Ceci n'est pas une défaillance de votre navigateur ! Ce blog rassemble une partie de l'actualité du côté de la résistance boycottant ainsi les "merdias" au profit d’informations indépendantes ; il contient aussi « de l’humour, de la parodie et de la satire ».
Fukushima + New-York Si on ajoute les deux dates 11/09/01 (New-York)
+ 11/03/11 (Fukushima ) ========= on obtient
22/12/12 soit le 21 décembre 2012 du calendrier Maya (fuseau horaire européen)
La date du soit disant jour J de la fin du monde pour le fuseau horaire de Paris : Voir vidéo reportage France 4 ci-dessous : ( à voir la Propagande france 4 - voir capture d'écran ci-dessous ) "La conspiration de l'apocalypse" en 4 parties ci dessous :
11 sep 2001( Les Deux tours de New York s'écroulent devant les yeux du monde ) 11 mars 2011( Le Japon connait le plus grand séisme de son histoire 9 sur l'échelle de Richter et où deux réacteurs nucléaires commence à fusionner). Fukushima
Pour les initiés, nous savons que l’aigle ne frappe pas au hasard ( Date-Lieu )
du 11 sept. 2001 New York
au 11 mars 2011 Fukushima
3468 jours se sont écoulés... 34680 , c'est la commune de Saint Georges
Entre le 11 09 2001 et le 11 03 2011 il y a 3468 jours
St Georges,
les templiers, et les energies de la terre :
Personnifiant l'idéal chevaleresque dans la tradition occidentale, Saint Georges est comparé au "green man", "l'homme vert" en Angleterre. Signifiant "le travailleur de la terre", il est lié au dragon, aux énergies du sol, aux rites de célébration du soleil, de la lumière et du printemps.
Pour Paul Broadhurst, il symbolise l'intelligence innée qui réside dans la nature, le pouvoir du soleil et de la lumière. En outre, saint Georges ne tue pas le dragon, il se contente de le maîtriser et de le dresser. Il dompte ainsi les énergies de la terre présentes lors des rites d'initiation ancestraux et sacrés.
Les anciens connaissaient ces énergies. De multiples civilisations de l'ère néolithique au Moyen Âge bâtirent leurs sanctuaires en accord avec elles. L'homme, entre ciel et terre, s'attachaient alors à harmoniser ces énergies pour parfaire l'équilibre du monde.
Que penser des quatre cavaliers de l 'apocalypse ?
Couleur du cheval
Symbolisme de la couleur
Attribut
Activité
Symbolisme du cavalier
Blanc
Pureté
Porte un arc et une couronne
Conquête
Parole de Dieu, ou guerre de conquête
Rouge
Sang versé, violence des batailles
Porte une grande épée
Bannit la paix
Guerre (plus spécialement guerre civile)
Noir
Défaut, manque
Porte une balance
Amène la pénurie en blé et orge, mais non pas semble-t-il en huile ni vin
Famine
Verdâtre pâle
Maladie
Est dénommé la Mort
Accompagné du Séjour des morts (Hadès)
Mortalité par épidémie
Je n'en dirais pas plus sur les quatre cavaliers de l'apocalypse, simplement,étymologiquement, le mot « apocalypse » est la transcription d’un terme grec (ἀποκάλυψις / apokalupsis) signifiant mise à nu, enlèvement du voile ou révélation.
Saint George est un Saint qui est représenté par un cavalier ( des templiers) sur un cheval blanc en train de tuer un Dragon (symbole de l’Asie)
Mais St Georges, aujourd'hui, c'est tellement commun qu'il y a même es marques de vins par exemple reconnues et recommandées par les franc-maçons, ou-bien des universités du même nom, etc ...
Salah-Hamouri est Français d'origine franco-palestinien et prisonier depuis 7 ans par l'état sioniste. Sa dernière lettre en date : (depuis la prison)
Vive les révolutions arabes ! Vive le pouvoir des peuples !
Vive la liberté ! Auteur: Salah Hamouri
Source : AFPS
Les gouvernements occidentaux se doivent de réviser leurs positions concernant le Proche- orient avant qu’il ne soit trop tard.
