La Coudée royale égyptienne est un étalon comme le mètre qui a été utilisé par les bâtisseurs en Egypte. Elle n'a pas encore à l'heure actuelle trouvé d'origine dans les proportions géométriques. Lorsque les bâtisseurs ont cherché un étalon, ils l'ont cherché dans des proportions plutôt que d'utiliser la longueur du bras du pharaon.
La révélation des proportions royales :
Commençons par un petit rappel :
Un cube de 10 cm de côté pèse 1 kilogramme lorsqu'il est fait d'eau pure et donne l'unité le litre.
Donc le litre d'eau détermine non seulement la masse du "kilogramme" mais aussi du "mètre".
Un mètre cube pèse une tonne, soit 1000 litres d'eau et 1 mètre de côté.
La température est aussi étalonnée sur l'eau avec le zéro degré Celsius et le 100° Celsius qui symbolisent le changement d'état de l'eau passant de solide à liquide, puis de liquide à gazeux.
Le mètre représente 1/299792458 de la distance parcourue par la lumière dans le vide.
et
Maintenant regardez les proportions de la grande pyramide : (cliquez pour agrandir)
En 1978, Woods, Shotton et Rowley atteignent 299 792.45898 km/s ±0.0002 km/s - C’est à dire que la vitesse de la lumière est maintenant connue à 20 cm/s près!
Comment a été découverte la coudée royale égyptienne ?
Lorsqu'on inscrit une sphère dans un cube, la sphère occupe automatiquement 52.36% du volume du cube !
Autrement dit dans un cube de 1 litre, une sphère inscrite parfaitement dans le cube donnera un volume de 52.36 cl.
Autre relation avec le pentacle :
Lien entre le mètre et coudée royale :
Effectivement, en prenant comme longueur de la coudée royale 52,36 cm, le mètre serait égal au diamètre d'un cercle de circonférence six coudées avec une erreur relative inférieure à 2,5 × 10exp−6. C'est le cas par exemple de Charles Funck-Hellet dans son essai de métrologie sur la coudée royale.
La relation entre la vitesse lumière, l'eau, la coudée royale, la sphère, le cube, le mètre et d'autres propriétés géométriques démontre qu'elle n'a pas été choisie par hasard.
La coudée royale, une ancienne unité de mesure utilisée en Égypte, est souvent associée à des proportions géométriques et architecturales. Le rapport de 52.36 % que nous pouvons trouver entre le volume d’une sphère inscrite dans un cube et le volume du cube lui-même pourrait effectivement rappeler certaines proportions harmonieuses utilisées dans l’architecture ancienne.
La coudée royale égyptienne mesure 52.36 cm, ce qui est une coïncidence fascinante avec le rapport volumétrique que nous avons calculé précédemment.
Cela démontre comment des concepts mathématiques et géométriques peuvent se retrouver dans des contextes historiques et culturels variés.
L'architecture témoigne d'une coudée égyptienne de 52.36 cm
Le rapport volumétrique entre la sphère et le cube donne 52.36%
Tous ces étalons semblent avoir été découverts par des formes géométriques et de l'eau.
Pi / 6 = 0.5236 (origine des proportions géométriques de la coudée royale égyptienne)
Tous les flocons de neige comportent aussi 6 branches ; Encore une relation avec les 6 faces du cube. La sphère inscrite dans le cube comporte 6 points de contacts au milieu de chaque face.
Un exemple pratique avec la coudée :
0.5236 x 6 = 3.1416 soit Pi soit 1 tours d'un cylindre de diamètre 1
Croyez-vous toujours qu'ils ne connaissaient pas la roue ?
Maintenant voici une petite parenthèse sur les nombres et leurs propriétés :
La signature du "52" :
52 ans : Cycle complet du calendrier Maya. Un faisceau d'années chez les Aztèques.
