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Le réchauffement climatique :
Mensonge, vérité ..
Le CO2 a beaucoup d’utilisations, dont :
- l’extinction des feux : beaucoup de datacenters (salles de serveurs d’ordinateurs) ou de salles des archives sont équipées d’un système qui, en cas d’incendie, remplit la salle de CO2 ce qui a pour effet d’éteindre le feu ;
- composant pétillant dans les boissons gazeuses ;
- en aquariophilie et culture sous serre pour une meilleure croissance des plantes ;
- en emballages à atmosphère contrôlée comme élément neutralisant ;
- en distribution d’eau potable, associé au carbonate, pour relever la dureté de l'eau (TH) des eaux trop agressives ;
- solubilisation du calcaire dans les eaux dures (TH > 25 °F) ;
- les pompes à bière : en étant en contact avec la surface de la bière, il évite son oxydation et prolonge sa conservation, contrairement à un compresseur utilisant de l'air (ambiant) ;
- on se sert aussi parfois du CO2 dans les grands abattoirs de porcs afin de les insensibiliser avant de les saigner ; il a été utilisé pour la conservation de la viande.
- l'extraction de la caféine du café (pour produire du café décaféiné d'une part et de la caféine d'autre part).
Sous forme liquide
Sous forme liquide, il est utilisé comme :
- réfrigérant pour congeler certains aliments ;
- réfrigérant dans l’industrie électronique ;
- agent d’extinction dans les extincteurs dits « au dioxyde de carbone », on parle parfois de neige carbonique parce que le CO2 liquide se solidifie immédiatement à la sortie de l’extincteur en produisant une poudre blanche ;
Quand il est utilisé comme fluide frigorigène, le CO2 porte la dénomination R744.
À pression atmosphérique, le dioxyde de carbone n’est jamais sous forme liquide. Il passe directement de la forme solide à la forme gazeuse (sublimation).
Sous forme solide
Granulats de « glace sèche » se sublimant à l'air.
Le dioxyde de carbone sous forme solide a de nombreuses appellations : « glace carbonique », « neige carbonique », « carboglace », « glace sèche ». Il est issu de la solidification du CO2 liquide. On obtient de la neige carbonique qui est ensuite comprimée pour obtenir de la glace carbonique.
Dans sa phase solide, cette glace carbonique se sublime en ne laissant aucun résidu, selon une chaleur latente de fusion (1,013 bar, au point triple) de 196,104 kJ/kg (soit 8,63 kJ/mol), à -78,5 °C et à 1 atm2526. On lui a donc rapidement trouvé de multiples utilisations en tant que réfrigérant.
Il est commercialisé sous différentes présentations selon son usage :
- en granules (de la taille d'un grain de riz de 3 mm de diamètre) : essentiellement pour le nettoyage et le décapage cryogénique ;
- en bâtonnets (d'une longueur d'environ 16 mm) : pour la conservation, le transport des produits sous température dirigée (produits pharmaceutiques, transport de surgelés, transport d'échantillons, etc.) ;
- pour la recherche fondamentale ou appliquée ;
- pour la vinification : il ralentit la fermentation et évite l'oxydation ;
- en plaquette ou en blocs :
- en pains :
Le dioxyde de carbone sous forme solide est également présent en abondance aux pôles de la planète Mars, où il forme de véritables calottes glaciaires.
En phase supercritique
Au-delà de son point critique, le dioxyde de carbone entre dans une phase appelée supercritique. La courbe d'équilibre liquide-gaz est interrompue au niveau du point critique, assurant à la phase supercritique un continuum des propriétés physico-chimiques sans changement de phase. C'est une phase aussi dense qu'un liquide mais assurant des propriétés de transport (viscosité, diffusion) proches de celles d'un gaz. Le dioxyde de carbone supercritique est utilisé comme solvant vert, les extraits étant exempts de trace de solvant.
