C€Ci n'e$t pA$ uN€ déFaiLLanc€ de voTr€ NaViGat€uR ! Ce blog rassemble une partie de l'actualité du côté de la résistance boycottant ainsi les "merdias" au profit d’informations indépendantes ; il contient aussi « de l’humour, de la parodie et de la $atir€ ».
C'est avec une grande tristesse
que nous apprenons ce matin la
disparition d'Emmanuel à l'age de 58 ans.
Souvenez-vous de son travail et de ses recherches !
Voici une méthode courte et efficace pour sortir un PC des difficultés !
Lors de vos differentes sessions, vous avez installé des programmes sans vous en rendre compte par le biais d'une procédure d'installation automatique ... et maintenant votre machine perd du temps, ne réponds plus comme au premier jour ... Les mouchards se sont accumulés dans votre système et plombent le fonctionnement. Je vais vous donner une méthode pour vous sortir de là !
Procédure à suivre pour un utilisateur débutant :
Spywares, espions, virus de Mêêêrde, trojans ou @§%$£^^ !! Tenez-vous bien !
C'est finit avec des outils simples et gratuits !
Commençons par le début :
Votre machine est saturée :
commencez par là : AdWCleaner est un executable qui va vous débarrasser des mouchards
(pour ceux qui n'ont pas internet, utilisez une clé USB et la connexion d'un ami)
Dès que vous avez ce petit logiciel, mettez le sur le bureau et exécutez le !
Il va nettoyer la machine et redémarrer le système sans les espions.
Ensuite vous avez Glary pour réparer en 1 seul clic votre système endommagé ! http://www.glarysoft.com/
Dès que vous aurez finit l'installation, lancez la maintenance en 1 clic !
Et pour rester protégé des virus, Windows defender du panneau de configuration est assez efficace, mais si vous ne faites pas confiance en Microsoft, vous avez Avast version gratuite. Et pour les plus paranos d'entres vous, il existe Comodo firewall (gratuit) https://www.avast.com/fr-fr/index
Voilà pour mes conseils sous Windobe ... Mais moi perso, je suis sous Linux..
Si vous souhaitez changer, n'hésitez pas c'est gratuit et facile à installer ! https://www.ubuntu-fr.org/
Voilà pour ces quelques petits conseils !
AGEN, le 27 juillet 2015
Etant de la région d'Agen, je suis aller visiter la ZAD d'Agen aujourd'hui avec un ami et j'ai rencontré les citoyens occupant les lieux. Nous sommes arrivés en début d'après midi ce vendredi, à l'improviste et nous avons été accueilli avec convivialité et simplicité. Nous nous sommes présenté comme des habitants de la région voulant mettre en relation les zadistes et les paysans du coins déjà concernés par le même problème passé (des expropriations de l'AGROPOLE d'Agen). Nous avons eu droit au café, la proposition d'un repas, une visite des habitations, des jardins ... J'ai pris cette photo ci-dessus du haut de la tour de garde en bois, c'est une sorte de pallombière permettant de se réfugier en cas d'attaque des forces du désordre étatique. NéOzOrOr
Près d’Agen, la municipalité de Sainte-Colombe-en-Bruilhois Rue de la rose à Brax (en venant d'Agen à Brax au feu à gauche -il n'y a qu'un feu- faire 1,5km) veut créer une nouvelle zone d’activité économique en bordure de la Garonne. Un bétonnage insensé qui détruirait 600 hectares de terres agricoles. Un paysan, qui risque d’être exproprié, appelle à la création d’une ZAD sur son terrain le 13 décembre, pour résister à ce projet.
La municipalité de Sainte-Colombe-en-Bruilhois (à dix kilomètres d’Agen) a décidé de créer une nouvelle zone d’activité économique en bordure de la Garonne. Cette zone va s’étaler sur 280 hectares de terres agricoles pour y implanter des entrepôts et des parkings.
Il faut également y rajouter 300 hectares d’infrastructures : ronds-points, rocades, échangeur d’autoroute, pont sur la Garonne, gare TGV sur la future ligne Bordeaux-Toulouse. Tout cela menace donc de détruire près de 600 hectares de terres alluviales de première catégorie situées en bordure de la Garonne sur une nappe d’eau qui a une valeur inestimable pour l’agriculture locale.
Logique suicidaire :
Ce carnage est totalement délirant ! D’un côté, on construit des barrages surdimensionnés pour irriguer des zones naturellement adaptées à une agriculture pluviale. De l’autre, on bétonne des zones fertiles riches en eau et propices à l’irrigation. Cette logique de gaspillage foncier est tout simplement suicidaire dans un contexte de dérèglement climatique qui limite progressivement notre capacité de production alimentaire.
Cela provoque par ailleurs toujours plus d’inondations meurtrières par imperméabilisation de nos sols en limitant le renouvellement de nos nappes phréatiques au passage. CE GROUPE est consacré UNIQUEMENT aux informations et aides a la ZAD d agen ,les autres ZAD et les Grands Projets Inutiles et Imposés (#GP2I). Toute publication hors de ce cadre sera retirée. Nous retirerons aussi tout prosélytisme politique ou religieux, publicité même indirecte, ce n'est pas le lieu. Et bien sûr tous les pièges à trolls (néo-fascisme, confusionnisme, conspirationnisme, ...) Dans la nature on préfère les elfes, faunes et farfadets !