Depuis les cellules de la prison, on peut
entendre des voix parfois indignées qui parlent des droits de l’Homme….Ces
hommes politiques, ces gouvernements qui prétendent défendre les droits de
l’Homme et appliquer la justice savent-ils ce qui se passe dans les prisons de
l’occupation israélienne ? Savent-ils que plus de 8000 prisonniers sont
victimes de mort lente ?
Parfois des voix s’élèvent lors de
réunions au sommet, il arrive que quelqu’un parle des prisonniers politiques
palestiniens mais on parle de nous comme des terroristes, des numéros sans
visage alors que comme tous les êtres humains, nous sommes parfois faibles,
parfois forts, nous aimons et nous détestons, nous rions, nous avons même des
moments de joie ou nous pleurons aussi quand nous pensons à nos familles.
Pour exprimer notre souffrance, il me
faudrait écrire 10 livres mais même une encyclopédie ne ferait pas bouger vos
consciences s’il vous en reste une après la course au pétrodollar de l’Oncle
Sam qui occupe l’Irak en guise de démocratie.
Vous soutenez la justice et les droits de
l’Homme dans certains endroits du monde mais ici, vous soutenez et légitimez
l’occupation et nous en payons le prix dans nos cellules. Avez-vous déjà
imaginé une femme palestinienne accouchant en prison, les pieds et mains liés ?
Avez-vous déjà vu un enfant de 12 ans menotté a un check point et laissé des
heures au soleil ou sous la pluie par la volonté d’un simple soldat ?
Savez-vous qu’un grand nombre de mes camarades a déjà passé plus de 20 ans derrière
les barreaux ? Beaucoup ont perdu leurs parents sans pouvoir leur dire « adieu.
Les gouvernements occidentaux se doivent
de réviser leurs positions concernant le Proche- orient avant qu’il ne soit
trop tard. Depuis quelque temps, les révolutions de peuples arabes sont en
train de mettre fin à des dictatures qui ont le plus souvent servi vos intérêts
au lieu de défendre leurs peuples.
Vive les révolutions arabes ! Vive le
pouvoir des peuples ! Vive la liberté
Salah Hamouri
Section 1 Prison de Guilboa,
le 20 février 2011
Alors que chaque jour, nous entendons la même chose au journal télévisé :
ET NOUS ?!
Il avait déja écrit en 2010 : Lettre du 14 juillet 2010
Au pays de la révolution française qui a mis fin au féodalisme et à la servitude en propageant à travers le monde les mots de « Liberté – Egalité – Fraternité » ; à Paris, capitale d’un pays qui a résisté hautement pour se libérer de la barbarie d’une armée occupante féroce et brutale ; depuis vos bureaux à l’Elysée ou ceux du Quai d’Orsay – j’espère que vous lirez ma lettre. Dans l’un de ces bureaux, ma mère a été finalement reçue afin de discuter des moyens pour obtenir ma libération. Nous savons tous que la démocratie fonde le respect de la diversité des êtres humains. Elle définit les bases légales qui accordent à chacun des droits et des devoirs. Elle prône l’égalité des droits humains et refuse absolument d’établir des différences négatives et ségrégatives selon la couleur de la peau, l’origine, la religion, etc. Comme citoyen franco-palestinien, je pensais que les autorités françaises se devaient de me protéger (comme elles le font pour tous nos compatriotes français injustement en difficulté dans le monde) alors que je vis dans un pays sous occupation militaire décidée par un gouvernement qui refuse obstinément de reconnaître et d’appliquer le droit international. Il semblerait que ce gouvernement, le gouvernement israélien, vous ait convaincu que le seul moyen pour moi de retrouver la liberté n’était pas que, lui, fasse, ce qu’il devrait faire pour cela mais qu’en plus de l’injustice que je subis que, moi, je fasse un acte d’humiliation supplémentaire : que je présente des « regrets » devant un tribunal militaire d’occupation. Je voudrais vous poser une seule question : aurait-il été acceptable pour vous que les résistants français, pendant la seconde