en cire, bois, et plastique" dont "les effets varient selon la
forme, les matériaux, et la vitesse;"
• "lasers à faible énergie" y compris des "fusils laser; "ET
• "munitions optiques" ou "grenades éblouissantes."
Extrait de "Armement non létal : un travail de structuration pour une intégration
future", USAF, 98
Selon un rapport européen les pays producteurs d’armes non létales les plus
cités sont la Chine, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne et la Russie.
NY Times, 12 septembre 1971, Section E p. 9
"Bien que les méthodes soient encore grossières et pas toujours prévisibles, il
ne fait aucun doute que dans les années à venir nous allons voir se
développer une panoplie effrayante de techniques sophistiquées pour amener
les êtres humains à agir conformément à la volonté du psycho-technologue"
(sic).
Si les possibilités des armes non létales sont énumérées assez sommairement
dans l'extrait du document de l'US Air Force précédent, le texte du Comité
consultatif scientifique de 1996 qui propose une analyse prévisionnelle des
stratégies et des capacités de l’USAF dans 50 ans s’étend en revanche plus
longuement sur le contrôle du comportement humain que ces avancées
scientifiques en cours de développement vont permettre. D’autres documents,
dont ceux cités sur cette page confirment pourtant que ces technologies ont déjà
été utilisées sur le terrain mais sont encore protégées par le secret défense :
Extrait du texte : United States Air Force Scientific Advisory Board, Ancillary
Volume p. 89-90 „New World Vistas, 1996“
http://www.dcn.davis.ca.us/~welsh/factsht.htm#Vistas
Avant la moitié du 21ième siècle, il y aura une explosion des connaissances
dans le domaine des neurosciences. Nous aurons une compréhension claire de
la façon dont le cerveau humain fonctionne, de la façon dont il contrôle
vraiment les différentes fonctions du corps, et comment celles-ci peuvent être
manipulées (à la fois négativement et positivement). On peut envisager le
développement de sources d'énergie électromagnétique, dont le signal peut être
pulsé, mis en forme et dirigé, qui pourront être couplés avec le corps humain de
façon à empêcher les mouvements musculaires volontaires, à contrôler les
émotions (et donc les actions), à dormir, à transmettre des suggestions, à
interférer avec la mémoire à court et à long terme, à produire l'acquisition
d'expériences, ou à effacer des expériences acquises. Ceci ouvre la porte au
développement de nouvelles capacités qui pourront être utilisées dans le cadre
de conflits armés, dans des situations de prise d'otages par des terroristes, et
pour la formation.
D’après Marc Filterman, expert en électronique de défense, un des meilleurs
spécialistes de ces questions et auteur „des armes de l’ombre“ : „Des armes
pour influencer insidieusement le comportement des individus sont disponibles
sur le marché. Il ne fait aucun doute que certaines ont déjà été utilisées. La
firme Rafaêl en Israël par exemple dispose d’un département spécialisé sur les
armes EMP/HPM qui fabrique ces nouvelles technologies. [...] C’est lors du
cinquième congrès de l’European Bioelectromagnetics Association en janvier
1992 à Bruxelles, que H.E. Girard a dévoilé l’existence de la directive 138 de
Georges Bush du 03/04/84 autorisant l’utilisation d’ondes électromagnétiques
comme arme sur des citoyens américains mais aussi étrangers. Cette conférence
traitait des „Effets des radiations hyperfréquences sur les systèmes
neuromusculaires, et les développements récents dans les technologies du
contrôle politique“. On peut affirmer que l’on sait maintenant saturer l’activité
cérébrale des troupes au sol par des signaux électroniques. [...] En conclusion
de ce chapitre il ajoute : „Des armes favorisant l’autosuggestion des individus
sont disponibles aujourd’hui et leur descriptif a été réalisé dans des cercles très
fermés. Le danger, c’est leur utilisation possible dans des démocraties, afin de
faire des populations des troupeaux passifs. Ces moyens peuvent être utilisés
pour leur faire adopter à leur insu, un mode de pensée unique. Quelques
associations et cabinets d’avocats américains se préoccupent déjà de ces risques
d’un nouveau genre, dont certains faits révélés semblent cautionner des
utilisations individuelles, ou ciblées, voire de masse.“ [fin de citation]
LA LEGISLATION A PRIS DU RETARD SUR LES AVANCEES
TECHNOLOGIQUES
Pour le droit français ces technologies n’existent pas et le vide juridique actuel
permet tous les abus. La logique de certains professionnels de la sécurité est
décrite dans un article sur le Taser une arme défensive qui envoie une décharge
électrique à 6 m et qui fait partie des armes non létales : „Pour les
fonctionnaires d’autorité, et les professionnels de la sécurité, le Taser semble la
réponse la plus appropriée en situation de légitime défense, évitant ainsi l’usage
de l’arme à feu et tous les problèmes juridiques qui en découlent. Pour le
moment, ce matériel n’entre dans aucune catégorie de la législation. Il ne s’agit
donc pas d’une arme.“ [fin de citation]
Au niveau européen, les politiques ont maintenant pris en compte ce
phénomène comme le prouve les rapports d’experts publiés par le „Comité
d’évaluation des options scientifiques et technologiques“ (STOA) et le rapport
analytique ci-dessous qui a donné lieu à la résolution du Parlement européen R4
0005 sur „l’environnement, la sécurité et la politique étrangère“ le 28 janvier
1999 :
http://www2.europarl.eu.int/omk/OMEuroparl?
L=FR&PROG=REPORT&PUBREF=-//EP//TEXT+REPORT+A4-
1999-0005+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=4&SAME_LEVEL=1"> 12.
demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire
au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire
que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du
fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des
ondes sonores ou autres au développement d'armes, ce qui pourrait ouvrir la
porte à toute forme de manipulation de l'homme; un tel accord devrait
également interdire toute possibilité d'utilisation réelle ou potentielle de tels
systèmes;
Les chercheurs qui ont participé à ces recherches, tel Steve Wright de la
Fondation Oméga, auteur de l’étude à l’origine du rapport européen qui a
entraîné le vote de la résolution ci-dessus par les députés, lancent des
avertissements dans la presse sur les risques et les dangers de ces technologies.
La Fédération des Scientifiques américains cité par M. Wright dans son article
pour le Monde Diplomatique fait partie de ces scientifiques qui suivent
l’actualité technologique afin d’essayer d’orienter le débat sur les conséquences
et les questions d’éthique auxquels peu de gens pensent à plus forte raison s’ils
se trouvent devant le fait accompli.
http://www.monde-diplomatique.fr/1999/12/WRIGHT/12829
Au-delà des possibles violations du serment d’Hippocrate, M. Steven
Aftergood, directeur de la Fédération des scientifiques américains, souligne le
caractère extrêmement intrusif de ces armes : „Elles ne s’attaquent pas
seulement au corps d’une personne. Elles sont destinées à désorienter ou à
déstabiliser son mental.“ De tels engins peuvent interférer avec les régulateurs
biologiques de température du corps humain; les armes à fréquence radio, par
exemple, agissent sur les connexions nerveuses du corps ou du cerveau; les
systèmes laser induisent, à distance, des chocs électriques „tétanisants“ ou
„paralysants“.
Seulement sans pressions de la part de l’opinion publique pour contrer certains
lobbies qui ont des intérêts financiers dans le développement de ces nouvelles
technologies, l'incitation du Parlement restera sans effet et la Convention visant
à interdire les systèmes qui permettent de manipuler le comportement humain
ne sera pas signée avant longtemps.
Références et liens ci-dessousdécembre 2002
L'opinion publique a un rôle a jouer. Ces technologies existent et sont
opérationnelles, elles peuvent être utilisées en France contre d'honnêtes
gens jusque dans leur domicile ou sur leur lieu de travail sans leur
consentement.
L’opinion publique doit demander des explications
sur ces nouvelles technologies et leurs modalités
d’utilisation. Ces avancées constituent un risque
pour la santé publique et le libre arbitre des populations !
Faites-nous part de
vos remarques
Ce texte est destiné à donner un aperçu du sujet. Pour plus de précisions
n'hésitez pas à lire le texte intégral des différents articles cités ci-dessous:
Article de Luc Mampaey du GRIP (Groupe de Recherche et d'Information
s ur la Paix et la Sécurité)
A rticle de Marc Filterman (expert radar et électronique de défense) s ur l a
r ésolution européenne (mentionné dans la deuxième partie du t exte).
Un extrait de son livre "les armes de l'ombre," éd. Carnot est également cité
dans le texte.
MERCI à l'association CAHRA (2 sites):
==http://dcn.davis.ca.us/~welsh et
==http://www.raven1.net/ravsubjx.htm
et à l'association internationale pour l'interdiction des armes utilisant les
radiofréquences pour la manipulation du système nerveux humain à
distance:
= = h ttp://www.geocities.com/CapeCanaveral/Campus/2289/webpage.htm
ainsi qu'aux nombreux membres de ces associations dans le monde entier,
victimes des applications incontrôlées de ces avancées scientifiques, pour
leurs recherches qui permettent de réunir toujours plus de documents et
d'informations sur le sujet.
INDEX / PAGE D'ACCUEIL / STATUTS / ADHESION / LIENS / BIBLIOGRAPHIE / PLAN /
COMPORTEMENT
SANTE / SURVEILLANCE / ASSISTANCE / DEFINITIONS / STRATAGEMES / EXPERIMENTATION /
ACTIVITES
Suite du texte sur http://hometown.aol.com/ccapt2001/controle1b.html
* Un Comité scientifique révèle comment les forces armées conçoivent l'avenir
* Les législations françaises et européennes face aux avancées
page created with Easy
Designer


Contrôle à distance par induction électromagnétique :

