25 mars 2010

L'énergie libre : l'eau



Le gaz de Brown peut changer le monde… !
« L’eau sera un jour un combustible » avait écrit Jules Verne en 1875, dans L’Ile mystérieuse. Un siècle plus tard, cette intuition qu’« il y a du feu dans l’eau »
obsède le chercheur bulgare Yull Brown qui vouera son existence à sa mise en évidence.


Résultat :
le gaz de Brown, un gaz qui pourrait changer la donne énergétique de la planète. Aujourd’hui, nombre de politiques et d’industriels ont compris les enjeux économiques et écologiques de cette technologie qui offre une énergie propre et inépuisable.


Selon la théorie courante, le gaz de Brown est un mélange d’hydrogène diatomique et monoatomique et d’oxygène. Selon ma nouvelle théorie, il s’agit « d’eau expansée électriquement ».


C’est la conclusion à laquelle je suis parvenu après avoir travaillé sur le sujet avec des scientifiques et des chercheurs du monde entier : le gaz de Brown serait une forme particulière d’eau qui aurait reçu suffisamment d’énergie électrique pour
devenir un gaz qui n’est pas de la vapeur.


Nous en apprenons tous les jours davantage sur la question. Outre qu’il possède des propriétés exceptionnelles pour le soudage, le brasage, la fusion et la découpe, il peut être utilisé pour obtenir de l’eau parfaitement pure ( littéralement formée d’atomes), pour la vitrification ponctuelle sur la céramique, la réparation des matériaux exotiques, l’amélioration de la combustion de carburants fossiles, la neutralisation des résidus nucléaires, etc.


Ceux qui utilisent ces « torches à eau » vont très probablement découvrir des utilisations auxquelles nous n’avions pas pensé. Les potentialités sont telles que cette technologie pourrait changer notre civilisation. . .


Voici les applications potentielles que nous avons recensées à ce jour.

Soudage à haute température…

Le GB ( Gaz de Brown) soude :


- le verre ;
- le quartz : je n’ai rien vu de plus efficace pour fondre du quartz, malgré les très hautes énergies nécessaires ;
- la fonte [de fer] : au chalumeau (embout n° 3), nous avons obtenu un bon coulis
et nous avons soudé la fonte sans difficulté, sans flux [décapant], avec l’apport d’une tige de fonte. J’ai ensuite plongé la pièce de fonte soudée dans l’eau à température ambiante, elle ne s’est pas rompue. Je l’ai brisée intentionnellement


après refroidissement pour examiner la soudure ; elle était parfaite : aucune différence de structure cristalline entre la soudure et le métal d’origine ;
-le cuivre : il se soude sans problème avec une tige de cuivre, sans flux ;
-l’aluminium : le GB fournit une telle énergie ponctuelle qu’il permet de souder l’aluminium plus facilement qu’à l’oxyacétylène. Le GB convient également pour les soudages légers (à moins de 427 °C). Une petite flamme suffit à faire le même travail qu’une torche au propane.




Le matériau chauffe tellement vite que la chaleur n’a pas le temps de se dissiper avant que la soudure soit faite, un grand avantage pour les assemblages de tuyauterie. La fine petite flamme, tel un laser, facilite le travail dans des espaces exigus et en outre elle ne pollue pas et ne consomme pas l’oxygène ambiant.


Fusion…


Le GB permet de fondre du verre et de le couler autour d’autres matériaux, ou de fusionner du fer et de la brique, cela parce que chacun des matériaux monte à sa température de fusion sans la dépasser.


Brasage…


Se fait mieux au GB qu’à l’oxyacétylène. Je suis même parvenu à braser de l’acier inoxydable.


Préchauffage…


Voilà une des applications les plus courantes du GB, surtout sur des matériaux dont la chauffe nécessite beaucoup d’énergie, comme l’acier inoxydable. Le gaz permet de chauffer de très petits points ou de grandes surfaces ; et c’est propre, le seul sous-produit est de l’eau.