guerre mondiale, « regrettent » leurs actes devant des tribunaux d’occupation ou de collaboration ? Si on ne peut comparer terme à terme les deux situations, il n’en reste pas moins que la Palestine vit aussi sous occupation étrangère depuis maintenant 62 ans. Une occupation brutale qui multiplie les meurtres, qui construit des murs, qui assiège et colonise, qui expulse le plus possible de Palestiniens de leur terre ou de leurs maisons, surtout à Jérusalem-Est où je vis avec ma famille. Devant cette occupation que vit mon peuple, je ne peux rester ni indifférent ni me taire. Je suis né et j’ai grandi dans un pays occupé et, parce que je ne peux pas me taire, je suis depuis plus de 5 ans en prison. Comment pourrais-je accepter cette occupation que vous-même avez condamnée ? C’est mon droit que de la refuser. Dans ces conditions il n’est pas pensable une seule minute, qu’en plus de tout cela que je subis, j’en vienne à « regretter » ou à « m’excuser » de quoi que ce soit devant un tribunal militaire d’occupation. Je soutiens la résistance légitime de mon peuple qui bénéficie de la solidarité des gens libres à travers le monde. Bien à vous, Salah Hamouri Prison de Guilboa Section 4 Le 14 juillet 2010, Israel ( ex-Palestine )
En délégation avec d’autres jeunes en Palestine, j’ai eu l’honneur de rencontrer, l’espace d’une soirée, le père de Salah Hamouri. Une rencontre humaine, politique où l’âpreté de l’injustice se mêle à la volonté de résister et au désir de vaincre. Témoignage.
En visitant les quartiers de Jérusalem Est, pour se rendre compte de l’Etat de la colonisation de la capitale légitime du futur Etat palestinien, nous rencontrons Zyad. Membre du PPP (Parti Populaire Palestinien, l’équivalent du parti Communiste), il est le cousin du père de Salah Hamouri, Hassen. Les échanges que nous avons avec lui sont forts, enrichissants et constructifs. Alors, comme nous lui parlons du combat du Mouvement des Jeunes Communistes de France (relayé par le journal Avant Garde) pour la libération de Salah, il nous propose de nous présenter à son cousin. Le lendemain le rendez-vous est pris et c’est le soir même que nous avons le plaisir de rencontrer cet homme de petite taille dont le visage rappelle presque trait pour trait celui de Salah. L’émotion est au rendez-vous. Chacun se présente. Commence alors l’échange.
Un prisonnier politique parmi 8 000
Hassen Hamouri nous parle de son fils qui refuse systématiquement d’aborder son cas personnel. Il met un point d’honneur à parler de la situation des prisonniers politiques en Palestine. Ils sont, encore aujourd’hui, 8 000 à croupir dans les geôles israélienne sans raison valable.
L’histoire de Salah, qu’il nous remémore, en est l’un des exemples. Salah se promène avec l’une de ses connaissances. Pas encore engagés politiquement, ils discutent de la situation et flânent dans Jérusalem. Sur le chemin, ils passent non loin de la maison d’un dignitaire religieux. Trop près semble-t-il. Les deux compères sont dénoncés par l’un des sbires du dit Rabin. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Salah est arrêté, son compagnon s’en sort.
Accusé d’avoir eu l’intention de porter atteinte à la vie du Rabin, Salah, 19 ans à peine, risque 14 ans de prison sauf à avouer. Cela diviserait sa peine probable par deux. Sous la pression, il cède bien qu’aucune preuve ne vienne étayer cette accusation. Salah Hamouri est condamné à 7 ans de prison.
Un combat pour la justice
Hassen Hamouri nous explique que Salah, âgé de 26 ans maintenant, n’est plus le même. Après 6 ans de prison, il a gagné en maturité et en réflexion. « La prison c’est une très bonne école de la vie». D’ailleurs, nous apprenons que Salah a côtoyé Marwan Barghouti pendant plus de 3 ans, ce qui l’a beaucoup aidé. Pour autant, Hassen nous souhaite de ne pas aller en prison, « l’université c’est quand même mieux ». Rire.