SUR LA POSSIBILITE DE CONTRÔLE A DISTANCE DE TOUS LES CERVEAUX
HUMAINS PAR L’INDUCTION ELECTROMAGNETIQUE D’ALGORITHMES
FONDAMENTAUX.
Traduction de l’anglais : Frank Nadaud
M.A. Persinger
Laurentian University, juin 1995 paru dans : Perceptual and Motor Skills, june 1995, 80, 791-
799. ISSN 0031-5125
Résumé : La neuroscience contemporaine suggère l’existence d’algorithmes fondamentaux par
lesquels toute transduction sensorielle est traduite dans le code intrinsèque spécifique au cerveau.
La stimulation directe de ces codes dans les cortex temporel ou lymbique humains par
l’application de signaux électromagnétiques pourrait requérir des niveaux d’énergie à la portée
tant de l’activité géomagnétique que des réseaux de télécommunications contemporains. Un
processus couplé avec l’étroite bande de température du cerveau permettrait d’affecter tous les
cerveaux humains normaux avec un sous harmonique dont la fréquence au environs de 10 Hz ne
varierait que de 0,1 Hz.
L’étude des algorithmes par lesquels tous les cerveaux humains fonctionnent peut être considérée
comme un thème central de la neuroscience moderne. Bien que des différences individuelles
soient attendues pour accommoder l’essentiel de la variance de toute mesure
neurocomportementale spécifique, il devrait exister des configurations d’information et de
structures basiques dans le cerveau. Elles seraient déterminées par le génome humain, c’est-àdire,
qu’elles seraient spécifiques aux espèces, et devraient contribuer à, ou serviraient de substrat
sur lequel tous les phénomènes qui affectent les mesures neurocomportementales sont
surimposées.
Une extrapolation logique à une base neurophysique de la conscience est que toutes les
expériences doivent exister en tant que corrélats de séquences de matrices électromagnétiques
complexes mais déterminées. Elles contrôleraient le thème de la mise en forme de la cognition et
de l’affect tandis que la myriade possible d’ensembles de séries de variations aléatoire du
« bruit » dans ces matrices pourraient potentiellement différencier les cerveaux individuels.
L’identification de ces séquences pourrait aussi permettre l’accès direct aux processus
neurocognitifs les plus complexes associés au sens du soi, la conscience humaine et l’agrégat des
représentations de l’expérience (mémoire épisodique) qui définie l’individu dans son cerveau
(Squire, 1987).
L’existence de standards fondamentaux entre tous les cerveaux humains par lesquels un stimulus
physique similaire peut les affecter n’est pas un concept nouveau. Il est démontré
quotidiennement par des changements similaires des fonctions qualitatives qui sont évoquées par
les drogues psychotropes. Des catégories de structures chimiques, grossièrement classifiées
d’antidépresseurs, antipsychotiques, ou composés anxiolytiques, produisent des atténuations
générales de l’humeur, des pensées extrêmement excentriques, ou une extrême vigilance. Les
caractéristiques de ces changements sont très similaires sur des millions de cerveaux humains
indépendamment de leur histoire culturelle ou génétique. Les expériences singulières telles que
les pensées et les images spécifiques qui reflètent le processus continuel d’adaptation de chaque
personne sont surimposées sur ces fonctions générales. Lorsqu’ils sont traduits dans le langage du
domaine neuroélectrique, les composants uniques de la conscience individuelle devraient être à la
fois incorporés et en interaction avec les schémas invariants des espèces.
Nous avons étudié les conséquences phénoménologiques de l’exposition à des champs
électromagnétiques complexes dont les structures temporelles ont été déduites des profils
neuroélectriques les plus récemment observés tels que les séquences potentialisatrices par
décharge ou de long terme (Brown, Chapman, Kairiss, Keenan, 1988), qui peuvent être
considérées comme la base prototypique d’un domaine majeur de l’activité cérébrale. Ces
structures temporelles des codes potentiels pour accéder et influencer les agrégats neuronaux ont
été appliqués dans les deux hémisphères (au travers des régions des lobes tempoparietaux ou dans
la région du complexe hippocampaire-amygdaloide) du cerveau par des champs
électromagnétiques faibles dont les intensités sont généralement inférieures à 10 milligauss (1
micro Tesla). Le but de cette recherche, suggéré par E.R. John (1967) et Sommerhoff (1974), est
d’identifier les codes basiques du langage des systèmes de représentation dans le cerveau
humain1.
Dans la tradition de Johannes Mueller, nous avons supposé que la transduction des stimuli par les
détecteurs en potentiels gradués afférents, et la traduction subséquente en signaux digitaux des
potentiels d’action (qui sont plus probablement susceptibles de se comporter fonctionnellement
comme une composition de pixels dans un champs neural) peuvent être circonvenus par
l’introduction directe de cette information dans le cerveau2. L’induction d’information complexe
nécessiterait la simulation des structures de résonance qui seraient normalement créées
temporairement par les afférents sensoriels. Le prémisse de base est que la duplication
synthétique de corrélats neuroélectriques générés par les détecteurs d’un stimulus réel devrait
produire des expériences identiques sans présence de ce stimulus.
Nous-nous sommes concentrés sur les portions polymodales et les plus labiles des cortex
parahyppocampal (Van Hoesen, 1982) et entorhinal (Vinagradova, 1975) et du gyrus supérieur
antérieur des cortex temporaux (Bancaud, Brunet-Bourgain, Chauvel, Halgren, 1994) en tant que
régions dans lesquelles la circonvolution serait la plus probable. L’extraction et la traduction des
1 NdT : Jean-Louis Krivine (le cousin d’Alain), a montré que ces codes sont très proches du lambda calcul, c’est-àdire
une partie de la logique mathématique qui permet de construire l’informatique sur une base théorique. Son
travail consiste à traduire en lambda calcul les démonstrations de théorèmes fondamentaux des mathématiques afin
d’en déduire l’opération équivalente en informatique. Krivine pense que les mathématiques sont en somme une
forme de décodage des programmes de notre cerveau. CF. Science et Vie N° xxx.
2 NdT : En clair, on peut introduire de l’information dans le cerveau directement par des champs électromagnétiques.
signaux neuraux des différents entrées sensorielles en codes communs surviennent dans ces
régions avant qu’elles soient consciemment perçues (Edelman, 1989). La présence des codes
centraux fut montrée par E.R. John (1967, pp. 348-349) qui rapporta un transfert immédiat du
contrôle opérant à la réponse d’un stimulus auditif vibrant en un stimulus visuel vibrant si sa
forme temporelle était identique au stimulus (acoustique) précédent.
Nous (Fleming, Persinger, Koren, 1994) avons rapporté que l’exposition du cerveau entier de rats
à un champ magnétique jaillissant [burst-firing] de 5 μT durant une seconde, toutes les 4
secondes évoquait une réponse analgésique qui était similaire à celle induite par l’application de
stimulations tactiles plus nocives d’une seconde toutes les 4 secondes directement sur les
coussinets. La stimulation électrique directe des structures de membres qui simule l’application
épisodique, systémique d’agents muscariniques (cholinergique) peut évoquer une réaction
électrique (Cain, 1989). Plus récemment, l’induction directe de séquences électriques chaotiques
dans la région labile CA1 de l’hippocampe a montré soit un accroissement, soit une atténuation
des décharges paroxysmiques (Schiff, Jerger, Duong, Chang, Spano, Ditto, 1994).
Ces résultats indiquent fortement que l’imitation de la structure temporelle de la transmission
sensorielle directement dans le cerveau par des stimuli non biogéniques peut invoquer des
changements qui sont juste aussi efficaces que la transduction classique (et requièrent
probablement moins d’énergie). Comme il a été affirmé plus récemment et succinctement par E.R
John (1990), le fonctionnement fondamental de l’activité électrique du cerveau suggère qu’une
forme d’encodage de la fréquence3 pourrait jouer un rôle significatif dans les transactions
informationnelles à l’intérieur et entre les structures du cerveau. La conscience serait associée
avec une configuration électromagnétique générée par un agrégat neural aux caractéristiques
statistiques invariantes qui sont indépendantes des cellules contribuant à chaque caractéristique
(John, 1990, p. 53).
Les effets de l’application de champs magnétiques variables dans le temps sur l’activité du
cerveau ont été considérés comme minimaux ou dans l’intervalle des limites biologiques
normales à moins que l’intensité du champs excède les niveaux naturels endogènes ou exogènes
(ambiants) de plusieurs ordres de grandeur4. Jusqu’à très récemment, presque toutes les études
desquelles cette conclusion a été déduite impliquaient des stimuli hautement redondants tels que
des champs de 60 Hz ou les pulsations répétitives. Une illustration simple présente le problème :
une seule minute d’exposition d’un réseau de neurones à une onde sinusoïdale de 60 Hz expose
ce réseau à 3600 présentations (60 sec. X 60 cycles/sec.) de la même information redondante.
Même des estimations générales de l’accoutumance (Persinger, 1979) telle que l’équation H =
IRT_/Rt (IRT=temps inter-réponse ; Rt = durée de réponse) indiquent que l’accoutumance au
3 Cette hypothèse est exactement celle des chercheurs de biophysique russes dès les années 60.
4 NdT : Endogène : induit, produit à l’intérieur du système ; exogène : produit à l’extérieur du système (ici le
cerveau) ; ordres de grandeurs : nombre de multiplications par 10 d’un nombre donnés (logarithme décimal : 10=1 ;
100=2 ; 1000=3 etc…).
stimulus devrait être survenue bien avant son arrêt après 1 min. Bien que les fréquences
d’excitation intermittente (100 à 200 Hz) des neurones de l’hippocampe, par exemple, excèdent
cette forme, elles ne sont pas temporellement symétriques et exhibent une variabilité des
intervalles inter-stimulus qui contiendrait une information différente et devraient atténuer
l’accoutumance.
La dépendance apparente des réponses de l’organisme à l’intensité du champ électromagnétique
appliqué, la « courbe de réponse dépendante de l’intensité », pourrait simplement être un artéfact
de l’absence d’information biologiquement pertinente dans la forme de l’onde. Si la structure
temporelle du champs électromagnétique appliqué contenait des informations pertinentes et
détaillées (Richards, Persinger, Koren, 1993), alors l’intensité du champ nécessaire pour induire
une réponse pourrait être de plusieurs ordres de grandeur en dessous des valeurs qui ont été
précédemment trouvées induire des changements. Par exemple, Sandyk (1992) et Jacobson
(1994) ont trouvé que les champs magnétiques complexes avec des durées de pulsation interstimulus
variables pourraient invoquer des changements sans précédent dans les niveaux de
mélatonine même pour des intensités de l’ordre du nano-T5.
Le contre argument classique selon lequel des champs magnétiques « très forts » doivent être
présents pour « excéder ou compenser le bruit électromagnétique associé aux énergies thermiques
intrinsèques (Boltzmann) » est basé sur des équations et des calculs des indices quantitatifs
d’agrégats d’activité moléculaire et pas sur les formes de leur interaction.
Il y a d’autres possibilités, Par exemple, Weaver et Astumian (1990) ont montré
mathématiquement que la détection de champs très faibles (microV/cm)6 peut survenir si la
réponse est exhibée dans une étroite bande de fréquences7 ; la détection est une fonction des
fluctuations thermiques induites dans le potentiel de la membrane8 et de l’incrément maximal de
changement de ce potentiel de la membrane qui est évoqué par le champ magnétique. Le modèle
de résonance cyclotron ionique qui fut initié par la recherche de Blackman, Bename, Rabinowitz,
House, et Joines (1985) et confirmé par Lerchl, Reiter, Howes, Honoka et Stkkan (1991) indique
que, lorsqu’un champ magnétique alternatif à une fréquence de distance (résonance) est
surimposé sur un champ magnétique stationnaire, le mouvement des ions calcium et autres peut
être facilité avec de très petites énergies. Plus de 25 ans auparavant, Ludwig (1968) développa un
5 NdT : Nano-Tesla : milliardième de Tesla. Noter que ce résultat est au coeur des controverses actuelles sur les effets
des GSM qui émettent des micro-ondes pulsées et modulées complexes.
6 NdT : A titre de comparaison, le champ électrique naturel de l’atmosphère est de 100 V/m soit un Volt/cm, l’auteur
parle donc de champs 1 million de fois plus faibles que le champs électrique atmosphérique.
7 NdT : Ce qui signifie que le cerveau est capable de réagir a des champs 1 million de fois plus faibles que le champ
atmosphérique, à condition que ce champs ait une certaine fréquence.
8 C’est-à-dire à la surface de la cellule.
argument mathématique séduisant (mais néanmoins ignoré) qui décrivait l’absorption d’ions
atmosphériques dans le cerveau.
Au dessus de ces niveaux mimimaux, le contenu en information de la structure de l’onde devient
essentiel. L’analogie la plus simple serait la réponse d’un réseau de neurones complexe tel que
celui de l’être humain à l’énergie sonique. Si seulement un ton de 1000 Hz (onde sinusoïdale)
était présenté, l’intensité requise pour évoquer une réponse pourrait bien excéder 90 db ; dans ce
cas la réponse serait un évitement manifeste et grossier. Cependant, si la structure du champ
sonique était modifiée pour exhiber la forme complexe qui serait équivalente à de l’information
biologiquement pertinente telle que « aidez-moi, je meurs », des champs plus faibles de plusieurs
ordres de grandeur (par ex. 30 db) pourraient être suffisants. Ce stimulus unique, bref mais riche
en information évoquerait une réponse qui pourrait concerner tous les domaines cognitifs
majeurs. Si l’information dans la structure du champ magnétique appliqué est une source majeure
de sont effet neurocomportemental, alors les réponses « dépendantes de l’intensité » comme le
support pour les hypothèses expérimentales d’interaction biomagnétique pourraient être aussi
bien des épiphénomènes que des artéfacts. De telles amplifications des forces de champs
électromagnétiques pourraient aussi accroître l’intensité des sous-harmoniques, rides et
anomalies temporelles extrêmement subtiles et presque toujours ignorés qui sont surimposées sur
ou dans la fréquence primaire. Ces anomalies subtiles seraient dues aux artefacts présents dans
les différents circuits électroniques et les composants dont les similarités sont basées sur la
fidélité du point limite (fréquence primaire) en dépit des géométries différentes employées pour
produire ce point limite.
Si l’information plutôt que l’intensité est importante pour l’interaction avec le réseau de neurones
(Jahn et Dunne, 1987), alors ces formes « de fond » non spécifiées peuvent être la source tant des
effets expérimentaux que des échecs de réplications entre laboratoires. Un exemple concret de ce