Le GB produit une flamme « froide » qui applique l’énergie potentielle directement au matériau ; la température de celui-ci dépendra de la dimension de la flamme et de la capacité du matériau à dissiper ce type d’énergie. Nous avons découvert que des matériaux différents atteignent des températures différentes et que les mauvais conducteurs de chaleur chauffent très vite à l’endroit d’application du GB.


Nous avons pu fondre tous les matériaux essayés avec cette flamme. Plus la température de fusion du matériau est élevée, plus vite il chauffe.


Vaporisation…


Le paradoxe, c’est que le BG vaporise des matériaux comme le tungstène et le diamant, mais ne chauffe de l’eau que très lentement. Il convient donc de prendre garde à ce que l’on veut vaporiser, puisque les températures varient selon que les matériaux dissipent plus ou moins la chaleur.


Lorsque l’on fond de la roche, de la céramique ou de la brique, les caractéristiques changent, ils prennent un aspect de verre coulé. Si l’on continue à appliquer le GB, ils fondent, ne laissant qu’une vague forme. Le matériau qui en résulte possède des caractéristiques absentes de l’original, par exemple il devient beaucoup plus dur.


Si l’on continue à chauffer, il se vaporise. Utilisations controversées Nous les mentionnons ici pour témoigner de ce que le GB serait utile pour tout le monde. Certaines applications sont politiquement trop sensibles pour être abordées aujourd’hui.


Nous possédons (chez Eagle-Research) suffisamment de preuves pour énumérer la réalité potentielle de ces utilisations et cherchons à obtenir des vérifications de sources indépendantes (tant que nous n’avons pas ces vérifications, nous déclarons décrire ce qui suit comme étant des rumeurs).


Production d’une eau « nouvelle » pure. ..


Nous apprenons que l’eau peut être « programmée » pour transmettre des propriétés thérapeutiques. Cela peut se faire avec l’eau de décharge de la flamme du GB. Il semble que le GB « efface » la programmation antérieure, ce qui permet de la refaire.


À l’ingestion, cette eau donne une impression de détente et de bien-être.


Hydratation de l’eau…


Lorsque l’on fait barboter le GB à travers de l’eau propre, l’eau absorbe l’oxygène et l’hydrogène. Nous pensons qu’elle y gagne aussi en énergie (de nature electrique). Boire cette eau nous rend plus alerte, comme le café, mais sans les effets secondaires. Tous les tests effectués sur cette eau ont révélé une super hydratation, jusqu’à dix fois supérieure à de l’eau ordinaire !


Assainissement de l’eau…


En Amérique du Nord, l’eau est traitée au chlore pour détruire les micro-organismes pathogènes. Le chlore étant un poison mortel, le dosage est calculé


pour ne pas dépasser l’effet recherché. Dans pratiquement tout le reste du monde, l’eau est purifiée avec de l’ozone, qui est une forme d’oxygène


[ oxygène allotropique = O3]. L’oxygène tue les micro-organismes sans nuire aux personnes. Le GB offre un excellent moyen d’oxygéner l’eau.




Humidification…


Nous résidons en un lieu où l’air est extrêmement sec. Nous consommons près de quatre litres d’eau chaque nuit dans des humidificateurs pour que l’air des chambres soit respirable. Grâce au GB, nous obtenons le même résultat avec une tasse d’eau (250 ml) par nuit.






Soulagement des douleurs musculaires…


Appliqué directement sur la peau, le GB transmet l’hydrogène et l’oxygène, via le sang, aux muscles et articulations qui souffrent de déshydratation, ce qui produit un soulagement immédiat des douleurs dues aux crampes et gonflements. Le soulagement perdure longtemps.






Cicatrisation des plaies…


Appliqués à une blessure, l’hydrogène et l’oxygène insufflés par le GB tuent les micro-organismes anaérobies et favorisent la régénération cellulaire.