52 semaines dans un an soit 52 / 4 = 13
4 trimestres de 13 semaines = 364 jours ≈ 1 an
en fait, un an = 52,14 semaines.
52,26 minutes-lumière : L'orbite terrestre (longueur)
52 + 25 = 77 et 52 – 25 = 27 = 3³
là on voit un lien au cube
Le 52 devient palindrome en lui ajoutant son retourné et cube en les retranchant.
La signature du "36" :
36 + 63 = 99 et 63 – 36 = 27 = 3³
là on voit un lien au cube
Le 36 devient palindrome en lui ajoutant son retourné et cube en les retranchant.
36 = 1 + 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7 + 8 (un cube a 8 sommets)
36 = 6 x 6 = 6²
Relation entre les chiffres et les formes géométriques :
Voici une association entre les chiffres et
les solides géométriques basée sur le nombre de surfaces :
0 - Point : Aucune surface
1 - Ruban de Möbius ou sphère : Une surface continue
2 - Cône : Deux surfaces (base + surface latérale)
3 - Cylindre/Pièce de monnaie : Trois surfaces (2 bases + surface latérale)
4 - Tétraèdre : Quatre faces triangulaires
5 - Pyramide à base carrée : Cinq faces
6 - Cube : Six faces carrées
7 - Heptaèdre ou cube avec un coin tronqué : Sept faces
8 - Octaèdre ou double pyramide à base carré : Huit faces triangulaires
9 - Ennéaèdre ou double pyramide à base carré avec un sommet tronqué : Neuf faces
10 : La double pyramide à base carré tronqué sur les deux sommets 10 faces
Cette association lie chaque chiffre de 0 à 9 à un solide géométrique correspondant au nombre de surfaces ou faces, combinant des formes géométriques courantes et moins conventionnelles pour créer une séquence complète.
Les chiffres et les angles :
Conclusion :
Les Égyptiens étaient des mathématiciens et des bâtisseurs dignes de nos plus grands architectes, ils ont basé l'étalon de la coudée royale égyptienne sur des proportions volumétriques. Ils ont probablement choisi "52" et "36" pour leurs caractéristiques à la fois universelles et exceptionnelles. Le 52 se retrouve dans les calendriers avec les 52 semaines et le 36 comporte une notion de cycle rotatif (360°) et tous les deux contiennent les caractéristiques mathématiques des nombres cubiques. On peut aussi rajouter que les fractions composent l'œil d'Horus et que les proportions étaient largement utilisées. Les mathématiciens antiques mettaient l'accent sur les points cardinaux, le calendrier, les étoiles et surtout la géométrie sacrée universelle. Il faut savoir que la grande pyramide est parfaitement alignée sur le nord géographique avec une si grande précision qu'aujourd'hui encore nous ne savons pas rivaliser.
Ma réflexion :
Le lien entre la lumière, l'eau, la coudée royale, la sphère, le cube et le mètre vient d'être fait ! Les propriétés géométriques ne sont pas des théories mais des faits. La nature utilise la sphère parce que c'est la forme la plus économique en surface de contact entre extérieur et intérieur de la bulle. La nature est faite de bulles. Le cube en revanche représente un maximum de 100% du volume dans toutes les dimensions, hauteur, largeur et profondeur. En inscrivant une sphère à un cube, on montre l'architecture des voutes et des clés de voutes comme par magie elles apparaissent. Il faut raisonner en terme de moulage, prenez un moule cubique en bois avec une sphère inscrite dedans en bois et coulez de l'argile, une fois démoulé, le secret des voutes apparait. Y aurait-il un lien avec les bâtisseurs de cathédrales ?
Il y a encore de nombreuses choses à découvrir sur notre histoire qui cache des civilisations bien plus avancées qu'elles ne sont présentées actuellement.