problème existe dans la supputation d’association entre l’exposition à des champs
électromagnétiques (60 Hz) et certaines formes de cancer. L’existence de ces effets transitoires,
souvent surimposés sur la fréquence fondamentale de 60 Hz, est encore le facteur le moins
considéré dans la tentative de spécifier les caractéristiques des champs qui induisent des mitoses
aberrantes (Wilson, Stevens, Anderson, 1990).
Dans les cinq dernières années, plusieurs chercheurs ont rapporté que des effets directs et
significatifs sur des structures neurologiques spécifiques peuvent être induits par des champs
magnétiques extrêmement faibles dont les intensités sont de l’ordre de l’activité géomagnétique.
Sandyk (1992) a discerné des changements significatifs chez des sujets vulnérables tels que des
patients diagnostiqués pour leurs désordres neurobiologiques consécutifs à des expositions de
courtes durées à des champs magnétiques dont les forces se situent entre le pT et le nT mais dont
les applications spatiales sont multifocales (???) et conçues pour introduire des configurations
très hétérogènes dans une région très localisée du cerveau. Les composantes efficaces du champ
(qui sont supposées être des formes temporelles discrètes dues à la modulation de la fréquence et
de l’intensité des champs électromagnétiques) ne sont pas toujours évidentes ; cependant, les
niveaux de puissance pour ces amplitudes sont similaires à celles associées avec les signaux
(générés globalement par les systèmes radio et de communication) dans lesquels la plupart des
êtres humains sont constamment exposés.
Le processus le plus parcimonieux par lequel tous les cerveaux humains pourraient être affectés
nécessiterait (1) l’immersion dans le même milieu d’approximativement tous les 6 milliards de
cerveaux de l’espèce humaine ou (2) une interaction coercitive parce qu’il y une bande de
vulnérabilité très étroite dans chaque cerveau. Pour la première option, le champs stationnaire ou
la composante « permanente » du champs magnétique terrestre répond au critère. La possibilité
que des masses de personnes susceptibles pourraient être influencées durant des conditions
critiques de variations extrêmement faibles (moins de 1 %) de l’amplitude stationnaire (50 000
nT, soit 50 μT) du champs magnétique terrestre tel que durant des orages géomagnétiques (50 à
500 nT) a été discutée ailleurs (Persinger, 1983). Des preuves expérimentales récentes ont montré
un seuil de l’activité géomagnétique d’à peu près 20 nT à 30 nT pour l’observation d’expériences
vestibulaires chez des êtres humains et la facilitation de crises limbiques chez des rongeurs est
cohérent avec cette hypothèse.
Le potentiel pour la création d’un processus agrégé doté de propriétés de type gestalt qui reflète
les caractéristiques moyennes des cerveaux maintenus dans ce champ générateur de l’agrégat a
aussi été développé (Persinger et Mafreniere, 1977) et a été appelé « geopsyché ». Ce phénomène
serait analogue aux caractéristiques vectorielles d’un champ électromagnétique qui est induit par
le courant en déplacement dans les milliards d’éléments tels que les câbles contenus dans un
volume relativement faible comparativement à la source. De tels gestalts, tout comme les champs
en général, affectent aussi les éléments qui contribuent à la matrice (Freeman, 1990).
La seconde option nécessiterait l’accès à une limite très étroite des propriétés physiques dans
lesquelles tous les cerveaux sont maintenus pour générer la conscience et l’expérience de soi. Ce
facteur serait principalement porté par la variable température du cerveau. Bien que la relation
entre température absolue et longueur d’onde est généralement claire [un exemple qui peut être
décrit par la loi de Wien et qui est bien documenté en astrophysique (Wyatt, 1965)], ses
implications pour l’accès à l’activité du cerveau n’ont pas été explorées. Les processus
neurocognitifs fragiles qui maintiennent la conscience et le sens de soi existent entre 308°K et
312°K (35°C et 39°C). La longueur d’onde fondamentale associée avec cette émission est d’à peu
près 10 μm ce qui est bien dans la longueur d’onde de l’infrarouge lointain.
Cependant, la rapport de cet intervalle divisé par la température absolue de l’activité normale du
cerveau qui maintiennent les processus neurocognitifs est de seulement 0,013 ou 1,3 %. S’il y
avait une structure sous-harmonique dans les champs magnétiques naturels et techniquement
générés qui reflétaient aussi ce ratio, alors tous les cerveaux qui seraient opérants dans la bande
de température pourraient être affectés par l’harmonique. Par exemple, si 11,3 Hz était une de ces
fréquences électromagnétiques sous-harmoniques, des variations de seulement 1,3 % signifient
ici 11,3 Hz +/- 0,13 Hz, seraient théoriquement suffisantes pour affecter le fonctionnement de
tous les cerveaux normaux. Si cette « fréquence porteuse principale » contenait de l’information
biologiquement pertinente en étant modulée de manière à transporter cette information, alors les
intensités efficaces pourraient bien être l’intervalle du rayonnement de fond cosmique (de l’ordre
de quelques microwatts/cm_) et pourraient être cachées en tant que composants chaotiques dans
le bruit électromagnétique associé à la production d’énergie et son utilisation.
Une des utilisations prophylactiques directes des effets de ces champs pourrait nécessiter des
altérations de la température du noyau (cerveau) tels qu’une hypothermie profonde mais
réversible. Cependant, cette condition désorganiserait le processus biochimique sur lequel repose
l’activité neuronale et donc la conscience. Les traitements qui précipitent les altérations de
l’activité neurale, similaires à ceux qui sont associés à l’hypothermie grossière, seraient moins
désorganisants. Des candidats spécifiques qui affectent les systèmes à récepteurs multiples tels
que la clozépine (Clorazil) et l’acépromazine pourraient être des interventions pharmacologiques
possibles.
Les caractéristiques de l’algorithme pour les individus euthermiques sont probablement notables
(une fois isolés) mais devraient être maintenant cachés dans l’activité synchrone qui est (1)
modifiée et filtrée par les agrégats de neurones et (2) modulée par les inputs sensoriels et ses
oscillations intrinsèques (Kepler, Marder, Abbott, 1990) avant qu’ils soient sommairement
mesurés par des électrodes. Puisque l’algorithme fondamental devrait être essentiellement un
paramètre stable de la température du corps, la plupart des montages d’électrodes (y compris
monopolaires hors cerveau ; par ex. oreilles) annuleraient ou atténueraient cet index.
Effectivement, l’algorithme serait exprimé d’une manière similaire aux descripteurs pour d’autres
phénomènes agrégés comme une constante physique ou un ensemble limité de telles constantes.
Cette suggestion est commensurable avec l’observation selon laquelle les réseaux neuronaux
sous-jacents qui coordonnent les millions de neurones manifestent les propriétés (mathématiques)
d’un attracteur étrange avec un nombre très limité de degrés de liberté (Lopes, Da Silva,
Kamphuis, Van Neerven, Pijn, 1990).
La preuve physico-chimique d’un processus fondamental, mû par une limite étroite de la
température biologique s’est accumulée. Des variations électromagnétiques oscillatoires fixes ont
été montrées in vitro pour les enzymes du chemin glycocitique (Higgins, Frenkel, Hulme, Lucas,
Rangazas, 1973) dont l’étroite bande de sensibilité à la température (autour de 37°C) est bien
connue. Bien que ces oscillations sont souvent mesurées comme périodes (cycles de 2,5 min),
Rueg (1973) reporta une dépendance à la température claire de ces oscillations dans une bande de
1 à 20 Hz entre 20°C et 35°C dans des muscles d’invertébrés.
La source cérébrale la plus probable qui pourrait servir de modulateur primaire de ces oscillations
biochimiques devrait impliquer des structures dans le thalamus (Steriade et Deschenes, 1984).
Des agrégats neuronaux avec des oscillations d’une surprenante stabilité (0,1 Hz près) sont
trouvés dans cette structure et dépendent principalement des neurones qui requièrent de l’acide
gamma amino butyrique ou GABA (von Krosigk, Bal, McCormick, 1993). Cet acide aminé
inhibitoire est spécialement dérivé de la dégradation normale, sensible à la température du
glucose par le GABA (Delorey et Oslen, 1994).
Durant les deux dernières décades (Persinger, Ludwig, Ossenkopp, 1973) a émergé un potentiel
qui était improbable mais qui est maintenant marginalement réalisable. Ce potentiel est la
capacité technique d’influencer directement la majorité des approximativement six milliards de
cerveaux de l’espèce humaine sans la médiation des modalités sensorielles classiques en générant
l’information neurale dans le milieu physique où tous les membres de l’espèce sont immergés. De
l’émergence historique de telles possibilités, de la poudre à canon jusqu’à la fission atomique, ont
résulté des changements majeurs de l’évolution sociale, qui survinrent de manière
extraordinairement rapide après leur application. La réduction du risque d’application
inappropriée de ces technologies requière une discussion ouverte et continue dans la communauté
scientifique et le domaine public sur le réalisme de leur faisabilité et leurs implications.
REFERENCES
Bancuad, J., Brunet-Bourgin, F., Chauvel, P., & Halgren, E. Anatomical origin of _deja_vu_ and vivid 'memories' in
human temporal lobe epilepsy. _Brain_, 1994, 117, 71-90.
Blackman, C.F., Bename, S.G., Rabinowitz, J.R., House, D.E., & Joines, W.T. A role for the magnetic field in the
radiation-induced efflux of ions from brain tissue _in_vitro_. _Bioelectromagnetics_, 1985, 6,
327-337.
Brown, T.H., Chapman, P.F., Kairiss, E.W., & Keenan, C.L., Long-term potentiation. _Science_, 1988, 242, 724-
728.
Cain, D.P. Excitatory neurotransmitters in kindling; excitatory amino acid, cholinergic and opiate mechanisms.
_Neuroscience_and_Biobehavioral_Reviews_, 1989, 13, 269-276.
Delorey, T.M., & Olsen, R.W. GABA and glycine. In G.J. Siegel, B.W. Agranoff, R.W. Albers, & P.B. Molinoff
(Eds.), _Basic_ _neurochemistry_. (5th ed.) New York: Raven, 1994. Pp. 389-399.
Edelman, G.M. _The_remembered_present:_a_biological_theory_of_ consciousness_. New York; Basic Books,
1989.
Fleming, J.L., Persinger, M.A., & Koren, S.A. One second per four second magnetic pulses elevate nociceptive
thresholds: comparisons with opiate receptor compounds in normal and seizer-induced brain damaged rats. _Electro-
_and_ _Magnetobiology_, 1994, 13, 67-75.
Freeman, W.J. On the fallacy of assigning an origin to consciousness. In E.R. John (Ed.),
_Machinery_of_the_mind_. Boston, MA: Birkhauser, 1990. Pp. 14-26.
Higgins, J., Frenkel, R., Hulme, E., Lucas, A., & Rangazas, G. The control theoretic approach to an analysis of
glycolytic oscillators. In B. Chance, E.K. Pye, A.K. Ghosh, & B. Hess (Eds.),
_Biological_and_biochemical_oscillators_. New York: Academic Press, 1973. Pp. 127-175.
Jacobson, J.I. Pineal-hypothalamic tract meditation of picoTesla magnetic fields in the treatment of neurological
disorders. _FASEB_Journal_, 1994, 8, A656.
Jahn, R.G., & Dunne, B.J. _Margins_of_reality:_the_role_of_ _consciousness_in_the_physical_world_. New York:
Harcourt, Brace & Jovanovitch, 1987.
John, E.R. _Mechanisms_of_memory_. New York: Academic Press, 1967. John, E.R. Representations of
information in the brain. In E.R. John (Ed.). _Machinery_of_the_mind_. Boston MA: Birkhauser, 1990. Pp. 27-56.
Kepler, T.B., Marder, E., & Abbott, L.F. The effect of electrical coupling on the frequency of model neuronal
oscillators. _Science_, 1990, 248, 83-85.
Krosigk, M. von, Bal, T., & McCormick, D.A. Cellular mechanisms of a synchronized oscillation in the thalamus.
_Science_, 1993, 261, 361-364.
Lerchl, A., Reiter R.J., Howes, K.A., Honaka, K.O., & Stokkan, K-A. Evidence that extremely low frequency Ca++
cyclotron resonance depresses pineal melatonin synthesis _in_vitro_. _Neuroscience_Letters_, 1991, 124, 213-215.
Lopes, F.H., Da Silva, L., Kamphuis, W., Van Neerven, J.M.A.M., & Pijn, P.M. Cellular and network mechanisms
in the kindling model of epilepsy: the role of GABAnergic inhibition and the emergence of strange attractors. In E.R.
John (Ed.), _Machinery_of_the_mind_. Boston, MA: Birkhauser, 1990. Pp.
115-139.
Ludwig, H.W. A hypothesis concerning the absorption mechanism of atmospherics in the nervous system.
_International_Journal_of_ _Biometeorology_, 1968, 12, 93-98.
Persinger, M.A. A first approximation of satiation time: (IRT2/Rt). _Perceptual_and_Motor_Skills_, 1979, 49, 649-
650.
Persinger, M.A. The effects of transient and intense geomagnetic or related global perturbations upon human group
behavior. In J.B. Calhoun (Ed.), _Perspectives_on_adaptation,_environment_ _and_population_. New York: Praeger,
1983. Pp. 28-30.
Persinger, M.A., & Lafreniere, G.F. _Space-time_transients_and_ _unusual_events_. Chicago, IL: Nelson-Hall,
1977.
Persinger, M.A., Ludwig, H.W. & Ossenkopp, K.P. Psychophysiological effects of extremely low frequency
electromagnetic fields: a review. _Perceptual_and_Motor_ _Skills_, 1973, 36, 1131-1159.
Richards, P.M., Persinger, M.A., & Koren, S.A. Modification of activation and evaluation properties of narratives by
weak complex magnetic field patterns that simulate limbic burst firing. _International_Journal_of_Neuroscience_,
1993, 71, 71-85.
Ruegg, J.C. Oscillating contractile structures from insect fibrillar muscle. In B. Chance, E.K. Pye, A.K. Ghosh, & B.
Hess (Eds.), _Biological_and_biochemical_oscillators_. New York: Academic Press,
1973. Pp. 303-309.
Sandyk, R. Successful treatment of multiple sclerosis with magnetic fields.
_International_Journal_of_Neuroscience_, 1992, 66, 237-250.
Schiff, S.J., Jerger, D.H., Chang, T., Spano, M.L., & Ditto, W.L. Controlling chaos in the brain. _Nature_, 1994,
370, 615-620.
Sommerhoff, G. _Logic_of_the_living_brain_. New York: Wiley, 1974.
Squire, L.R. _Memory_and_the_brain_. New York: Oxford Univer. Press, 1987.
Steriade, M., & Deschenes, M. The thalamus as a neuronal oscillator. _Brain_Research_Reviews_, 1984, 8, 1-63.
Van Hoesen, G.W. The parahippocampal gyrus: new observations regarding its cortical connections in the monkey.
_Trends_in_ _the_Neurosciences_, 1982, 5, 340-345.
Vinogradova, O.S. Functional organization of the limbic system in the process of registration of information: facts
and hypotheses. In R.L.
Isaacson & K.H. Pribram (Eds.), _The_ _hippocampus_: Vol. 2. _Neurophysiology_and_behavior_. New York:
Plenum, 1975. Pp. 3-69.
Weaver, J.C., & Astumian, R.D. The response of living cells to very weak electric fields: the thermal noise limit.
_Science_, 1990, 247, 459-462.
Wilson, B.W. Stevens, R.G., & Anderson, L.E. _Extremely_low_
_frequency_electromagnetic_fields:_the_question_of_cancer_. Richland, WA: Battelle Press, 1990.
Wyatt, S.P. _Principles_of_astronomy_. Boston, MA: Allyn & Bacon, 1965. Accepted March 15, 1995.
Please send reprint requests and correspondence to Dr. M.A. Persinger, Behavioral Neuroscience Laboratory,
Laurentian, Ramsey Lake Road, Sudbury, Ontario P3E 2C6, Canada.