Germination et croissance des plantes…


La croissance des plantes peut être favorisée par de l’eau hydratée et-ou « programmée ». Les fruits et légumes ainsi produits sont sains et possèdent des


qualités nutritives supérieures.






Neutralisation des déchets nucléaires…


La preuve a été faite (au Canada) que le GB neutralise les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement et à moindres frais. Le procédé peut être appliqué


directement au réacteur, ce qui évite le transport et le stockage des déchets. Cette utilisation est tellement « politiquement sensible » que nous nous abstenons de la promouvoir.






La technologie du GB n’est pas encore suffisamment installée dans l’usage courant pour être à l’abri d’une suppression par des « droits acquis ». Cette application à elle seule vaut des milliards de dollars et pourrait révolutionner


l’industrie productrice d’énergie nucléaire.


Création de nouveaux matériaux industriels…


Le GB est capable de fabriquer des rubis et de les souder, ainsi que des saphirs. La roche cuite est transformée en pierre semi-précieuse ; par. ex. le feldspath


(30 % de la croûte terrestre) se mute en une forme transparente de pierre de lune utilisable comme matériau de construction quasi indestructible.






Transmutation d’éléments…


Nous avons découvert deux manières d’utiliser le GB pour fabriquer des matières qui n’existent pas dans les échantillons d’origine ; nous pouvons créer du métal à partir de l’eau.






Destruction de déchets toxiques…


La flamme implosive du GB réduit pratiquement tous les matériaux à leurs composants de base (pour la plupart non toxiques). On pourrait, dans des chambres étanches, vaporiser les déchets toxiques, y compris les PCB (polychlorobiphényles).






Augmentation du rendement du minerai…


Lors d’essais effectués dans des mines, le GB a permis de tripler la production de minerai par masse d’extraction. Il serait donc possible de traiter au GB les terrils de rejets d’anciennes mines pour en extraire plus de minerais que la production d’origine. Voilà encore une application qui vaut des milliards de dollars.










Amélioration de la respiration sous l’eau…


Le GB est non toxique et respirable. Utilisé comme gaz de plongée, il permet une immersion prolongée et une remontée plus rapide parce que l’hydrogène est beaucoup moins générateur d’embolie gazeuse que l’azote ou l’hélium. Cela ouvre la voie à une meilleure exploitation des ressources océaniques.






Chauffage domestique…

En général, le GB est peu propice au chauffage des espaces parce que la flamme émet très peu d’énergie radiante infrarouge. Il semble cependant qu’en


utilisant un radiateur en matériau catalytique chauffé au GB, la chaleur dégagée serait énorme et ne nécessiterait pas de ventilation particulière de la pièce. On envisage un rendement de 400 %.






Autrement dit, un apport d’énergie de GB de 400 watts produirait une émission calorifique de 16 000 watts. Ceci n’a pas encore été vérifié par Eagle-Research,


mais nous avons suffisamment d’indices pour pouvoir le mentionner ici.






Traitement des surfaces…


Passées à la flamme de GB, les surfaces des matériaux acquièrent des qualités supérieures. La surface du fer est durcie, ce qui le rend résistant à la rouille et à l’usure. La brique et le mortier deviennent inaltérables et étanches à l’eau.






Amélioration de la combustion…

Il a été démontré qu’à l’aide du BG il est possible de brûler des mélanges eau/combustible fossile dans une proportion de 90 % d’eau. Cela fonctionne


tant en combustion interne qu’externe, c’est-à-dire pour des véhicules, du chauffage domestique ou des centrales électriques.




Exemples de HHO




1832 - Michael Faraday découvre les lois de l’électrolyse et sépare l’hydrogène de l’eau en utilisant l’électricité.