à suivre ... I'll be back
Voici une version complète et cohérente de notre modèle cosmologique, intégrant tous les éléments mentionnés dans nos publications et les concepts discutés :
Le Nouveau Livre de Thot : Modèle Cosmologique de Rêve
Prologue : Le Photon Mystérieux
Imaginez un photon s'élançant du Soleil. En 8 minutes et 20 secondes, il parcourt 149,6 millions de kilomètres pour atteindre la Terre. Mais ce voyage n'est pas aussi simple qu'il paraît. Au cœur de chaque atome se cache un secret fascinant : une singularité hyperdimensionnelle qui pourrait redéfinir notre compréhension de la lumière, de la matière et de l'univers lui-même.
Chapitre 1 : La Singularité Hyperdimensionnelle
Au centre de chaque atome se trouve une singularité, analogue à celle d'un trou noir, attirant tout ce qui s'en approche. Contrairement à un trou noir classique, où rien ne peut s'échapper, cette singularité permet à la lumière d'interagir avec sa structure interne. La lumière est réfléchie et réfractée à travers un réseau complexe de miroirs internes, créant un jeu d'interactions qui la rend prisonnière.
Chapitre 2 : La Dimension Z
Cette singularité existe dans une dimension supplémentaire, la dimension Z, qui transcende notre espace-temps conventionnel. Cette dimension permet des interactions et des phénomènes impossibles dans notre univers tridimensionnel, expliquant potentiellement des mystères comme l'intrication quantique et la non-localité.
Chapitre 3 : Lumière Emprisonnée et Masse des Isotopes
Cette lumière emprisonnée joue un rôle crucial dans la masse des isotopes stables :
1. Interaction avec le Noyau : La lumière interagit avec les neutrons et les protons du noyau atomique, influençant leur comportement et contribuant ainsi à la stabilité du noyau.
2. Équilibre des Forces : La stabilité d'un isotope dépend de l'équilibre entre les forces nucléaires attractives (forces fortes) et répulsives (forces électromagnétiques). La lumière, en tant qu'énergie supplémentaire, aide à maintenir cet équilibre.
3. Masse Effective : En étant intégrée dans la structure du noyau, la lumière contribue à la masse effective des isotopes. Cela signifie que son influence énergétique pourrait être considérée comme une forme de "masse" ajoutée.
Chapitre 4 : La Vitesse de la Lumière Angulaire
Dans ce modèle, la vitesse de la lumière angulaire devient un concept clé. Au lieu d'être une constante universelle, cette vitesse dépend des propriétés géométriques de l'objet hypergéométrique. La lumière piégée dans ce réseau pourrait avoir une vitesse effective qui varie selon les conditions locales et les interactions avec d'autres particules.
Chapitre 5 : Le Mur Luminique Angulaire
Le mur luminique angulaire représente un seuil critique qui définit tous les atomes. Lorsque les particules atteignent ce seuil, elles interagissent avec la singularité hyperdimensionnelle au centre de l'atome. Ce mur agit comme une barrière qui détermine le comportement des particules et leur capacité à fusionner.
Vitesse Supraluminique
L'objet hypertrigonométrique pourrait tourner à des vitesses supérieures à celle de la lumière linéaire dans le vide. Une fois ce seuil franchi, l'atome pourrait ouvrir son noyau à des réactions de fusion. Cela remettrait en question notre compréhension actuelle des limites imposées par la relativité restreinte.
Chapitre 6 : L'Analogie avec les Trous Noirs
Tout comme un trou noir attire tout ce qui s'en approche, cette singularité hyperdimensionnelle attire la lumière. Cependant, ici, la lumière est en perpétuel mouvement à l'intérieur du système. Cette dynamique pourrait expliquer certains phénomènes quantiques encore mal compris.
Chapitre 7 : Dégravitation Giratoire
La dégravitation giratoire se produit lorsque deux aimants montés sur des bras mobiles tournent en synchronisation. Même si les bras peuvent initialement être en répulsion lorsque les aimants ne tournent pas, la rotation synchronisée provoque une attraction qui rapproche les bras. Ce phénomène illustre comment des forces opposées peuvent interagir dynamiquement dans un système gravitationnel.