Télépathie synthétique :





Télépathie synthétique :

En France, les expériences concernant le magnétisme animal et le fonctionnement du cerveau humain remontent au XVIIIème siècle. Le terme télépathie apparaît en Angleterre en 1882 pour décrire la transmission de pensés ou de sentiments par les moyens autre que les cinq sens.

En Union soviétique, les recherches sur la télépathie et plus largement sur ce qu'ils nomment biocommunication dans un but militaire commencent dans les années 1920. Plusieurs chercheurs s'intéressent au fonctionnement quantique des ondes électromagnétiques dans le cerveau. Les Soviétiques développent des technologies fondées sur leur maîtrise de la physique et des mathématiques, qui permettent de prendre le contrôle au niveau psychologique ou physiologique notamment par l'utilisation d'impulsions électromagnétiques ou d'ultrasons. Dans les années 60, les fréquences de fonctionnement du cerveau sont trouvées et il devient possible d'induire des comportements.

Les USA, s'intéressent au contrôle mental par des méthodes chimiques et comportementales depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Ils investissent à partir des années 70 dans les armes alternatives à la bombe atomique. Au début des années 1980 ils prennent conscience qu'ils ont 20 à 30 ans de retard sur les Soviétiques et les Chinois dans le développement des systèmes de contrôle mental. Cette nouvelle course aux armements abouti à des technologies d'envergure permettant l'écoute et la communication des pensées et la manipulation des comportement.

Le terme de télépathie synthétique (ou « télépathie artificielle », terme privilégié aux USA, ou « psychotronique », terme ayant un sens un peu plus large et privilégié en Union Soviétique) concerne les technologies de transmission et de manipulation de la pensée et des états psychiques. Elle s'appuie sur la mise en oeuvre de moyens tels que les supraconducteurs à haute température, les réseaux d'antennes phasées et les techniques de traitement du signal. Le flux électronique crée à partir de la pensée peut être transmis par un réseau de télécommunication, traité et diffusé vers une ou plusieurs personnes ou systèmes automatisés. Une des applications les plus avancées serait l'existence de satellites d'écoute des pensées. Associée à un système d'intelligence artificielle, elle permet de prédire les comportements d'une personne. Etendue à un groupe entier elle ouvre la voie à un contrôle globale des populations vers une civilisation psycho-civilisée, comme exprimé dans la doctrine de l'administration Clinton « Shaping the world, shaping the mind ».

Fondements historiques

Dans la tradition judéo-chrétienne, les anges communiquent par télépathie. Emmanuel Swedenborg, à partir de 1743, se présente en prophète chrétien, capable de communiquer avec le Ciel, « où il y a communication de toutes les pensées »[1]. Il affirme que les anges peuvent communiquer par la parole, comme les hommes, mais qu'ils ont aussi de grand pouvoirs et qu'il a fait l'expérience que ses propres pas, ses actions et son langage avaient été dirigées par un influx direct dans sa volonté et sa pensée [2]. La description détaillé que fait Swedenbord de cet influx [3] est extraordinairement compatible avec les technologies électromagnétiques et de psycho-acoustique qui seront connues à la fin du XXème siècle. Les événements rapportés par Swedenborg sont précurseurs au développement des phénomènes extra-sensoriels.

Au XVIIIe siècle le psychofluidiste Armand Marie Jacques de Chastenet de Puységur constate la télépathie lors d'une expérience sur le magnétisme animal. En 1784, Louis XVI nomme deux commissions pour étudier la pratique du magnétisme animal. Les commissaires, l'astronome Jean Sylvain Bailly, le médecin Joseph-Ignace Guillotin, le chimiste Antoine Lavoisier, l'ambassadeur des États-Unis Benjamin Franklin et le botaniste Antoine Laurent de Jussieu se fondent sur l'observation du travail de Charles Deslon. Antoine Laurent de Jussieu déclare que l'influence de l'homme sur l'homme doit être admise[4]. Jean Sylvain Bailly déclare, dans un rapport secret, que le traitement magnétique ne peut être que dangereux pour les moeurs[5], puis cette pratique est condamnée par la Faculté de Médecine. Cette interdiction est revue dans les années 1820-1830. D'après Myers et al. c'est à partir de cette époque que les premiers cas d'hallucinations télépathiques sont observées en France[6] et d'après le docteur Stefan T. Possony, ancien chercheur de la Mankind Research Unlimited et de l'Office of Naval Research, l'histoire des technologies de manipulation de l'esprit, dites PSI remontent à environ 200 ans (référence de 1983) [7].

La connaissance empirique du magnétisme animal est bientôt remplacée par la science de l'électromagnétisme, découverte par Hans Christian Ørsted (1820), André-Marie Ampère (1827) et Michael Faraday (1831). Benjamin Franklin, Luigi Galvani, Alessandro Volta s'intéressent aux effets de l'électricité sur le corps humain. Louis Pasteur constate que les cellules vivantes émettent des ondes électromagnétiques. Nicolas Tesla, qui travaille avec Georges Lakhovsky, et qui fut atteint d'hypersensibilité électromagnétique qui lui donnait des capacités de perceptions surnaturelles, considère que les ondes cérébrales émises par un cerveau doivent pouvoir être captées par un autre cerveau, ceci expliquant la transmission de pensées[8]. Aux Etats-Unis, Joseph Banks Rhine, de l'Université Duke étudie systématiquement les phénomènes paranormaux.

En 1882, à cause de nombreux témoignages d'hallucinations télépathiques, la Society for Psychical Research est créée afin de réaliser l'étude scientifique des phénomènes paranormaux. Ses membres fondateurs, inventent le mot « télépathie ».

Des recherches ultra-secrètes

Le Docteur Warren McCulloch, physiologiste à l'Université de l'Illinois et dont les recherches sur le cerveau cortical ont eu un retentissement important, décrivit la difficulté de tenir une conférence sur ces technologies en 1952, précisant que pratiquement tous les sujets qu'il souhaitait aborder avaient été tenus au secret. [9] Dans les années 2000, alors qu'il entreprenait la rédaction de « Mind Wars », Jonathan D. Moreno, se heurtait encore à un mur du silence maçonné de peurs, de secrets et d'intérêts financiers. [10]. Cette censure vise pourtant uniquement les populations, car il semble certain que les diverses armées se sont tenus au courant de manière très précise de l'avancement des recherches des autres nations.[11] Il a même existé des transfert de technologies, entre l'URSS et les USA, par exemple.

Les chercheurs soviétiques étudient notamment les phénomènes para-normaux (Vladimir Bekhterev, de l'Institut de Recherche sur le Cerveau de Leningrad, A.G. Ivanov-Smolenski et Bernard Kashinsky) et la biophysique. En 1920 l'Union Soviétique crée une commission spéciale au sein de l'Institut du Cerveau pour étudier la transmission de pensée. En 1924, le commissaire Anatoli Lounatcharski (qui séjourna plusieurs fois en France) créé un « Comité soviétique pour l'étude du paranormal ». Des travaux majeurs sont menés par Leonid Vassiliev, membre de la « Commission d'étude de la suggestion mentale » qui avait été créé par Bechterev. Vassiliev publie en 1926 les résultats de ces premiers travaux ou il considère que la télépathie est due à des activités électromagnétiques du cerveau. Leur publication en occident, en 1962, sous le titre « Experimental Studies of Mental Suggestion » (Trad. « La Suggestion à Distance », Paris, 1963) fera grand bruit[12][13]. Les travaux de Vassiliev furent continués par Kogan. Une bibliographie publiée par la CIA confirme les nombreuses recherches concernant la transmission de la pensée menées en URSS depuis les années 1920[14]. Néanmoins, ces recherches restent empiriques car, dans les années 1930, les scientifiques n'arrivent pas à créer des expériences de télépathie reposant sur des bases théoriques.