Le but :
Mobiliser des citoyens afin d'exprimer notre désaccord face au bétonnage des terres agricoles et plus globalement face au bétonnage mondial. Nous perdons un département tous les sept ans en moyenne sous le bitume ! Le bitume est un dérivé du pétrole !
PROCHAINEMENT :
"Le vendredi 14 aout ; nous vous invitons à venir sur la ZAD pour un repas conviviale, avec en plus une projection du film la "Résistance respire", pour finir avec un d'un "débat-dessert".
Une petite soirée sympathique en prévision donc.
A bientôt." OVLFC.
Quel sont les besoins sur place de votre ZAD d'Agen ?
Comme toutes les ZAD, nous faisons de la récupération, nous prenons des objets usuels pour les détourner de leurs fonctions première afin de répondre à nos besoin les plus urgents ; Voilà un exemple, le poele dragon :
Connaitre les problèmes écologiques dans le détail : Claude Bourguignon, né en 1951, est un ingénieur agronome français,
ancien collaborateur de l'INRA. Fondateur du LAMS (Laboratoire d'Analyse
Microbiologique des Sols)1, il travaille en France, mais aussi en
Europe, en Amérique et en Afrique.
Il est parmi les premiers,
dans les années 1970, à avoir alerté sur la dégradation rapide de la
biomasse et de la richesse des sols en micro-organismes (bactéries et
champignons microscopiques), ainsi que sur la perte d'humus et de
capacité de productivité des sols agricoles européens, ou des sols
auxquels on appliquait les mêmes méthodes en climat tropical ou
subtropical. Il a contribué à développer des techniques alternatives qui
se sont avérées très efficaces, mais qui demandent une bonne technicité
et connaissance du fonctionnement écologique des sols.
Claude
Bourguignon est un ingénieur agronome formé à l'Institut national
agronomique Paris-Grignon (INA P-G). Il a d'abord travaillé à l'INRA où
ses travaux (méthode de mesure de l’activité biologique des sols) ont
suscité peu d'intérêt. Voyant par ses relevés d’activité biologique que
les sols cultivés en labour avec des apports d'engrais chimiques et de
pesticides perdaient leurs populations microbiennes et fongiques, et «
mouraient » en perdant aussi leurs nutriments et en s'érodant de manière
accélérée, il est devenu un des promoteurs, développeurs et
spécialistes des techniques de restauration et préservation des sols
agricoles par des techniques respectueuses de la vie du sol et de son
fonctionnement en tant qu'agro-écosystème complexe.
Claude
Bourguignon est par ailleurs conférencier et formateur, membre de la
Société d’écologie, de la Société américaine de microbiologie,
enseignant à l'ancienne école d'agrobiologie de Beaujeu. Il a déploré
l'absence de chaire officielle de microbiologie des sols en France
(depuis que le secteur microbiologie des sols de l’Institut Pasteur a
été fermé), ce qui s'est traduit par le manque de formation en
microbiologie chez les pédologues et agronomes.
Dans les années
1980, il met au point une méthode de mesure de l'activité
micro-biologique des sols et constate qu'en Europe, 90 % de l'activité
micro-biologique des sols a été détruite. [réf. nécessaire]
Théorie et recommandations
Les
outils et concepts qu'ils ont développés sont souvent utilisés par les
agriculteurs biologiques ou biodynamiques qui ont des sols beaucoup plus
actifs et riches en organismes vivants et en biodiversité que ceux de
l'agriculture dite « conventionnelle » où parfois on ne trouve presque
plus trace de vie[réf. nécessaire].
Le labour et les techniques
d'agriculture intensive continuent néanmoins à être utilisés. Claude
Bourguignon estime qu'on perd aujourd’hui sur un sol agricole
d'agriculture conventionnelle en moyenne « 10 tonnes de sol par hectare
et par an » (dans certains cas, on atteint 100 tonnes par an et par ha
dans les zones où le sol est plus fragile (ex : bassin de la Canche dans
le Pas-de-Calais, au nord de la France2).
Il estime que
l'agriculture européenne va obligatoirement devoir changer car elle
n'est plus compétitive (79 % des agriculteurs ont disparu en 50 ans3),
ne survit que grâce aux subventions, et génère des produits de mauvaise
qualité[réf. nécessaire].
Il souhaite que les pratiques agricoles
changent et qu'on apprenne à cultiver un sol sans l'éroder. Il conteste
le dogme[réf. nécessaire] qui consiste à croire que le sol est un
support inerte qui nécessite qu'on y ajoute de l'engrais (rendant ainsi
les plantes malades et obligeant à utiliser des pesticides pour les
soigner). Il indique que le sol, loin d'être inerte, contient 80 % de la
biomasse de la Terre et ne nécessite aucun engrais et donc aucun
pesticide. Il recommande également de changer les habitudes relatives
aux espèces cultivées en remplaçant par exemple la culture du maïs (trop
consommatrice d'eau et peu adaptée au climat européen) par celle du
sorgho.
Il prône le retour aux haies et à une agriculture
agro-sylvo-pastorale et considère que le moyen le plus rapide et
efficace de faire renaître un sol mort est l'utilisation massive du bois
raméal fragmenté.