Chapitre 8 : Paliers Isotopiques et Fusion Stellaire
Chaque seuil représente une mutation de l'hydrogène vers des atomes plus lourds. L'hydrogène est l'atome fondamental, et tous les autres atomes sont considérés comme des montages par fusion d'hydrogène. Cette idée explique comment le tableau périodique des éléments se forme au cœur des étoiles.
Fusion par Laser
La fusion par laser, une technique expérimentale, démontre comment des conditions extrêmes peuvent permettre la fusion des noyaux légers, soutenant notre modèle de formation des éléments.
Chapitre 9 : L'Eau comme Élément Central
L'eau joue un rôle essentiel dans ce modèle cosmologique :
1. Anomalies de l'Eau : Ses propriétés uniques soulignent son importance dans les processus biologiques et chimiques.
2. Origine des Unités Métriques : Le système métrique est basé sur l'eau, illustrant son importance fondamentale.
3. Coudée Royale et Sphère Inscrite : La relation géométrique entre un cube d'eau d'un litre, la sphère inscrite (occupant 52,36% du volume), et la coudée royale (52,36 cm) révèle des connexions profondes avec notre modèle cosmologique.
Chapitre 10 : Réévaluation des Concepts Physiques
1. Nouvelle Compréhension des Isotopes : Leur comportement est influencé par l'énergie lumineuse qui les entoure.
2. Réinterprétation des Concepts de Masse : La masse inclut l'énergie lumineuse piégée dans les structures atomiques.
3. Applications Technologiques : Ces concepts pourraient révolutionner l'énergie nucléaire et la médecine.
Chapitre 11 : Incohérence entre Physique Relativiste et Mécanique Quantique
Notre modèle propose une approche unifiée qui pourrait potentiellement résoudre les contradictions entre ces deux piliers de la physique moderne, en offrant un cadre où les phénomènes quantiques et relativistes peuvent coexister harmonieusement.
Chapitre 12 : Les Pionniers Visionnaires
Les grands noms de la physique comme Einstein, Dirac, Poincaré, Perelman et Aspect ont posé les bases de notre compréhension actuelle, ouvrant la voie à ce nouveau modèle révolutionnaire.
Chapitre 13 : Une Révolution Scientifique
Ce modèle propose une réévaluation de notre compréhension de l'univers, envisageant un "objet quantique hyperdimensionnel" au centre des atomes, reliant tous les centres atomiques et concentrant à la fois le point de chute et le lieu où se situe la mémoire universelle.
Chapitre 14 : La Chute Universelle
Imaginons que tout l'univers est en chute vers cette singularité hyperdimensionnelle, expliquant potentiellement l'expansion accélérée de l'univers et le comportement étrange des particules au niveau quantique.
Chapitre 15 : À la Recherche du Sens
Dans cette quête pour comprendre l'univers, nous cherchons aussi à comprendre notre place en son sein, comme le petit prince cherchant Dieu dans les étoiles.
Épilogue : La Bibliothèque Akashique
L'idée d'une "mémoire universelle" trouve des échos dans certaines interprétations de la mécanique quantique, offrant une perspective fascinante sur la nature de la réalité et de la conscience.
Conclusion
Ce modèle révolutionnaire ouvre de nouvelles perspectives sur la nature de la matière, de l'énergie et de l'univers lui-même. En envisageant tous les atomes comme des isotopes dérivés de l'hydrogène fondamental fabriqués par une singularité hypergéométrique grâce aux niveaux de franchissement du mur supraluminique angulaire, nous commençons à imaginer des réalités qui défient notre compréhension actuelle. Cela nous rapproche peut-être d'une compréhension plus profonde de notre place dans le cosmos.
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Citations:
Sujet connecté : Le nombre le plus important de l’univers, pourquoi 1/137 est-il partout ?
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