La biophysique, une science stratégique en U.R.S.S. [modifier]

Vernadsky, fondateur du l'Institut d'Etat du Radium à Leningrad, reprend les travaux de Louis Pasteur et étudie les effets des champs électromagnétiques sur les processus du vivant. Alexander Gurwitsch montre que des molécules telles que l'ADN peuvent capter une partie de l'énergie lumineuse (à la façon de la chlorophylle). Il est un des premiers à démontrer systématiquement le fonctionnement quantique des processus biologiques, c'est à dire que la biologie est influencée par la captation de quantités quantiques d'énergie provenant des rayonnements électromagnétiques. G. M. Franck, élève de Gurwitsch et fondateur de l'Institut de Biologie Physique à Pushchino est le grand spécialiste des effets des impulsions électromagnétiques sur le vivant. Les professeurs Vlail Kaznacheev, chef de la division médicale de l'Académie Soviétique des Sciences à Novosibirsk et le biophysicien Inyushin sont aussi impliqués dans ces recherches.
Les Soviétiques réalisent l'importance de ces travaux et transposent la notion militaire de « maîtrise du terrain » en « maîtrise de la biosphère » (un terme inventé par Vernadsky), c'est à dire de la totalité des processus du vivant[15]. Ils créent le slogan « Celui qui maîtrise la totalité du spectre électromagnétique dominera le monde!». Ils mènent aussi des recherches poussées en parapsychologie, guerre psychologique, modification du climat et effets des micro-ondes[16]. Une des retombées de ces recherches est la possibilité de contrôler la pensée et les sentiments des êtres humains [17] en utilisant notamment des ondes électromagnétiques de très basses fréquences pour transmettre et amplifier les signaux télépathiques.[18]

Les USA et leurs alliés s'intéressent au contrôle mental

Quelques chercheurs s'intéressent aux radiations électromagnétiques, comme le Professeur Herman Schwan ou à la guerre psychologique, tel Brodie et Kaufmann[19]. En 1947, le fondateur de la cybernétique, Norbert Wiener, qui a travaillé notamment avec Vannevar Bush et Yuk Wing Lee publie « From Cybernetics ». Il constate qu'il est possible d'influencer le comportement humain par l'utilisation d'une onde électromagnétique très basse fréquence (10Hz) [20].

A cette époque, les USA s'engagent dans des recherches (BLUEBIRD, ARTICHOKE, MKDELTA, MKULTRA, MKNAOMI, MKSEARCH...)[21] visant à contrôler l'esprit de ses ennemis sur le champ de bataille, à maitriser sans tuer par les armes non létales ou permettant de créer un assassin « programmable ». Le préfixe MK des noms de ces projets signifie "Mind Control". Tous les types de contrôle sont étudiés, que ce soit par la psychothérapie, l'utilisation de substances naturelles ou artificielles ou les ondes. Le projet MK94 étudie l'influence à distance sur certaines zones du cerveau et MK142 porte sur les stimulations électriques du cerveau.[22] La motivation des américains est augmentée par leur confrontation avec le lavage de cerveau lors de la guerre de Corée [23]. Le procès Mindszenty est aussi considéré comme un évènement déclencheur des recherches menées par la CIA [24].

Dans les années 1950, des journaux français lancent la rumeur que les Américains sont capables de transmettre des informations par télépathie entre leurs bases terrestres et leur sous-marin atomique USS Nautilus (SSN-571). Cette nouvelle stimule les efforts de recherche dans les deux camps. Certaines recherches portent sur les micro-ondes et les armes électromagnétiques atomiques. Des bombes atomiques spécifiquement conçues pour leur puissance d'explosion électromagnétique initient une transition vers des recherches purement orientées sur l'utilisation des champs électromagnétiques. Les USA se rendent compte de la supériorité de ces technologies: plus efficaces, plus propres, plus précises et même sélectives, mais ils n'ont pas conscience de l'avancé des soviétiques en la matière.[25] Un groupe de chercheurs surnommé « phage group", formé autour de Max Delbruck et Salvador Luria est chargé d'orienter les recherches dans le domaine de la biologie.

La stimulation expérimentale du cerveau

Au début des années 1950, à Paris, le Docteur Antoine Remond[26] (du C.N.R.S.) mène des expériences de stimulation du cerveau sans intrusion. Le Docteur Lilly chercheur influant du Communication Research Institute à Miami, a écrit dans son autobiographie que le Docteur Remond réalisait à Paris des expériences de stimulation du cerveau qui ne nécessitaient pas de chirurgie et le Dr Lily s'alarmait que quiconque, possédant la technologie nécessaire, pouvait intervenir sur une personne sans que celle-ci n'en porte la moindre trace.[27] Le Docteur Remond a notamment travaillé avec Alan Gevins.


Dans les années 1960 le docteur Delgado applique sur la tête de divers animaux un champ magnétique modulé à basse fréquence. Selon la fréquence précise choisie, il peut par exemple endormir l'animal ou déclencher son agressivité et cela génère des effets neurophysiologiques bien localisés dans le cerveau[28]. Le Docteur Adey de l'Institut Max Planck de Biochimie de Munich et d'autres obtiennent des résultats similaires en utilisant de faibles champs radiofréquences correspondant aux ondes cérébrales[29]. Le Dr Health (en français: santé), neurochirurgien de l'Université de Tulane, vise le record du monde d'implants d'électrodes dans le cerveau et le corps d'un patient, dans le but de stimuler ces centres du plaisir. Il conclut que la stimulation électrique du cerveau permet de manipuler l'humain à volonté[30].


En 1966, le Département Spécial N°8 est créé à l'Akademgorodok (ville de la science) de Novossibirsk. Des expériences y sont menées sur des animaux et des humains pour étudier leurs réactions à des signaux télépathiques émis à leur insu. Il est fermé en 1969 et les recherches sont transférées dans un grand laboratoire du KGB à Moscou. Le transfuge August Stern a fait état de la création d'une arme psychotronique importante et très dangereuse, car probablement offensive[31].


Au cours des années 1960-70, les soviétiques réussissent des transmissions télépathiques entre Moscou, Leningrad, Tomsk et Novossibirsk[32]. Ils produisent plusieurs « parapsychologues » dont Edouard Naumov et Larissa Vilenskaïa. De nombreux chercheurs occidentaux se rendent en U.R.S.S. pour visiter les installations dédiées à la parapsychologie alors que les soviétiques prennent peur et se distancient de ces technologies. Ils tendent à réfréner leur utilisation de la parapsychologie ou du moins à l'empêcher dans le domaine civile.

Des « solitons » dans l'ambassade

Dans les années 1960 l'Ambassade des États-Unis à Moscou est soumise à un rayonnement de micro-ondes[33]. Il est envisagé que cette opérations était en réalité menée par des troupes américaines infiltrées qui utilisaient leur compatriotes comme sujets d'expérimentation « en aveugle ». Il semble aussi que les américains ont utilisé le même type de technologie contre les Soviétiques[34]. Un lien a rapidement été fait avec les recherches de Alexander Davydov, membre de l'Académie des Sciences d'Ukraine, concernant la théorie physico-mathématique des solitons. Il est très probable que ces recherches, publiées en 1976, étaient bien antérieures à leur publication (et donc auraient put déjà être connues des américains?)[35]. Les solitons sont des impulsions électromagnétiques assimilables à des particules et qui peuvent se propager sur de grandes distances (comme les photons). Cette découverte implique qu'il est possible d'interagir à distance, par impulsions électromagnétiques, avec les cellules cérébrales. Il semble que cette théorie existait de manière latente depuis le début du XIXème siècle[36]. Le DARPA (L'Agence des Projets Avancés du Département de la Défense des USA), développe le programme PANDORA afin de « découvrir si un signal micro-onde guidé avec précision pourrait contrôler l'esprit »[37].

En 1969, Le docteur Delgado affirme qu'il est théoriquement possible d'établir une communication radio fonctionnant dans les deux sens entre un ordinateur et le cerveau humain. En 1973, près de Stanford des personnes prétendent communiquer par la télépathie[38] et, en 1974, au Stanford Research Institute, Lawrence Pinneo, une chercheuse en neurophysiologie et ingénieur en électronique réalise une expérience de lecture de la pensée. L'expérimentateur, coiffé d'un système EEG relié à un ordinateur peut faire déplacer par sa volonté un point lumineux affiché sur le moniteur [39]. Un article de Aviation Week, publié en 1994, mentionne que l'armée américaine à mené depuis les années 1960 des expériences de pilotage de missiles de défense aérienne par les ondes cérébrales[40].

La course aux armes PSI

Au début des années 1970, plusieurs rapports des services de renseignement américains font état des sommes colossales consacrées par le KGB à des projets de recherche PSI. (« Comportement offensif contrôlé - URSS » en 1972, « Recherche parapsychologique soviétique et tchécoslovaque » en 1975)[41]. En 1970, le Docteur Sidney Gottlieb, chef du Bureau de recherche et développement de la CIA, lance un projet fourre-tout nommé OFTEN, sur la base des travaux du Docteur Donald Ewen Cameron concernant les phénomènes surnaturels. Des médiums, astrologues, chiromanciens et autres parapsychologues sont embauchés. Les travaux du Docteur Delgado et du Docteur Health sont repris. « Sid » devient persuadé que la stimulation électrique du cerveau permettra de créer une société « psychocivilisée » dans laquelle toutes les perceptions humaines seraient télécommandées au mieux. Il demande au Docteur Stephen Aldrich de poursuivre ces travaux. Celui-ci utilise une machine supposée permettre d'enregistrer les signaux cérébraux des sujets jusqu'à 400 mètres de distance[42]. En 1971, L'Astronaute Edgar D. Mitchell réalise des expériences de télépathie dans le cadre de la mission Apollo 14[43].


En 1973, la première Conférence internationale sur la Recherche psychotronique se tient à Prague. Le bloc de l'est (URSS et Tchécoslovaquie principalement) apporte 49 des 91 contributions au congrès. La compagnie Mankind Research Unlimited (MRU) et la compagnie Systems Consultants Inc. (SCI) sont créées à l'initiative des autorités américaine pour mener entre autre des travaux sur la télépathie. [44] En 1974, la NASA enregistre les ondes cérébrales lors d'expériences de télépathie.[45]



En 1976, un rapport au Sénat des États-Unis informe que les soviétiques possèdent une technologie utilisant des micro-ondes permettant d'induire des sons, voir des mots dans la tête des personnes visées[46]. En 1980, un rapport de la NASA précise qu'il est possible de créer une parole compréhensible.[47] Le rapport au Sénat informe d'autre part de l'existence aux USA d'une élite de chercheurs, surnommée « Golden Fleece » qui sont à la tête des programmes de l'Agence des Projets Avancés du Département de la Défense. Ces surnommés « Jasons » travaillent principalement au M.I.T., à l'Université de Californie et dans une douzaine d'établissements prestigieux[48]. Parmi ces établissements sont le Cornell Aeronautical Laboratory, Inc., l'Applied Physics Laboratory de L'Université Johns Hopkins, le Stanford Research Institute, la compagnie General Electric et la compagnie Lockheed-California.



En 1977, dans un rapport au Sénat des États-Unis, la CIA informe qu'il y a des preuves que les Soviétiques et les Chinois pourraient utiliser des techniques, non connues des USA, pour altérer le comportement humain. Elle estime que ces technologies mettent en danger la nation.[49]


En 1978, un rapport de la Defense Intelligence Agency, nommé « Paraphysics R&D – Warsaw pact » mentionne que les USA et l'Union Soviétique ont chacun six grands et environ douze petits centres de recherche sur la parapsychologie. Environ 300 chercheurs étudient le sujet en U.R.S.S.[50] Le livre « Armes Secrètes PSI » de Ernst Meckelburg (Belfont, 1986) présente un tableau de 8 pages des Institutions scientifiques soviétiques connues en 1983 pour mener des recherches en parapsychologie.






En 1979, Alton K. Marsh écrit dans le magazine Aviation Week que l'U.S. Air Force mène des recherches visant à compenser la fatigue des pilotes en détectant les ondes cérébrales grâce à un système de capteurs disposés dans le casque.






Dans les années 1980, l'existence d'armes PSI devient tout à fait certaine[51]. Les Etats-Unis comprennent qu'ils ont environ 20 ans de retard dans la recherche concernant l'utilisation des ondes électromagnétiques pour influencer le fonctionnement du cerveau[52]. Le tabou tombe lorsque le lieutenant-colonel Alexander publie dans la revue militaire « Military Review » du « United States Army Combined Arms Center », un article titré «The New Mental Battlefield » (Le nouveau champ de bataille mental ). En 1981, Eldon Byrd, est chargé développer des dispositifs électromagnétiques permettant entre autre le contrôle des émeutes, les opérations clandestines et la libération d'otages. D'après Jack Anderson du Washington Post, le Pentagone développe des méthode de lavage de cerveau télépathique[53][54].