De plus en plus téméraire, Salah refuse de se taire, refuse de demander une grâce, refuse de s’excuser. Il veut être reconnu innocent. « Avant d’aller en prison, mon fils était un jeune Palestinien comme un autre. En le détenant sans aucune raison valable, les autorités israéliennes ont fait de lui un homme public. Il a aujourd’hui plus de poids, plus de volonté, plus de soutien ! » La fierté du père n’est pas feinte.
Le silence coupable du gouvernement français
Hassen Hamouri en veut au gouvernement français qui fait si peu pour le cas de son fils alors que pour Florence Cassez ou d’autres il a été si volontaire. Il ne comprend pas ce déni de justice. Ou peut-être que si… Il pense que l’Etat français ne veut pas de « mésentente » avec le gouvernement israélien. Pourtant, il sait que les Français sont pour la justice et que ceux qui connaissent la situation de son fils se prononcent pour sa libération. Il a vu les affiches. Nous en profitons pour lui montrer celle des jeunes communistes. Il ne la connaissait pas encore. Il souhaite en avoir des exemplaires pour lui et pour son fils quand il sortira. Salah sera normalement libéré le 28 novembre prochain au terme de ses 7 années d’emprisonnement.
Une vie à se réapproprier
Nous lui demandons ce que Salah compte faire à sa sortie : « Il ne sait pas très bien. Vous savez, il a passé presque toute sa jeunesse en prison. Il y a tant de choses à faire, à voir, à rattraper – même si on ne rattrape pas 7 ans coupé du monde -. »
Un Palestinien, membre du PPP, ancien prisonnier politique, qui assiste à la rencontre nous explique que celles et ceux qui sont restés trop longtemps « à l’ombre » ont besoin d’un temps d’adaptation. Il faut en général un an pour se réhabituer à la vie. « Quand pendant des années tu es enfermé dans une pièce de 3 mètres sur 3, cela attaque ton corps et ton esprit. Il faut du temps et de la force pour s’en remettre. »
La France ? Selon son père, Salah a très envie d’y retourner pour aller remercier toutes celles et tous ceux qui l’ont soutenu, qui l’ont fait connaître, qui lui ont écrit. Cela étant, Salah veut vivre en Palestine. Et son séjour en France dépendra des garanties qu’il obtiendra de pouvoir revenir à Jérusalem, sa ville. Les autorités israéliennes tentent de vider la ville des Palestinien et l’une de leurs méthodes consiste à ne pas laisser revenir ceux qui sont partis à l’étranger.
Après deux heures de discussion – la traduction a pris du temps, Hassen ne parle pas beaucoup anglais, nous non plus d’ailleurs – nous nous séparons, heureux de cet échange. Poignées de main, embrassades, photos de famille, mais pas d’adieu juste un « au revoir » car le combat continue.
Le magnétron est un tube à symétrie circulaire. Il est constitué d'une anode cylindrique creuse, dans l'axe de laquelle se trouve une cathode à chauffage direct ou indirect. Pour le chauffage indirect, un filament hélicoïdal, généralement en tungstène au thorium, s'enroule autour de la cathode.
L'anode est de plus composée de cavités résonnantes qui peuvent avoir des formes différentes selon le magnétron.
L'anode et la cathode sont séparées par un vide d'air que l'on appelle aussi espace d'interaction.
Enfin on trouve aussi des aimants ou bien électro-aimants fixés transversalement par rapport à l'axe du tube en haut et en bas du bloc anodique ainsi qu'un système de refroidissement du bloc anodique (par ailettes) ou bien par circulation à eau pour les magnétrons de forte puissance.
Photo représentant un magnétron:
Voici une coupe transversale du magnétron, les cavités sont en fait les cavités résonnantes :
II. Principe de fonctionnement
Un champ électrique continu est appliqué entre l'anode et la cathode. Ce champ a une tension de l'ordre de plusieurs kilovolts (environ 2300V), ce qui est énorme pour un espace d'interaction (espace entre l'anode et la cathode) de quelques millimètres.
