C€Ci n'e$t pA$ uN€ déFaiLLanc€ de voTr€ NaViGat€uR ! Ce blog rassemble une partie de l'actualité du côté de la résistance boycottant ainsi les "merdias" au profit d’informations indépendantes ; il contient aussi « de l’humour, de la parodie et de la $atir€ ».
Si le but de l'homme est de tuer et celui de la femme de créer, on voit de suite qui l'emporte ... C'est le gros problème de nos élites ... nous sommes trop nombreux d'après ces dégénérés ... Donc ils s'attaquent aux femmes.
Si vous suivez le Cercle des Volontaires, vous connaissez sûrement Sylvain Baron, ce citoyen qui décroche des drapeaux européens pour protester contre la forfaiture démocratique (et même légale) qu’est l’Union Européenne.
Nous l’avions notamment suivi lors de l’une de ses escapades, souvent nocturnes, pour ôter de l’espace public un drapeau européen, une mesure de salubrité publique selon lui.
Et bien Sylvain Baron vient de se faire agresser ce dimanche 17 mai, à la carabine, au cours d’une de ses actions militantes.
C’est sa voiture qui a pris les plombs, comme la photo ci-dessus peut en témoigner.
Humble devant la France, de Gaulle a pu se montrer intraitable avec ses concitoyens quand, de son point de vue, l'intérêt supérieur de la Nation était en jeu. En cela, il s'est comporté en véritable homme d'État, à l'opposé d'un carriériste qui ne voit dans la France et le pouvoir qu'un escabeau pour mieux se faire admirer de son entourage.
Officier peu connu de ses concitoyens, de Gaulle est venu tardivement à la politique (à 50 ans) au pire moment de notre Histoire, en 1940, quand le pays était envahi par les armées allemandes et que les élites se soumettaient sans plus tenter de résister.
Défiant le sentiment de l'écrasante majorité des Français, de Gaulle fait le pari fou de défier le gouvernement légitime et de proclamer, seul, le maintien de la France dans la guerre.
Sa témérité, soutenue par une analyse lucide des rapports de force planétaires, a raison de la lâcheté des gouvernants de Vichy. Les Français finissent par reconnaître la justesse de ses positions.
Inspiré dans la guerre, de Gaulle l'est beaucoup moins dans la paix. À la différence des Britanniques, il ne comprend pas le caractère inéluctable de la décolonisation et laisse la France s'embourber dans les conflits d'Indochine et d'Algérie.
Revenu au pouvoir en 1958, à 69 ans, il liquide enfin, non sans mal, les séquelles des colonisations. Devenu président de la République, il prête aussi sa voix tonitruante à la France et entretient ses concitoyens dans l'illusion de leur grandeur passée.
Les dirigeants qui osent encore se réclamer de lui ont de toute évidence perdu ce qui faisait sa force et celle de son rival britannique, Winston Churchill, à savoir la capacité de braver l'opinion dominante quand l'intérêt national et l'honneur l'exigent.
Le 12 novembre 1970, le général a été inhumé dans le cimetière de Colombey-les-Deux-Églises, auprès de sa fille Anne. Depuis lors, le village est devenu la destination de nombreux visiteurs, lesquels peuvent voir la maison et se recueillir au cimetière ainsi que visiter le Mémorial, au pied d'une monumentale Croix de Lorraine.
«Une certaine idée de la France»«Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France.
Le sentiment me l'inspire aussi bien que la raison.
Ce qu'il y a, en moi, d'affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle».Charles de Gaulle, Mémoires de guerre (Plon, 1954).
Une rétrospective de la vie du Général De Gaulle, sans qui la France ne serait pas la France.
(Documentaire : De Gaulle, le dernier des Géants - Secrets d'Histoire 26/08/2014)