Le 20 mai 1983, les quotidiens américains publient les témoignages de vétérans à l'hôpital de Loma Linda, Californie soutenant que le Docteur Adey dispose d'un appareil qui a été développé par les Soviétiques, nommé LIDA. Cet appareil permet de traiter l'insomnie, l'hypertension et les neuropathies par l'utilisation d'un faisceau d'ondes radio à 40 megahertz qui stimule l'activité cérébrale à des fréquences beaucoup plus basses. Il est précisé que le Dr Adey à visité à plusieurs reprises l'URSS et que l'on suppose que des machines plus sophistiquées pourraient être utilisées pour influencer la population américaine à partir du sol de l'URSS.[55]






En 1984, le Pentagone dépense des millions de dollars dans la recherche sur les phénomènes paranormaux afin de pouvoir les utiliser sur le champ de bataille. Des officiers du Pentagone et personnalités politiques affirment que les deux super-puissances travaillent à maitriser les techniques telles que la télépathie, la clairvoyance et la télékinésie[56] [57] .






En 1987, le magazine du Département de la Défense des États-Unis informe que l'Union Soviétique possède une large gamme d'armes électromagnétiques antipersonnelles. La localisation des laboratoires de recherche est précisée: générateurs de puissance de micro-ondes à l'Institut de Physique appliquée à Gorki, près de Moscou, Tomsk et à l'Institut de physique Lebedev à Leningrad, Novosibirsk... Des recherches avancées en biophysiques sont menées à l'Institut de Biologie Physique à Pouchtchino près de Moscou, à la branche Sibérienne de l'Académie des Sciences Médicales à Novosibirsk, et Alma Ata, Vladivostok et plusieurs établissements liés au programme spatial soviétique[58].


Des technologies de télépathie [modifier]






En 1990, une dépêche de l'Agence Chine nouvelle informe que la RFA a développé une antenne supraconductrice prévue pour détecter les champs magnétiques pour des applications médicales ou à partir de l'espace[59]. Ce type de matériel permet la lecture des ondes cérébrales à distance.






En 1993, la revue Defense news informe que les autorités américaines souhaitent acquérir une technologie de "Psycho-correction Acoustique" auprès des Russes pour seulement 80 000 dollars. Cette technologie injecte des « commandes » dans le subconscient, grâce à des bruits ou des sons inaudibles sans que le sujet ne s'en rende compte.






Cette même année, un rapport de la CIA mentionne que le Japon prévoit de créer un ministère charger d'étudier notamment la télépathie.[60]






En 1994, le neuroscientifique Steven P. Rose décrit dans The Guardian sa visite de l'équipement de magnétoencéphalographie le plus moderne du monde, situé à Helsinki. Il dit que cet équipement lui évoque le « cerebroscope » (un appareil imaginaire inventé par Richard McKay Rorty), qui permet à un personne de lire ces propres pensées.[61][62].






En 1994, les autorités américaines lancent les "Operations Other Than War" pour développer des technologies de contrôle des populations. Les armes développées sont à usage militaire ou civile et utilisent des ondes électromagnétiques très basses fréquences (y compris dans la plage de fréquence des ondes cérébrales, qui sont de 8 à 300Hz environ) pour influencer, ou inhiber les comportements chez l'être humain.






En 1996 un symposium de la Croix Rouge expose les technologies d'armes électromagnétiques. [63]






En 1997 un article de l'International Herald Tribune dit que la progression de la science pourrait mener à la technologie de la « radiotélépathie », qui serait comme avoir un téléphone portable dans la tête [64]. I. Chernishev, Officier de l'Armée Russe, décrit dans la revue militaire « Orienteer » plusieurs types d'armes PSY en cours de développements partout dans le monde [65].






En 1998, un article de la revue « Parameter » de l'Ecole de Guerre des Etats-Unis, intitulé « L'esprit n'a pas de coupe-feu », reprend les propos d'un article publié par l'armée Russe. Il affirme que le corps humain est un système ouvert et que les données perçues par le corps humain ou créées par ses propres signaux électriques et biochimiques, peuvent être manipulées et changées comme n'importe quelles données d'un système d'information. Il est aussi mentionné l'existence d'un virus informatique « Russian Virus 666 » permettant d'influencer le psychisme et de déclencher une crise cardiaque par l'affichage de trames particulières sur le moniteur [66] .






En 2001, l'US Air Force informe qu'il est possible d'utiliser une onde directionnelle pour parler directement dans la tête d'un ennemi afin de le déstabiliser[67]. Le DARPA a étudié un moyen électronique d'augmenter les capacités mentales des pilotes de l'US Air Force[68]. Cette agence a été chargée d'une grande quantité de projets concernant la pensée humaine et l'Intelligence Artificielle depuis les années 1960[69]. Les recherches sont apparemment concluante puisque l'armée américaine veut actuellement entraîner ces soldats au contrôle mental[70]. D'autre part, le budget du DARPA pour l'année 2009-2010 prévoit 4 millions de dollars pour financer le programme nommé «Silent Talk» permettant la télépathie synthétique entre soldats[71]. 4 millions de dollars supplémentaires sont octroyés à l'Université de Californie pour des recherches sur la télépathie synthétique par le biais d'un système informatique. Ces recherches font partie d'un programme de 70 millions de dollars pour développer un équipement capable de s'adapter au comportement de son utilisateur[72].






La plupart des projets décrit ci-dessus ont été développés aux USA, car on dispose de beaucoup plus d'informations concernant leurs recherches et développements. En ce qui concerne les programmes français, il n'y a pratiquement pas d'informations disponibles. Néanmoins, de même que la France utilise des satellites d'écoute des télécommunications qui captent n'importe quel signal de téléphonie fixe, mobile, cryptée ou non, depuis l'espace[73] (voir Cerise (satellite), Clémentine (satellite) et Essaim (satellite)), Ernst Meckelburg, dans son livre « Armes Secrètes PSI », affirmait dès 1986 que la France dispose de la technologie SADDOR qui permet d'écouter les pensées à partir d'un satellite. Il affirmait il y a déjà un quart de siècle que les armées de toutes parts travaillaient d'arrache-pied à mettre au point des méthodes fiables de télépathie pour espionner les hommes politiques et dirigeant militaires[74].






Des organisations non gouvernementales






John McMurtrey et le groupe des « Chrétiens Contre l'Esclavage Mental » (http://www.slavery.org.uk/) a recensé les technologies de contrôle mental, y compris celles utilisées par les services de renseignement[75] [76].






Cheryl Welsh et l'association Mind Justice (http://www.mindjustice.org) tentent de défendre les milliers de personnes qui témoignent avoir subit un manipulation mentale par arme PSI.






Nick Begich a créé l'organisation earthpulse (http://www.earthpulse.com) à la suite de ces recherches sur le projet HAARP, afin de centraliser le plus d'informations possibles concernant la manipulation de l'esprit humain.






Quelques explications théoriques






D'après les diverses expériences qui ont été rapportées, il existe au moins deux types de technologies pour interagir avec le cerveau: 1) l'utilisation de champs électromagnétiques permet de a) détecter les ondes cérébrales et toutes sortes d'influx nerveux et en déduire des informations (mots, pensées, intentions d'actions...) b) Induire des pensées et comportements. Il est possible soit d'induire des ondes cérébrales, soit de mimer la présence de molécules grâce à des champs électromagnétiques correctement configurés. 2) la psycho-correction acoustique permet, en utilisant des ultrasons, de créer une parole dans le cerveau de la personne cible ainsi que de provoquer des effets psychiques. Ces deux types de technologies permettent aussi d'abimer ou de détruire le fonctionnement du cerveau. Le niveau létal est atteint moins du fait de l'utilisation de niveaux d'énergie excessive que du fait d'utiliser des fréquences inappropriées[77].






La télépathie a d'abord été étudiée de manière empirique mais n'arrivait pas à être réellement admise car les chercheurs ne pouvaient pas la provoquer de manière fiable. Ils s'appuyaient sur des théories d'électromagnétisme classique. Hors il a été découvert que les phénomènes paranormaux peuvent être expliqués par la physique quantique et que c'est la raison même de leur comportement aléatoire.[78]






Des technologies fondamentales






L'étude du cerveau et la détection des ondes cérébrales utilisent principalement l'électroencéphalographie, la magnétoencéphalographie et la résonance magnétique nucléaire. C'est le physiologiste russe Vladimir Pravdich-Neminsky qui découvre l'EEG (Électro-encéphalogramme) en 1912. Il étudie déjà les potentiels évoqués qui sont la méthode de base pour décoder les ondes cérébrales. Les potentiels évoqués sont calculés à partir de la valeur moyenne du potentiel EEG sur une période de temps donnée. Ils sont mis en oeuvre dans les premiers développements grands publics de la télépathie.






En général, afin de réaliser un EEG, des capteurs doivent être placés au plus près possible du cerveau. Les électrodes sont parfois posées directement dans la boite crânienne. Plusieurs améliorations ont permis de réaliser des mesures de plus en plus fines et avec moins de contraintes. Dans le domaine civile, il est aujourd'hui courant de réaliser l'EEG d'un fœtus en posant les électrodes sur le corps de sa mère [79].






La mise au point de capteurs EEG sans contact est due aux recherches de la NASA dans les années 1960. Il a finalement été possible de détecter les signaux à distance, notamment grâce aux capteurs cryo-magnétiques (SQUID) proposés par Adey et Silver, de l'Université de Californie à Los Angeles et Aerospace Corp. Une source cite que les premiers MEG (magnétoencéphalogrammes) ont été obtenus au Massachusetts Institute of Technology[80]. On considère normalement que c'est le chercheur David Cohen de l'Université de l'Illinois qui réalise les premières mesure des ondes magnétiques produites par le cerveau part la technique de la magnétoencéphalographie.






Les données fournies par EEG et MEG peuvent être enregistrées simultanément, permettant une analyse approfondie de l'activité électromagnétique du cerveau. En effet les champs enregistrés par l'EEG et le MEG sont perpendiculaires et leur mesure conjointe permet donc de connaître toute l'activité électromagnétique du cerveau.






En 1934, Leon Chaffee, professeur de physique à l'Université d'Harvard, et Richard Upjohn Light, Instructeur en chirurgie à l'Ecole de Médecine de l'Université de Yale, apportent leur lumière dans un article portant le titre « Méthode de contrôle à distance pour stimuler électriquement le système nerveux »[81]. En 1938 Kellogg, Isidor Isaac Rabi (qui reçu le prix Nobel de physique en 1944 pour cette découverte), Ramsey et Zacharias découvrent la résonance magnétique nucléaire. Elle est rapidement utilisée comme une technique de spectroscopie radiofréquence[82].






Avec la progression de l'électronique, le traitement du signal s'est amélioré, permettant d'exploiter des signaux considérés auparavant comme du bruit, notamment grâce à l'analyse de Fourier, la corrélation croisée et le retournement temporel. D'autre part les soviétiques ont développé une expertise en méthodes de calcul des interférences électromagnétiques sur les systèmes complexes (en anglais Interferential Measurment and Complex System Modeling)[83], qui permettent d'étudier simultanément de nombreux objets (comme un ensemble de neurones par exemple) même si leur comportement est déterminé par des facteurs que l'expérimentateur ne maîtrise pas, voir dont il n'a pas connaissance. Ce type de technique de mesure permet de trouver de l'information là ou des méthodes « exactes » ne détermineraient rien.






Décoder les ondes cérébrales et agir sur le fonctionnement nerveux






En 1965 le mathématicien Norbert Wiener écrit qu'il est nécessaire d'affiner la mesure des ondes cérébrales et de réaliser une carte de la distribution des fréquences dans le cerveau[84][85]. Depuis les années 1970, plusieurs recherches ont permis de déterminer les sons, syllables et mots à partir de l'enregistrement de l'activité cérébrale[86][87][88].






D'après Steven P. Rose, il est possible théoriquement non seulement de lire l'état psychique mais aussi de le modifier, de l'interrompre et en conséquence de télécommander le comportement humain[89]. En 1968 (l'information sera révélée en 1979 par le Lt. Col. Thomas E. Bearden), Litisitsyn, Docteur en mathématiques non-linéaires appliquées aux ondes cérébrales, écrit que l'U.R.S.S. a réussit à induire des images et des sensations dans un être humain. Il affirme qu'il est possible d'utiliser 11 bandes de fréquences des ondes cérébrales, pour contrôler toutes les fonctions d'un être humain qui sont normalement contrôlées par son propre cerveau[90]. Un document concernant les ultra-basses fréquences, imprimé en 1978 par le Planetary Association for Clean Energy (P.A.C.E)[91] précise que d'après les expériences de Litisitsyn il est possible d'injecter des mots, phrases, images, sensations, émotions, pensées et idées dans le cerveau.