Les électrons libérés par la cathode sont alors accélérés par le champ électrique continu. Cependant en l'absence des aimants, les électrons iraient directement sur l'anode selon des trajectoires radiales (Voir schéma A) ce qui empêcherait la création des micro-ondes.
Schéma A :
Les flèches représentent les trajectoires des électrons (ici radiales) en l'absence de champ magnétique créé par les aimants.
En fait, les aimants vont créer un champ magnétique perpendiculaire à l'axe anode/cathode, qui va donner aux électrons un mouvement circulaire autour de la cathode (Voir schéma B). On dit alors que les trajectoires des électrons sont hélicoïdales ou bien qu'elles ont l'allure de cycloïdes.
Schéma B :
Les petites flèches (en gras) représentent les trajectoires hélicoïdales des électrons en présence d'un champ magnétique.
Les longues flèches représentent le sens du courant électrique.
Ces charges évoluant entre l'anode et la cathode vont entrer en interaction avec les cavités résonnantes du bloc anodique qui deviennent le support d'oscillations électromagnétiques.
En fait le rayonnement électromagnétique (les micro-ondes pour le four) est dû à la vibration des électrons dans les cavités résonnantes.
James Clerk Maxwell, en 1865, fit une étude sur les phénomènes électriques et magnétiques d'où « les équations de Maxwell », il arrive grâce à celles-ci à montrer qu'un champ électrique variable produit un champ magnétique variable et inversement.
On peut noter aussi que les dimensions des cavités résonantes sont calculées de telle sorte à leur donner une fréquence de résonance égale à la fréquence allouée, celle-ci avec une certaine marge de tolérance (2450 MHz±25 MHz pour les fours à micro-ondes).
Enfin, on définit une valeur critique notée de l'induction magnétique reliée à la tension appliquée entre l'anode et la cathode, notée (en Volts).
Au delà de cette valeur critique, les électrons ne peuvent plus atteindre l'anode et forment alors un nuage électrique tournant dans l'espace d'interaction d'autant plus proche de la cathode que est élevée.
Voici la formule servant à calculer cette valeur critique :
a et b sont les rayons respectifs de la cathode et de l'anode, e et m la charge de l'électron au repos
(e = 1,60.10-19 C m = 9,11.10-31 kg)
Avec les données, cela donne donc :
Comme nous l'avons dit précédemment c'est ce nuage électronique évoluant dans l'espace inter-électrodes qui entrera en interaction avec les cavités résonnantes du bloc anodique, et qui deviendra le support d'oscillations électromagnétiques. Cependant l'interaction entre les électrons et les cavités est assez complexe, c'est pourquoi nous n'élargirons pas le sujet sur ce point.
Mais les micro-ondes une fois créées, comment sont-elles acheminées jusqu'à la cavité du four ?
III. Du Magnétron à la cavité du four
En fait, les micro-ondes une fois générées, sont extraites du magnétron au moyen d'une boucle de couplage et envoyées sur une sortie coaxiale qui les transmettra alors dans la cavité du four comme le montrent les illustrations suivantes :
Ces 2 schémas nous présentent des coupes d'un magnétron et de son système de couplage permettant l'extraction des micro-ondes du magnétron.
On peut d'ailleurs voir au niveau de la sortie une petite antenne.
Cette antenne va servir à acheminer les micro-ondes jusqu'à un guide d'ondes dont voici une photo :
Ensuite ce guide d'ondes va diriger les micro-ondes jusqu'à ce qu'on appelle un brasseur d'ondes qui servira à répartir les micro-ondes dans la cavité du four. Ce brasseur d'ondes s'agit tout simplement d'une pale métallique tournant en haut du four juste à la sortie du guide d'ondes.
Voici une photo d'un brasseur d'ondes :
Couplé à un plateau tournant sur lequel on dépose l'aliment, le rayonnement de micro-ondes est ainsi diffusé de manière optimale dans la cavité du four puis dans l'aliment.
Voici maintenant un schéma récapitulant le trajet des micro-ondes du magnétron à la cavité du four :