1875 - Dans L’Ile mystérieuse, Jules Verne écrit : « L’eau est décomposée en ses éléments primitifs, sans doute par l’électricité, qui sera devenue une force puissante et maniable... Je pense que l’eau sera un jour utilisée comme combustible ».





1935 - Henry Garrett fait breveter un carburateur électrolytique qui permet à une voiture de fonctionnerà l’eau.






1962 - William Rhodes (États-Unis) est le premier inventeur connu pour avoir fait breveter un électrolyseur produisant le gaz simple à « conduit unique » que nous appelons aujourd’hui le « gaz de Brown ». Un peu plus tard, Rhodes fonde la Henes Corporation, dont il est évincé par ses partenaires.






Grossière erreur, car ils ne connaissent pas encore son meilleur projet. La Henes Corp décline, change plusieurs fois de mains et est finalement rachetée par


Dennis McMurray. Rebaptisée Arizona Hydrogen, installée à Phoenix, cette firme est aujourd’hui prospère.






1974 - Yull Brown (1922-1998), un Bulgare dont le vrai nom est Ilya Velbov, émigre en Australie, dépose un brevet pour son électrolyseur à gaz de Brown et passera le reste de sa vie à tenter de commercialiser son invention. Il lui en


coûtera environ 30 millions de dollars et trente années d’efforts. Plusieurs compagnies voient le jour, certaines en coopération avec Brown, d’autres en


concurrence.






1991 - Le Coréen Kim Sang Nam visite le laboratoire de Yull Brown, dans les faubourgs de Sydney. C’est le début d’une coopération de Brown avec BEST Korea Co. Ltd. Ensemble, ils parviennent à mettre au point une technologie innovante à partir du GB (voir site web : www.BrownGas.com).






1994 - Au Canada, George Wiseman, de Eagle-Research, initie un programme de recherche indépendant sur le GB et abandonne la technologie conventionnelle des électrolyseurs. Il s’appuie sur la compétence de sa compagnie en matière d’énergies alternatives et réussit un design amélioré de ce générateur.






Parallèlement, Eagle-Research reprend le meilleur projet de William Rhodes en le perfectionnant. Rhodes vérifie et confirme la technologie du GB.






2006 - Teslalein Research, aux Pays-Bas, commence une recherche sur le GB. En février 2006, le scientifique et inventeur Loek Gans construit un générateur de GB auto-alimenté par énergie solaire. Il produit, par jour, trois heures de gaz grâce à un unique panneau solaire de 1 ampère.






La technologie GB commence à être connue dans le monde entier et à être utilisée pour diverses applications. Des recherches sont menées un peu partout. Quelques grandes compagnies pétrolières y voient leur intérêt à long terme et ne se sentent pas menacées parce que cela augmente leurs profits. Des investisseurs s’y impliquent à grande échelle, des personnes privées utilisent cette technologie et les fabricants d’économiseurs de carburant pour véhicules s’intéressent à l’hydrogène du GB.





Aujourd’hui, Eagle-Research vend les générateurs de GB et bien d’autres solutions énergétiques alternatives. BEST Korea et le Chinois Norinco constituent les plus gros fournisseurs de générateurs de GB au monde.





Source : NEXUS n°48 janvier-février 2007


A quand une vrai utilisation de ce gaz de Brown par nos gouvernants pour changer le monde ?


Les lois peuvent le faire, c'est comme pour la couche d'ozone..


Voici un exemple d'aplication déjà existante :

Le WW520LAC
Ce modèle peut produire jusqu’à 520 litres de gaz par heure.
Sa consommation maximum est d’à peine 1 440 watts/heure et d’environ 2,8 décilitres d’eau/heure. Il peut fonctionner à 120VAC ou 230VAC ou 20 à 28VDC.
Il peut produire jusqu’à 2 796 Kcal.

C'est à vous de réfléchir maintenant !








Pour quoi allez-vous pencher ?






La mort
ou la vie ?
Le pétrole ou l'eau ?











L'eau ! Miraculeuse !







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