Sous cette forme, il sert :
- à la décaféination du café ;
- à l'élimination de la 2,4,6-trichloroanisole (TCA) des bouchons de liège traités au chlore (ou à l'hypochlorite) pour éviter de donner un goût bouchonné au vin après sa mise en bouteille ;
- à la mise en forme de principes actifs micronisés et sous forme nanométrique ;
- à l'extraction de composés chimiques ou biologiques ;
- à la purification de composés chimiques (phase mobile en chromatographie, notamment en SFC) ;
- pour le transport et le stockage lors de la séquestration géologique du dioxyde de carbone (dans de rares applications industrielles).
Réactivité
L'électronégativité des atomes d'oxygène rend le carbone central très électrophile. De très nombreux nucléophiles peuvent donc réagir avec le dioxyde de carbone mais le produit de la réaction n'est pas forcément stable. En général, on place de la carboglace dans un récipient fermé muni d'un tuyau ; la carboglace se sublime et on fait buller le dioxyde de carbone gazeux dans le milieu réactionnel.
Quelques exemples de réaction :
avec une amine : on appelle cette réaction une carbonatation. Le produit est un hydrogénocarbonate d'ammonium (R3N + CO2 + H2O ? R3NH+HCO3–).
avec un carbanion : on forme un acide carboxylique après hydrolyse.
avec l'eau.
Toxicité
L'air contient aujourd'hui environ 0,04 % de CO2. À partir d'une certaine concentration dans l'air, ce gaz s'avère dangereux voire mortel à cause du risque d'asphyxie par privation d'oxygène, bien que le CO2 ne soit pas chimiquement toxique. La valeur limite d'exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d'autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l'amplitude respiratoire augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s'accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c'est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès. (pour info 1 ppm (parti par million) = 1G/Tonne = 1/1 000 000 = un millionième soit 0.0001% )
C'est aussi un gaz à effet de serre , même si il reflète beaucoup moins les rayons solaires que la vapeur d'eau qui reste le gaz à effet de serre le plus efficace. Le CO2 est donc un gaz à effet de serre pas plus important dans l'atmosphère que la vapeur d'eau, contribuant respectivement à hauteur de 26 % et 60 % à ce phénomène. Si la réalité du réchauffement climatique observé à l'échelle planétaire depuis le siècle dernier n'est aujourd'hui plus guère contestée d'un point de vue scientifique, l'importance exacte du dioxyde de carbone dans ce processus demeure encore à clarifier. La réduction des émissions anthropiques est visée par le protocole de Kyoto ainsi que par la directive 2003/87/CE ; sa séquestration géologique à long terme fait l'objet de recherches en cours...
"Nous comprenons très vite que le Co2 est une nouvelle manière de taxer. La théorie du réchauffement climatique néglige amplement les sources de chaleurs comme le noyau terrestre, le soleil avec ses cycles de 11 années et les configurations galactiques qui peuvent créer des différences thermiques grâce aux forces d'attractions.
Si vous connaissez le principe de la photosynthèse, il vous est facile de comprendre que le co2 n'est qu'un gaz utile aux plantes pour leurs croissances.
Par ce simple schéma, nous voyons qu'il s'agit d'un gros mensonge !
Le co2 n'est pas toxique dans l'air puisqu'il est une brique fondamentale de la nature , par contre, le véritable coupable est le monoxyde de carbone (CO) car il n'est pas assimilable par les plantes."
Les particules de carbone dans l'air sont comparables à de la suie, et provoque un assombrissement global, appelé aussi l'obscurcissement planétaire.
Question :
"Pourquoi les gouvernements ne désignent t-ils pas directement le CO ?
- Car le Co est le déchet principal d'une combustion thermique d'un carburant fossile ! Voilà pourquoi !!! "
- Car la politique ne vaut rien et le népotisme règne !!!
- Car nous sommes des incapables et des ignorants ...
ALORS ?!? 1, 2 ou 3 ??