En 1988, un article de Jonathan Tennenbaum (membre du forum sur la fusion nucléaire, en RFA) pour l'Executive Intelligence Review, mentionne que depuis les années 1970, de nombreuses publications de recherche ont prouvé que l'applications de champs magnétiques permet d'obtenir des effets similaires à ceux des médicaments. Il s'appuie notamment sur les travaux des docteurs Delgado et Ross Adey[92]. D'après G. Guyatt, le Docteur Ross Adey a été parmi les premiers à prouver que le psychisme et le comportement d'un individu peuvent être influencés à distance en le soumettant à un champ électromagnétique modulé de manière à imiter la forme des ondes cérébrales.[93] Tennenbaum soutient qu'une onde peut être focalisée vers une partie précise du corps, comme le cerveau, en lui donnant une géométrie particulière grâce à un réseau d'antennes phasées. Ce type de système permet de générer un champ magnétique de géométrie donnée dans n'importe quel point de l'espace, même en présence d'obstacles, et l'on peut le déplacer à volonté en une fraction de secondes. Ceci permet donc de viser plusieurs cibles, quelles ques soient la géographie des lieux et les conditions de transmission. Dans les configurations simples, une seule antenne suffit. Ce type d'équipements, avec une puissance de plusieurs kilowatts, peut être logé dans une valise et les nouveaux supraconducteurs à haute température permettent d'envisager de réduire encore la taille en augmentant la puissance. Il précise aussi qu'il n'est pas possible de s'isoler de ce type de dispositif, même par une cage de faraday, celle-ci pouvant être stimulée de manière à servir d'antenne relais. De plus les cages de Faraday sont peu efficaces contre les ondes très basse (et très hautes) fréquences. Néanmoins le même type de technologie peut permettre de créer un environnement électromagnétique afin de contrecarrer l'onde exploratrice.






Nick Begich, rapporte que N. Anisimov, du Centre anti-psychotronique de Moscou, explique qu'il est ainsi possible d'enlever une partie de l'information traitée dans un cerveau, la faire modifier par un ordinateur puis la réinsérer dans le psychisme de la personne sans qu'elle s'en aperçoive. De cette manière ses pensées et son comportement même son modifiées et des hallucinations, ainsi que des modifications de l'état de santé de l'individu peuvent être induits [94].






Le cerveau est une machine quantique






Depuis les années 1920, Alexander Gurwitsch avait décrit le fonctionnement quantique des processus biologique et définit le concept de biophoton. Le Professeur Frantisek Kahuda de l'Université Charles de Prague proposa une particule dénommée « mention ». Tennenbam explique comment un champ électromagnétique permet d'induire des effets biologiques: les molécules ne sont, du point de vue de leurs interactions, que des configuration électromagnétique qui échangent de l'énergie. Après avoir identifié les caractéristiques géométriques du champ électromagnétique créé par une molécule, il est possible de mimer sa présence en générant un champs électromagnétique identique[95]. Le cerveau peut donc interagir et être influencé à grande distance (cf la propagation des photons de la lumière) par échange de ce que l'on peut considérer soit comme de l'énergie électromagnétique, soit des particules, selon le concept de dualité onde-particule.






En 1994, Roger Penrose, professeur de mathématiques pour la physiques à l'Université d'Oxford cherche la structure cérébrale permettant de faire le lien entre la physique quantique qui décrit les ondes-particules et la physique classique qui permet de décrire le fonctionnement des neurones. Se basant sur des travaux de Stuart Hameroff, anesthésiste à l'Université d'Arizona et de Herbert Fröhlich, un physicien reconnu qui a fait des découvertes importantes en supraconductivité, il considère que c'est la fonction des microtubules, des structures faites de la protéine nommée tubuline. En effet la taille de cette protéine varie très rapidement entre le domaine microscopique décrit par la physique quantique et les dimensions décrites par la physique classique. La quantité d'information contenu dans un neurone en serait multiplié par environ 10000 et c'est se mouvement des microtubules qui permettrait la conscience, c'est à dire les processus dynamiques du cerveau[96]. Cette théorie est parfois nommée esprit quantique.






Une bibliothèque de fréquences micro-ondes






Dans les années 1960, les docteurs Joseph Sharp et Allen Frey découvrent "l'effet dit de Frey", qui permet de transmettent des mots directement dans le cortex auditif en utilisant des micro-ondes pulsées. Cette technologie est communément appelée aujourd'hui "système auditif à micro-ondes". Le Pentagone nomme cette technique « Télépathie Artificielle ». Une bibliothèque complète des micro-ondes permettant d'agir sur la pensée et le système nerveux a été inventoriée par Adey et d'autres chercheurs. [97]






L'Hypersensibilité électromagnétique






D'après le Professeur Herbert Frölich, l'influence des champs magnétiques sur la biologie humaine est connue depuis longtemps mais ce n'est que récemment que l'on a prouvé que les systèmes biologiques acquièrent une sensibilité extraordinaire lorsqu'on leur apporte de l'énergie.[98] La télépathie (naturelle) est donc probablement expliquée par des conditions électromagnétiques particulières dans lesquelles les signaux cérébraux peuvent être perçus à distance. Certaines configurations électromagnétiques, par exemple le placement dans un champ magnétique intense, pourraient modifier à la fois l'intensité d'émission, les conditions de propagation et la sensibilité du récepteur.






Applications grand-public






Jeux






En 2007, la firme californienne Emotiv Systems (http://www.emotiv.com/) commercialise le premier casque télépathique, nommé « Project Epoc ». Ce casque, commercialisé pour 299$ seulement, permet au joueur d'interagir avec des jeux informatiques mais aussi de communiquer ses émotions au cours du jeux. Dans un jeux de gangster par exemple, le joueur risquerai d'être repéré s'il est en panique !






En 2009, la firme Mattel propose le jeu Mindflex (http://mindflexgames.com/) consistant à déplacer une balle sur un circuit grâce un casque qui lit les intentions du joueur[99].






Handicap






L'utilisation des ondes cérébrales a permis de restaurer des dysfonctionnement affectant les personnes grâce aux technologies de la robotique et la cybernétique. Par exemple, la firme Toyota propose un fauteuil roulant manipulé par la pensée[100]. D'autre-part, la compagnie Ambient, propose un équipement qui lit l'intention de parler et retranscrit le langage grâce à un système informatique [101]Ces technologies sont détaillées dans l'article sur les Interfaces neuronales directes.






Investigations judiciaires






L'entreprise « Brain Fingerprinting » (http://www.brainwavescience.com) a été créée aux Etats-Unis en 2003, par le Docteur Lawrence Farwell. Elle propose de déterminer la vérité concernant un crime, des activités terroristes ou des entrainements terroristes en détectant les informations stockées dans le cerveau . Cette technologie a déjà servi de pièce à conviction[102]. Ce terme d' « empreinte mentale » fait clairement référence aux empreintes digitales et génétiques et serait donc un moyen infaillible de connaître la vérité. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, la demande en technologie de détection et d'interrogation a été fortement stimulée. Du coup les chercheurs en neuroscience vont maintenant jusqu'à proposer de déterminer les comportements futurs des individus (clairvoyance) afin de les neutraliser avant qu'ils ne commettent un meurtre [103][104]. Des brevets ont été déposées afin de lire l'état psychique d'une personne lors de son interrogatoire[105][106]. Des électroencéphalogrammes ont aussi servi de preuves lors de procès dans l'état du Maharashtra, en Inde [107].






Quelques perspectives






La neuroéconomie: consulter l'article wikipedia






Pacification des masses






D'après le journaliste G. Guyatt, nous allons vers une société « psycho-civilisée ». En 1989, sur CNN, une émission sur les armes électromagnétiques présenta un plan du gouvernement américain pour utiliser les armes électromagnétiques contre des terroristes et un ingénieur médical du Ministère de la Défense affirma que des micro-ondes et d'autres méthodes avaient été régulièrement utilisées contre les Palestiniens dans un contexte de conditionnement. En 1993, la technologie de psycho correction acoustique aurait été utilisée pendant le siège de l'église du Mont Carmel près de Waco au Texas.






Kim Besley, du Mouvement Pacifiste Féminin de Greenham Common au Royaume Uni, affirme que des signaux basse fréquence provenant de la base américaine de Greenham Common ont été dirigés vers des femmes contestataires. Les effets de ces rayonnements seraient des vertiges, saignements oculaires, brulures, nausées, troubles du sommeil, palpitations, pertes de concentration, pertes de mémoire, désorientation, importants maux de tête, paralysies temporaires, mauvaise coordination du langage, irritabilité, et une sensation de panique même en situation normale[108].






Plusieurs projets « mystiques » mettant en oeuvre la télépathie synthétique ont été imaginées, comme le projet « Rayon Bleu ».






Guerre à distance






Le dispositif HAARP est officiellement prévu pour la guerre climatique, mais ces caractéristiques techniques permettraient de générer des signaux très basses fréquences et de les diriger avec suffisamment de précision pour être utilisé dans des applications antipersonnelles à des milliers de kilomètres[109] notamment couplé au champ de bataille électronique[110][111] Le Dr. Nic Begich soutient dans son livre « Angel Don't Play This Haarp » que cette technologie peut être utilisée pour contrôler les esprits.






Certains scientifiques affirment que le système U.S. « Ground-Wave Emergency Network »[112] pourrait servir à altérer le comportement humain[113].






Les américains ne sont pas les seuls à utiliser des réseaux d'antennes phasées. Les Soviétiques notamment avaient créé plusieurs sites dont Krasnoyarsk et Petchora[114]. Plusieurs publications ont fait état d'effets sur la population d'ondes émises entre l'Union Soviétique et les Etats-Unis[115].


L'incarnation [modifier]






Le film Avatar n'est peut être pas exactement de la science-fiction car les technologies de lecture et d'induction de pensées sont dors et déjà existantes. Il reste à déterminer dans quelle mesure il serait possible de prendre le contrôle total d'une personne sans interagir avec sa propre volonté. Ce sujet a été étudié dans les années 1950-1960 par le docteur Donald Ewen Cameron, qui a mené des recherches d'effacement et reprogrammation mentale qui ont fait scandale et ont été officiellement enterrées. Un rapport du Scientific Advisory Committee de l'U.S. Air Force datant de 1996 mentionne « il pourrait être possible de pousser ce concept une étape plus loin et de dupliquer l'acquis d'une expérience dans un autre individu.»[116]






Bibliographie






* Gurney, Myers, Podomore, traduit par L. Marillet, « Les Hallucinations Télépathiques ». Paris, Ed Felix Alcan, 3ème édition, 1886


* Ernst Meckelburg, Les Armes Secrètes PSI, Belfont, 1986


* Gordon Thomas, Les Armes Secrètes de la CIA, Points, 2007


* Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


* Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org


* Nick Begich, « Earth Rising - The Revolution », Earthpulse Press, 2000






Références






1.  Emmanuel Swedenborg, Le Ciel et ses merveilles et l'enfer, Réédition du Cercle Swedenborg, France, 1998, p. 16


2.  Emmanuel Swedenborg, Le Ciel et ses merveilles et l'enfer, Réédition du Cercle Swedenborg, France, 1998, p. 161


3.  Emmanuel Swedenborg, Le Ciel et ses merveilles et l'enfer, Réédition du Cercle Swedenborg, France, 1998, p.174-180


4.  Antoine Laurent de Jussieu, Rapport de l'un des commissaires chargés par le roi de l'examen du magnétisme animal, Paris, 1784.


5.  Jean-Sylvain Bailly, Rapport secret présenté au ministre et signé par la commission précédente, Paris, 1784.


6.  Gurney, Myers, Podmore, traduit par L. Marillet, "Les Hallucinations Télépathiques ». Paris, Ed Felix Alcan, 3ème édition, 1899, chapitre « base expérimentale: la transmission de la pensée. »


7.  Possony, Stefan.(1983,July). Scientific Advances Hold Dramatic Prospects for Psy-Strat. Defense & Foreign Affairs. P.34.


8.  Cyril W. Smith & Simon Best, L'Homme Electromagnétique, Encre, 1995, p23


9.  Heims, Steven.(1991). Cybernetics Group. MIT, p. 11


10.  Jonathan D. Moreno, Mind Wars, Dana Press, 2006, p.4 - 7


11.  Ernst Meckelburg, Les Armes Secrètes PSI , Belfont, 1986, p31


12.  L. L. Vassiliev, La suggestion mentale, Vigot frères Lyon, impr. Bosc frères, 1963


13.  Vassiliev L.L., Phénomènes mystérieux de la psyché humaine, Moscou, 1959


14.  CIA JPRS 55557, « Bibliography on paraspychology (psychoenergetics) and related subjects »


15.  Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p21


16.  Wellborn Stanley & Daniloff, Nicholas.(1984, Oct. 1`). Can U.S. Hold Its Lead Over Soviets in Science Race? U.S News and World Report.Pg 53.


17.  Frazer, James W. PhD and Frazer, Joyce E.(1988, Mar.Apr.) How Radiofrequency Waves Interact with Living Systems. 21st Century. Pg. 50


18.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p34


19.  Brown, Anthony Cave.(1982).Wild Bill Donovan. The Last Hero. Times Books. Pg. 802., Pg. 189


20.  http://mindjustice.org/timeline.htm [archive] Chronologie du contrôle mental par champ électromagnétique sur mindjustice.org


21.  http://www.dod.mil/pubs/foi/02-A-0846RELEASE.pdf [archive] Mémoire au Secrétaire de la Défense des Etats-Unis, concernant les projets de contrôle mental, 1977


22.  Gordon Thomas, Les Armes Secrètes de la CIA, Points, 2007, p.167


23.  Jonathan D. Moreno, Mind Wars, Dana Press, 2006, p. 65


24.  Gordon Thomas, Les Armes Secrètes de la CIA, Points, 2007, p.101


25.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p35, p41


26.  Antoine Rémond (1917-1998) sur http://www.bek.fr/a_remond.htm [archive]


27.  D'après Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p49


28.  »Mind Control - Bull & Cat Tests in the 60's » sur http://www.youtube.com/watch?v=Xk_7eTGF0N4 [archive]


29.  Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p16


30.  Gordon Thomas, Les Armes Secrètes de la CIA, Points, 2007, p.392


31.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p45, p50-51


32.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p75


33.  Anderson, Jack.(1972, May 10).'Brainwash' Attempt by Russian? Washington Post. B15


34.  No author.(1976, Mar.22). The Microwave Furor. Time. Pg. 15.


35.  A.S. Davydov, "Solitons as energy carriers in biological systems


36.  Remoissenet, M. 1996. Waves called solitons: Concepts and experiments, 2nd ed. Springer-Verlag., p.1


37.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


38.  [ http://www.time.com/time/magazine/artic ... 39,00.html [archive] Science: The Magicien And the Think Tank]


39.  [ http://www.time.com/time/magazine/artic ... 16,00.html [archive] Science: Mind-Reading Computer]


40.  Scott, William.(1994,Aug.15).No title.Aviation Week and Space Technology


41.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p35


42.  Gordon Thomas, Les Armes Secrètes de la CIA, Points, 2007, p.386-393


43.  An ESP Test from Apollo 14, Journal Of Parapsychology, vol 35, n°2, juin 1971


44.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


45.  Ernst Meckelburg, Les Armes Secrètes PSI , Belfont, 1986, p32


46.  Surveillance Technology, 1976: policy and implications, an analysis and compendium of materials: a staff report of the Subcommittee on Constitutional Rights of the Commity of the Judiciary », United States Senate, Ninety-fourth Congress, second session, p. 1280, US GOV DOC Y 4J 882:SU 7/6/976


47.  Oskar, KJ, « Effects of low power microwaves on the local cerebral blood flow of conscious rats », Army Mobility Equipment Command Report, # AD-A090426, 1980. Disponible sur le site des rapports techniques de la NASA http://www.raven1.net/v2snasa.htm [archive]


48.  Szulc, Tad.(1975, Dec.). The Mind Readers and Other Tales of Science Fiction Research by the Pentagon's Think Tank. Washington Monthly. Editor's note


49.  Gottlieb, Sidney, Md.. former CIA agent , Subcommittee on Health and Scientific research of the Committee on Human Resources. Pg.169.


50.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p52


51.  Ernst Meckelburg, Les Armes Secrètes PSI , Belfont, 1986, p9-10


52.  Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p12


53.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p33, p42


54.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


55.  Rapporté dans « Defense & Foreign Affairs Daily", 7 juin 1983


56.  [ http://www.nytimes.com/1984/01/10/scien ... wanted=all [archive] Pentagon is said to focus on ESP for wartime use]


57.  [ http://www.time.com/time/magazine/artic ... -1,00.html [archive] An E.S.P. Gap]


58.  U.S. Department of Defense review, « Soviet Military Power », 1987


59.  No author.(1990,July12).Federal Germany Develops Superconductive Antenna For Space and Medical Use. Xinhua General Overseas News Service. Lexis-Nexis.


60.  MINISTRY TO STUDY PSYCHIC POWERS, UFO' S FOR FUTURE INDUSTR, document CIA INQUIRE=DOC21D, ITEM 00014063


61.  Rose, Stephen.(1994, Dec.1). Off Line: The Life of Brain. Guardian(London). Pg.14.


62.  Steven Rose, The 21st Century Brain, London, Ed Jonathan Cape, 2003, p. 215-218


63.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


64.  Rucker, Rudy.(1997, April 25).Imagined Worlds".International Herald Tribune. Pg. 4.


65.  Nick Begich, « Earth Rising - The Revolution », Earthpulse Press, 2000, p.21-22


66.  Nick Begich, « Earth Rising - The Revolution », Earthpulse Press, 2000, p.16-17


67.  Castelli, CJ, «Questions linger about health effects of DoD's «'Non-lethal Ray' », Inside the Navy, 14 (12), 2001, 1-6 http://globalsecurity.org/org/news/2001 ... stions.htm [archive] et http://www.pjproject.org/usaf.html [archive]


68.  George, MS, « Stimulating the Brain », Scientific American, septembre 2003, pp 67-73.


69.  Papert, S, « One AI or many ?», in Graubert, SR, ed., The Artificial Intelligence Debate, MIT Press, Cambridge, Mass, 1998, pp 3-4.


70.  Time, Samurai Mind Training for Modern American Warriors [archive]


71.  Drummond, Katie : Pentagon Preps Soldier Telepathy Push [archive], Wired Magazine (2009-05-14). Consulté le 2009-05-06.


72.  Noah, Shachtman : Pentagon’s PCs Bend to Your Brain [archive], Wired Magazine (2007-03-21). Consulté le 2009-06-13.


73.  France 2, envoyé spécial, 6 mai 2010 , documentaire « D.C.R.I : dans l’ombre du renseignement »


74.  Ernst Meckelburg, « Armes secrètes PSI », traduit par Daniel Robein, Paris, Belfond, 1986, ISBN 2-7144-1825-2, p11, p76


75.  McMurtrey JJ, “Microwave Bioeffect Congruence with Schizophrenia” In press, 2003


76.  McMurtrey, J, « Remote Behavioral influence technology evidence », circulated paper, 903 N. Calvert St, Baltimore, MD 21202, 2003


77.  Tennenbaum, Jonathan.(1988, Feb). Some ABCs of Electromagnetic Anti-Personnel Weapons. Executive Intelligence Review.Executive Intelligence Review Special Report.317 Pennsylvania Ave. S.E., 2nd Floor. Washington, DC 20003 (202) 544-7010. Pg. 9.


78.  Ernst Meckelburg, Les Armes Secrètes PSI , Belfont, 1986, p16


79.  Steven Rose, The 21st Century Brain, London, Ed Jonathan Cape, 2003, p. 80


80.  Hanley, John M.D.(1985,June17).Aviation Week.Pg. 156.


81.  Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p51


82.  Ramsey, Norman.(1956) Molecular Beams. Oxford at the Clarendon Press.


83.  Sujet de thèse SL-DAM-10-5551, http://www-instn.cea.fr/spip.php?page=P ... ubrique=70 [archive]


84.  Wiener, Norbert.(1965).Cybernetics of the Nervous System.Schade Elsevier.


85.  *Neuroelectric Activity and Analysis in Support of Direct Brainwave to Computer Interface Development (Analyse des ondes cérébrales pour l'utilisation dans les interfaces cerveau-ordinateur) [archive]


86.  Pulvermuller, F, « Words in the brain language », Behavioral and Brain Sciences, 22, 1999, 253-336


87.  Skrandies, W, « Evoked potential correlates of semantic meaning – a brain mapping study', Cognitive Brain Research, 6, 1998, 175-83


88.  Pulvemuller, F, Mohnn B and Schleichert, H, « Semantic or lexico-syntaxic factors: what determines world-class specific activity in the human brain ? » Neuroscience letters, 275, 1999 81-4


89.  Steven Rose, The 21st Century Brain, London, Ed Jonathan Cape, 2003, p. 291


90.  Lt. Col. Thomas E. Bearden, 1979 U.S. Psychotronic Association conference, U.S. Defense Documentation Center


91.  http://pacenet.homestead.com [archive]


92.  Electromagnetic-Effect Weapons: The Technology and the Strategic Implications. Wiesbaden Federal Republic of Germany Jan. 16, 1988. Executive Intelligence Review.(Executive Intelligence Review Special Report. 317 Pennsylvania Ave. S.E., 2nd Floor. Washington, DC 20003 (202) 544-7010. Pg. 7.


93.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


94.  Nick Begich, « Earth Rising - The Revolution », Earthpulse Press, 2000, p.21


95.  Cheryl Welsh, The Code Of The Brain, mindjustice.org, p70


96.  D'après Cornwell, John.(1994,Sept.4).A Mindfield For the Brains Trust.Sunday Times. Lexis-Nexis.


97.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


98.  Cyril W. Smith & Simon Best, L'Homme Electromagnétique, Encre, 1995, p7


99.  [ http://www.time.com/time/arts/article/0 ... 84,00.html [archive] Mind-Control Toys: The Force Is With You]


100.  [ http://media.toyota.ca/pr/tci/fr/des-on ... 5081.aspxl [archive] Des ondes cérébrales permettent de « contrôler » en temps réel un fauteuil roulant par la pensée]


101.  Speak Your Mind [archive]


102.  Witchalls, C, « Murder in mind », Guardian Life xupplement, 25 March 2004)


103.  Moir, A and Jesel, D, A Mind to Crime, Michael Joseph, 1995


104.  Raine, A, The Psychopathology of Crime: Criminal Behaviour as a Clinical Disorder, Academic Press, San Diego, 1993


105.  Kiyuna, T, Tanigawa, T and Yamazaki, T, Patent #5785653, 'System and method for predicting internal condition of live body'


106.  Steven Rose, The 21st Century Brain, London, Ed Jonathan Cape, 2003, p. 269-270


107.  http://en.wikipedia.org/wiki/Electroenc ... rious_uses


108.  Guyatt, DG, « Some aspect of anti-personnel electromagnetic weapons », International Commitee of the Red Cross Symposium: The Medical Profession and the Effects of Weapons, IRC publication ref. 06681996


109.  Luc Mampaey, Rapport du GRIP 98/05: Le programme HAARP, science ou désastre, 1998, p. 70


110.  Dickson, Paul. (1976). The Electronic Battlefield. Indiana University Press


111.  Calder, Nigel. 1965. The World in 1984 Vol 1 & 2. Penguin Books. p. 181


112.  http://en.wikipedia.org/wiki/Ground_Wav ... cy_Network


113.  Dynamical Systems in Physics and Biology by Professor Norbert Wiener, Department of Mathematics, Massachusetts Institute of Technology.


114.  Robert Gallagher documents how the Soviets have led the world in development of pulsed gyrotrons and related EP devices covering a wide frequency range


115.  UPI.(1978,Mar.28).Mystery Radio Signals May Cause Illness.Chico(Calif.) Enterprise-Record. Pg. 3C.


116.  Scientific Advisory Committee de l'U.S. Air Force, U.S. Department of Commerce, « Biological Process Control », 1996]

Journal Facebook de NéOzOrOr

Journal Facebook de NéOzOrOr
NéOzOrOr

Chaine TV Odysee et Playlistes (inscrivez-vous pour être rémunéré)

 Voici l'adresse de ma chaine de TV Odysee